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Une famille sexuellement débridée

Chapitre 10

Maman a du chien...

Inceste
Je regardai maman préparer le petit-déjeuner du dimanche. Elle fait traditionnellement des pancakes.Elle était vêtue d’une robe courte et d’un chemisier. Elle était levée depuis longtemps déjà, toujours la première.Gilles entra, en caleçon. Il se colla dans son dos, posa ses grosses pattes sur les seins qu’il écrasa, et se frotta la pine dans la raie du cul en disant :
— Jour m’man, tu sais que tu sens déjà l’odeur du cul !— C’est bien possible.— Putain ! Si je n’avais pas autant la dalle, je t’enfilerais déjà. L’estomac peut pas attendre... Les couilles, si !Maman passa la main dans son dos pour tâter le pacson.— Hmmmm, bien dure...— Gaule du matin !Et, tout en se frottant, il tendit la main pour attraper un pancake sur le plan de travail.— Tutututtt ! Bas les pattes ! Tu vas m’en mettre partout. Va t’asseoir. Je t’apporte tout.Mon frère vint se mettre à mes côtés.— Salut p’tite pute ! dit-il en me pinçant un téton car j’étais torse nu.— Salut p’tite bite !— Tu disais pas ça l’autre soir.— Ah ? Tu es sûr ?Maman nous apporta une assiette pleine et nous nous mîmes à dévorer en portant la discussion sur le programme de la journée. Sport le matin, bricolage l’après-midi pour terminer au plus vite le baisodrome du rez-de-chaussée, qui prenait belle tournure.Papa entra, pantalon de survêt et torse nu.Comme mon frère, il se colla à ma mère, mais il ne lui prit pas les seins. Il glissa en revanche sa main entre les jambes.— Et allez donc ! T’as encore la moule pleine de foutre, dit-il en agitant son bras avec vivacité. Qui t’a sautée ?— Hé hé !— T’es pleine de jus, salope... dit-il en retirant les doigts. Gillou, p’tit cochon ! T’as déjà enfilé ta mère ?— Oui... mais pas ce matin.— Sûr ?
— Regarde !Ne perdant pas l’occasion de s’exhiber qui se présentait à lui, Gilles se leva et baissa son froc pour montrer son zob tendu à éclater.— Prête à l’emploi... même pas pignolé du matin.— Alors c’est toi Tonio ?— Même pas !— Putain, c’est qui, c’est qui ? C’est encore l’autre type que tu retrouves chez la voisine. Il t’a déjà tronchée ce matin ? Mais c’est qui ce mec ? Tu vas enfin nous dire qui t’insémine comme ça ?— Trouve !Mon père, tout en laissant maman sucer ses doigts qu’il plongeait et replongeait dans la chatte pour en ramener le plus de jus possible, émit donc une série d’hypothèses. Ma mère, de temps à autre allait retrouver un amant sous le prétexte d’aller nourrir le chien de la mère Pétard et d’aérer la maison de la vieille dont la santé déclinait et qui n’était pas à la veille de revenir de convalescence.Il avait bien pensé au facteur, mais puisque celui-ci venait se faire vider les burnes directement à domicile, il n’avait pas intérêt à s’en cacher... et puis le dimanche ?!?— Un type du village ? Un gars de passage, mais un régulier ?— Qu’est-ce ça peut te foutre ? dit Gillou. Qu’elle baise ici ou ailleurs !— Mais j’aime savoir et voir bordel ! Je trouverai ! Je saurai !Mais nous n’en sûmes rien. Quand ma mère restait trop longtemps en face, on y allait dans l’espoir de découvrir le pot aux roses mais jamais. D’ailleurs, le gars devait venir à pied car aucune voiture ne paraissait dans la rue. Il devait piquer à travers champs, ce qui désignait un mec du village. Maman s’amusait fort de nos suppositions.Puis la mère Pétard mourut. Nous héritions de ses biens à condition de s’occuper de son chien jusqu’à ce qu’il périsse. Tous les trois mois, le vétérinaire devait examiner le clébard et faire un rapport au notaire.La bête était jeune encore. Rien n’avait été prévu pour elle chez nous mais nous y étions tous très attachés. Du reste, sa taille et sa force donnaient à ce jeune mâle un air propre à décourager les rôdeurs.Doué d’une intelligence peu commune, le chien Grobasar savait ouvrir les portes en appuyant sur la poignée. Il faisait irruption n’importe quand, nous faisant fête. Il faudrait mettre des poignées rondes.Dans la semaine qui suivit son arrivée à la maison, alors que j’étais seul en train de me branler sur mon lit, écoutant mon père déglinguer ma mère dans leur piaule et regrettant l’absence fraternelle et couillue de Gilles, l’animal, auquel je n’étais pas encore habitué, réussit à ouvrir à la deuxième ou troisième tentative. Je l’avais entendu gratter contre la porte, avant que j’aie eu le temps de m’arrêter et de fermer à clef.J’étais sur le dos, jambes écartées, et m’apprêtais à me pousser un godemichet dans la rondelle.Le chien monta sur le lit, me renifla le trou, avant que je le fasse dégager.
Il m’avait un peu coupé mon effet et je décidai de le prendre par le collier et de le descendre au sous-sol. Là, il nous ficherait la paix. Mais il était déjà sur la porte de mes parents. Il se dressa sur ses pattes arrière, pesant de tout son poids sur les deux autres pour actionner la poignée qui céda. La porte s’ouvrit.Mes parents n’y prêtèrent pas attention, pensant sans doute que je venais me joindre à leurs ébats.Papa était allongé le cul au bord le lit, jambes pliées, pieds au sol et maman, parée pour une levrette, le suçait avidement.Le chien mit sa truffe dans la raie du cul puis aussitôt se leva et s’abattit sur ma mère. Il trouva immédiatement la fente. Son zob disparut d’un coup arrachant un cri de douleur ou de surprise à la malheureuse qui n’en laisse guère échapper que lorsqu’elle jouit.Mon père sursauta.— Qu’est-ce qui se passe ?Quant à moi, j’étais resté immobile de stupeur.— Ah la vache, la vache... celle-là elle est forte, dit mon père qui, debout désormais, se grattait la tête en regardant la scène.
Ma mère serrait les draps et gémissait.
— Ça va m’man ? Tu veux qu’on le dégage ?— Pas possible... il est déjà bloqué.— Bloqué ?... Comment bloqué ?— La grosse boule, elle est dans mon trou, il peut plus ressortir.— La grosse boule, quelle grosse boule ?— Ben quoi, Tonio ! T’as jamais vu un chien bander ? C’est bien la peine de vivre à la campagne ! dit mon père. Penche-toi et regarde.
Et comme je me penchai, papa s’écria !
— Ah mais quel con ! Putain quel con ! C’est lui qu’on cherche depuis des mois ! Le gars chez la mère pétard, c’était lui !
Puis il sortit la caméra et se mit à filmer.
— Mais p’pa ! Qu’est-ce que tu fais ?— Faut que ton frangin et ta sœur voient ça !— Mais, faut arrêter ça ! — Ben... pourquoi ?— Mais p’pa... enfin... merde... c’est... c’est pas normal... c’est dégueulasse !— Tu crois que c’est normal de baiser ta mère et de te faire sodomiser par ton frangin ?— Mais c’est pas pareil... Franchement... nan, c’est dégueu !— Dégeu ! Au contraire ! Crois-moi, celui-là, il risque pas de te faire un p’tit frère et il a pas besoin de capote ! Il va pas non plus lui refiler la ch’touille à ta mère ! On n’a pas besoin de lui demander un certif médical ! Y a rien de plus propre !— Mais c’est un chien tout de même !— Regarde-les ! Ils ont l’air malheureux là tous les deux ! J’ai jamais vu ta mère baver autant ! Putain qu’elle est bandante !
De fait, maman gémissait sans arrêt, les yeux fermés avec le visage pour ainsi dire déformé par le plaisir. Je demandai pourtant :
— M’man ? M’man ?... dis quelque chose... t’aimes ça ?
Elle ne sut que balbutier quelques mots;
— Grosse queue... haaaaaa... bon..... bon... pisse sans arrêt dans ma chatte... haaaaaa !— Tu prends vraiment ton pied ?— Haaaaa... tu d’vrais... tu d’vrais..... mets-là toi dans le cul... trop boOOOOOon !— Ah putain de grosse chiennasse, t’es une femelle en chaleur, putain tu m’excites ! Tonio, bouffe-moi le nœud bordel... j’tiens plus.
J’obéis tout en restant sidéré par la scène.
Papa me défonça la bouche violemment en serrant ma tête si fort qu’il m’en faisait mal. Puis il se retira, me flanqua une petite paire de claques, et me prenant brutalement par l’épaule, me bouscula vers le lit contre lequel je tombai.
Il me releva, me fit pivoter pour que je tombe sur le matelas, à côté de ma mère et du chien. Je m’étalais sur le ventre de tout mon long. Il me rattrapa par les hanches pour me ramener en arrière et me mit sa queue.
— Non p’pa, j’suis pas près.— M’en fous. Serre bien les dents. Tu vas la sentir passer. C’est le même gabarit que ton frangin, ça doit entrer.
Il me déchira brutalement le cul à m’en tirer des larmes de douleur.
— Deux bonnes putes ! Vas-y mon toutou, bon chien ça... Ah le pied bordel ! Le pied ! Bon ton p’tit cul ! Serré. J’comprends ton frangin. Bonne petite chatte ! Ah vous aimez les grosses bites hein les salopes !
La douleur maintenant déclinait et le plaisir montait à mesure que mon père accélérait les coups de boutoir.
— Vous me faites jouir les deux salopes là... prends ça dans ton p’tit cul, p’tite lope !
Et il se vida les couilles en s’allongeant complètement sur moi.
A côté, le chien poursuivait sans mollir et ma mère suait à grosses gouttes en continuant de geindre de contentement.
Mon père se releva, me fit lever et s’étendit à ma place, sur le dos.
— Décrasse-moi le gland !
Je le fis consciencieusement.
— Putain de garce, tu m’as chauffé les sangs avec ton clebs. C’est la première fois que je fourre un mec ! C’était pas si mauvais... Ah chienne, t’es belle quand tu jouis... tu m’étonnes que t’y retournais souvent... Il est endurant le machin...
Nous attendîmes encore de longues minutes avant que le chien ne termine.
Il accéléra son rythme et arracha des cris d’orgasme à ma mère. Ils restèrent là un long moment.
— Ben qu’est-ce vous foutez ?— Faut... attendre... qu’il... dégonfle, dit maman qui peinait à reprendre sa respiration.— C’était bon, ma chérie ?— Tu peux pas... savoir !— Meilleur que la queue de ton homme ?— Rien... rien à voir... Plus gros... ça arrête pas de pulser... il t’envoie de la sauce toutes les deux... trois secondes... tu sens le coup partir... le braquemart se tendre et comme se soulever à chaque tir... c’est extraordinaire.
Le chien, enfin, put se dégager. Son zob, encore très long entraîna avec lui un long filet blanc et le jus se mit à ruisseler abondamment sur les lèvres encore gonflées.
Le chien vint immédiatement lécher son propre sperme et ma mère apprécia la démarche. Quand il eut fini, il repartit comme il était venu.
— Tonio, à toi !— Quoi ?— T’as pas vidé tes couilles, vas-y, la chatte est bien lubrifiée.— Après le chien... ça me dit rien...— Enfonce-là ! Tu vois pas qu’elle a la croupe offerte et qu’elle attend que ça !— C’est du jus de chien...— C’est du jus ! Ça t’a jamais dégoûté le jus jusqu’ici ! Alors !
Je m’approchai donc. Maman suréleva ses fesses, je la saisis par les hanches et plongeai mon vit dans la chatte. Je fis quelques allers-retours avant de changer de trou et de l’enculer. Comme avait fait mon père avec moi, je pénétrai maman sans gel, mais elle était tellement chaude que ma queue s’enfonça sans peine. Je me soulageai rapidement.
Nous mîmes un temps assez long à récupérer. Je fus le premier à bouger pour aller me doucher, assez peu ragoûté quand même d’avoir enduit ma bite de gel canin.
— C’était de la bonne baise... Quand Gillou va voir ça ! Il met du temps à se recharger les burnes Grobasar ?— Il ne m’a jamais montée deux fois la même journée. C’est plutôt tous les trois ou quatre jours qu’il a envie.— Faudra que tu nous racontes comment c’est arrivé... J’ai hâte de voir Patou ouvrir les cuisses et lui présenter sa petite chatte rose pour qu’il la bouffe.— Voudra-t-elle ?— Ta fille... Elle devient de plus en plus salope... Elle adore la queue... j’suis sûr qu’on va pas avoir de mal à la convaincre de se faire saillir.
Il ne nous restait plus qu’à attendre.
A suivre
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