Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 401 J'aime
  • 11 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

une faute professionnelle lourde de conséquence

Chapitre 1

Erotique
Je m’appelle Isabelle. J’ai 49 ans, mariée et un enfant. Je suis assistante commerciale dans une grande société. Il y a un peu moins d’un an, j’ai commis une faute professionnelle que nous pourrions qualifier de faute grave pouvant être sujette à un licenciement immédiat, chose que je ne pouvais pas me permettre étant donné que mon mari a été licencié récemment pour cause de restructuration. J’ai bien évidemment tenté de dissimuler cette faute, chose que j’ai presque réussie, à l’exception d’un collègue qui m’est hiérarchiquement supérieur qui s’en est rendu compte. Ce collègue est également marié, père de deux enfants et il a quelques années de plus que moi. Il est physiquement assez imposant, inspirant même la crainte chez certaines de mes collègues.
Peu de temps après que j’ai commis cette faute, ce collègue est venu me voir pour m’en parler et me rappeler ce que je risquais si toutefois quelqu’un le découvrait. J’ai été prise de panique et lui ai demandé d’avoir la gentillesse de n’en parler à personne. J’ai, à ce moment, senti son regard changer. Il me dit qu’il pourrait garder le silence à condition que je sois plus agréable avec lui et moins indifférente. Je suis restée sans mot face à sa demande. Il m’a fait un sourire et est retourné dans son bureau. Il est vrai que je suis assez distante avec mes collègues de bureau et tout particulièrement avec mes collègues masculins dont je sens parfois les regards désireux se poser sur moi.
Le lendemain matin, ce collègue est entré dans mon bureau et a refermé la porte derrière lui. Il avait une stature imposante. Il s’est approché de moi et avec un sourire narquois, il m’a glissé une enveloppe sur mon bureau. Sans mot dire, il a ensuite quitté mon bureau. Le sourire qu’il avait en déposant cette enveloppe sur mon bureau a fait naître en moi un sentiment de crainte, de peur, de panique. J’ai ouvert cette enveloppe. J’en sortis un petit papier sur lequel il était simplement mentionné que je devais me rendre en fin de journée à la poste pour prendre possession d’un colis à mon nom. Je me suis alors dit que mon sentiment de crainte n’avait pas de raison d’être et j’ai déposé cette enveloppe dans mon sac à main. La journée de travail se passa normalement. Lorsque celle-ci arriva à sa fin, je pris mon manteau et mon sac à main. La vue de l’enveloppe me rappela que je devais passer à la poste, ce que je fis dès que je quittai le bureau.
Une fois arrivée à la poste, je me suis adressée à une guichetière qui me remit un colis. Sur ce colis, une enveloppe était collée. J’ai rejoint ma voiture et ai ouvert cette enveloppe. Dans cette enveloppe, il y avait un papier sur lequel il était écrit "à ouvrir à l’abri des regards". Intriguée, j’ai alors décidé d’ouvrir ce colis. Une boîte était emballée dans un plastique neutre. Ma surprise fut à son comble lorsque j’ai ouvert le couvercle de cette boîte en carton noir et rose. Je découvre alors un ensemble de lingerie en dentelle noire. Cet ensemble était composé d’un string qui, sans aucun doute dévoilerait une grande partie de l’intimité de celle qui le porterait tant sa dentelle était transparente, d’un soutien-gorge tout aussi transparent et d’un porte-jarretelles avec ses bas. Une lettre accompagnait cet ensemble. Lettre dans laquelle il était juste écrit "à porter demain au bureau avec cette robe rouge que tu portes parfois et tes bottes en dain noires.
Ceci dans le respect de notre petit secret
". A la vue de cet ensemble de lingerie fine et à la lecture de cette lettre, je me suis décomposée. Je me suis sentie prise au piège d’un jeu qui ne me plaît pas. Moi qui ai toujours eu le contrôle de toutes les situations, je présentais qu’ici, la situation m’échappait. J’étais furieuse. Je suis rentrée à la maison ans cet état. Mon mari s’en rendis compte et je prétextais une journée irritante. Le soir venu, mon mari tenta de me faire l’amour, mais je n’avais pas la tête à cela, tant j’étais furieuse de la situation dans laquelle je m’étais fourrée. Le matin venu, la colère avait fait place à la crainte. La veille avant de me coucher, je n’avais nullement l’intention de céder à l’injonction de ce collègue. Mais le matin venu, je me dis "que se passera-t-il si je ne me soumets pas à sa demande ? S’il révèle à qui que ce soit ma faute professionnelle, je serai virée, ce dont je ne peux me permettre".
Je me suis alors résolue à porter cet ensemble avec ma robe rouge et mes bottes en dain noires. J’étais subjuguée lorsque j’ai sorti l’ensemble de la boîte. La taille était exacte. Taille 36 pour le string et 85B pour le soutien-gorge. Comment connaissait-il ma taille avec tant de précision ? Je mis d’abord la porte-jarretelle, j’enfilai ensuite le string. Je me sentais presque nue tant il était transparent et tant il couvrait à peine mon intimité. Il en était de même pour le soutien-gorge qui laissait transparaitre la pointe de mes seins au travers. Ma robe étant au-dessus du genou, je craignais que mon mari aperçoive la dentelle des porte-jarretelles lors du petit-déjeuner, mais heureusement, il n’en fut rien. J’étais paniquée tout au long du trajet qui me mène au bureau. Une fois arrivée, je me suis installée à mon bureau en évitant de me déplacer. Vers 10h00, ce collègue me fit appeler dans son bureau. Mon cœur s’est mis à battre. J’ai senti une chaleur envahir mes joues.
Après une petite hésitation et sachant qu’il n’y avait pas d’autre alternative, je me suis rendue dans son bureau. Il me demanda de fermer la porte derrière moi et de venir à côté de lui pour voir un dossier. J’étais pétrifiée. Je suis restée debout à côté de lui. Lui était assis sur sa chaise de bureau. Pendant plus ou moins 10 minutes, il parcourut le dossier en m’indiquant ce qui devait être amélioré. Je commençais à baisser ma garde, voyant que rien ne se passait. C’est alors que je me suis penchée afin de prendre un surligneur sur son bureau dans le but de mettre en évidence certaines parties du dossier. Je vis son regard se poser sur l’ouverture de mon décolleté. Et me dit alors qu’il était satisfait que j’avais répondu à ses injonctions, ce qui signifiait que j’acceptais son jeu. Je n’eus pas le temps de répondre que je sentis sa main se glisser virilement lentement entre mes cuisses.
La sensation de sa main entre mes cuisses me coupa la respiration ainsi que la parole. Je sentais sa main remonter le long du nylon. Je sentais sa main atteindre la dentelle de mes bas. Je sentais sa main entrer en contact avec la peau nue de mon entrecuisse, juste au-dessus de ce petit liseré en dentelle. Je sentais sa main à l’échancrure de mes cuisses, juste sur les bords de ce petit string. Je ne savais pas comment réagir pendant ces quelques secondes. Je ne désirais pas ce qui était en train de se passer, mais je n’avais pas d’autre choix, j’y étais contrainte si je ne voulais pas perdre mon emploi. Heureusement, quelques secondes plus tard, quelqu’un a frappé à la porte de son bureau. Il a directement enlevé sa main avant que la personne n’entre dans le bureau. Je pus alors retourner à mon bureau.
Je sentais la chaleur dans mes joues, je devinais, étaient rouges. Je me suis alors dirigée directement aux toilettes en sortant de son bureau afin que personne ne puisse se rendre compte que j’avais les joues toutes rouges. Je me suis alors enfermée dans une des toilettes. Ma respiration était encore très prononcée. Je me sentais salie, abusée, mais je sentais, entre mes cuisses, une sensation qui était à l’encontre de mon état de colère. J’étais mouillée. Mon corps avait réagi à l’encontre de mes désirs. J’étais honteuse de cette situation. Je me rassurais en me disant que je n’avais éprouvé aucun plaisir, aucune émotion si ce n’est la crainte et la colère. J’ai alors pris une serviette humide qui se trouve dans les toilettes des femmes, j’ai descendu ce petit string et avec cette serviette humide, j’ai rafraichi les lèvres trempées de mon sexe. J’étais en colère contre mon corps qui avait réagi de cette façon.
La journée se termina normalement, mais j’avais honte de ce qu’il s’était passé. Je me demandais jusqu’où cela serait allée si personne n’était rentré dans son bureau. Est-ce que sa main aurait continué sa progression en passant sous l’élastique de mon string ? Se serait-il rendu compte que j’étais mouillée, ce qui lui aurait fait penser que j’avais envie alors que ce n’était pas le cas. Pour la première fois, mon corps avait réagi de façon opposée à mes désirs.
Le soir même, je reçus un SMS. Ce SMS venait de ce collègue. Il me demandait s’il ne dérangeait pas et s’il pouvait me demander par SMS quelques détails supplémentaires sur le dossier dont nous avions parlé ce matin. Il précisa que ces détails étaient confidentiels et que personne ne pouvait avoir une vue sur cet échange de SMS. Je lui ai répondu que oui, personne ne verrait ces SMS. Son SMS suivant me laissant sa voix. Je pensais que sa demande était réelle lorsque je découvre son SMS suivant "J’ai aimé sentir le nylon sur ta peau, j’ai aimé le contact de la dentelle et j’ai adoré la douceur de ta peau nue que j’ai caressée entre la dentelle de tes bas et l’élastique de ton string. J’ai gardé l’odeur de ta peau sur ma main une bonne partie de la journée". Je ne savais pas quoi répondre. Je voulais lui dire qu’on devait arrêter cela, que je n’avais aucun désir et lui rappeler que je suis mariée. Je n’ai pas eu le temps de lui répondre que je reçus son second SMS.
Ce second SMS me disait d’aller voir dans ma boîte aux lettres. Mon sang ne fit qu’un tour. Qu’avait-il pu mettre dans ma boîte aux lettres ? Je pris peur que mon mari ne le découvre avant moi. J’ai attendu que mon mari prenne sa douche pour sortir discrètement et aller dans la boîte aux lettres. J’y découvris une enveloppe. Je me suis empressée de la prendre et je me suis isolée afin de découvrir son contenu. Dans cette enveloppe, il y avait une clé et un message. Ce message me disait de me rendre aux consignes de la gare, et d’ouvrir la consigne dont le numéro était repris sur la clé. J’ai été songeuse et perturbée toute la soirée et une partie de la nuit en me demandant à quel jeu il jouait ?
Le lendemain, je me suis rendue à cette gare avant d’aller au bureau. Mon cœur battait la chamade tant j’étais préoccupée de savoir ce que j’allais découvrir dans cette consigne. Lorsque j’ouvre la consigne, j’y découvre un paquet. J’en prends possession et retourne à ma voiture. Je suis intriguée. Est-ce que je l’ouvre maintenant ou est-ce que je l’ouvre ce soir avant de rentrer à la maison ? La curiosité l’emporte: je l’ouvre. J’y découvre une robe d’été bleu marine, une paire d’escarpins et un message. A ce message était joint un ticket. Le message disait "Ne te rends pas au bureau aujourd’hui, je t’ai mise en congé. A 11h00, je veux que tu te rendes au cinéma dont l’adresse est écrite ci-dessous. Tu porteras cette robe et ces escarpins... et rien d’autre... Ci-joint, tu trouveras un ticket avec une place définie dans ce cinéma... ceci dans le respect de notre petit secret" J’étais totalement boulversée. Si je m’exécute, je m’engage dans l’inconnu. Qu’attendait-il de moi ? Je ne sais plus que faire, tout en sachant que je n’avais pas le choix. Il est 9h00. Je décide alors de ne pas aller au bureau. Je ne peux pas renter à la maison, car mon mari y est.
Je me rends alors dans un endroit où je pourrai prendre un café en attendant 11h00. A 10h30, je retourne à ma voiture. Je me dirige vers un endroit discret afin d’y passer cette robe. Les termes du message me reviennent à l’esprit "Tu porteras cette robe, ces escarpins, et rien d’autre..."je réalise alors qu’il souhaite que je sois entièrement nue sous cette robe, mais je n’ai d’autre solution que de me soumettre à ce qu’il m’impose. Je gare ma voiture à l’abri des regards, non loin de l’adresse du cinéma qu’il m’avait indiquée. Je me change. Je me dirige ensuite à pied vers l’adresse du cinéma. Je me sens presque nue. L’air est encore un peu frais. Je sens cet air frais sur mes jambes nues, je le sens entre mes cuisses, ainsi que sur mon pubis nu. J’arrive à l’adresse mentionnée sur le message. Il s’agit d’un petit cinéma. Je présente mon ticket à la seule quichetiere présente. Elle m’indique la salle de projection.
Il n’y a que 2 salles de projection et je dois me rendre la salle numéro 2. Le siège est préréservé. Il porte le numéro 32. La salle est sombre. Je trouve le siège qui est sur la dernière rangée. Je m’y installe. L’écran est encore noir. Dans la pénombre, je distingue 2 silhouettes 3 ou 4 rangées devant la mienne. Je me demande ce que je fais là. A cet instant, le film commence. Nous ne sommes que 3 dans ce cinéma. Je suis stupéfaite, intriguée, interrogative sur le thème du film, car dès la première scène du film, on voit un couple faire l’amour. Une femme nue est assise sur un homme nu. Elle ondule sur lui en poussant de légers gémissements. Ses seins sont dressés, son corps est en sueur. A ce moment, je distingue quelqu’un qui s’engage dans ma rangée et s’arrête au niveau du siège juste à côté du mien. Il s’agit de ce collègue qui m’a imposé d’être ici, en ce moment. Il ne dit rien, ne me regarde même pas. Il s’assied.
Mes yeux se posent à nouveau sur l’écran, sur ce couple en train de faire l’amour. La scène est plus qu’érotique. La caméra qui filmait ce couple de profil se tourne afin de filmer la femme de dos, assise sur son amant, laissant son corps en sueur onduler. La caméra descend lentement sur son dos en sueur, jusque ses fesses. On voit son corps monter et descendre. Et là, je suis presque choquée. On distingue clairement la verge de son amant en érection la pénétrer. On distingue son sexe bandé sur lequel cette jeune femme s’ample. A cet instant, je sens la main de mon collègue se poser sur mon genou. Je serre les genoux, mais sa main imposante écarte mes genoux. Je suis prise au piège. Je n’ai d’autre solution que de m’y résoudre. Sous la force de sa main, mes genoux se décollent. Mes cuisses s’ouvrent. Je sens sa main remonter lentement entre mes cuisses. Ma respiration s’accélère.
Je suis impuissante face à ce qui est en train de se passer. Je me rends alors compte que le film avait changé de scène. Cette jeune femme est maintenant à genoux. Son amant la prend en levrette. Elle est cambrée. Elle se fait pénétrer par l’énorme sexe de son amant. Elle gémit de plus en plus fort. Je sens la main de mon collègue remonter de plus en plus entre mes cuisses ouvertes. Je sens sa main arriver à l’échancrure de mes cuisses. Je sens un de ses doigts parcourir mon sillon. Ma respiration s’accélère. Je tourne la tête vers lui, mais il est impassible, il ne me regarde pas. Il regarde l’écran. Je sens son doigt s’animer sur les lèvres de mon sexe. Je sens que, bien malgré moi, je suis mouillée. Mon esprit ne le désire pas, mais visiblement, mon esprit ne contrôle plus mon corps. Mais qu’est-ce que je fais là?
Mon mari est à la maison avec notre fille et moi, qui devrais normalement être au bureau, je suis dans ce cinéma, occupée à visionner une scène pornographique alors qu’un collègue est en train de me caresser le sexe. La scène est de plus en plus torride. Je vois ce sexe énorme en pleine érection entrer et sortir du vagin de cette jeune femme cambrée qui gemme de plus en plus fort. Je sens le doigt de mon bourreau s’animer sur mon clitoris. Mon esprit a perdu le contrôle. Je ne désire pas ce qui est en train de se passer, mais je sens mon clitoris extrêmement sensible. Ma respiration est à son comble. Je sens mon corps onduler. Soudainement, je suis envahie par l’orgasme. C’est alors que mon bourreau se lève, quitte le cinéma sans mot dire et sans le regarder. Je reprends mes esprits. Je me rends compte de la situation: je suis dans ce cinéma, le corps encore parcouru de spasmes de jouissance. Je sens que l’intérieur de mes cuisses est trempé. Perturbée, je quitte le cinéma.
Je retourne à la voiture. J’ai le souffle coupé. Je me change et décide de rentrer à la maison en disant à mon mari que je ne me sentais pas trop bien, alors j’ai pris mon après-midi de libre. Je suis restée dans mon lit toute l’après-midi. Songeuse, je me demandais jusqu’où allait aller son petit chantage tout en sachant que je ne pouvais m’y résoudre et que ce collègue, que j’appelle maintenant mon bourreau, a le contrôle de la situation et que je suis devenue son jouet. Au-delà de cette situation, ce qui me perturbe davantage est le fait que mon esprit n’a pas pu garder le contrôle sur mon corps et que mon corps a décidé de prendre du plaisir de cette situation.
Dans les jours et les semaines à venir, le petit jeu de mon bourreau s’amplifia. Il prit possession de mon corps. Il me donna l’injonction de me rendre sur le temps de midi dans un hôtel. Totalement dénudée, les mains et les pieds attachés aux quatre coins du lit, il me pénétra de son énorme verge. Elle était bien plus grosse que les quelques sexes que j’avais connus dans ma vie. J’avais l’impression d’être dépucelée pour la seconde fois. De nouveau, mon esprit n’était pas consentant, mais mon corps y prenant beaucoup de plaisir me guidant vers de multiples orgasmes.
Quelques jours plus tard, mon bureau me donna l’injonction de prétexter un colloque loin de mon domicile afin de pouvoir me libérer une nuit entière. Il m’emmena dans un club échangiste. Nous nous promenions dans les méandres des alcôves de ce club, lorsqu’il m’arrêta devant une petite fenêtre donnant sur une alcôve. Une femme et deux hommes s’adonnaient au plaisir de la chair. Il se positionna derrière moi et tout en regardant ce trio, il me prit par-derrière. J’ai ressenti une certaine forme d’excitation en regardant ce trio tout en me faisant pénétrer. Un autre homme nous a rejoints. Il m’a offert à cet homme qui m’a prise en levrette alors que j’avais le sexe bandé de mon bourreau en bouche. Bien malgré moi, cet inconnu m’a fait jouir après quelques coups de reins.
Après cette nuit, je me suis rendue à l’évidence... j’étais devenue sa petite pute soumise...
Diffuse en direct !
Regarder son live