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Une famille sans limites

Chapitre 5

Vivement dimanche !

Orgie / Partouze
Voici maintenant 2 mois que j’ai revu Mattéo, l’ex petit ami de ma fille Julie. Cette rencontre, pour me faire pardonner d’avoir mis fin à leur relation, s’est transformée en orgie avec 2 de ses coéquipiers de son équipe de basket.
Je ne peux pas dire que je le regrette ! J’y ai pris énormément de plaisir de me faire dominer par ces jeunes hommes qui ont 20 ans de moins que moi. Et puis quelle fougue ! Quelle passion dans leurs mots, leurs gestes, leurs outrances !
Depuis ce jour, quand ils ont match à domicile, ils passent à la maison pour fêter victoires et défaites, qu’importe, c’est moi qui subit la 3ème mi-temps.Dans un premier temps il n’y avait que Mattéo, Julien et Tom mais au fil des semaines, et sans doute des confidences entre joueurs, se sont joints Rayan, Simon et Dylan. A chaque fois le même rituel : en début d’après-midi, je reçois un SMS me disant qu’ils viendront et le nombre. Alors je me prépare et je suis en tenue sexy pour les accueillir vers 16h – 17h.Ce dimanche ne déroge pas à la règle.
[SMS]Après match à 17h15, on sera 5.
Après ma douche, je me regarde dans le miroir, je passe mes doigts sur mes seins ronds et fermes, mes boucles rousses s’étalent sur mes épaules. Je passe mes mains le long de mes hanches. Certes, j’ai plus de formes qu’il y a quelques années mais pour 46 ans, je me trouve encore pas mal. Suffisamment bien pour inspirer le désir chez des jeunes gens aux corps musclés ! C’est bien ça le secret de la longévité : plaire et se sentir désirable. J’ajuste un string noir sur mes hanches, un soutien-gorge corbeille noir en dentelle sur mes seins. J’enfile mes bas autofixants en resille noire. Je me tourne plusieurs fois devant le miroir. Pas mal la cougar ! me dis-je en m’admirant.
Par-dessus, je mets une tenue rapide à enlever car je ne la garderai pas très longtemps : une jolie robe légère grise avec un décolleté croisé conviendra.Je prépare 6 verres et quelques mignardises sur la table du salon.17h18 à la pendule, des voitures se garent dans la cour. Je vais ouvrir quand la sonnerie retentit.
— Bonjour Muriel ! On est dégouté, on a perdu notre match ! Il faudra nous consoler cette après-midi ! Dit Mattéo en entrant suivit de Julien, Rayan, Dylan et Tom.
Tous me font la bise, se permettant de poser à l’occasion une main réconfortante sur mes fesses ou mes seins. Je leur sers un verre, ils se mettent à l’aise dans le canapé rouge et dans les fauteuils en me racontant le match. Tom et Dylan, à ma droite et à ma gauche sur le canapé commencent déjà à poser leurs mains sur mes cuisses et à caresser mes seins. Puis, comme par enchantement, sans aucun signal préétabli, la conversation de façade s’arrête, les fermetures des pantalons s’ouvrent et des bites gonflées en sortent déjà …

Je suis énervée ! J’ai oublié mes cours de thermodynamique chez maman et j’ai un partiel demain. Je prends donc la voiture pour y aller. Pas la peine de l’appeler car elle m’avait dit, il y a environ 2 mois, qu’elle a repris le sport en salle et qu’elle y va tous les dimanches après-midi. Bon ce n’est pas grave, de toute façon j’ai la clé de la porte de derrière.
Lorsque j’arrive à la maison je suis étonnée de voir 2 voitures garées dans la cour en gravier. L’une d’elle en particulier ! La voiture de mon ex petit ami Mattéo que j’avais largué il y a 3 mois car il avait couché avec ma mère !
— Non ! Ils n’auraient pas osé poursuivre cette relation ! J’y crois pas, me dis-je en fulminant dans ma voiture.
Je me gare dans la rue un peu plus loin et je reviens sur mes pas. Je fais le tour de la maison pour ouvrir la porte de derrière qui donne dans le garage. La voiture de maman est bien là. Je bouillonne !Je monte les escaliers et j’arrive à la porte du couloir. J’entends des petits bruits dont des gémissements. J’ai l’impression de revivre ce soir funeste de notre rupture. Doucement j’ouvre cette porte. J’avance dans le couloir. J’entends plus distinctement les sons.
— Hummmm tu es trop bonne. Dit une voix.— Chacun son tour Dylan, laisse nous en profiter. Dit une autre.— Moi je vais boire un verre, elle me tue cette pute. Là je reconnais la voix de Mattéo.
Mais putain, ils sont combien ? Que ma mère se tape mon ex c’est une chose mais elle s’en tape combien ? Je savais qu’elle fréquentait les sites et les clubs libertins mais ça restait dans un imaginaire fugace que mon cerveau tentait de ne pas matérialiser mais là c’était du concret ! Il y avait au moins 3 mecs dont mon ex qui se tapaient ma mère. Je pourrais faire demi-tour, j’ai hésité un moment mais la curiosité était plus forte que tout.
J’arrive au bout du couloir devant la porte entrouverte du salon. Je jette un œil et ce que je vois me laisse la bouche bée.Ma mère, je la devine à peine, je vois juste sa chevelure et ses jambes, le reste est caché par 1, 2, 3, 4, 5 mecs ! Il y en a un qui est assis sur le canapé avec elle assise sur lui, probablement empalée sur sa queue. Un autre est devant, entre les quatre jambes écartées, à faire des va-et-vient en poussant ses hanches vers l’avant. Un autre, un noir, est debout sur le canapé à côté de ma mère tenant sa tête qui s‘agite devant son bas-ventre. Un quatrième est assis de l’autre côté attendant son heure en s’astiquant la bite et en regardant ses amis et je vois aussi Mattéo, debout devant la petite table du salon, se servir un verre d’eau.
Je suis hypnotisée par la scène ! je ne suis pas une mijaurée, j’ai déjà vu quelques pornos hard mais là, de le voir en vrai et avec ma mère en guest star ! C’est too much !Je l’entends enfin quand elle retire la bite qui était dans sa bouche.
— Hummmm oui les gars, défoncez moi bien !
Les mecs répondent
— Comme d’habitude Muriel ! On aime les grosses cochonnes comme toi.— Prend bien ma bite dans ton cul de pute !— Tu es un vrai garage à bite cette Muriel !
Ces cons finissent par m’exciter. Je sens la chaleur monter de mon bas-ventre même si je lutte contre. A ce moment Mattéo intervient
— Oui il n’y a que des vielles salopes comme toi qui savent satisfaire des jeunots !
Je me sens comme piquée au vif ! Ha c’est ce qu’il pense ! Je n’étais donc pas assez salope pour lui ! Il va voir ce que je vaux ! Vexée, je rentre dans la pièce.
— Dis-donc Mattéo, fut un temps tu préférais les plus jeunes !
Puis je tourne la tête rapidement comme si de rien n’était.
— Ho, bonjour maman.
J’aurais appliqué un sort de magie « freeze » consistant à immobiliser toutes les personnes dans une pièce que je n’aurais pas fait mieux ! Je m’approche de ma mère pour lui faire deux bises sur les joues.
— Tu me présentes tes amis ? Dis-je en prenant dans la main la bite de Tom évitant qu’il ne débande instantanément.
Mattéo s’approche.
— Je suis désolé Juju !
Je le coupe rapidement en retroussant ma jupe et en tendant sa croupe vers lui
— De rien du tout Matt ! Tu veux une salope, prend moi alors.
N’étant du genre à rater une bonne occasion, il glisse ma culotte jusqu’à mes chevilles et, empoignant mes hanches, il enfonce sa queue dans ma chatte pendant que je suce Tom. Ma mère à côté est un peu sidérée mais ses partenaires ne lui laissent pas le temps de souffler : Dylan accélère ses mouvements empalant son anus sur sa queue et Julien redonne un coup de rein pour la prendre par le vagin. Rayan évite toute protestation en glissant sa bite dans la bouche bée de maman.
Nous voilà ainsi toutes les deux côtes à côtes, déglinguées par ce groupe de garçon excités. Cette situation décuple leur ardeur, nos partenaires passants de la mère à la fille, d’un vagin à une bouche ou un anus dans une sarabande libidineuse.
A un moment, à force de nous manier comme des poupées de chiffons, je me retrouve la tête sur la poitrine de ma mère qui me caresse affectueusement les cheveux. Je caresse alors ses seins ballotés par les coups de reins profonds de Dylan. Nous nous enlaçons alors excitant encore plus les mâles autours de nous. C’est alors que Julien, n’en pouvant plus éjacule sur la poitrine de ma mère de grands jets de sperme tiède.
— Hummmm prend ça salope ! va-y Julie, lèche mon jus sur les seins de Muriel.
Ma langue glisse sur les grandes trainées de sperme en aspirant le maximum tout en tournant sur les tétons dressés de ma mère. Mattéo qui a vu ce petit jeu me ramone vivement en levrette avant d’éjaculer sur mes fesses blanches.
— A toi Muriel, nettoie le cul de Julie.
Ma mère vient se positionner derrière moi pour lécher les flaques de semence qui parsèment mon dos et mes fesses, allant même jusqu’à lécher les coulures qui empruntent la raie de mes fesses. Finalement les garçons nous remettront assises parterre, entourées de Dylan, Rayan et Tom se branlant prêts à décharger sur nous à la manière d’un peloton d’exécution. Le délire ! C’était à celle qui en attraperait le plus, gobant les décharges en vol ou léchant celles qui atterrissent sur les joues ou la poitrine de l’autre. Mattéo me voyant ainsi déchainée reconnait sa maladresse :
— Julie, je dois reconnaitre que tu es aussi salope que ta mère et ce n’est pas peu dire !
Muriel sourit
— Maintenant si tu veux venir me voir les dimanches après-midi, n’hésite pas Julie !
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