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Une famille sans limites

Chapitre 4

Vive le sport !

Avec plusieurs hommes
Je suis Muriel, la mère de Julie, et ça fait une semaine que j’hésite sur ce que je dois faire. La semaine dernière, en couchant avec le petit copain de Julie, j’ai provoqué sa rupture. Je ne suis pas une mère indigne ! Elle voulait rompre justement. J’ai juste allié l’utile à l’agréable. Hé bien justement, j’ai un peu trop forcé sur l’agréable ! Maintenant, toutes les nuits, je repense à la fougue de ce jeune homme, à son respect dû à mon âge plus avancé, teinté d’une pointe de perversité en raison de la situation. Le souvenir de ces minutes sur le canapé devient obsessionnel et j’en ai usé les piles de mes sex-toys ! Il se trouve que j’ai son numéro de téléphone puisqu’il est sorti avec ma fille pendant 4 mois et j’ai préparé un message que je n’ai toujours pas envoyé : [SMS]< Salut Mattéo, c’est Muriel. Je m’en veux terriblement de ce qui s’est passé le week-end dernier. J’ai cédé à une pulsion. Je ne voudrais pas que tu m’en gardes rancune. Si tu veux qu’on se voit pour en parler je suis d’accord. Si tu es fâché et que tu ne veux pas me parler, je comprendrai.
Je reste ainsi plusieurs minutes devant ce message à le relire, à peser tous les mots et, presque en fermant les yeux, j’appuie sur envoyer pour regretter presque instantanément. C’est trop tard, le sort en est jeté.Pendant toute la journée je scrute mon écran en vain avant qu’une sonnerie tant attendue retentisse. [SMS]> Rassures-toi Muriel, je ne t’en veux pas. Si tu veux on peut en discuter dimanche à Lunéville, j’ai un match avec mon équipe de Basket. Viens à 16h30 après le match.
Une bouffée de chaleur monte en moi à la lecture de ce SMS. Tellement que je ne peux m’empêcher de me caresser les seins. Toi mon gaillard, je vais te sortir le grand jeu ! Tout le dimanche matin j’ai pris soin de moi, douche, épilation, coiffure, maquillage. J’ai envie de plaire. J’ai vidé la moitié de ma garde-robe pour choisir une tenue. J’ai sélectionné une robe légère magenta à décolleté croisé avec des bas noirs et des sous-vêtements en dentelle noir et rouge sombre. J’enfile des escarpins à talon assez grands pour me hisser un peu à sa hauteur. Je prends la voiture pour me rendre au gymnase de Lunéville à l’heure prévue.
J’entends les clameurs de la foule de supporters en me garant dans le parking. Le match oppose l’équipe de STAPS de Nancy à celle de Strasbourg. Mattéo fait des études pour être coach sportif. J’entre dans le couloir le long des tribunes pour regarder la fin du match. Je n’y connais rien mais ça joue ! il y a beaucoup de mouvement, le ballon passe d’un camp à l’autre. La partie est indécise. Je regarde Mattéo qui est concentré sur le match, véritablement investi par l’enjeu. Finalement l’arbitre siffle la fin de la rencontre et son équipe gagne avec 2 points d’avance. Tout le groupe exulte ! C’est à ce moment qu’il m’aperçoit en train d’applaudir au pied des tribunes. Il vient vers moi. Je le félicite.
— Merci Muriel, je ne pensais pas que tu viendrais mais ça me fait très plaisir.
Les autres joueurs me regardent avec un léger sourire en coin et me scrutent de haut en bas sans doute ma tenue fait son effet.
— Passe dans un quart d’heure aux vestiaires, tu veux bien ?
Assise sur un siège des tribunes désertés, j’attends patiemment avec la folle exaltation de mes rendez-vous de jeunesse. Perdue dans mes pensées, je regarde ma montre 17h ! Je file dans le couloir en direction des vestiaires. Quelques discussions se font entendre. Une porte est ouverte au bout du couloir et un rai de lumière zèbre le sol. J’approche de l’encadrement de cette porte siglée « vestiaire 2 » pour apercevoir les joueurs finissant de se mettre en tenue. Si certains en sont à lacer leurs chaussures, d’autres sont encore torse nu, la serviette sur les hanches.Mattéo boutonne son pantalon en vitesse et s’approche de moi.
— Désolé du retard mais le coach a mis du temps à faire le briefing du match. — Y a pas de mal.
— Dis-donc ! tu es sexy !
Puis il murmure à mon oreille.
— En tout cas tu fais de l’effet à mes coéquipiers. Ils sont d’accord que personne n’aurait pu résister à tes charmes ! — Tu … tu leur as raconté ?— Heu oui, enfin à mes meilleurs potes, tu sais dans une équipe on se confie beaucoup à ses partenaires. Répond-t-il un peu gêné.
Un grand blond du nom de Julien s’approche, une simple serviette nouée autour de la taille.
— Enchanté madame, Julien. Mattéo nous a parlé de vous, il ne mentait pas, vous êtes très sexy.
A la fois flattée et offusquée qu’un parfait inconnu se permette ce genre de commentaires je rougis. En même temps, fréquentant les clubs libertins j’ai l’habitude mais là, hors contexte, c’est d’autant plus déroutant.
— Avec Mattéo et notre ami Tom, poursuit-il en pointant du doigt un beau black en train d’enfiler un t-shirt sur le banc, on s’est dit que vous ne seriez pas contre … faire plus ample connaissance ?
Estomaquée par le culot du jeune homme, une onde de chaleur m’envahit, montant de mon bas ventre à ma tête. Bien sûr que ces 3 jeunes sportifs aux corps affutés me faisaient envie mais comment dire oui sans passer pour une pute.
— Qu’est-ce qui vous dit que je suis intéressée ? Répondis-je en minaudant.— Parce que tu es une chaudasse qui aime le sexe non ? Répondis Mattéo perdant toute réserve.
Surprise par sa réponse, je ne peux que sourire et je pose ma main sur son épaule musclée. Voyant ce signal d’acquiescement, Julien pose sa main sur mes seins et les caresse au travers du fin tissu de ma robe. Tom se lève et nous rejoint, se plaçant derrière moi et plaquant ses hanches contre mes fesses.3 paires de mains me parcourent le corps. Aucune femme ne pourrait résister à ça. Un mélange de tendresse respectueuse pour celle qui pourrait être leur mère et de fougue mal maitrisée de l’envie de me souiller comme une salope. Je sens que Julien est assez dominant et que les autres vont en profiter sur moi. Je m’abandonne à ces mâles assauts pervers avec délice. Mes habits sont retirés un à un permettant alors de nouvelles caresses en des lieux précédemment inaccessibles.Bientôt la serviette de Julien tombe au sol, Tom et Mattéo sortent leurs queues raides et j’empoigne ce qui est à ma porté pour les branler.
— Suce-nous salope ! Dis Julien.
J’agenouille docilement me retrouvant cernée par 3 bites raides qui se disputent ma bouche. Celle de Julien glisse en premier dans ma bouche humide tandis que les autres, piaffant d’impatience, glissent sur mon cou et sur mes joues.
— Quelle bonne suceuse ton ex belle-mère ! Tu ne nous avais pas menti ! S’exclame Tom quand son engin d’ébène glisse à son tour dans ma bouche.
Je m’abandonne à cette domination virile de ces jeunes hommes qui pourtant me devraient un respect lié à mon âge s’approchant sans doute de celui de leur mère.
— Attendez, vous allez voir comme elle est bonne à défoncer cette pute. Lance Mattéo exalté.
Reprenant ses manières malgré la crudité de ses propos il me tend la main comme un noble de l’ancien temps la tendrait à une marquise pour l’aider à se relever et il me guide vers le banc du vestiaire. Il dépose une serviette sur les lattes de bois et je m’allonge dessus sur le dos, les fesses au bout du banc, les cuisses relevées.Je subis ainsi les assauts successifs de ces 3 mâles excités qui me pénètrent le vagin à grands coups de reins sans ménagement. Les commentaires fusent tout le long.
— Quelle pute dis Tom.— Tu aimes ça, fait bander les petits jeunes, salope ! Renchérit Mattéo.— Ce qu’elle est bonne cette cougar. S’exclame Julien.
Remontant à chaque fois mes cuisses ouvertes contre leurs torses, ils me prennent les uns après les autres parfois plusieurs minutes, parfois pour juste quelques va-et-vient, tentant de retarder leurs jouissances au maximum.Moi de mon côté, cette pénétration non-stop me met dans un plateau de jouissance permanant : tout n’est que volupté, je suis inondée d’hormones de plaisir et irriguée de spasmes nerveux.Julien s’approche de mon oreille :
— Tu aimerais qu’on t’encule tous les trois ?
Entre deux soupirs, je murmure un « ho oui » inaudible.Il m’empoigne fermement la chevelure.
— Dis que tu veux qu’on t’encule salope ! répète-t-il.— Oui, prenez-moi le cul tous les trois, jouissez dans mon cul, j’en ai envie. Répondis-je plus fort.
Ils ne se font pas prier, m’aidant galamment à me relever, je me mets à quette-pattes sur le banc, la croupe dirigée vers son extrémité. C’est Julien qui se place le premier derrière moi. Il écarte mes fesses, donne un grand coup de langue saliveuse sur mon anus et enfonce un doigt et le faisant tourner d’un quart de tour dans les deux sens.
— Humm ! je gémis.
Il remet de la salive et enfonce deux doigts. Mon anus se dilate un peu. Julien se penche vers ma nuque et murmure :
— Tu es prête à te faire défoncer le cul ? — Ouiiii va-y j’ai envie !
Il retire ses doigts laissant mon anus un peu entrouvert et posse dessus son gland qu’il pousse progressivement.
— Hooooooooo doucement, doucement ! Ca rentre, putain c’est énorme ! dis-je en haletant.
Les autres regardent admiratifs en attendant leur tour religieusement en se branlant et en imaginant leur queue enserrée par mon sphincter anal comme Julien en ce moment !Je sens ses hanches se coller à mes fesses, il est entièrement dedans. La sensation est décuplée car, en dessous, mon vagin est gonflé par les longues minutes de pénétration que j’ai subie. Il commence le va et vient. Mon anus incontrôlable alterne spasmes de résistance et de dilatation puis capitule et se dilate totalement. Heureusement car Julien va de plus en plus vite, ses hanches claquent contre mes fesses. Il grogne et gémit, ses mains se crispent sur mes hanches.
— Hooooooo putaainnnn ! lance t’il en envoyant la purée au fin fond de mon rectum.
Quelques derniers mouvements et il se retire comme un boxeur groggy, aussitôt Tom prend sa place. Il regarde un peu dégoûté mon anus béant d’où coule le sperme de Julien mais il a trop envie pour faire le naireux. Il pousse son gland, qui bien-sûr rentre tout seul, avec un bruit incongru lorsque l’air que mon rectum contient s’en échappe.
Il fait tout de suite des mouvements amples et profond qui m’obligent à m’affaisser et à coller mes épaules et mon visage contre le banc. Il contemple son sexe noir entrer et sortir de ma petite rondelle dilatée tout enduit de la liqueur blanche de son camarade. L’excitation monte très vite et il jouit lui aussi dans mon cul dans des grands spasmes théâtraux.
Comme un coéquipier qui quitte le terrain et cède sa place à un remplaçant, il claque dans la main de Mattéo qui prend sa place et s’enfonce à son tour dans mon anus gluant et souillé deux fois. Aussi victorieusement que lorsqu’ils ont gagné ce match, il pousse un cri quand il propulse sa semence à son tour dans mon cul.Je m’écroule sur le banc, épuisée, du sperme coule abondamment de ma raie des fesses tout le long de l’intérieur de mes cuisses.Tom a sorti son portable et film mes orifices béants en gros plan. Je n’avais pas remarqué mais je crois qu’il filme depuis que Mattéo m’a enculée. Julien ne me laisse pas de répit :
— Viens nous nettoyer la bite salope.
Comme un automate je m’exécute, assise sur le banc, je me retrouve de nouveau entourée des 3 jeunes hommes pour sucer leurs queues demi-mole suintante. Leurs spermes se mélangent dans ma bouche et, miracle de la jeunesse, ils reprennent de la vigueur ! Un peu effrayée qu’ils me demandent de recommencer avec mes orifices endoloris, je me redresse en les embrassant et je me rhabille prestement.
— C’était super Muriel ! vous nous avez fait jouir comme jamais ! complimente Matteo reprenant le vouvoiement respectueux quelque peu perdu. — On fait des matchs tous les dimanches, ça te plairait qu’on se voit après match pour remettre ça ? Demande Julien.
Je reste un instant sans voix pesant le pour et le contre et les conséquences de ma réponse mais la proposition est trop belle.
— Ok j’accepte. Si vous êtes dans le coin, vous pourrez passer à la maison après votre match. Mattéo connait l’adresse.
Les jeunes hommes poussèrent des cris de joie enfantins et m’enlacèrent tendrement.
Je n’imaginais pas encore les suites que ça allait provoquer …
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