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Une femme bien sous tous rapports

Chapitre 1

Julie et Eric

Erotique
Une femme bien sous tous rapportsJulie, vingt-cinq ans, célibataire, sans enfants. Blonde naturelle, yeux bleu clair, corps de taille moyenne, formes parfaites et généreuses.Julie travaille dans l’entreprise de son père comme DRH, son défaut principal se laisse facilement attendrir lors de décisions importantes pour la société, réduction de personnel, cas sociaux. Donc, son père lui a adjoint un bras droit qui lui ne fait pas dans l’émotion. Lors des entretiens sensibles, Julie évite d’être présente. Ce n’est pas de la lâcheté, juste un bon cœur, recouvert par une superbe poitrine qui ne laisse pas le personnel indifférent. Surtout que Julie, bien qu’élevée dans un internat catholique, s’habille de façon plutôt sexy. Elle n’hésite pas les décolletés plongeants, ni la courtesse de robe ou jupe, le soutien-gorge est rarement présent sous ses corsages. Tout cela perché sur des hauts talons qui galbent les jambes fuselées, et font ressortir la courbe de sa chute de rein. Ce n’est pas pour mettre en valeur son corps parfait, juste qu’elle aime ce genre de vêtements.
Elle ne prête pas attention aux hommes ou femmes qui se retournent sur son passage, agrémenté d’effluve d’un numéro cinq de Channel. Le personnel se retient de la siffler, certains par correction, beaucoup de peur de perdre leur place. De plus, son bras droit sur les recommandations du père de Julie veille au grain. Son père a choisi un diplômé, karatéka, aussi bien garde du corps que bon négociateur. Eric, trente-cinq ans, cheveux bruns courts, bouclés d’immenses yeux verts qui séduisent beaucoup les femmes, et ce qui ne gâche rien, un superbe corps d’athlète. Disons aussi bel homme que Julie est belle femme. Pourtant, malgré son empressement auprès de la jeune femme, Julie reste indifférente à son charme, au grand dam des secrétaires, qui papillonnent autour de lui. Julie ce matin-là porte un corsage blanc, qui évidemment laisse deviner ses seins en liberté, les pointes se baladant sous le léger tissu.
Une jupe noire ultra moulante qui lorsqu’elle se déplace donnerait le mal de mer à des personnes n’ayant pas le pied marin. L’ondulation de ses fesses galbées provoque un roulis incroyable, tellement sa démarche sur ses hauts talons accentue le mouvement. Insouciante de l’envie qu’elle provoque, elle entre dans son bureau dans lequel se trouve déjà Eric. Pas de bises, juste une poignée de main, Eric comme tous les matins, la flatte sur sa tenue, un bref remerciement de la jeune femme évite de s’étendre sur le côté vestimentaire. Elle jette un œil rapide sur quelques dossiers et interroge Eric sur la fête prévue pour le vingtième anniversaire de la société. Un pot est organisé, discours de papa qui va féliciter le personnel, un peu d’autosatisfaction pour lui et ensuite haro sur les petits fours et le champagne. Julie ne raffole pas de ce genre de réunion, les personnes alcoolisées deviennent familières, limites grossières pour certains hommes.
Mais, son père tient à ce qu’elle soit présente. Julie mène une vie relativement chaste, deux amants seulement à son âge. Le premier, celui à qui elle a offert sa virginité lors de ses dix-huit ans, qu’elle croyait aimer, celui qui l’a fait souffrir en la quittant après avoir obtenu ses faveurs. Le second, un client de son père, non pas pour gagner sa clientèle, mais un soir de Noël, quand il est venu passer une semaine dans leur grande maison. Au bout de trois jours, elle lui avait cédé, il était drôle, beau garçon, elle s’ennuyait ferme, ils s’étaient rapprochés au point de devenir amants près d’un an. Elle le rejoignait chez lui deux fois par semaine, ils faisaient l’amour comme deux personnes à qui il ne reste que peu de temps à vivre, ne perdant pas un instant quand ils se retrouvaient. S’arrachant presque leurs vêtements, ne prenant même pas la peine d’aller jusqu’à la chambre. Sur place, ils s’aimaient comme des fous.
Leurs sens apaisés ce n’était que de longues caresses, chacun explorant le corps de l’autre de ses doigts, de sa langue. L’odeur envoutante de leurs corps recouverts d’une pellicule de sueur amoureuse les enivrants au point de se redonner l’un à l’autre jusqu’à l’épuisement total. Puis son amant est parti pour affaires en Afrique. Au début de leur séparation, de longues lettres d’amour, Julie préférant l’écriture que les mails qu’elle trouve impersonnels, ensuite les courriers s’espacèrent, le téléphone se tut, une belle histoire d’amour se terminait. Depuis Julie s’est un peu murée dans un célibat protecteur. Bien sûr, de temps à autre, elle n’est pas insensible au charme de certains hommes, mais s’en méfie, tellement, la peur de souffrir la bloque de nouveau. Les plaisirs solitaires ne la comblent pas, néanmoins cela lui suffit. Elle se caresse longuement en pensant aux deux seuls hommes qu’elle a connus, les fantasmes d’autres se révèlent plus rare.
Ainsi, il est dur de prendre du plaisir en imaginant des inconnus couvrant son corps de baisers brûlants, de caresses intimes. Julie y parvient quelques fois et ce jeu l’amène à un énorme orgasme. Julie adore la mythologie, aussi imagine-t-elle Éros la saillir, Aphrodite l’initier aux plaisirs lesbiens. Tous ces placebos de l’amour lui suffisent, du moins, le croit-elle. Moins on fait l’amour, plus l’envie disparait progressivement.
La réception commencée, Julie n’écoute même pas le laïus fait par son père, à deux trois mots prêts, c’est le même tous les ans. Julie redoute le moment où elle va devoir serrer toutes les mains en faisant un compliment à la personne, non parce qu’elle ne les aime pas, mais ces flatteries insincères ne lui conviennent pas. Pour participer au buffet, Julie a mis une longue robe bleue, fendue très haut, limite la naissance de sa petite culotte. Le tissu moule sa généreuse poitrine, ses mamelons se laissent aisément deviner. Elle en a d’assez gros et longs pour ne pas passer inaperçus. C’est la seule partie de son corps qui la dérangent un peu, mais qui ravit les hommes. Le défilé des mains à serrer débute, son père, très à l’aise, a un mot, une phrase d’encouragement pour chaque employé. Julie prend la suite et serre les mains avec un charmant sourire de circonstance, ne voulant blesser personne.
Le tour du gros Serge arrive, il est le gardien de la société depuis une quinzaine d’années. Le genre d’apparence tonneau, transpirant, de gros yeux globuleux qui dénotent un goût prononcé pour l’alcool, son haleine n’est guère plus agréable que le physique du personnage, il est peu apprécié dans l’entreprise. Julie avec son adorable sourire lui serre la main, une chose molle, collante de sueur. Comble de dégout, il garde la fine main de Julie plus que nécessaire dans la sienne, lui adressant des compliments sur sa robe, sa beauté, sa gentillesse, presque une déclaration d’amour. Un flash traverse l’esprit de Julie qui un bref instant lui montre Serge nu avançant ses grosses lèvres lippues vers sa bouche, un frisson de répugnance la traverse. Enfin, il lui lâche la main et se dirige vers le bar de sa démarche dandinante. Un peu de gel hydroalcoolique n’est pas de trop. Puis c’est le tour de Noémie, la seule qui l’embrasse, elle a soixante-trois ans, Julie l’a toujours connue.
Quand elle venait dans l’entreprise, lorsque sa mère ne pouvait pas la garder. Ainsi, Julie l’apprendra plus tard, elle rejoignait son amant, Noémie s’occupait d’elle, pour l’aider à passer l’après-midi. Adorable Noémie qui l’avait accompagné toute son enfance, comme une maman de substitution. Elles tombent dans les bras l’une de l’autre. Noémie, vieille fille, dit à sa protégée.
— Comment une aussi belle jeune femme comme toi n’est pas mariée ma chérie ?
Ce à quoi Julie lui répond en plaisantant.
— Dès que tu te maries, je fais de même, c’est promis ma chère Noémie.

Les deux femmes rigolent et s’embrassent de nouveau avant de se séparer. C’est la seule fois de l’année que Noémie va boire du champagne.Les congratulations enfin finies, Julie s’octroie une coupe de délicieux Dom Pérignon. Papa ne regarde pas à la dépense, pour certains, il pourrait mettre du crémant que cela ne dérangerait pas, la quantité, primant sur la qualité. Julie s’ennuie ferme, elle passe outre ses habitudes et consomme plusieurs coupes. L’effet ne se fait pas attendre. Au bout de la cinquième coupe, elle titube un peu et c’est Eric jamais loin d’elle qui la retient. En la rattrapant par le bras discrètement, sa main se colle au sein gauche de la jeune femme. Il sent la fermeté du globe malgré sa grosseur. Eric, gentleman a un dilemme, laisser tomber sa protégée ou garder la main au contact de la poitrine de Julie pour lui éviter l’humiliation d’être vue ivre. Donc, il opte pour cette solution, et en toute discrétion, il ramène Julie rigolarde de son ivresse vers le local des fournitures dont ils sont les seuls avec Julie à posséder la clé. Il assoit la jeune femme sur une pile de cartons.
La robe fendue laisse apercevoir l’orée de la petite culotte bleue. Eric fixe un instant le charmant tableau de cette cuisse dénudée très haut et son galbe parfait. Eric se ressaisit et stabilise Julie qui glisse de gauche à droite en riant bêtement sur son état. De nouveau ses mains entrent en contact avec l’admirable et ferme poitrine. Le jeune homme laisse cette fois les mains contre les seins, sentant le cœur de Julie battre la chamade et la chaleur animale qui s’en dégage. Du bout des doigts, il se permet de les frôler légèrement. Aussitôt une érection boursoufle son pantalon, c’est incontrôlable, Julie l’a séduit dès qu’il l’a aperçu. Il s’est toujours empêché de lui faire sentir. Julie se moque d’elle.
— Je suis aussi soule que le gros Serge, excuse-moi Eric de t’obliger à t’occuper d’une soularde. Pour la première fois, elle le tutoie.
Au lieu de lui répondre, Eric accentue la pression de ses mains sur la splendide poitrine, il sent les seins palpiter sous les doigts. Seule l’étoffe de la robe le sépare de la chair chaude et douce de la jeune femme désinhibée, qui laisse sa véritable nature se libérer de l’armure qu’elle s’est forgée.
— Tu es tout mignon Eric, tu dois avoir du succès avec les femmes, dans les couloirs, j’entends les rumeurs que tu es un bon coup.
Eric est gêné, effectivement, il a butiné avec deux, trois secrétaires, mais elles sont mariées, il ne pensait pas de leur part autant d’indiscrétion.Il essaie de se justifier auprès de Julie, en affirmant qu’il ne faut pas se fier aux rumeurs. Julie d’un clin d’œil lui fait comprendre que ce n’est pas son ivresse passagère qui la rend idiote. Eric qui n’a toujours pas retiré les mains des seins, les masse doucement, Julie fait mine de ne pas s’en apercevoir. Elle n’est pas suffisamment soule pour ne pas s’apercevoir que son bras droit est devenu main droite et gauche sur ses seins. Julie le laisse palper, trouvant cela bien plus plaisant que quand elle se caresse elle-même. Une main étrangère procure toujours plus de plaisir que la sienne. Eric voit les mamelons de la belle se tendre davantage à travers la robe, déjà qu’ils sont bien visibles, cette fois plus de doute, ils s’érigent les coquins, comme s’ils voulaient s’échapper. Julie redevient sérieuse, elle plante son magnifique regard bleu dans le vert de celui d’Eric, et abruptement lui demande, revenant au vouvoiement.
— Comment trouvez-vous mes seins Eric ?
L’homme surpris par la question, croyant que l’ivresse de la jeune femme l’avait empêchée de remarquer le pelotage de sa poitrine. Un cri du cœur est sa réponse.
— Je n’en ai jamais tenu d’aussi beaux dans mes mains Julie.
Ravie de la réponse, Julie, légèrement dégrisée ne s’offusque pas de la caresse, elle trouve ce frôlement assez agréable. Cela fait maintenant deux ans qu’aucun homme n’a posé la main dessus, ce qui a pour effet de faire darder ses mamelons très érectiles sous les doigts d’Eric. Elle essaie de se relever, mais la position debout reste instable. Eric lui fait reposer son postérieur sur les cartons cette fois en lui tenant fermement les seins. L’homme sent dans sa paume les mamelons durement dressés, il frotte les mains sur les bouts rebelles ce qui a pour effet de faire frissonner leur propriétaire. Les bras ballants, elle se soumet avec délice à ce pétrissage de ses bouts très sensibles. Eric, devant l’absence de réaction négative de la part de l’objet de son désir, s’enhardit et pince délicatement les mamelons fuyant sous l’étoffe de soie. Les lèvres entrouvertes, les yeux mi-clos, la respiration de la jeune femme s’accélère.
Eric se penche vers son visage et dépose un chaste baiser sur les lèvres recouvertes d’un gloss rouge coquelicot. Ses mains caressent délicatement la merveilleuse poitrine, s’attardant pour rouler tendrement les mamelons. Julie, malgré l’excitation qui se répand dans tout son corps, réfléchit à la situation dans laquelle elle s’est mise. Bien sûr que l’instant est agréable, mais la suite plus tard qu’en sera-t-elle ?
Si elle le laisse faire, Julie sait qu’elle ne va pas résister longtemps, le malaxage de ses seins appelle à aller plus en avant. Le doux baiser sur ses lèvres achève sa résistance cérébrale. La main d’Eric passe dans son dos à la recherche de la fermeture de sa robe. Julie veut retenir la main, sa raison est vaincue par son désir. La main adroite d’Eric, certainement habituée à cet exercice, trouve facilement le glissoir de la fermeture et le fait coulisser vers le bas du dos. La fermeture descendue, Eric fait descendre le haut de la robe, exhibant deux splendides seins majestueux. Bien que lourds, ils bougent à peine tant ils sont fermes. Les mamelons ornés de larges aréoles roses se dressent fièrement. Julie regarde Eric, interrogative, que pense-t-il de sa poitrine ? De la façon qu’il la caresse, la modèle, tel un potier, sa glaise, il semble pleinement satisfait.
La jeune femme éprouve un étrange sentiment, celui de faire une bêtise et celui de renaitre sous la caresse de ce bel homme. Eric bouillonne, il a envie de se jeter sur elle, assouvir l’envie de prendre ce merveilleux corps. Mais, la belle parait davantage encline à être traitée avec douceur et patience. L’homme la prend par les épaules, la fait se lever, elle lui arrive à peine au-dessus des épaules, elle se met sur la pointe des pieds pour poser ses lèvres sur celle de son amoureux. Eric a l’impression que son boxer va exploser, Julie en devine la consistance contre son ventre. Eric s’écarte du corps de Julie, laissant la robe chuter sur le sol comme une corole entourant les pieds de la jeune femme. Elle apparait dans une quasi-nudité. Eric admire ce corps qu’il a tant rêvé. De lourds seins fermes, le ventre légèrement bombé, le renflement du pubis caché par la petite culotte.
Son mont de Vénus attire la main d’Eric qui ne s’en empare pas, mais le frôle du bout des ongles, parcourant le petit sillon dans lequel le tissu, c’est malicieusement enfoncé. Julie le prend par le cou et provoque un baiser plus intense, le feu du désir consume son corps. Eric délaisse l’abricot de sa belle et s’empare de deux fesses dures et souples. Il les pétrit, se gave les mains de cette chair chaude, douce, charnue. Un des plus magnifiques derrière qu’il lui est donné de palper. Les deux jeunes être sont maintenant collés l’un à l’autre. Longuement, leurs langues se mêlent, entamant une joute labiale enflammée. Eric ne lâche plus les fesses qu’il a souvent imaginées en voyant la démarche chaloupée et provocante de Julie. Enfin, il les a dans les mains, pas un instant, il a pensé connaitre un tel bonheur. Eric soulève presque Julie tant il imprime ses empreintes dans la chair de la jeune femme.
Puis ses mains se placent sur le bord de la petite culotte et la font doucement glisser, il fait progresser la descente du sous-vêtement tout en embrassant les seins bandés de Julie. Sa bouche descend au nombril, sa langue agace cet endroit, Julie se pâme sous les ardents baisers, son corps frémit. La bouche inquisitrice après avoir exploré le nombril se promène sur le mont de vénus aussi doux que la peau d’une pêche. Pas l’ombre d’un poil, le laser est passé par là. La petite culotte est à mi-cuisses, la langue s’insère dans la fente qui ne laisse pas voir les fines petites lèvres cachées dans la fissure de cet adorable vulve. De la pointe de sa langue, Eric essaie de les faire apparaitre. Sous le doux léchage, la cicatrice vulvaire s’ouvre, le bourgeon en érection se montre, il est bien visible sortant allégrement de son capuchon. Rose vif gorgé de sang, la friandise se révèle tentante.
Sa petite culotte sur les pieds, Julie sent les dents de son amant se refermer sur son organe érectile. Le mordillement la fait disjoncter, elle colle la tête de son prétendant contre son ventre, le laissant à peine respirer, Eric tout en cherchant de l’air se goinfre du clitoris de la femme qui geint de plus en plus fort.
À suivre peut-être
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