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Une famille sexuellement débridée

Chapitre 11

Où l'on baise "tonton" Bernard.

Inceste
Mais en attendant de faire découvrir aux autres membres de la famille les aptitudes de notre ami le plus fidèle, il nous restait à piéger tonton Bernard qui était annoncé pour le lendemain soir. Il fut convenu qu’il vînt dîner comme il le faisait des fois, avec mes parents. Planqués à côté, ma sœur mon frère et moi, attendrions sagement d’entrer en scène.
Pour mieux profiter de la situation, nous installâmes une webcam dans le salon et vérifiâmes que les gonds des portes étaient bien huilés. Afin qu’il ne nous entendît pas arriver et se doutât de rien.
La tête qu’il ferait quand il découvrirait qu’il baisait ma frangine !C’est à l’heure du dessert que tout devait se passer.
— On a une p’tite surprise pour toi mon Béber, lui dit papa.— Hmmm... après un bon repas... Un petit plan à trois... ? Classique... C’est ça la surprise ?— Non, trop banal. On t’a préparé autre chose. Mais d’abord, on débarrasse pendant que tu te fous à poil.— Ah ? Vous m’intriguez...
La table fut prête en un instant.
— Mets cette cagoule !
C’était le moment d’entrer tous les trois, le plus discrètement possible, papa et maman couvrant les sons potentiels par leur babillage avec notre "victime".
Nous étions entièrement nus, faut-il le préciser ?
Patou s’allongea sur la table, ramena ses cuisses vers elle, arrondissant son postérieur, en tenant ses jambes le plus écartées possible pour bien offrir sa chatte. Je dois dire qu’elle était particulièrement bandante avec sa taille fille, et ses seins dont le galbe est presque parfait.
On triquait déjà, mais je crois que j’étais encore plus excité par Bernard.
Moins âgé que mes parents d’une dizaine d’années, c’était la première fois que je le voyais nu. Certes, en été, avais-je déjà aperçu son torse et ses cuisses, ainsi que le modelé parfait de son cul sous le short, mais je n’avais encore jamais vu son sexe.

Travaillant dans le bâtiment et adepte de séances de musculation, le gaillard toise un bon mètre quatre-vingt-dix. Ses pectoraux sont puissants, légèrement poilus et couverts de taches de rousseur. L’aréole est large et le téton était bien rose et tendu, sans doute, à cause de l’excitation qui le gagnait comme en témoignait son sexe turgescent.
Je connaissais ses jambes, belles comme celle d’un demi de mêlée, mais je pus enfin voir ses fesses d’athlètes. Comme j’avais envie d’y glisser ma langue !
Et puis, naturellement, il était bien monté ; sans cela, il y a longtemps que papa et maman l’auraient invité pour des parties de Uno plutôt que pour des plans cul.
Sa queue était dressée, à moitié décalottée, épaisse et légèrement convexe au sommet. Je salivais dessus, en admirant sa taille impressionnante et l’épaisseur de la toison pubienne. Ses couilles pendaient légèrement, lisses.
— Allez, approche-toi ! dit papa en le guidant par la main.
Il l’aida à s’asseoir juste devant la fente ouverte de la frangine.
— Hmmm... ça sent la moule...— Vas-y !
Il tendit les mains pour attraper les cuisses et, quand il les eut trouvées, il avança, le nez droit dans la chatte. Il se frotta dessus, huma, puis sortit sa langue pour en donner un grand coup. Puis il se mit à la manger franchement. Ma sœur commença à gémir et onduler du bassin.Alors, il se leva pour commencer à caresser le ventre et les seins.
— Eh ! Mais c’est pas Valoche !— Bien vu ! Je t’avais bien dit que c’était une surprise.— Mais je suis là quand même mon chou ! précisa maman en arrivant par-derrière pour lui tâter les couilles.— Hmmm... et qui est cette charmante dame qui nous tient compagnie aujourd’hui ?— Devine !— Je la connais ?— Oui...— On a déjà forniqué ensemble ma belle ?— Elle te fait signe que non.— Et pourtant on se connaît...— Tu connais bien des nanas que tu n’as pas sautées ?— Ouais... il doit bien en rester quelques-unes...
Là-dessus, ma sœur se souleva pour venir à sa rencontre et ils se roulèrent une magnifique gamelle.
— Cheveux longs, beaucoup de fougue... Mariée ?— Non...— Un bon point.— Tu causes trop... fous-la !
Il prit sa bite en main et la guida dans le trou. Il poussa d’un coup, arrachant un cri de surprise et de bonheur à ma sœur. Puis il se mit à la déglinguer.
— Putain, elle est bonne... bien serrée.— C’est pas elle qu’est serrée, c’est ta queue qu’est grosse.— M’en fous. Bonne chatte... putain de bonne chatte.— Alors tu sais qui c’est ?— Jeune meuf plutôt hein... Belle pouliche avec des gros boops... j’ai une idée... mais... non... trop gros...— Raconte.— Je la nique d’abord... si je me goure, vous allez vous foutre de moi tous les trois.— Tu me la laisses... Valoche est penchée à ta droite, la croupe offerte.
Il se décala donc et, à tâtons, trouva ma mère et l’enfila.
— Alors ma bonne Valoche... t’es partageuse aujourd’hui.— Ça t’embête ?— Tu plaisantes. Deux belles garces pour le prix d’une.
Et tout en sautant vigoureusement ma mère, il tendit la main vers la gauche. Il y rencontra le cul de mon père, lequel tronchait allègrement ma frangine pendant que mon frère se branlait. Moi je bandais en regardant le magnifique étalon roux déboîter ma maman.
— Qu’est-ce tu fais ? Tu me pelotes le cul ?— Je vérifie une hypothèse, dit-il en passant sa main entre mon père et ma sœur.— Laquelle ?— Non rien... je vérifie que tu la baises bien.— Pourquoi je la baiserais pas ? Tu vois bien que je suis dedans là ! Non ?— Ouais, mais, du coup, je ne sais plus qui est la nana que tu sautes.— Ah ? Pourquoi ?— Tu rigoles, mais un moment j’ai cru que c’était Patoche.
Il y eut éclats de rire de mes parents et nous retînmes les nôtres.
— Patou ? T’en as des idées ! Tu t’imagines que je saute ma fille ?— Tu serais pas le premier... de vous deux, rien ne me surprendrait ! Vous êtes encore plus branchés baise que moi !— Parce que tu es le dernier à me foutre peut-être ?interrogea maman.
Pendant cet échange, une idée m’était venue. Je fis signe à mon père de se dégager puis à ma sœur, et me penchai sur la table à la place qu’ils venaient de libérer, offrant mon cul. Mon frère me fit un signe explicite : "Mon œil"!
— Y a une autre surprise, dit papa. Laisse-toi guider.
Maman prit la verge de Bernard et l’amena à mon trou.
— Putain, une petite sodo... Cool... Bon petit cul bien ferme et bien doux... très ferme, musclé... dit-il avec une pointe de soupçon dans la voix et en me donnant une grande claque sur le cul.
Il passa sa queue dans ma raie, la faisant coulisser entre les globes, puis il descendit plus bas, sous la rondelle, jusqu’à rencontrer mes couilles. Il s’arrêta un moment.
— Ah ouais, je vois ce que c’est ! Vous avez voulu me piéger bande de salauds ! J’vais vous la démonter la petite pute là !
Il me remit la bite sur mon œil de bronze et l’enfonça d’un coup, d’un seul coup. Ce fut si violent que je perçai les tympans de l’assistance...Il se coucha sur moi et tout en me serrant la tête comme dans un étau, il me caressa la tête, le menton et il me souffla.
— Tu la sens ma grosse bite dans ta petite chatte à l’homme, t’aimes ça petite pédale. ? M’fait pas peur de sodomiser un homo. Elle est bonne ta chatte.
Pendant ce temps, ma mère s’était mise à sucer papa, et mon frère et ma sœur étaient en 69.
— Ça y est, j’y suis... vous êtes des détraqués... des gros malades.— Quoi ?— Je sais... le trou de balle que j’élargis... mec jeune, cheveux bouclés pas de poil sur le menton, un peu musclé... c’est le tien, hein mon Tonio ? Il est à toi ce p’tit cul étroit ? T’as toujours eu l’air un peu PD sur les bords... et si c’est toi... c’est donc ta sœur... Vous niquez en famille... je me goure ?
Alors maman lui retira la cagoule.
— Oh, les gros malades... malades. Et l’autre est là aussi à brouter sa sœur... Sans déconner, vous êtes tarés.— Ça te choque ?— Je baise bien ma cousine Valoche... Et puis je viens de vous le dire, de votre part... Bon, tu m’excuses fils, me dit-il, mais je préfère réexplorer le minou de ta sœur que ton petit cul de pute... mais t’es vachement bonne quand même mon minet.— T’y reviendras ?— Toujours prêt pour une bonne saillie... mais faut de la bonne meuf pour me chauffer quand même.— Hmmm...
Puis il sépara mon frère de ma sœur.
— Viens par là ma petite salope... que je te finisse.
Il la mit en levrette et reprit dare-dare ses efforts.
— Alors toi, vieux saligaud tu baises ta fille et tu la livres comme ta femme.— Y a pas de mal à se faire du bien.— Et Tonio, tu l’enfiles aussi ?— Pas fan... Mais Gillou aime bien troncher son frère à l’occasion.— Ouais, mais attention, hein, comme toi... je préfère la chatte... enfin la vraie. Mais quand les couilles sont trop pleines... on n’a pas toujours un vase éjaculatoire sous la main... et le cul de mon frère, c’est toujours mieux que de la pignole...— C’est clair. Il a un bon trou le petit, mais c’est moins doux et humide qu’un bon vagin... et il a pas de boops... de bons gros lolos comme ta mère et toi... quelle famille de putes !
Il se mit alors en bouledogue tandis que papa se plaçait pour se faire sucer la bite.
— Tonio, enfile maman et moi je vais t’enculer.
S’il y a une chose que j’apprécie, c’est d’avoir la bite dans un trou et une queue dans le mien simultanément.On kiffait trop ce manège.
— Elle prend deux queues en même temps aussi la petite salope ?— Bien sûr.— Qui vient avec moi ?— J’en suis, dit immédiatement Gillou.— Les deux triques dans la chatte pour commencer.— C’est parti !
Ils se mirent, l’un allongé sur le dos, avec ma sœur dessus de face, et l’autre à genoux.
Elle couinait.
— Elle en prendrait bien trois ? proposa Bernard.— On peut essayer, s’enthousiasma le plus déglingué d’entre nous, mon frère.— Un dans la chatte, un autre en bouledogue au-dessus et la bite la plus longue qui essaie de se choper un trou ?
Ce fut très compliqué. Ils s’y mirent quelques minutes, mais la position avait du mal à tenir.
— On revient à du plus classique ? J’ai pas encore mis ma bite entre ces deux grosses loches moi !
Pendant que Patricia s’empalait sur le nœud paternel en se mettant à califourchon sur son géniteur, elle présentait ses nibards au tonton-cousin, qui, fléchissant les jambes, y trouvait une posture adaptée à ses envies.
Bien sûr, pendant ce temps-là, Gilles et moi prenions notre mère en sandwich. Je préférais, quant à moi, la sodomiser. En effet, je ne parvenais pas à me défaire du léger malaise que constituait le coït avec elle. Autant me faire péter le cul par mon frère ou téter le dard par ma sœur ne me procurait rien d’autre que de la joie, autant il fallait que je fusse bien stimulé pour grimper ma maman. Je me demandais si j’allais un jour pouvoir dépasser cette prévention.
Le résultat en était que je me trouvai moins endurant dans cette situation et je le démontrai encore en éjaculant le premier. Je pris soin toutefois, sentant l’orgasme venir, de m’extraire de son cul et de me rapprocher fissa de ma sœur. J’éjaculai sur ses seins d’entre lesquels émergeait le splendide gland de tonton Bernard. Celui-ci comprit parfaitement où je voulais en venir et il me laissa faire. Quand il eut bien astiqué sa verge entre les deux mamelles couvertes de mon foutre, il me la présenta à sucer.
Maintenant qu’ils étaient à trois contre deux, il réclama le privilège de s’occuper tout seul de ma frangine pendant que papa et Gilles se termineraient sur maman.
Comme s’il était chez lui, et c’est d’ailleurs un peu le cas, il déplia le canapé-lit pour se mettre confortable avec la frangine dans la traditionnelle position du missionnaire.
Inutile de dire que je profitais du spectacle de ce colosse s’agitant dans ma sœur, tantôt entièrement vautré sur elle, tantôt appuyé sur ses bras et la couvrant de baisers sur la bouche, dans le cou ou sur les seins, tout en la ramonant.
Ses muscles se contractaient sous l’effort et le changement de position, son cul poilu et musclé ondulait. Il me laissa même le lécher ; suprême délice que de goûter à ce bouton où perlait la sueur du mâle.
Ma sœur se régalait, jambes bien écartées ; elle s’agrippait au corps du mec, s’accrochait aux fesses, plantait ses ongles dans la chair des épaules, se cramponnait aux hanches en criant de plaisir. Jamais, je crois, je ne l’avais entendue prendre un tel pied.
Je me souciais fort peu de ce qui se passait derrière, mais papa et Gilles, quand vint leur tour de jouir, réclamèrent le droit de juter sur ma sœur comme je l’avais fait moi-même. Pour laisser l’espace disponible, Bernard se mit à genoux, mais tout en continuant de piner ma sœur dans le vagin. Il me permit à nouveau de bouffer le sperme et, quand je fus rassasié, il se remit en missionnaire. Il lui fallut encore quelques minutes pour jouir, bruyamment, en projetant sa pine bien au fond, puis il resta un moment allongé sur la belle, reprenant son souffle en même temps qu’elle.
Quand il se retira, chacun se pressa autour de Patricia pour voir le jus sortir de la moule et s’en extraire lentement. Mais cette fois, ce fut maman qui le ramassa.
— Bordel, quel pied... Vous m’avez fait une belle surprise... Si tu veux passer un week-end à la maison, Patou, c’est open... tu viens quand tu veux.— Chic, chic, chic...— Et moi, je peux venir aussi ? demandai-je.— J’veux bien t’enculer de temps en temps garçon... t’as un bon p’tit cul... mais c’est dans le feu de l’action.— Eh, riposta Gilles... Tu vas pas nous priver de Patou. Déjà que deux nanas à tringler, c’est pas de trop à la maison alors, si tu nous en enlèves une...— Pourquoi tu ramènes pas de copines ?— Ça court pas les rues les filles qui veulent bien se taper toute la famille... et qui en plus restent avec toi quand elles comprennent que tu vas troncher ta mère et ton frère.— Bah ! Passez une annonce...— Ouais... pourquoi pas... Pour les vacances, on pourrait prendre une ou deux filles aux paires...
Comme il joignit le geste à la parole, nous n’eûmes pas de mal à comprendre le jeu de mots.
Cela dit, il avait posé une vraie question. Car, même si nous venions de recruter une bite supplémentaire à partager en famille, nous ne vivrions sans doute pas indéfiniment chez nos parents et cela impliquait qu’on trouvât des solutions à long terme pour perpétuer nos plaisirs orgiaques.
A suivre
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