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Une famille très unie

Chapitre 1

Inceste
Chapitre premier.
Martine et Jacques Dupuis sont en couple depuis vingt ans, et ils ont eu ensemble deux beaux enfants, Luc et Valérie, âgés respectivement de vingt et dix-huit ans, qu’ils adorent et qui les adorent de la même façon en retour. Jacques a dix ans de plus que sa femme, car cette dernière, quand elle était adolescente, était plus attirée par les hommes « vieux ». Elle a été dépucelée par un ami de son beau-père, le mari de sa mère, à l’âge de seize ans, mais leur relation ne dura pas. Elle sortit ensuite avec un voisin marié et père de famille qui avait des enfants de son âge. Là encore, la liaison ne dura pas plus de six mois, puis elle rencontra Jacques alors âgé de vingt-six ans, et tomba réellement amoureuse. Martine ne prenait pas de contraception à l’époque et elle voulut tout de suite un enfant de son bel amant. Jacques, qui avait envie de se caser, n’eut pas à se forcer pour lui faire un bébé et elle donna naissance à Luc à l’âge de dix-sept ans.
Ils se mirent en ménage avec la bénédiction de Jeanne, la mère de Martine, qui comprenait parfaitement les besoins de sa fille. Il faut dire qu’elle aussi avait été mère très jeune, à l’âge de quinze ans, mais par accident. Comme Jeanne ne savait pas de qui était sa fille, Martine ne connut jamais son véritable père. Jeanne eut, par la suite, une vie normale d’adolescente même si elle se maria finalement très jeune, à l’âge de vingt ans, avec Francis, un garçon de vingt-deux ans qui accepta de faire sa vie avec une fille-mère. Martine eut une petite sœur quand elle avait huit ans, qui s’appelle Stéphanie, et que tout le monde appelle Fanny.
De son côté, Jacques est fils unique et ses parents l’ont eu assez tard, puis que Eveline, sa mère, avait vingt-huit ans à sa naissance et Georges trente. Ils ont bien accueilli Martine, malgré son jeune âge, et ont surtout été ravis d’être grands-parents. Ils étaient alors âgés de cinquante-cinq et cinquante-sept ans. Georges mourut assez jeune des suites d’un cancer à l’âge de soixante-cinq ans, et Eveline s’éteignit à soixante-douze ans, laissant en héritage à leur fils une grande maison dans le sud de la Touraine.
Sur le plan des sentiments et de la sexualité, Jacques et Martine ont toujours été en phase, et après vingt ans de vie commune, leur amour est intact. Ils sont très actifs sexuellement, mais ont aussi, depuis dix ans, intégré dans leurs jeux des pratiques peu courantes. Avec des amis, ils ont commencé par le mélangisme avant de pratiquer l’échangisme, puis Jacques s’est mis à partager sa femme avec des hommes seuls pour des trios bien chauds. C’est ainsi qu’il a développé un petit penchant pour les belles bites et découvert sa bisexualité. Jacques aime sucer de belles queues en compagnie de sa femme et se les prendre dans le cul.
Chez les Dupuis, la pudeur n’existe pas et la nudité n’a jamais choqué personne. Martine et Jacques sont des adeptes du naturisme, et ils le pratiquent chez eux pour bronzer dans le jardin ou en vacances dans des centres et sur des plages destinées à cette pratique. Aussi, Luc et Valérie n’ont jamais rien ignoré de l’anatomie de leurs parents et, avant même d’avoir un petit copain, la jeune fille avait déjà vu un sexe masculin en érection, que ce soit celui de son père ou celui de son frère. Elle avait même eu plusieurs fois l’occasion de voir Luc se masturber, et les deux enfants avaient déjà vu leurs parents faire l’amour une fois où Jacques, trop excité, avait pris sa femme dans le salon sans se soucier de leur présence. Ils en avaient été eux-mêmes très excités et s’étaient masturbés en assistant au spectacle. Cela ne se reproduisit pas par la suite, et Jacques et Martine firent attention à ne plus faire ça devant leurs enfants.
Néanmoins, ils ne se firent pas non plus plus discrets et, quand ils avaient envie de baiser, ils prévenaient Luc et Valérie avant de s’isoler dans leur chambre. Alors, les deux enfants pouvaient entendre leurs parents s’aimer, car les orgasmes de leur mère étaient toujours très bruyants. De fait, les enfants ne se firent pas plus discrets quand ils reçurent chez eux leur petite copine ou petit copain, et Martine et Jacques surent exactement quand leurs enfants perdirent leur pucelage. Chez les Dupuis, parler de sexualité n’était pas un tabou. Les enfants n’ignoraient rien des pratiques de leurs parents et ils n’étaient pas plus secrets vis-à-vis de leur propre sexualité.
Cette histoire débute quelques semaines avant les épreuves du BAC de Valérie, et la jeune fille, en plus du stress occasionné par cette échéance, faisait face à une rupture douloureuse avec son dernier petit copain. Pour ne pas trop penser au cul, elle se réfugiait dans la révision de ses cours du lycée et dans les annales du BAC. Pour décompresser, elle se masturbait avec un gode de belles proportions emprunté à ses parents. De plus, elle s’offrait également des après-midi de détente en compagnie de Noémie, sa copine de toujours, qui préférait de très loin les filles aux garçons. Valérie aimait bien le broute minou, et ça lui permettait d’oublier un peu son ex, mais un bon coup de queue lui manquait. Ce qui la contrariait le plus dans sa rupture était que ça chamboulait ses vacances. Elle avait prévu, au départ de passer deux mois en camping avec son chéri, sans avoir de parents sur le dos et ce plan tombait à l’eau.
Elle ne savait plus quoi faire et n’en avait rien dit encore à ses parents. En fait, elle déprimait un peu et jalousait son frère qui devait partir deux mois en Espagne avec sa dernière petite amie. Luc, bien qu’il ne s’agisse que de son frère, lui manquait un peu, car il n’était plus trop à la maison et ne passait chez eux que pour changer de fringues avant de retourner vivre chez sa dulcinée. Son seul plan pour les vacances consistait maintenant à se greffer sur celles de ses parents en espérant que ceux-ci accepteraient. Elle en était là et se sentait chaque jour un peu plus désemparée. Pour couronner le tout, Noémie rencontra une fille quelques jours avant l’épreuve de philosophie avec laquelle elle sortit tout de suite. Elle prit alors ses distances avec Valérie qui se retrouva seule. Ayant le sens des priorités, la jeune fille se réfugia dans le travail et se prépara du mieux possible pour les autres épreuves.
Martine ne trouva rien à redire de ça, et ne s’aperçut pas de la détresse de sa fille.
Valérie se rendit seule pour aller chercher ses résultats, et elle fut heureuse de voir qu’elle était reçue avec la mention très bien. Elle avait cartonné et en ressentit une certaine fierté, mais peu après, elle se mit à pleurer. Sa solitude lui pesait et elle rentra chez elle en larmes. Ses parents étaient au travail et son frère à la Fac, alors elle se sentit encore très seule et désemparée. Elle se déshabilla et se remit au lit en espérant oublier dans le sommeil son désarroi.
Luc rentra chez ses parents après ses cours, et comme il n’y avait aucun bruit dans la maison, il se crut seul. Il se déshabilla dans sa chambre et se rendit dans la salle de bain pour prendre une douche. Ce fut en passant devant la chambre de sa sœur qu’il s’aperçut de sa présence. Valérie avait laissé sa porte ouverte et se morfondait dans son lit. Il comprit tout de suite que quelque chose n’allait pas et pensa aux résultats du BAC. Il frappa doucement à la porte et demanda l’autorisation d’entrer. Elle se tourna vers lui, lui fit un sourire un peu forcé et l’autorisa à venir dans sa chambre. Il vit tout de suite qu’elle avait pleuré et lui trouva une petite mine.
— Ça ne va pas sœurette ? T’as foiré ton BAC ? demanda-t-il en s’asseyant au bord du lit de sa sœur.
— Non... Je l’ai eu avec la mention très bien...— Ben alors qu’est-ce qu’il t’arrive ? C’est une peine de cœur ? Tu n’es plus avec Vincent ?— Ça fait plus d’un mois qu’on a rompu, mais toi tu pouvais pas le savoir ; t’es jamais là ! Ah, Luc si tu savais comme je me sens mal...— Ben je vois ça, mais c’est à cause de ça ? Tu sais ce qu’on dit ? Un de perdu dix de retrouvés. T’as ton BAC, t’es jeune et belle, tu es libre. Tu vas trouver quelqu’un ; je te connais assez pour en être certain. Il te manque à ce point ?— Non, pas lui... C’est... Je ne sais pas comment te dire ça, mais je crois que j’aurais bien besoin d’un bon coup de queue. Et puis, toi aussi tu me manques ; t’es toujours fourré chez Virginie... En plus, je ne sais pas ce qu’ont Papa et Maman, mais j’ai l’impression qu’ils n’arrêtent pas de niquer et ça me fout les boules parce que je ne peux pas en faire autant.— Papa et Maman ont toujours été très actifs. C’est pas une nouveauté. Et puis, pour Virginie, si j’étais chez elle, c’est parce qu’elle ne supporte pas notre mode de vie. Elle n’aime pas le naturisme... Mais c’est fini entre nous. Je rentre à la maison.— T’as rompu avec elle ?— Ce matin... J’en avais marre d’être avec une coincée du cul et elle de sortir avec un obsédé. C’est ce que je suis d’après elle : un vulgaire obsédé.— Et ça va ? Tu l’encaisses bien ?— Mieux qu’elle, je crois, mais ce qui me fait chier, c’est que je n’ai plus de plan pour les vacances. On devait aller chez son oncle en Espagne, alors c’est mort pour moi.— Ben on en est au même point alors... C’est bête et un peu méchant, mais je suis contente que t’aies rompu avec Virginie. Elle me rendait un peu jalouse... Je... Je crois que je t’aime Luc.— Oh, ma petite Valou... dit-il en la prenant dans ses bras. Moi aussi je t’aime plus que de raison, mais tu sais bien que ce n’est pas raisonnable.— Ça c’est des conneries ; je suis majeure maintenant et j’ai bien le droit d’offrir mon corps à qui je veux, même à mon frère !— T’as pas peur qu’on le regrette après ? Tu es très belle et très intelligente, Valou, et si je couchais avec toi, je crois que j’aurais bien du mal à m’en passer.— C’est ça qui t’arrête ? Tu as peur de le regretter ou tu as peur de recommencer ?— Les deux... T’es ma petite sœur et ce n’est pas très sain. On ne pourra pas faire notre vie ensemble et avoir des enfants. Ça ne peut être qu’une tocade et ça risque aussi de nous rendre malheureux.— Moi, ce que je vois surtout, c’est qu’on est malheureux de ne pas le faire et qu’on le regrette... Viens contre moi, Luc... J’ai besoin de toi. En plus, tu bandes... constata-t-elle en caressant sa verge tendue.— T’es un monstre, Valou... dit-il en se glissant sous la couette. Mais je vais me laisser tenter et tant pis si je dois le regretter après.
Luc se colla à sa sœur et caressa tout de suite sa lourde poitrine. Il sentit les tétons s’ériger sous ses doigts et ne put se retenir d’aller les téter et les mordiller. Valérie, quant à elle, lui caressait le ventre en descendant sa main doucement, mais sûrement vers sa queue tendue. Elle se saisit de l’objet et le masturba doucement. La main droite de Luc descendit vers le pubis de sa sœur et un doigt glissa dans sa fente. Il se fraya un chemin entre les lèvres vaginales et pénétra l’antre humide de désir.
— Mmm... Tu mouilles bien ma cochonne et tes seins m’excitent.— Et toi tu bandes comme un salop... Mmm... Viens sur moi et donne-moi ta bite à lécher et à sucer.
Ils se mirent en soixante-neuf et elle goba tout de suite sa queue tandis qu’il collait sa bouche à sa chatte. Ils se sucèrent et se léchèrent mutuellement les organes en se donnant beaucoup de plaisir. Ils laissèrent leurs mains s’égarer sur leurs fesses et dans leur sillon et, comme il n’y eut aucune protestation de part et d’autre, ils se doigtèrent le trou du cul. Ils s’adonnèrent à ces préliminaires pendant une dizaine de minutes, jusqu’à ce que leur désir d’aller plus loin soit le plus fort. Luc se retourna et prit position entre les cuisses écartées de sa sœur. Tenant sa bite en main, il fouilla sa vulve du bout du gland, puis il s’enfonça en elle. Valérie en gémit aussitôt de plaisir et elle déclara que la queue de son frère était la meilleure. Il faut dire que Luc était bien monté et que son sexe bandé était long et bien épais. Il l’écartait bien et la remplissait merveilleusement. Valérie couina vite de plaisir et elle s’accrocha de tous ses membres au corps de son frère.
Leurs visages se rapprochèrent et leurs bouches se soudèrent. Ils se roulèrent des pelles en se serrant fort et en s’aimant comme jamais ils n’avaient aimé personne. Luc s’activa avec de plus en plus de force et ses grosses couilles claquèrent contre le cul de Valérie. Les coups de reins virils de son frère la firent jouir très vite, et elle eut un premier orgasme. Jamais elle ne s’était sentie baisée aussi bien, et elle eut une série d’orgasmes vaginaux qui lui arracha des cris hystériques. Puis, subitement, Luc la rejoignit dans les hautes sphères du plaisir. Il se planta au plus profond de son vagin et il éjacula en grognant de plaisir. Après avoir joui dans le ventre de sa sœur, Luc l’embrassa très langoureusement, puis il s’allongea à côté d’elle pour reprendre ses esprits. Valérie se blottit dans ses bras et l’embrassa encore avant de poser sa tête sur son épaule.
— Ça va mieux sœurette ? Tu as eu ce que tu voulais ?— Oh oui, je n’avais encore jamais joui aussi fort, mon amour. Et puis il faut dire que ta grosse bite m’a vraiment bien remplie. Et toi ça va ? Tu ne regrettes pas ?— Non... Je sais qu’on devrait avoir honte, mais je n’y arrive pas. En fait t’es vraiment un super coup, Valou, et moi aussi je n’avais encore jamais joui aussi fort. Depuis le temps que j’en rêvais... Il n’y a qu’un seul truc qui craint en fait.— Ah bon ? C’est quoi ?— Papa et Maman... On va devoir se cacher ou être plus discrets. Je t’ai fait crier, c’est très excitant, mais si tu cries comme ça alors que Papa et Maman sont à la maison, on va se faire griller.— Je n’ai pas envie de me retenir de crier. Ça ne se contrôle pas de toute façon et je n’ai pas envie de faire ça en cachette non plus. Tu ne crois pas que le mieux serait de leur dire ce qu’on a fait et ce qu’on risque de refaire très vite ?— T’es folle ! Ils vont nous tuer.— Je ne crois pas, et puis ils sont quand même très ouverts sexuellement. Ils pourront nous comprendre si on leur explique. Après tout, ce n’est pas si compliqué ; j’étais en manque, tu étais disponible et ça s’est fait. C’est tout.— Dit comme ça, c’est simple, mais bon...— Et c’est pas beaucoup pire que quand on se masturbait l’un en face de l’autre et ils ne nous l’ont jamais interdit.— Ben on a quand même franchi un cap... Et on fait comment ? On leur dit franco entre le fromage et le dessert ?— Je ne sais pas, mais je vais le faire si tu veux et je n’attendrai pas la fin du repas. Le meilleur moment pour les sujets délicats c’est l’apéro. T’avais jamais remarqué ?— Non, pourquoi l’apéro ?— Parce qu’ils sont détendus, alors ils écoutent mieux, et puis pendant le repas, faudra qu’on parle des vacances. On se retrouve sur le carreau toi et moi, et je ne sais pas ce qu’ils avaient prévu pour eux, mais ça peut chambouler aussi leurs projets.— Mmm... C’est vrai qu’ils avaient peut-être prévu un truc pour eux et que là on va taper l’incruste.— Exactement, et ça fait un moment que j’y pense et ça ne me réjouit pas.— C’est pour ça aussi que tu avais les boules quand je suis arrivé ?— Oui, entre autres... J’ai peur que ça les fasse chier et nous aussi. Mais je sais bien qu’ils ne nous laisseront pas.— Maman trouve toujours une solution à tout, mais bon, on va quand même passer des vacances moins bonnes que prévu. Papa n’a pas de congé avant le quatorze juillet, et après le quinze août, il reprend le boulot...
Luc et Valérie restèrent au lit en discutant de tout et se levèrent peu avant midi pour prendre une douche et se faire à manger. Ils retournèrent dans la chambre de la jeune fille après avoir fait la vaisselle de leur repas, et refirent l’amour avec passion pendant plus d’une heure. Ils le firent dans toutes les positions qu’ils connaissaient avant de jouir à l’unisson dans des cris de plaisir. Ensuite, Luc alla dans sa chambre pour travailler un peu. Il lui restait encore quelques partiels à passer pour finir son année universitaire et il espérait la majorer.
Martine, qui était enseignante en école primaire, rentra comme d’habitude à dix-sept heures et elle fut heureuse de trouver ses deux enfants à la maison. Elle demanda tout de suite à sa fille si elle avait son BAC et la félicita pour sa mention très bien.
— Je te trouvais tendue ces derniers temps, mais j’imagine que ça va mieux. Une mention très bien au BAC, tu peux être fière de toi. Ton père va être ravi. Qu’est-ce qui te ferait plaisir pour le dîner ? Faut qu’on fête ça comme il faut.— Mmm... Je t’aurais bien dit des lasagnes, mais on s’est fait des pâtes à midi avec Luc, alors peut-être qu’un bon risotto ce serait mieux.— Va pour un risotto, mais je n’ai plus de riz pour ça, ni de parmesan. Je vais devoir ressortir...— Je t’accompagne si tu veux ; ça va me sortir un peu.— Si tu veux. Habille-toi vite et on y va. J’ai hâte de pouvoir me mettre à poil.
Valérie mit en vitesse sa culotte, un jean et un t-shirt, elle se chaussa et partit avec sa mère à la supérette voisine. Elles achetèrent tout ce qui leur manquait pour faire un risotto d’asperges et une bouteille d’un bon vin blanc pour l’accompagner. Elles parlèrent du BAC de Valérie et de ses projets d’avenir, mais la jeune fille évita soigneusement les sujets qui accaparaient son esprit. En rentrant chez elles, Martine et Valérie posèrent leurs courses dans la cuisine et allèrent dans leurs chambres respectives pour se mettre nues. Martine passa par la salle de bain pour prendre une douche et se détendre, puis elle décida de commencer à préparer le dîner.
Jacques, qui était cadre supérieur dans un grand groupe industriel, rentra chez lui comme chaque soir à dix-neuf heures. Il embrassa d’abord sa femme qui œuvrait en cuisine et alla ensuite dans sa chambre pour retirer ses habits. Une fois nu, il passa par les chambres de ses enfants pour les embrasser avant de se rendre au salon pour se poser tranquillement devant un bon whisky en compagnie de son épouse. Martine l’accompagna en se servant un verre de Martini Bianco, et Luc et Valérie débarquèrent dans le salon pour se joindre à leurs parents. La jeune fille prit la même chose que sa mère et le jeune homme accompagna son père au whisky. La première chose dont ils parlèrent fut des résultats du BAC de Valérie, et Jacques avoua être extrêmement fier de sa fille. Il la félicita et ils trinquèrent à ça. Jacques et Martine étaient assis côte à côte dans le canapé et leurs enfants étaient assis face à eux dans les fauteuils.
La bonne humeur de ses parents motiva Valérie qui avait décidé d’aborder le sujet épineux de la relation incestueuse qu’elle entretenait maintenant avec son frère. Elle décida de ne pas trop tourner autour du pot. Et de dévoiler ce qu’ils avaient fait dans son lit le matin et l’après-midi.
— Euh, Papa, Maman, faut que je vous parle d’un truc. Quand Luc est rentré ce matin, j’étais super mal et triste à en pleurer parce que ça faisait plus d’un mois que je n’avais pas pris un bon coup de queue, depuis ma rupture avec Vincent. J’étais aussi jalouse de Virginie et malheureuse parce que mes projets de vacances tombaient à l’eau. J’avais besoin d’amour et de Luc en particulier et il est arrivé. On a discuté un peu et je lui ai demandé de me faire l’amour. Il n’était pas trop chaud parce qu’il avait peur qu’on le regrette ensuite, mais il a quand même accepté de me baiser.— Vous n’avez pas fait ça ? Luc ? Tu as fait l’amour avec ta sœur ?— Si, Maman, on l’a fait, reprit Valérie aussitôt. Luc m’a pénétrée avec son énorme bite et il m’a bien rempli la chatte. C’était tellement fort que j’en ai crié de plaisir. C’est pour ça qu’il fallait que je vous en parle parce que je ne peux pas m’empêcher de crier quand il me fait l’amour et qu’on risque d’être aussi bruyant que vous le soir.— Je ne sais pas pourquoi, mais ça ne me surprend pas. Vous vous masturbiez l’un en face de l’autre depuis des années et c’était déjà limite. Vous n’avez fait que sauter le pas... déclara Jacques en avalant son whisky. Et c’était bon ?— C’était génial, Papa, avoua Luc avec un grand sourire. D’ailleurs on a remis ça en début d’après-midi et on a encore joui comme des malades.— Mes enfants sont des pervers, constata Martine, désolée. Et toi chéri, tu n’es pas mieux qu’eux ! Tu les excuses.— Je ne les excuse pas, mais je ne vais pas les condamner parce qu’ils s’aiment. Je préfère avoir des enfants incestueux que des enfants qui se chamaillent. En plus ils sont majeurs l’un et l’autre et personne n’a été violé alors... — C’est juste, reconnut Martine, pensive. On a toujours dit que tout était possible entre deux personnes adultes et consentantes, mais là c’est quand même spécial... C’est moralement limite. Enfin, qu’est-ce qui vous a pris ?— On en rêvait l’un comme l’autre, Maman, et depuis des années, alors quand Valou m’a demandé de lui faire l’amour, je n’ai pas pu résister. En plus je t’avouerai que briser le tabou de l’inceste c’est très excitant.— Luc a raison, rajouta Valérie, joyeuse, et si je m’écoutais, je ferais aussi l’amour avec vous pour vous montrer à quel point c’est bon de faire l’amour avec un membre de sa famille.— Parce que tu voudrais aussi faire l’amour avec ton père ?— Pas qu’avec Papa, mais avec toi aussi. Tu es jeune et belle, Maman, et j’avoue que ta chatte épilée m’a toujours excitée. T’es pas d’accord mon amour ?— Oh si, Maman tu es très belle et Papa aussi est beau et séduisant. Depuis le temps qu’on fantasme sur vous, on n’aurait pas à se forcer pour vous aimer vraiment.— Que vous trouviez votre mère jeune et belle ne me surprend pas, mais moi je vais tranquillement vers mes cinquante ans et je ne suis plus aussi beau qu’avant.— Tu rigoles, Papa, t’es craquant, reprit Valérie persuasive. Tu es grand, mince ; tu t’entretiens par un peu de sport et quand on te voit nu, on sais que tu as entre les jambes de quoi satisfaire les appétits les plus féroces. Je mouille pour toi et Maman depuis que je m’intéresse à la sexualité et c’est à cause de ça si avec Luc on a commencé à se masturber tous les deux.— Eh bien voilà une drôle de déclaration, mes enfants, mais ne croyez pas que votre mère et moi allons nous jeter sur vous ce soir ou un autre jour. En ce qui vous concerne, faites ce que vous voulez et aimez vous comme vous l’entendez, mais ne nous parlez pas trop de vos fantasmes à notre égard. On n’a pas besoin de savoir ça.— Votre père a raison ; ça ne nous regarde pas et c’est même un peu malsain. Pour être franche, ça me met un peu mal à l’aise de savoir que c’est pour nous que vous vous masturbiez avant. Je n’ai pas beaucoup de tabous, mais de là à entretenir une relation incestueuse avec mes enfants... J’en éprouverais trop de honte.— C’est aussi ce que je croyais, Maman, avant de faire l’amour à Valou, mais une fois l’acte consommé, j’ai réalisé qu’il n’y avait aucune honte à avoir et que je goûterai encore au fruit défendu. Au contraire, c’est très beau et très intense et je ne regrette rien.— Mmm... Tant mieux pour vous deux si vous n’avez ni honte ni regret, mais essayez de rester discrets. Ça ne doit pas sortir de la famille, je... J’en parlerai moi même à Mamie et à Fanny en espérant qu’elles comprendront.— Mamie et Papy sont très ouverts, fit remarquer Valérie confiante. Quant à Tata, elle est jeune et intelligente. Elle comprendra, c’est sûr et certain.— Et je suis sûr, Maman, que tu sauras expliquer ce que l’on peut ressentir, Valou et moi, l’un pour l’autre. On s’aime, mais ça ne fait pas de nous des monstres.— Oh, mais je n’ai pas dit ça et je ne vous reproche rien en fait. Vous êtes mes enfants et je vous aime de toutes mes forces. Je vous trouve beaux, vous êtes intelligents et travaillez bien. Vous ne vous droguez pas et n’avez pratiquement aucun défaut, alors que vous formiez un couple incestueux, c’est un moindre mal et ça ne fait de tort à personne. Après tout, les pharaons de l’ancienne Egypte se mariaient avec leurs sœurs. Par contre, comme vous êtes encore jeunes, j’espère que vous trouverez l’un comme l’autre un partenaire pour la vie avec qui avoir des enfants, car c’est une chose impossible entre frère et sœur.— Ben tu sais, Maman, je viens d’avoir dix-huit ans et je ne me vois pas mère tout de suite, je suis plutôt comme Tata sur ce plan, et j’ai envie de prendre mon temps, si tant est que j’en veuille un jour. La seule chose qui compte pour moi aujourd’hui, c’est d’avoir un partenaire qui m’aime et qui me baise bien et, comme j’ai ça à la maison, je ne vais pas chercher ailleurs. Enfin, pas pour l’instant en tout cas.— Moi c’est pareil, je n’ai que vingt ans et je ne me vois pas père tout de suite, même si je sais que j’aimerais sans doute avoir des enfants avant d’avoir trente ans. Ça me laisse du temps pour trouver l’âme sœur... Tout ce que je réclame aujourd’hui, c’est une femme aimante, qui ne me prend pas la tête et avec qui je peux niquer à couilles rabattues. Valou me connaît par cœur, elle est belle et aussi cochonne que moi, alors c’est la candidate idéale.— Eh bien je crois que je vais me reprendre un whisky, déclara Jacques pour conclure, et on va trinquer à l’amour. Finalement, on est tous d’accord pour dire que votre relation n’est dommageable pour personne. Elle est peut-être choquante au nom de la morale, mais on s’en fout pas mal de la morale et comme je l’ai dit, ça ne me surprend pas. Aimez-vous mes enfants ; ça ne peut être que beau de mon point de vue.
Emus par cette conversation, les deux enfants se levèrent pour embrasser leurs parents puis ils reprirent tous un verre pour trinquer, comme l’avait proposé Jacques, à l’amour. Ils passèrent à table ensuite et se régalèrent avec le risotto d’asperges. Ils ne reparlèrent pas des rapports incestueux des enfants, mais ceux-ci abordèrent le sujet des vacances. Valérie expliqua rapidement la situation dans laquelle elle et son frère se trouvaient et précisa qu’ils aimeraient, du coup, les passer en famille avec leurs parents.
— Mais le problème c’est que vous aviez sans doute prévu des vacances sans nous et qu’on n’a peut-être pas notre place avec vous, finit par dire Valérie.— Eh bien, effectivement, on avait un programme assez précis pour ces vacances puisque vous ne deviez pas être avec nous, répondit Martine, embarrassée pour ses enfants. La première semaine, on va chez vos grands-parents. Il n’y a aucun problème pour que vous veniez avec nous, au contraire, ça fera plaisir à votre Mamie, mais c’est après que les choses se compliquent. On va passer une semaine dans un bungalow au Cap d’Agde dans le grand centre naturiste. Là, votre père avait pour projet de me partager avec des inconnus sur la plage pendant la journée et de m’emmener partouzer en club le soir. Ensuite, on va dans la maison de Barrou et on a une semaine tranquille puis on reçoit les Legendre et les Barrier pour une semaine de partouze entre amis... Normalement, on n’avait pas prévu de vous avoir dans les pattes pour faire tout ça, même s’ils savent qu’on ne vous cache rien de notre sexualité.— En fait c’est surtout cette dernière semaine qui pose un problème parce que dans le camping naturiste du Cap d’ Agde, vous pourriez vivre votre vie et nous la nôtre, sans que cela pose un problème. Ils se sont organisés pour être sans enfant cette semaine-là, et si vous êtes avec nous, ils risquent en plus d’avoir du mal à se lâcher.— Nous ça ne nous gêne pas si vous partouzez avec vos amis, décréta Luc, rassurant. On se fera tout petit et on ne vous dérangera pas. Maintenant si vraiment c’est compliqué, on pourrait peut-être retourner chez Mamie et Papy à ce moment-là.— Non, Francis et Maman auront repris le travail en août et vous seriez seuls tout le temps, expliqua Martine. C’est insoluble... Vous allez venir avec nous en vacances et je préviendrai Geneviève et Francine de votre présence. On verra ce qu’elles en pensent et si on doit annuler nos projets de partouzes entre amis, on annulera et on passera quinze jours à Barrou tous les quatre.— On peut aussi leur suggérer de venir avec leurs enfants, ça fera de la compagnie à Luc et Valérie, proposa Jacques, optimiste. Vu que nos modes de vie ne sont pas très différents, j’imagine que Pascale, Jérôme, Ludovic et Ségolène n’ignorent rien de la sexualité de leurs parents.— Je sais que Geneviève et Pierre en ont déjà parlé plusieurs fois avec Pascale et Jérôme, mais je ne sais pas si les enfants de Francine et Louis sont au courant pour leurs parents. Mais du coup, ça va changer beaucoup de choses s’ils viennent en famille aussi, et faudra s’arranger pour coucher tout ce monde. La maison est grande, mais quand même.— On a cinq chambres et un canapé convertible dans le salon. Ça fait douze couchages alors on devrait y arriver.— Bon je les appelle ce soir et on verra ce que les uns et les autres en pensent. Je ne suis pas certaine qu’elles aient envie de partouzer devant leurs enfants...
L’affaire fut entendue en ce qui concernait Luc et Valérie ; ils n’allaient pas rester seuls à Paris et iraient en vacances avec leurs parents. Les enfants en furent ravis et ils allèrent se coucher après avoir aidé à débarrasser de la table du dîner et à la vaisselle. Martine et Jacques appelèrent leurs amis qui ne cachèrent pas une certaine gêne à l’idée de se montrer en spectacle devant les enfants, que ce soient les leurs ou ceux de Martine et Jacques. Néanmoins Geneviève et Pierre Legendre reconnurent que ça les arrangeait finalement de venir avec Pascale et Jérôme qui autrement auraient passé la semaine chez des grands-parents âgés et fatigués. Quant à Francine et Louis Barrier, ils considérèrent qu’il était temps qu’ils aient une conversation avec Ludovic et Ségolène à propos de leur libertinage. Ils pensaient que leurs enfants devenus adultes étaient en âge de comprendre et d’accepter ça.
Ils ne promirent pas cependant de venir en famille, car ils voulaient laisser le choix à leur progéniture après avoir eu cette conversation. Cette nuit-là Martine et Jacques allèrent se coucher assez tardivement, mais en passant devant la porte fermée de la chambre de Valérie, ils purent l’entendre gémir et crier de plaisir. Ils se mirent au lit et, comme ils étaient excités tous les deux, ils firent l’amour sans aucune discrétion.
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