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Une famille sexuellement débridée

Chapitre 4

où ça part... en couilles;

Inceste
— Putain qu’elle est bonne ! Elle a le cul bien serré là. Y’a rien de meilleur qu’un fion de pucelle !— C’est vrai ?— Aussi vrai que je m’appelle André ! Tu veux essayer fiston ?— Ah ouais cool !

Il va sans dire que le fiston en question était mon frère qui, décidément, ose tout.
— Oula ! fit mon père en se retirant après l’avoir emboutie le plus profondément possible. - Elle est vraiment pucelle du cul. Si tu veux un truc propre, va chercher l’embout de douche en forme de bite dans ma table de nuit. Il faut qu’on lui lave le fion.— J’vais le faire tout seul. Pour c’truc là, j’veux un peu d’intimité. On se respecte tout de même !
Nous laissâmes donc ma sœur quelques minutes à ses ablutions. Pendant ce temps, papa nous ouvrit officiellement son tiroir et sa pornothèque pour nous présenter ses jouets et films préférés.
Quand Patou fut prête, elle nous rejoignit sur le lit de papa et maman. Il était plus haut que la moyenne, comme un lit à l’américaine et on savait désormais pourquoi.
Patou ne perdit pas de temps. Elle se mit à genoux sur le plumard. Elle écarta bien ses jambes et papa n’eut même pas à se baisser pour l’enfiler. Il la reprit dans la chatte.Mon frère et moi montâmes sur le lit pour nous faire sucer, allongés côte à côte.Papa pinait fort.
— Putain, t’es aussi salope que ta mère toi, hein ! Toutes des putains. T’aimes la queue aussi toi... Bonne chienne chasse de race... Attends que j’te reprenne dans le trou du cul !
Ma sœur pompait l’un ou l’autre de nos dards pendant que mon père lubrifiait la rondelle et réintroduisait son zob.Mon père décidément baisait comme un forcené. La piaule, assez petite, était pleine du bruit de ses cuisses claquant le cul de sa fille. Cette douce mélodie cadencée n’était troublée que par les sons étouffés que ma sœur émettait tout en nous pompant et par nos propres commentaires.
— Putain Patou tu suces plus Tonio que moi !
— Normal, répondit-elle. Il a pas les couilles poilues lui. T’as qu’à t’épiler les roustons et je te les boufferai plus souvent.— Ce sera fait, tu peux me croire !— En attendant, intervint papa, regarde c’que fait ta mère ! Faut pas qu’elle rate ça !— Attends ! dit mon frère en se dégageant. J’vais lui envoyer un snap !— T’es con ou quoi ? Son portable est là !— A mince c’est vrai. Comment faire ? J’vais la chercher ?— Non ! Laisse tomber... Elle va bien finir par radiner. En attendant, prends le caméscope dans la penderie et filme.
Mon frère s’exécuta et commença à prendre les images.
— Mets-le sur le pied pour te joindre à nous. Comme ça tu seras aussi sur le film.
Ce fut rapidement accompli.
— Allez hop ! Une double ! Viens t’empaler la chatte sur ma queue et présente ton p’tit trou à ton frère;
Positionné au bord du lit, papa plia les jambes, ma sœur glissa sur sa queue et mon frère se planta debout derrière pour lui déchirer l’anus sans ménagement.
— Doucement Gillou, tu fais mal bordel !— Mais tais-toi ! Si t’as encaissé la pine à papa, tu dois bien encaisser la mienne.— On dit "la pine de papa", précisai-je malicieusement, comme si c’était le plus important en ce moment.
En ce qui me concerne donc, je me faisais sucer avec un défaut de régularité compte tenu des secousses que les deux autres mâles de la famille imprimaient à la petite.
— Putain, il est bien chaud son cul là et je sens bien ta grosse bite de l’aut’ côté p’apa... Ah j’en peux plus, j’en peux plus rogntudju !... j’vais jouir.
J’étais bien content que mon frangin éjacule le premier. Au dernier moment il sortit sa bite en criant :
— Penche-toi salope !
Patou arrêta donc de me sucer et s’étendit sur mon père. De longs jets de sperme jaillirent du sexe de mon frère. Les épaules furent touchées alors que les dernières gouttes s’écrasèrent sur les fesses ; Il remit alors sa bite dans le fion jusqu’à ce qu’elle perde de sa vigueur et qu’elle ressorte, très grosse encore mais toute molle.
Mon frère, ainsi hors jus, prit la cam en main pour continuer à participer en filmant la scène sous différents angles tel un reporter au pays du stupre.
— Allez Tonio, encule-la, vas-y ! Pour son postérieur et pour la postérité.
Je me plantai donc le cul encore crémeux et me mis à le déglinguer sans vergogne.Gilles était derrière qui filmait.
— Tu les sens Tonio tes pompons qui touchent ceux de papa...
Pour le moment j’étais surtout concentré sur le flux de jute qui allait sortir de mes couilles, mais c’était vrai, mes burnes, bien pendantes, frôlaient celles qui m’avaient conçu.
J’éjaculai en grognant tout en attrapant les seins de ma sœur que je malaxai comme un enragé.
— Nettoie-lui bien le dard !
C’était plus une invitation qu’un ordre. Il était au demeurant superfétatoire. Ma sœur était déjà sur mon zob. Le gland était d’une extrême sensibilité et j’eus du mal à résister au contact de la bouche chaude sur mon sexe.
Resté seul en action, papa coucha ma sœur sur le dos pour la prendre en missionnaire. Il s’allongea et se mit à la pilonner activement. De temps à autre, il ralentissait se redressait, s’appuyait sur ses bras et plongeait sa tête entre les seins puis la secouait comme un fou entre les deux globes dont il chopait l’un ou l’autre voracement. Voir ce mec musculeux copuler avec une fille magnifique à gros seins était un spectacle des plus pornographiques. D’ordinaire, après une partie de boules, je passe vite à autre chose, le désir s’effondra comme une avalanche après le coït. Mais là, je ne parvins pas à détourner mon regard.
Ma sœur exultait. Elle avait replié ses jambes sur le cul paternel pour que le daron la pénètre mieux et le sentir totalement en elle sans doute, et ses mains s’accrochaient aux muscles saillants dans une étreinte frénétique.
Enfin papa rapprocha sa tête de celle de Patricia puis il la palucha fougueusement à lui décaper même les dents du fond. Ma sœur n’y résista pas. Elle cessa d’embrasser pour hurler de plaisir tout en plantant ses ongles dans les omoplates du mâle qui la faisait jouit, y traçant des sillons rouges.Maman arriva pile à ce moment.
— Eh, ben, eh ben, c’est du propre ! Je vois qu’on a progressé depuis hier au soir... On s’ennuie pas sans moi !
Elle était sans sa robe de chambre bleue et ses crocs roses aussi peu sexys que possible. Souvent, elle sortait comme ça le matin, sans s’apprêter, quand le temps le permettait pour traverser la route, si peu passante, en diagonale jusqu’au logis de notre voisine où l’attendait toujours un café serré et brûlant.
Mon père se redressa sans s’arrêter de fourrer.
— Ah non d’une trique, qu’est-ce que t’as raté ! Ils l’ont pinée tous les deux, de vrais étalons... les dignes héritiers de leur père, pas des p’tites bites !... et putain, qu’est-ce qu’elle est chaude ta fille... super bonne comme toi...
Là-dessus, maman ouvrit sa robe de chambre. Elle était entièrement nue. Notre voisine n’étant plus là, elle n’avait pas pris la peine de s’habiller pour aller faire sa tournée d’inspection chez la mère pétard.
Ses seins étaient lourds, gros mais, sans doute à cause de l’âge, un peu tombants. Mais il y avait de quoi faire péter les braguettes. Les aréoles étaient très foncées sur la peau blanche et les tétons énormes et gonflés. Il me sembla que sa touffe était mouillée.
Elle monta sur le lit. Son dos et son cul étaient rouges.
— C’est ça, amène-toi que je te bouffe la chatte ! Tiens Patou viens t’asseoir sur ma queue. Mets-toi face à moi.
Patricia se mit à califourchon sur le braquemart luisant pendant que ma mère se mettait à genoux au-dessus du visage pas rasé de son mari.
— Vous rasez pas trop les garçons, conseilla-t-elle. Il n’y a rien de tel que des poils durs pour vous picoter la vulve et vous décaper le cul à l’émeri le matin. C’est vachement bon.
Machinalement je passai ma main sur mon menton. "J’ai le poil trop souple" pensais-je. Il faudrait me raser tous les deux ou trois jours. Mon père interrompit ces réflexions
— Gouinez-vous espèce de salopes ! Caresser vous les nichons l’une contre l’autre pendant que je vous chauffe la raie à toutes les deux.
Puis il attrapa ma mère par les hanches pour la forcer à rapprocher la vulve de son visage, mais à peine avait-il commencé son cunnilingus qu’il s’écriait :
— Bordel de merde ! Mais t’es pleine de foutre ! T’as la moule remplie de sperme cochonne !— T’aimes ça hein mon gros cochon ! répondit-elle tout en serrant sa fille par les épaules et bougeant les seins de droite à gauche pour frotter les quatre tétons par paire antagoniste.— C’est qui qui t’a remplie comme ça ?— Ah ah !— Je le connais ?— Bien sûr.— Putain, lequel de ces fils de pute peut bien être là le dimanche matin ? C’est Jean-Michel ?
Jean-Michel, c’est le patron de papa. Il vient de temps en temps au garage désaffecté d’à côté qui sert de dépôt à l’entreprise et que nous surveillons à moindres frais pour le compte de la boîte.
— Non, ce n’est pas lui.
Le dialogue continua. Papa proposa une demi-douzaine de noms, soit de collègues soit de types du village dont je compris qu’ils avaient tous sauté ma mère avec la bénédiction, la complicité et le concours de mon père.
— Mais dis qui c’est pute vierge ! reprit papa en utilisant ce juron qu’il avait ramené de son service militaire en Provence.— Non, non, tu ne devineras jamais.— C’est un qui t’a déjà montée ?— Non ! C’était la première fois !— La première fois ? C’est un mec d’ici alors... La vache ! Il t’a pas loupée. Tu dégoulines. Et t’as le cul bien rouge. On dirait des fesses de singe. Et c’était bon ?— Ah, sublime ! Un goût de reviens-y !— Et il est bien monté ?— Un truc énorme.— Mieux que moi ?— Oui, je pense, à vue de nez.— Allez, c’est qui ? Balance merde, ça m’excite.— Tututut ! C’est mon petit secret. Je ne peux rien te dire mais je veux te l’amener à l’improviste pour voir ta tronche.
Et là-dessus, elle reposa son fessier sur le museau du père, lui clouant par là même le bec puis toujours se frottant contre Patou, elle inséra sa main entre le pubis de papa et la vulve de ma sœur pour bien lui chatouiller le clitoris.
Mon frère continuait de filmer et moi, je restais là comme un con, la bite rabougrie, à les regarder forniquer sans rien faire.J’admirais la performance de papa. Comment pouvait-on tenir aussi longtemps avec deux meufs sans éjaculer ?Gilles reposa le caméscope. La carte mémoire était pleine.
Il se mit à quatre pattes entre les jambes de papa, pliées au bord du lit, pieds bien à terre qui lui donnaient la puissance nécessaire pour soulever le bassin et faire bondir ma sœur sur son sexe.

Gilles écarta les globes fessiers et se lit à bouffer la rondelle sororale.Je ne pus m’empêcher de le trouver beau. Jeune athlétique, les fesses sculptées le sillon rempli d’une épaisse pilosité en soulignant bien la marque, il était très viril. Normal qu’il eût du succès avec les filles.
— Bouffe-lui le cul, elle adore ça ! me dit-il.— Oh oui, bouffez-moi la rondelle...— T’aimes ça petite garce ! répliqua maman.— Oh ouiiiii, c’est trop bon, gémit Patou dont on s’occupait des seins, de la chatte et du cul.
Je me mis donc à lui bouffer le trou. Mes bras étaient appuyés sur les cuisses du père et, selon mes coups de langue, mon menton lui touchait les couilles. Le tout était à l’humidité, tant à cause de la salive du frangin que de la mouille de ma sœur.Bien que je ne rebandasse pas encore, j’étais terriblement excité.
— Bouffe-moi les couilles fiston !— Quoi ?— T’as entendu ton père, dit maman. - Il veut que tu lui bouffes les couilles.— Ah non, tout mais pas ça ! J’suis pas pédé moi !— Mais qu’est-ce que c’est que ces conneries ! Une langue c’est une langue, un trou c’est un trou et on peut prendre du plaisir de partout pour peu qu’on ait les idées larges. Tu crois que ta mère me les bouffe pas !— Allez, mange, reprit Gillou en me donnant une grande claque dans la nuque.
Alors j’obéis. Je pris les couilles dans ma bouche. Elles dégoulinaient de cyprine. Peu après, mon père éjaculait en gueulant. Au moment où le sperme, ruisselant se mélangeant à la cyprine et à la salive parvint dans ma bouche, deux mains puissantes s’écrasèrent sur mes fesses, les écartèrent... et la bouche de mon frère, comme une ventouse, se posa sur mon cul.
A suivre
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