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Une femme bien sous tous rapports

Chapitre 4

Erotique
Une femme bien sous tous rapports 4Cela fait deux ans que Julie ne s’est pas réveillée dans les bras d’un homme dans son lit, après qu’il l’a comblée sexuellement et sentimentalement. Elle ronronne comme une jeune chatte, en lui caressant le visage, le torse, se pelotonnant contre lui. Il se réveille comme un lion, s’étire, baille, puis se retourne pour embrasser tendrement son amante qui le regarde avec un évident plaisir de l’avoir près d’elle.
— Que veux-tu pour ton petit déjeuner mon amour ? Julie est aux anges, prête à tout pour lui faire plaisir.— Je vais le prendre avec toi à la cuisine, ce sera plus agréable, comme un vieux couple.
Ils rient tous les deux de cette remarque, deviendront-ils un vieux couple, seul l’avenir leur dira.Julie se lève et veut enfiler son déshabillé, Éric le retient et lui dit.
— Pourquoi cacher un corps aussi beau, tu es tellement magnifique nue, on croirait une statue grecque de la femme parfaite.
Julie sait qu’elle est bien faite, mais rougit sous le compliment.
— Je trouve ma poitrine un peu lourde, et mes fesses un peu trop volumineuses.— Éric la rassure, tu es la femme la plus sublime qu’il m’ait été donné de tenir dans mes bras ma chérie.
Julie minaude, mais est ravie de plaire à son amant. Éric se lève à son tour, sans aucune pudeur, il montre un sexe dressé fièrement, cela est dû à l’envie de pipi matinale et au corps nu de Julie. La jeune femme ne peut pas détacher son regard de la chose, cet énorme mandrin a réussi à rentrer dans son vagin, elle en est encore toute étonnée, surtout contente d’avoir réussi à tout absorbé vaginalement. Éric passe près d’elle, et lui tapote les fesses, aucune protestation, il s’empare de sa généreuse poitrine en se collant à elle, Julie est obligée de prendre sa verge pour la mettre entre leur ventre, tant l’érection est importante. Il s’ensuit de longs baisers, des caresses intimes, Julie s’écarte et lui dit.
— Tu m’excites, on va d’abord prendre notre petit déjeuner et ensuite, je suis toute à toi.
Éric lui redemande.
— Vraiment toute entière, ton corps à ma disposition ?
Julie soudain comprend que ses fesses risquent de goûter au gros chibre. Pourtant, elle ne se dédit pas malgré la crainte d’une telle chose annexant sa petite intimité. Le petit déjeuner se passe dans les rires, les caresses, les embrassades, un couple de toute beauté qui se découvre, non physiquement, mais sentimentalement. Déjeunant d’une main, comme l’autre est tenue les doigts enlacés. Julie informe Éric qu’elle va prendre une douche avec un sourire coquin, son amant propose aussitôt de lui laver le dos, et de la sécher.

— Tu penses que tu vas te tenir à ça ? Julie se doute qu’une fois ses mains sur son corps, elle résiste peu à ses désirs.
Éric, en passant sa langue sur ses lèvres, lui affirme qu’elle n’a rien à craindre, qu’il saura se tenir. Julie sait qu’il n’en sera rien, et l’espère. Julie se dirige vers la douche, le roulement de ses fesses est un régal pour les yeux. L’eau tiède de la douche ruisselle sur le corps de Julie, bloquée un court instant sur les seins, cela fait comme une chute d’eau. Éric savoure le spectacle de ce corps nu ruisselant. L’érection semble permanente pour Éric, Julie est un aphrodisiaque pour lui. Éric ordonne à la jeune femme de poser les mains sur le mur et tendre son adorable fessier. Julie n’est pas habituée à obéir, pourtant elle s’exécute, les fesses bien tendues en arrière offrent un merveilleux spectacle pour une personne aimant les fesses rondes et épanouies. Éric vient se placer contre elles, et fait coulisser son gland dans le sillon légèrement entrebâillé. Une fois placé en face l’ouverture de l’abricot déjà humide, pas que par l’eau, il s’enfonce brusquement en elle.
Julie pousse un cri strident, elle se croit déchirée par le formidable mandrin, il n’en est rien. La puissance de l’introduction lui a écarté les chairs vaginales brutalement, l’impression de se faire violer la fait mouiller. Quelques fois, elle fantasme en se masturbant que plusieurs hommes la prennent de force, et chaque fois malgré l’horreur de la situation, elle jouit considérablement. Elle ressent la même impression, son vagin se dilate assez vite, la douleur se transforme en volupté. Éric s’empare de ses gros seins et les malmène vigoureusement, il les tord, pince les mamelons érigés et sent sa douce s’extasier de la façon dont il la prend. Julie donne de violents coups de rein pour s’empaler le plus loin possible sur le mât qui l’embroche. Ses mains glissent sur le mur mouillé, elle est obligée de se rattraper chaque coup de queue de son amant.
Elle pleure, pas de douleur, mais par l’orgasme qui la secoue de la tête aux pieds. Éric ne peut pas se retenir davantage, les secousses du postérieur de son amante achèvent de faire monter sa sève, il ensemence copieusement sa dulcinée. Celle-ci ne sait plus ce qui lui arrive, la plus grosse jouissance de sa jeune vie l’anéantie. Éric reste en elle pour bien finir d’arroser son petit jardin interne. Il est forcé de la soutenir afin qu’elle ne chute, les jambes flageolantes de la jeune femme ne la portent plus. La généreuse poitrine offre un point pour la tenir. Julie murmure dans un souffle.
— Je suis morte mon chéri, tu es un monstre de sexe, ce n’est pas réel, il faudra me prouver que tu peux le refaire.
La coquine le met au défi, en sachant que ce qui vient de se passer est bien concret.
— Quand tu veux mon amour, je suis à ta disposition, faire l’amour avec toi est merveilleux.
Éric prend soin de nettoyer lui-même l’endroit magique où il vient d’assouvir son appétence sexuelle. Julie, jambes écartées, se laisse nettoyer le minou comme une enfant. Éric essuie chaque centimètre du corps de son amante, insistant sur les endroits érogènes. Julie qui commence à sentir des frissons la parcourir, prend son iPhone et appelle sa secrétaire.
— Bonjour Michèle, ce matin Éric et moi devons-nous rendre chez un client, mon père est au courant, nous ne passerons au bureau que dans la soirée, annulez les rendez-vous, bonne journée à vous.
Elle regarde en souriant son amant, couché sur le lit, le sexe dodelinant et lui dit.
— Voilà mon amour, tu as la journée pour me montrer que tu peux me faire jouir aussi fort que tout à l’heure.
La jeune femme s’encanaille, elle veut rattraper le temps perdu sexuellement.Éric prend son sexe à la main, le fait bouger et lui répond.
— Lui et moi nous t’attendons ma chérie, prépare-toi à connaitre ce que l’on appelle la petite mort. Julie se jette sur lui et lui dit.— Fais-moi mourir d’amour mon matador, je suis prête pour la mise à mort, mais avant plante-moi quelques banderilles.
Le discours de Julie est clair, Éric va devoir se surpasser pour épuiser cette adorable poupée de chair. Il embrasse, caresse ce corps délicieux, qu’il pensait inaccessible, il s’en repait avec ses lèvres, ses mains qui palpent les rondeurs bien proportionnées de son amante. Julie n’est pas en reste, elle fait pareil, embrasse le torse musclé, manipule le Dieu Priape qui est de nouveau fièrement redressé. Lentement, elle le masturbe, passant son pouce sur le gland, étalant les gouttes translucides qui perlent du méat. Éric se dit que bander avec une maitresse aussi belle n’est pas un problème, il lui mord les mamelons jusqu’à ce qu’elle crie grâce. Il aime l’entendre le supplier en rigolant. Julie est sublime, rieuse, coquine et d’une gentillesse extrême. Toutes ces qualités en une seule femme, Éric est vraiment amoureux de Julie. Éric s’empare de son clitoris et le pince fortement, Julie bouche ouverte ne peut pas crier tellement il lui pince fort.
— Viens me sucer salope, prépare mon zob pour ton petit cul de bourgeoise, le voyou va te dépuceler ton œillet de chienne lubrique.
Julie pousse un Oh de femme outrée, mais s’amuse du rôle joué par son amant. Son fantasme d’être abusée prend forme dans un jeu de rôle. Julie fait mine de refuser, Éric la prend par les cheveux et l’oblige à mettre la bouche sur le pieu. Julie se laisse enfoncer la verge dans le gosier, elle bave tant la verge lui emplit la bouche, les filets de salive coulent le long de la hampe et finissent sur les boules lisses de son violeur consenti. D’une main, Éric fait aller/venir la tête de sa victime le long de son mandrin, touchant à chaque entrée les amygdales de Julie qui émet un borborygme comme si elle allait vomir. Dans le fond son fantasme n’est pas si innocent que cela, elle adore la façon dont son maitre la traite.
— Que tu suces bien salope, tu caches bien ton jeu, tu as envie de prendre ma queue dans tous tes trous.
Julie fond à chaque insulte, son amant a deviné ses fantasmes, elle la petite bourgeoise BCBG a enfin trouvé un homme qui la comble et la manœuvre en salope. Il sait se montrer un amant attentif à son plaisir, puis devenir le vilain garçon qui s’octroie son corps sans concessions. Julie qui se laisse guider dans la deep throat que son amant lui impose, sent son minou déborder de cyprine, elle met un doigt sur son clitoris et se masturbe furieusement. Ses gémissements de plaisir s’écrasent sur le gland qui lui obstrue la gorge. Elle jouit une fois de plus comme une chienne en chaleur, ne se cachant pas du plaisir qu’elle prend, contrairement avec ses deux premiers amants qu’elle craignait de choquer et qu’ils la pensent pute.
Avec Éric, aucune crainte, elle se libère et n’en jouit que plus. Alors, elle se moque de ce qu’il pense d’elle, d’ailleurs, il ne s’en plaint pas vu la giclée qui fuse dans sa gorge. Une fontaine à sperme se met à couler dans sa bouche, chaque chaud geyser s’écrase au fond de son larynx. Elle tousse, s’étouffe, dégurgite le trop-plein de jus. Sa salive et la jute coulent sur le ventre et les bourses de son amant qui la félicite.
— Une prostituée n’aurait pas mieux fait ma chérie, tu es géniale, la femme parfaite, l’amante la plus salope, un formidable mélange des deux, je t’aime. Il a lâché le mot magique.
Julie est comblée, bien que d’avaler un tel engin est difficile, les compliments la ravissent. Sans gêne, elle s’essuie la bouche et le menton avec les draps, sous le rire de son compagnon. Alors, il la prend dans les bras et la câline en lui déclarant des mots tendres, Julie est sûre d’avoir enfin trouvé l’homme de sa vie. Elle a envie de rester une éternité lovée ainsi contre lui. Les deux tourtereaux s’endorment une petite heure, Julie est réveillée par une douce sensation, ses cuisses sont ouvertes et Éric lui lèche tendrement le clitoris. Julie ne montre pas son réveil, et se trémousse juste, de quoi s’offrir un peu plus à la bouche gourmande de son héros. Éric n’est pas dupe, mais feint de ne pas s’en apercevoir. Il continue sa lèche, puis question de la faire réagir, glisse un doigt dans son anus lubrifié par la salive qui s’écoule dans le sillon de ses fesses. Julie se contient, elle esquisse juste un petit mouvement de son fessier. Éric marmonne la bouche pleine.
— Dors salope, je pourrai bientôt te sodomiser en cachette.
Comme si un engin pareil pouvait se montrer discret dans un orifice aussi étroit.Julie décide quand même de lui montrer qu’elle est réveillée.
— Pas question mon chéri, tu es trop gros, ça ne rentrera jamais sans me faire souffrir.
Ce à quoi Éric objecte.
— Tu m’as dit que je dispose de tout ton corps et ton adorable cul fait partie de ton corps. En plus, si tu m’aimes, tu te dois de m’offrir un endroit vierge de toute pénétration d’un autre, et si je ne me trompe, ce beau petit trou n’a jamais eu de visite humaine.
Julie confirme qu’elle est vierge de cet endroit. Mais, qu’elle a peur, même si son envie de lui donner le dernier rempart vierge lui fait plaisir, elle est hésitante entre deux sentiments, la peur et le désir de satisfaire son amant. Éric lui demande de se mettre en levrette et lui promet que si la douleur est trop grande de ne pas insister. Julie se met en position, elle a une entière confiance dans son homme. Éric est émerveillé devant cette croupe magnifique aux rondeurs parfaites, le sillon écarté lui montre la petite rosace rose plissée, et l’abricot juste sous la pastille ornée de ces merveilleuses collines de chair. Julie sent la pointe d’une langue tenter de se faire un chemin entre les plis serrés de son anus, seul un petit bout arrive à titiller la rondelle.
Un doigt vient en renfort, un doux mouvement circulaire sur le bord, puis une timide introduction, Julie apprécie la légère masturbation de son fondement. Éric encouragé par ce début tente un second doigt, petit frémissement de la jeune femme, il arrête, craignant que sa fougue bloque sa maitresse. Ensuite doucement, il reprend son mouvement, les deux phalanges entrent dans l’étroit passage. Julie de son côté essaie de se détendre au maximum, elle a toujours peur, mais également l’envie de lui donner le dernier bastion de son corps inexploré.
Le passage des doigts se fait sans douleur, Éric s’enhardit et ose un doigt de plus, en tournant bien et salivant dessus pour lubrifier comme s’il perforait. Les trois doigts entièrement entrés dans le fessier de la chérie qui se décontracte davantage, afin de faciliter la tâche de son amant. Éric entame une masturbation plus directe dans le postérieur, il met un pouce sur le clitoris et le frotte, faisant réagir favorablement la jeune femme. Celle-ci agite sa croupe en signe de satisfaction. Le combat est-il gagné, ce n’est pas encore dit, même trois doigts ne représentent pas le diamètre de son sexe ?
Alors, il prend la décision de grouper quatre doigts, continuant de laisser libre son pouce pour agacer le clitoris humide et érigé de sa compagne. Le bouton de chair excité, a la taille d’un minipénis. Le pouce l’écrase, tandis que les quatre doigts s’enfoncent lentement dans le croupion qui s’élargit sous l’introduction des quatre phalanges. Julie supporte la manipulation de son anus et le frottement de son clito avec bonheur. Cela n’est pas douloureux, voire assez plaisant, la douceur de son amant escamote son appréhension. Le frottement sur son bouton et les doigts dans son cul l’excite fortement, et elle demande à son amant.
— Rentre mon amour, va doucement, si j’ai un peu mal, continue quand même, je souhaite t’offrir mon dernier endroit vierge en gage d’amour.
Julie ne voit pas heureusement la dimension de la verge encore plus gonflée qu’à l’habitude. Éric salive plusieurs fois sur l’anus dilaté par ses doigts, en fait de même pour son gland turgescent. Avec angoisse, Julie sent le gros champignon se poser sur son innocente rondelle, la poussée débute, Éric appuie un peu plus, en demandant à son amante de se détendre. La moitié de son gland a passé le cercle anal. Le petit trou se dilate progressivement. Il caresse les fesses de la jeune femme comme pour la rassurer. Éric passe une main par-devant et masturbe tendrement le bouton bien découvert de sous son capuchon. Julie ressent le gland qui se faufile dans son anus doucement. Julie perçoit une légère douleur, mais rien d’insurmontable. Alors, elle encourage son sodomiseur.
— Tu peux y aller en douceur, continue de me caresser le minou, c’est excellent.
Tranquillisé, Éric pousse un peu plus, soudain le muscle anal se dilate et laisse le gland l’envahir. L’intrusion se confirme, juste un petit cri de la jeune femme. Éric s’arrête puis sur la demande de son amante reprend l’annexion de son intestin. Bien que le chibre soit de forte dimension, Julie supporte la douleur, elle donne elle-même de petits coups de rein pour l’aider à la remplir. Éric se sent merveilleusement bien dans ce passage si étroit, son sexe est comme malaxé au fur à mesure qu’il s’enfonce. Ce que Julie pensait impossible se réalise, son amant est à fond dans son cul. Ses bourses cognent contre son abricot, Julie prend la place de la main d’Éric et se masturbe, elle sent le sexe de son amant au travers de son périnée. Le gland glisse sur le bout de ses doigts, accentuant le plaisir de son amant.
Julie est vraiment douée se dit Éric, pour une femme qui a eu peu d’amants, elle a de bonnes initiatives. Éric coulisse avec douceur dans les fesses de sa douce, l’anus s’est parfaitement adapté à la grosseur du mandrin. Julie est remplie par le rouleau de chair, plus les doigts dans sa minette, c’est divin. Éric baratte le petit cul de Julie un peu plus vite, la verge prisonnière du fourreau, les doigts qui le caressent à travers le périnée, il est aux anges. Julie ravie de s’être laissé prendre par-derrière, le nouveau plaisir de cette pratique l’enchante. Elle ordonne à Éric de la prendre plus vite, plus fort, ce qu’il fait volontiers. La chevauchée fantastique est en route, Julie hurle son plaisir en se chatouillant gaillardement le minou et le gland d’Éric. La jouissance commune se produit, Julie mouille les draps, Éric lui inonde le fondement, giclant comme un fou dans les entrailles de son amante.
Lui grogne de plaisir, elle hurle sa joie, les deux sons réunis sont une ode à l’amour. Julie s’écroule les bras en croix sur le lit, entrainant son amant encore planté en elle. Les soubresauts de la verge d’Éric se font moins intenses, les dernières gouttes, s’écoulent dans le boyau de la jeune femme. Elle marmonne des mots étouffés dans les draps, Éric l’embrasse dans les cheveux follets de sa nuque. Son sexe se ramollit lentement, la longueur le laisse présent dans l’anus distendu. Toujours en elle, il éprouve un sentiment de satisfaction, d’avoir été le seul à avoir pris cet endroit très intime, et l’immense félicité qu’il a connu en sodomisant ce magnifique fessier. Julie, au bout de plusieurs minutes de bien-être sous le corps de son amant, distingue un soupçon d’érection se former dans son anus. Les mains de son amant palpent de nouveau les formes de la jeune femme, elle se redresse un peu qu’il puisse lui saisir les seins. Le mandrin se redéveloppe bien vite.
Julie sent son intestin s’élargir, il est inépuisable cet homme. Cette fois, elle reste allongée, Éric se lève sur les avant-bras et se remet à explorer l’adorable fessier de sa compagne. Julie se réjouit qu’il n’ait pas enlevé son sexe entièrement, ainsi la sodomie ne représente aucune douleur de pénétration. Éric place les mains sur les fesses de Julie, profitant de leur moelleuse douceur. Il reprend l’exploration de l’anus pour une seconde visite, voire s’il n’a pas oublié un endroit. Par conséquent, il reconnait bien le chemin et l’empreinte au pas de course. Julie apprécie encore plus la seconde sodomie de la journée, aucune douleur, la verge ayant gardé son anus dilaté. Éric y va franchement, oubliant que cet endroit vient juste d’être déniaisé. Il se meut sans délicatesse à grands coups de rein, son ventre claquant les fesses qui rougissent sous l’assaut.
Julie glisse une main entre ses cuisses pour se caresser et sentir la queue qui investit son fondement. Éric adore la manière qu’elle a de lui caresser le gland au travers de son périnée, il découvre cette stimulation géniale. Julie s’en aperçoit vu la manière qu’il la prend plus fort, elle accentue la pression de ses doigts sur le passage du gland et le frein, le gémissement d’Éric lui fait comprendre qu’elle a touché juste. Contente d’elle, la jeune femme pratique comme une masturbation interne. Le résultat, Éric ivre de plaisir l’insulte comme la dernière des prostituées.
— Oh salope, c’est impossible, tu fais le tapin en sortant du bureau, tu travailles dans un bordel anonymement pute. On ne m’a jamais donné autant de plaisir, même avec les escortes tarifées.
Julie apprécie la comparaison de ses caresses avec celles de professionnelles, elle pense,« je ne suis pas si ringarde que ça ». Motivée, elle prend le relais en vulgarité.
— Tu es bien dans mon cul salop, j’aimerais que vous soyez plusieurs à me bourrer le cul et la chatte, être salope sans tabous, que vous me crachiez votre venin chacun votre tour dans tous mes trous.
La vulgarité de cette chic bourgeoise qui s’encanaille excite fortement son compagnon.
— Si tu veux d’autres hommes dans ton cul ce ne sera pas dur d’en trouver salope, je profite bien de ton corps et bientôt ton souhait se réalisera.
Les deux amants se stimulent d’injures, de propositions plus glauques les unes que les autres et cela aboutit à un splendide orgasme pour Julie, et une déflagration spermée pour Éric. Les deux tourtereaux épuisés par la jouissance intense qui les a terrassés se désunissent pour se mettre sur le dos et reprendre leur souffle.
— C’est bien la première fois qu’une femme me fait juter ainsi, proclame Éric.
Julie à bout de souffle, dégoulinante de sperme lui répond.
— Je n’aurais jamais pensé que jouir ainsi était possible, surtout par la sodomie, mon chéri, tu m’as vraiment initiée à cette pratique, je t’adore.
Éric lui demande quand même.
— Lorsque tu as dit que tu souhaiterais te faire prendre par plusieurs hommes, c’était l’excitation ou vraiment un désir ?
Julie qui en jouissant disait n’importe quoi, n’ose lui dire qu’elle a souvent fantasmé cette chose, aussi noie-t-elle le poisson en lui disant.
— Sûrement un délire, mais cela doit être bizarre de sentir plusieurs hommes te prendre, j’ignore ce qu’une femme peut ressentir dans une telle situation ?
Éric reste songeur, elle a encore beaucoup de choses à apprendre avec cette adorable femme.
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