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Une famille surprenante

Chapitre 2

Inceste
Des débuts très chauds.
Dans le chapitre 1 , je vous ai raconté comment j’avais découvert que ma petite amie, Valérie, véritable salope et néanmoins respectable, avait des parents tout aussi cochons et avec qui j’avais baisé. Cette partouze en famille m’avait bien excité et je voulais en savoir plus.
Le lendemain matin, je prenais le café avec Valérie pendant que ses parents, Roger et Jeanne, dormaient encore. Je lui demandai comment tout ceci avait démarré.
-C’était il y a 10 ans. J’en avais dix-neuf. Mon frère, Frédéric dix sept et Julie ma soeur, seize. À cet âge-là, nous étions tous préoccupés par notre sexualité, mais nous en parlions très peu. Chacun dans notre coin, nous nous masturbions et en cachette, nous regardions des pornos sur internet. Toutefois, rien de plus. Nos expériences étaient réduites.Un soir nous avons été invité à l’anniversaire d’une amie chez qui nous devions tous dormir. Sur place, tout s’est bien passé jusque vers 23h00. Là un évènement familial grave a obligé ses parents à écourter la soirée. Ils nous ont proposé de nous raccompagner chez nous, pour ne pas déranger nos parents. nous avons accepté et aucun de nous n’a pensé à prévenir nos parents.Vers 23h30 , nous avons été déposé devant le portail de la maison. À pied nous sommes entrés dans le jardin, nous dirigeant vers la porte d’entrée. Notre première surprise a été de voir plusieurs véhicules garés.
— Tiens, ils reçoivent du monde, ils nous avaient rien dit, c’est bizarre !— Pourquoi veux-tu qu’ils nous le disent ?— D’habitude, quand ils ont des invités, ils nous le disent !— Peut-être qu’ils voulaient nous le cacher !— Pourquoi ?— Peut-être qu’ils ont organisé une partouze. Ça se fait beaucoup chez les gens de leur âge, quand les enfants sont grands !
Ils disait cela avec un sourire en coin auquel je répondais favorablement.
— Ça t’exciterait ?— Oh oui, et toi, Valérie ?— Moi aussi et toi Julie, tu serais choquée ?— Non après tout. Ça serait aussi excitant que dans les films pornos que regarde Fred !— Pourquoi, tu regardes mes films ? Tu es une vraie salope.
— Et toi alors, tu crois que je ne sais pas que tu te branles devant ton ordi ? Tu as une belle queue, d’ailleurs !— La prochaine fois, entre et viens me la branler !— Peut être.....— Calmez-vous. Il y a probablement rien de tout ça !— Et on fait quoi si on tombe en pleine partouze, on s’invite ?— Pourquoi, tu veux te faire partouzer ?— Pourquoi pas ? Dit elle, en riant.— On a qu’à faire le tour et commencer par mater par la fenêtre. Ensuite on verra si c’est le cas.— Tout ça m’a bien excitée, j’ai vraiment envie de baiser !— Tu n’auras qu’à venir dans ma chambre, on s’amusera. Toi aussi, Val, on peut le faire à trois, si tu veux. On se met un bon film et...— Bon, on en est pas là, on verra en temps voulu, pour l’instant on va voir et on avise.— OK, on y va.
Nous nous sommes approchés sans faire de bruit. Nous avons regardé par la fenêtre de la cuisine, rien. Puis soudain, un Monsieur y est entré. il y a pris une bouteille de champagne avant de ressortir vers le salon.
— Tu as vu : il est à poil !— Et en plus il bande comme taureau. Belle queue d’ailleurs !— Je crois que nos parents se font une belle partouze !— Hummmmm !— Allons voir cela de plus près !
Nous sommes allés vers l’une des fenêtres du salon. Là, le spectacle ne faisait plus aucun doute. Près de 20 personnes étaient réparties dans le salon, à poil et tout le monde baisait. Malgré le double vitrage, nous pouvions entendre les cris des femmes, mais aussi des hommes. Nous n’en avions jamais vu, mais c’était comme dans les films.
— Ouah, ça c’est de la baise, bordel !— Oui, super !— Maintenant, qu’est ce qu’on fait ? on mate un peu et on s’en va. On va dormir dans le cabanon. Demain on inventera une histoire !— Dommage... !— Peut-être, mais c’est leur vie privée, on les laisse.On va quand même pas participer à une partouze, avec nos parents au milieu ? — Je ne sais pas....— Merde, regardez, au fond, j’y crois pas, c’est papi et mami et là, à droite ce sont les Durant. On en connait plusieurs !— Et regardez, il y a leurs deux enfants, ils ont nos âges, Thierry à dix huit et Corinne, seize. Ils baisent en famille eux !— Ça alors. Papi, mami, les Durant au complet et...; oh regardez, papi est en train de baiser maman, sa fille. Je savais qu’ils avaient encore une sexuailté mais là....
Nous regardions ce spectacle et sans rien nous dire nous avions compris que nous étions, tous les trois, terriblement excités. Frédéric, bandait très fort et julie avait passé sa main sous sa jupe et se caressait.
— Que fait on ? On entre et on attend leur réaction ?— Oui c’est trop cool !— Bon, on y va, on verra bien !
Nous sommes entrés par la porte d’entrée, sans faire de bruit, mais sans nous cacher pour autant. Dans un premier temps, personne ne nous remarqua.
À l’intérieur, les cris de jouissance étaient importants, ça criait et ça parlait beaucoup, l’ambiance était vraiment hard, le langage très cru.
— "Vas-y suce-moi..., salope..., tourne-toi que je t’encule..., défonce-moi....!!!!!"
Ma mère fut la première à nous remarquer. En fait, elle elle se faisait enculer par papi et elle sucait un autre homme. À un moment, elle tourna la tête et nous aperçut. Elle poussa un cri : "mais que faites vous là ?"Au même moment l’homme qu’elle avait en bouche a joui et lui a envoyé une giclée de sperme sur le visage.
— Rien, on t’expliquera demain !
Mon père s’en aperçut également et se dirigea vers nous, la queue très raide. il bafouilla, en regardant ma mère en même temps.
— On est désolé, on pouvait pas savoir, euhhh, vous êtes choqués ?— Vous voulez la vérité ?— Oui... !— On est plus excités que choqués !— En fait, on participerait bien !— Euh...— Il y a les enfants des Durant, alors pourquoi pas nous ? En plus, papa, tu as une belle queue !— Pourquoi, tu veux la toucher. Vas-y, si tu veux. Allez, déshabillez-vous et baisons ! dit il en riant.
Nous nous sommes mis à poil, sauf ma soeur, qui s’était agenouillée devant la queue de mon père et la branlait doucement, avec la bouche qui s’en rapprochait de plus en plus.
Nous allions passer une soirée très chaude et nous nous rendions compte que nous étions une famille très cochonne.Alors que je me préparais, mon grand père baisait une femme que je ne connaissais pas en me regardant, un large sourire aux lèvres.Oui, une famille très cochonne.....
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