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Une femme bien sous tous rapports

Chapitre 7

Plaisirs Africains

Avec plusieurs hommes
Une femme bien sous tous rapports 7
Julie repense à son cauchemar, ou rêve selon… En prenant sa douche, elle frotte sa minette, les images de son rêve reviennent, bien qu’elle éprouve un relatif dégoût de repenser au gros Serge qui la prend et l’offre à des amis douteux la fait mouiller. Elle frotte plus fort son minou au moment où Éric entre dans la salle de bains. Julie, les yeux fermés, astique son abricot avec fougue, gémit et soudain la fontaine se met à gicler de son minou, comme un long pipi, cuisses ouvertes à demi accroupie, elle en pleure presque tellement l’orgasme est puissant. Quand elle ouvre les yeux, elle aperçoit Éric qui l’observe le sexe dressé.
— Eh bien ma chérie, il va falloir faire quelque chose, ou tu réalises ton fantasme ou tu vas finir par faire une dépression. Chaque fois que tu verras Serge, tu vas inonder ton tanga, bientôt, tu devras mettre un tampon ou des couches. Julie se sent honteuse devant son amant, mais elle ne peut pas nier la situation. — Je ne peux pas coucher avec le gros Serge, cela finirait par se savoir, bien qu’il me dégoute, il faisait partie de mon rêve. Tu as pu voir l’effet sur les draps.— Éric est d’accord avec elle, ce serait dangereux, aussi fait-il une proposition à Julie.— Que dirais-tu d’aller un soir dans un coin de mateurs et d’aller progressivement vers ton rêve ? Je louerai une voiture afin que le numéro ne mène pas à nous, tu iras à ton rythme, pour essayer avec plusieurs hommes, de plus dans ces coins-là, tu ne rencontreras pas de beaux hommes, surtout de vieux pervers.
Le plan d’Éric lui plait bien, elle lui pose la question.
— Que penseras-tu de moi, que je suis une grosse salope ou une chienne en chaleur, et ensuite me laisser ou te servir de moi pour me donner à d’autres ?
Éric la rassure et lui avoue son amour.
— Rien de tout ça, ma chérie, juste que tu as un fantasme, que tu dois le réaliser, ou vivre toute ta vie avec des regrets. Comme je souhaite te voir épanouie, comblée, je tiens à ce que tu franchisses ce cap, et jamais, je ne te ferai faire des choses auxquelles tu ne tiens pas.
Julie est ravie d’entendre son amour raisonner ainsi, et lui dit qu’elle approuve. En revanche, il s’occupe de tout, et qu’elle se sent en confiance avec lui. Sur ces sages décisions, Éric appuie sur les épaules de Julie, qu’elle se mette à genoux, pas besoin d’expliquer à la jeune femme ce qu’il attend d’elle. Éric s’émerveille sur la fellation que lui prodigue Julie, chaque fois, elle varie et devient vraiment une pipeuse de première classe, bien que l’homme éjacule énormément, Julie désormais ne se fait plus surprendre par l’intensité des jets. Elle arrive à tout absorber, en laissant un peu dans sa bouche pour montrer à son amant le résultat de sa jouissance, en recrache un peu sur ses seins en longs filets, puis avec un Gloup avale le reliquat de jus.
Les deux amants discutent de leur projet, Éric propose le club échangiste à côté de Lorient de à Landevant « Le clos de Ninon ». Julie lui oppose que quelques clients et cadres de l’entreprise de son père y viennent parfois, et que son père l’apprendrait vite.
Il y a le « Bilitis » dans les côtes d’Armor, à cent soixante-quatorze kilomètres ce club réputé de bonnes tenues devrait faire l’affaire pour une première fois. Éric a pensé aussi à amener Julie dans un coin mateurs pour la dévergonder un peu, mais pour commencer un club échangiste devrait être plus intime. Julie après avoir regardé sur internet la réputation de ce club approuve cette idée, et perfide demande à son amant s’il y est souvent allé et avec qui ? Éric évasif lui dit qu’il n’est allé qu’au « Clos de Ninon » avec deux secrétaires de la boite. Julie, guère jalouse, mais curieuse, lui fait raconter comment cela s’est passé et quelles étaient les secrétaires. Quand Éric lui dit les noms des femmes en question, Julie tombe des nues. Sandra, une stagiaire de 19 ans, rousse pulpeuse avec de merveilleux yeux vert émeraude, inabordable pour les hommes de son service, et son amant avait réussi à coucher avec et l’amener dans un club échangiste.
Puis Nicole, une femme mariée de quarante ans, maman de deux beaux enfants, qui affichait un bonheur sans partage avec son mari, salope, elle trompait son homme et allait se faire sauter dans une boite échangiste ? Julie n’en revenait pas, sûrement pour cette raison qu’elle ne prenait jamais ses vacances avec son mari prétextant un surcroit de travail. Julie curieuse lui fait raconter ce qu’elles aimaient quand elles baisaient. Éric souhaiterait rester discret, mais comment résister à une aussi magnifique femme nue qui le caresse, frotte sa belle poitrine contre son torse, et dont il aperçoit le splendide fessier dans la glace de l’armoire. Il s’épanche sur leurs préférences sexuelles, la manière qu’elles avaient dans la boite échangiste, Sandra aimait les hommes matures de couleur, Nicole plutôt le genre assez jeune. De se raconter, Éric s’excite, sa queue dressée dans la main de Julie est dure comme de l’acier.

Julie le masturbe lentement en l’obligeant à faire des confidences plus qu’intimes sur ses aventures avec ces deux femmes. Elle sent sa queue tressauter quand il lui raconte comment il a réussi à coucher avec les deux simultanément, à les faire gouiner avant de les prendre. Éric se tait, gémit. Julie voit un gros jet de sperme atterrir sur ses seins. Puis les suivants lui couler sur la main, rien que de repenser à ces deux femmes en train de se brouter lui a ôté toute envie de se retenir de jouir. Julie le masturbe jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte, lèche la main, ses seins qu’elle n’a aucun mal à mettre contre sa bouche, puis embrasse son amant pour partager son jus. Ensuite, elle demande à Éric de la lécher, il accepte que si elle lui raconte ses parties de jambes en l’air avec ses deux amants. Julie ne se fait pas prier, et lui raconte comment elle s’est fait dépuceler le jour de son bac par son sex friend.
Soirée arrosée et enivrée, elle n’a pas protesté quand il a fouillé dans sa petite culotte, la première fois qu’un autre doigt que le sien jouait avec son clito. Bien masturbée pendant que leurs langues s’enroulaient, elle lui avait sorti la queue, car pour le calmer, elle le masturbait souvent, ou le suçait sans jamais avaler. Cette fois, lorsqu’elle l’a sucé, le jeune homme a joui immédiatement et elle n’a pas pu éviter d’en prendre plein la bouche. Le goût ne lui a pas déplu et depuis elle a toujours tout avalé. S’est ensuivi la mise à nu, il a rapidement rebandé et cueilli sa petite fleur avec délicatesse. Julie en revivant ce moment cède aux coups de langue d’Éric et lui inonde le visage de cyprine, il n’en laisse pas une goutte et lape le nectar sortant de la belle ruche. Ils rient de ce qui vient de se produire, raconter leurs histoires passées et en jouir incroyable, ils se promettent de se raconter d’autres épisodes de leur vie sexuelle.
La nuit se déroule comme habituellement, Éric a envie de pipi et en revenant des Wc la queue raide, il enfourne l’abricot de Julie qui feint de dormir, et se retient de gémir quand il se répand en elle. Julie se rendort farcie de sperme comme une dinde de marrons au jour de l’an. Le matin ce ne sont que bisous, caresses qui tournent au pelotage et petit ramonage de la minette encore pleine du jus qu’Éric lui a injecté durant la nuit. Sa queue bien que dure et grosse glisse aisément dans l’abricot pré-lubrifié de la jeune femme qui adore le petit coup du matin avant le petit déj. Éric ne lui jouit pas dans la chatte le matin, il se retire au moment de cracher son venin et vient se vider dans la bouche grande ouverte de son amante. Lui précisant que ce sont ses vitamines du matin aussi riches que son jus d’orange, vitamine C et B12, potassium, magnésium. Par conséquent, Julie absorbe les vitamines produites par les testicules de son amant, pas besoin d’ordonnance.
Ensuite douche ensemble, petit câlin sous l’eau chaude, et enfin s’habiller pour partir chacun de son côté au bureau. Ils arrivent chacun son tour, Julie la première, le personnel commence à jaser, Julie est plus ouverte, plus souriante, et toujours plus sexy que jamais, ce qui fait rêver tous les hommes et certaines femmes du service. Les frôlements de mains avec Éric, leur sourire complice laisse peu de doute, surtout qu’Éric ne drague plus aucune secrétaire. Les deux tourtereaux se moquent de qu’en dira-t-on, personne n’osera exprimer quoique ce soit sur la fille du grand directeur. La journée finie, cela se passe comme le matin, Julie part la première, Éric traine une petite heure et va vite la rejoindre chez elle où il est installé désormais. Il sait trouver Julie nue en arrivant et va la prendre à même le sol, une journée l’un à côté de l’autre sans rapport est long.
D’ailleurs, que ce soit elle ou lui, ils se masturbent dans les toilettes pour se calmer. Éric arrive à la maison et est surpris de ne pas voir Julie nue sur le canapé l’attendant. Il fait le tour de la maison et l’aperçoit qui tapote sur son ordi. Julie est allongée sur l’herbe sur une couverture, entièrement nue sur le ventre. Son magnifique fessier rebondi ressemble à une colline fendue en leur milieu, rien que ce spectacle provoque une érection à Éric. L’amant s’approche de son adorable jeune maitresse et s’agenouillant lui caresse les fesses, Julie se tortille et soulève son cul pour le mettre pleinement en valeur. La jeune femme sait pertinemment qu’elle a un beau cul et des seins de rêve et n’hésite pas à en jouer. Elle se retourne sur le dos, ses mamelles s’affaissent à peine sous leur poids, ses tétons restent bien centrés et regardent le ciel.
Julie écarte légèrement les cuisses, découvrant son abricot lisse comme une boule de billard, ce charmant fruit fendu laisse tout juste apparaitre deux fines lèvres finement ourlées de rose.
— Que cherches-tu sur ton ordi ma chérie, questionne Éric tout en malaxant les splendides nichons ?
Julie lui montre une page de recherche pour des soirées privées entre couples ou pluralité masculine.
— Je pense que c’est un peu risqué les clubs échangistes, dans une soirée privée peu de chance que l’on rencontre des connaissances.
Éric se dit que son amante est chaude pour donner son minou à d’autres et qu’il faut en profiter avant que le soufflé ne retombe. Plusieurs annonces sur le site retiennent leur attention. Ils arrivent après discussions à retenir une annonce. D’un certain « Démonte pneu » le pseudo les fait rire. Soirée Antillaise ouverte à toutes et tous, grande maison, piscine, punch à volonté et menu antillais. L’idée de Julie se faisant prendre par des noirs excite au plus haut point Éric, le contraste de couleur doit être magnifique, et lui se voit bien manger une belle minette blackette qui une fois ouverte montrera un gracieux corail rose. Il n’a jamais comme Julie eu de rapport avec une black. Les deux amants sont tout excités à l’idée de participer à cette soirée et ils se le prouvent aussitôt dans le jardin. Une baise brève et intense, sans qu’ils sachent un instant que le vieux voisin les mate.
Un petit trou dans la haie fait par ses soins pour épier la petite Julie souvent nue, il prend quelques photos sur lesquelles il se masturbe souvent. Si Julie savait les couches de sperme qu’elle a sur le visage dans l’album du vieux, elle en rougirait. Leur petite affaire finie, les deux amoureux mains sur les fesses regagnent la maison pour se doucher. Ensuite, ils répondent à l’annonce, une photo d’eux, visage flouté, tenue sexy pour Julie, lui en boxer. La réponse est immédiate et positive, juste une chose, ils seront le seul couple blanc de la soirée, cela les dérange-t-il ? Julie sans consulter son homme répond qu’aucunement.
— Tu sais ma chérie que tous ces noirs vont passer dans la minette et plus si affinités vu le cul que tu as, tu n’as pas peur ?
Julie est honnête et lui avoue.
— Si je suis morte de peur, mais ça me fait tellement envie de me sentir prise par plusieurs blacks, tu penses que je vais leur plaire ?
Mort de rire, Éric lui dit.
— Ma chérie, tu as vu le corps que tu as ? En plus, sans te vexer, tu es vraiment salope au lit, tu vas prendre cher mon amour.
Julie se soupèse les seins, se tâte les fesses et reconnait qu’elle est plutôt bien foutue et devrait convenir aux assauts blacks. Le rendez-vous est pris pour le samedi soir, avec possibilité de coucher sur place. Le jour J arrivé, Julie enfile un string vert pomme, un soutien-gorge de même couleur dont elle pourrait se passer vu la fermeté de sa grosse poitrine. Elle opte pour une courte robe arrivant au ras de ses fesses, couleur verte et fendue jusqu’à l’élastique de son string. Pour Éric, c’est plus simple, polo, jeans sans boxer, il aime sentir le frottement du rude tissu sur sa queue, ça le maintient semi-bandé. Le rendez-vous se situe à PLŒMEL, un tout petit village vers CARNAC. Une cinquantaine de kilomètres de chez Julie. Pendant la route, ils n’échangent que des banalités, la tension se sent chez Julie. Le GPS leur dit de tourner à droite et ce sera l’arrivée vingt heures tapantes comme prévu.
Une grille forgée noire, Éric klaxonne, elle s’ouvre, cent mètres plus loin sur un chemin de gravier, une belle maison de style, la piscine devant et un grand parc boisé, le tout avec des murs de deux mètres de haut. Deux gros molosses se précipitent vers la voiture, les deux amants n’osent pas descendre vu le sourire des chiens qui découvre de magnifiques dents blanches pointues. Un grand noir sur le pas-de-porte lance un cri, aussitôt les chiens arrêtent d’aboyer, il fait signe à ses invités de descendre. Julie craintive se colle à Éric, les chiens les suivent en jappant, un se permet de mettre sa truffe sous la robe de Julie et lui donne des coups de langue sur les fesses. La jeune femme frissonne sous le câlin canin. L’image brève d’un film de zoophilie qu’elle a vu lui traverse l’esprit. Arrivés au perron, le grand black serre la main d’Éric et baise la main de Julie de ses grosses lèvres.
— Je me présente « démonte pneu », ce pseudo est relatif à la taille de mon pénis, dit-il avec un sourire vers Julie.
Cela promet, se dit la jeune femme, en se demandant combien mesure un démonte-pneu, vu le peu de connaissance en mécanique. Le noir qui se nomme en réalité Moussa les fait entrer au salon où se trouve déjà deux autres hommes dans la cinquantaine, et une toute jeune fille noire, cheveux très courts, des yeux de biche. Elle porte une robe de soie rouge assez courte pour voir qu’elle a de splendides cuisses fines. Des tétons pointus tentant de percer l’étoffe de la robe et fait assez rare, la couleur de ses yeux est verte, lentilles ou pas, c’est superbe. Julie s’aperçoit qu’Eric ne la quitte pas des yeux. Une petite pointe de jalousie la traverse, mais finalement ne sont-ils pas là pour libertiner en groupe ? Moussa présente les convives aux arrivants, ses deux oncles sénégalais et la jeune, l’épouse de son oncle arrivée récemment en France. Devant l’étonnement de Julie, il avait dit être antillais, il s’explique.
— Nous sommes sénégalais, cependant dans l’annonce, je me dis antillais pour ne pas affoler nos invités soupçonneux vis-à-vis des Africains. Si cela vous dérange, nous prenons un verre et au revoir. Julie et Éric qui n’ont aucun préjugé déclarent s’en moquer. Julie et la jeune fille s’embrassent sur les joues, les deux oncles en font de même en revanche plutôt aux coins des lèvres de Julie. Puis Moussa leur propose de prendre un punch. Julie voit Moussa parler à voix basse à Éric, mais trop éloignée pour entendre. La jeune blackette prénommée Désirée sert le punch dans de grands verres. Julie fait une grimace en buvant, c’est bien plus fort que ce qui se vend en supermarché, Moussa lui avoue avoir des amis antillais qui le fournissent en rhum. Les hommes en boivent plusieurs, l’atmosphère est détendue, Julie fini son verre et se sent toute désinhibée, quand l’oncle de Désirée lui pose la main sur la cuisse largement découverte, elle se contente de sourire. Moussa invite Éric à visiter le parc avec Désirée, ce qu’Éric accepte immédiatement. Désirée le prend par la main en collant son corps menu contre lui, fait un petit signe de la main, un clin d’œil à Julie et ils sortent, laissant Julie seule avec trois hommes. Julie a eu le temps d’apercevoir le petit popotin bien rond de Désirée onduler sous la soie de la robe, elle pense qu’Éric ne va pas s’ennuyer avec ce qu’elle pense être une petite hottie. Seule avec les trois hommes, Julie se sent un peu perdue, Moussa lui ressert un verre de punch, elle veut refuser, mais les trois hommes insistent se disant vexés si elle ne trinque pas avec eux. Julie se laisse convaincre bien qu’elle se sente un peu grisée. Les hommes la félicitent sur sa plastique, vont même lui demander si ses seins sont refaits ou naturels. Ce à quoi Julie en se les prenant à pleines mains les soulève et leur dit qu’elle ne possède pas un gramme de silicone en elle. Les hommes, sautant sur l’occasion, ne mettent pas en doute sa parole, mais réclament s’ils peuvent vérifier. Julie qui commence d’être un peu ivre n’a plus aucune retenue et les autorise à tâter. Moussa qui dirige le groupe les prend en main, les fait bouger, les malaxe, roule les bouts à travers la robe et confirme que, pour lui, ce sont des naturels. Les autres objectent que trois expertises valent mieux qu’une. Alors, se lèvent-ils, et viennent tour à tour peloter les deux belles mamelles qui commencent à durcir sous les caresses. Moussa s’adresse à elle et lui dit.— En ce moment Désirée doit pomper la queue de ton ami, tu devrais te venger en faisant pareil et en triple.
En disant cela, il baisse son jogging et stupeur de Julie, elle découvre la taille d’un démonte-pneu masculin. Moussa voyant sa stupeur lui annonce fièrement vingt-huit centimètres.
— Touche, c’est comme tes nichons de la chair uniquement. Et, il s’avance pour que Julie vérifie.
Impressionnée, la jeune femme avance la main, saisit l’objet, ses doigts n’en font pas le tour, le fait sauter dans sa paume et tel un serpent la chose se dresse. Le gland circoncis se développe, il est encore plus énorme. Julie prend peur en pensant que cette chose ne rentrera jamais dans sa charmante minette, elle aimerait qu’Éric revienne, mais elle se doute qu’avec le petit canon de Désirée, elle n’est pas près de le revoir. Julie détourne son regard du monstre et voit les deux tontons qui ont sorti leurs queues, moins grosses que celle de Moussa, toutefois de sacrés mandrins quand même. La jeune femme panique un peu, et pourtant elle n’a aucune envie de s’enfuir, elle a gardé dans la main la grosse bite de Moussa et sans s’en apercevoir le masturbe gentiment. La chose bandée est impressionnante. Moussa lui demande.
— Veux-tu que l’on s’isole ou bien préfères-tu que l’on s’occupe de toi ensemble ?
Julie ne sait que répondre, passer pour salope, ou s’isoler avec Moussa qui risque de la déchirer ?Elle se sent plus en sécurité avec les trois. Ainsi, elle leur fait part de son choix à leur grande joie. Moussa approche sa queue près de sa bouche, le premier gland circoncis de sa vie se colle à ses lèvres, elle lèche du bout de la langue, puis prend ce qu’elle peut en bouche, un coup à se déboiter la mâchoire. Les deux autres font glisser la fermeture de sa robe et lui dégage la poitrine, l’agrafe de son soutien-gorge est défaite et laisse apparaître la merveilleuse paire de nichons qui tremblent à peine en étant libérés. Les mains noires se promènent sur la peau laiteuse de la jeune femme, tout en suçant juste le gland de Moussa, le seul morceau qu’elle peut absorber, elle observe les peaux sombres qui glissent sur sa peau. Elle adore le contraste. Moussa la fait se lever afin de lui ôter sa robe, obéissante, elle s’exécute et l’enlève elle-même, et sans que les hommes lui demandent, elle fait glisser son string et leur lance au visage, le rhum a fait son œuvre.
Julie ivre devient salope, les mains s’égarent sur ses fesses, s’insinuent dans le sillon, un doigt titille sa rondelle pendant que Moussa colle ses grosses lèvres sur la bouche de Julie qui est aux anges d’être caressée par trois beaux blacks. Elle ignore lequel lui écarte les fesses et lui dévore sa rosace, non plus celui qui visite son vagin avec deux doigts, toujours est-il qu’elle se donne entièrement à eux. La queue de Moussa est dure comme de la pierre. Il ordonne à la jeune femme de le sucer de nouveau. Julie se met à genoux et absorbe le maximum de la queue de Moussa, une bonne dizaine de centimètres lui bouche le clapet, Moussa lui tient la tête et s’enfonce un maximum faisant déglutir Julie qui en a les larmes aux yeux. Un des oncles demande à Moussa.
— When do we fuck this white whore, demande un des deux oncles en anglais.
Julie parle couramment l’anglais, elle sait donc qu’elle va bientôt avoir une belle queue noire dans son petit réceptacle. Moussa en français dit aux deux hommes.
— Tirez au sort qui va la baiser en premier, moi, je la prendrai quand vous l’aurez bien ouverte.
Julie reconnait ce côté gentleman british rempli de délicatesse. Peu lui importe qui la prendra en premier, elle sait que tous lui honoreront son minou. En revanche, c’est plus prudent pour la santé de sa minette de subir l’assaut de Moussa une fois bien préparée. Elle se retrouve allongée sur la table basse, Moussa lui prend les pieds et mets les jambes en l’air pour bien proposer son abricot à la vue des deux hommes qui s’extasient sur le minou lisse sans l’ombre d’une pousse de poil. Lisse comme un nouveau-né, eux sont plutôt habitués à des minous ornés de poils crépus et rêches. Le premier lui mange les seins pendant que l’autre, s’alimente avec sa minette, Julie voit le crâne chauve de celui qui lui dévore les nichons. Elle se tord de plaisir quand la langue du bouffeur de minette entre en contact avec son bourgeon érigé, un artiste, il lui aspire, mordille, lèche le clito tout simultanément, elle va pour crier son bonheur, hormis que la queue de Moussa vient lui bâillonner la bouche.
Son petit corps pris par les trois hommes réagi, sa chatte mouille abondamment, ses tétons sont dressés comme des cornes d’escargot. Toutes ses zones érogènes sont sucées, mordues, doigtées.
— Je pense qu’elle est prête pour vos bites les hommes, à vous d’engrosser cette chienne blanche. Julie ne se rebelle pas, mais soudain regrette de ne pas prendre la pilule. Il est trop tard, elle n’a pas prévu qu’ils n’utiliseraient pas de préservatif, elle est trop excitée et ivre pour se rebeller. Bien léchée, tripotée, elle n’a qu’une envie qu’un des hommes s’enfoncent en elle. Elle n’ose pas réclamer, mais le fait comprendre à celui qui lui embrase le clito en donnant des coups de ventre contre ses dents. Il arrête de la lécher et dit à Moussa en anglais qu’il va lui remplir le pussy. Le pantalon sur les genoux, il s’approche de sa proie, pose son gland sur la fente bien entrebâillée, et d’un seul coup de rein s’enfonce au fond de son vagin. Julie pousse un cri qui s’étouffe sur le gland de Moussa qui lui obstrue la bouche. Le zob n’a aucun mal à la pénétrer, vu le lubrifiant qui enduit les parois vaginales de la jeune femme. Le gland malgré tout lui a écarté brusquement les chairs. Quel délice pour Julie de sentir ce mâle lui besogner sa minette, elle jouit pratiquement sur le champ, lui continue de lui pulvériser sa chatte de salope, fier de l’envoyer au septième ciel sous ses coups de mandrin. Julie, bien qu’ayant peur de se retrouver enceinte d’un black, est pressée de le sentir jouir en elle. Encore quelques coups de boutoir et il gicle en elle, pendant que Moussa lui inonde la face et la gorge. Julie n’a pas le temps de profiter de son orgasme que déjà le second prend possession de sa minette. c’est le délire de la jeune femme, pour une première, c’est le pied, à peine a-t-elle joui qu’un autre homme l’enfile. Julie prend les coups de bite avec un immense plaisir, à cet instant, elle aimerait qu’ils soient davantage. Elle reprend aussitôt du plaisir en inondant la queue noire qui la laboure. Elle crie son bonheur, l’encourage à la défoncer encore plus profondément. Le black la prend par les hanches et lui envoie sa seconde ration de sperme de la soirée. Julie est ivre, mais pas par l’alcool, par la jouissance. Une fois vidé, le noir se retire en envoyant quelques gouttes de sperme sur le ventre de la jeune femme. Elle est épuisée et pourtant le plus dur arrive. Les yeux mi-clos, Julie voit Moussa le mat en l’air s’approcher de la table. Julie a un geste pour se cacher la chatte de la main.— Elle est trop grosse ta queue Moussa, ça ne rentrera jamais dans mon minou !
Moussa éclate de rire et la rassure, du moins un court instant.
— Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te la rentrer dans ta minette, surtout après que ces deux porcs t’ont remplie de foutre. Je préfère te la fourrer dans ton adorable cul, au moins tu me sentiras bien !
Julie le rembarre et veut partir, mais les deux blacks la saisissent, et la mette sur le ventre sur la banquette. Elle a beau se débattre, ils sont bien trop forts pour elle. Julie crie et appelle Éric de toute la force de sa voix, mais rien ne se passe. Moussa lui dit.
— Ton chéri doit sûrement se faire le petit fessier de Désirée, il ne t’entendra sûrement pas ou il n’y prêtera pas attention.
Un des hommes glisse un coussin sous le ventre de Julie afin que ses splendides fesses soient bien en l’air. Moussa demande à un des hommes de lui donner un tube de vaseline.
— Comme tu le vois ma beauté, je ne suis pas un sauvage, ton cul va être si bien préparé que tu vas en redemander.
Ce dont Julie doute, vingt-huit centimètres et un diamètre hors catégorie, ce n’est sûrement pas un format idéal pour un petit trou même bien accueillant. Soudain, elle se croit sauvée, Éric revient la queue pendante entre les jambes, la robe de Désirée sur le bras, Désirée nue est superbe, deux petits seins pointus en poire, des mamelons violacés, un petit tablier de sapeur noir corbeau, taillé finement en un mignon triangle. Ses fesses rondes et rebondies ont sûrement dû intéresser ce coquin d’Éric. Elle lui expose son cas, lui demande de dissuader Moussa de la sodomiser.
— Écoute ma chérie, ils viennent de me donner leur nièce, je ne peux pas ensuite leur dire que tu es venue en dilettante. Tu as voulu venir, il te faut assumer, sinon on va passer pour des ploucs, allons chérie fait un effort, salope comme tu es, tu vas aimer ça.— Salop, tu as vu la queue qu’il possède, il va me déchirer pendant que tu baises cette jeune pute.
Éric énervé prend Désirée par la main et monte vers les chambres.Julie d’un coup se sent très seule. Moussa rigole et explique à Julie.
— Tu as vu comment Désirée est foutue, ton copain sait que tu vas y passer de toute manière, alors sois coopérative et tout se passera bien, veux-tu que mes amis t’ouvre un peu le cul avant que je le fasse, je suis correct avec ton splendide cul blanc. Demande et j’approuve que les autres passent avant moi.
Julie a un dilemme, demander que deux hommes lui bourrent son adorable cul pour qu’ensuite un surdimensionné puisse tranquillement y circuler. Julie réfléchit vite et accepte la proposition de Moussa. Éléphant man lui propose d’aller rejoindre son copain dans les chambres pour être plus à l’aise sur un lit. Julie accepte, curieuse de voir Éric avec Désirée. Moussa demande à Julie si elle souhaite aller dans la même chambre que son ami. Elle accepte et voit son homme derrière Désirée en levrette lui enfiler allégrement le cul, il met de grandes claques sur les fesses qui rosissent bien que la peau soit mate.
— Tu ne peux pas savoir comment je suis bien dans le cul de cette jeune chienne ma chérie, c’est un régal, on devrait la faire embaucher dans l’entreprise !
Julie voit une rivale dans cette jeunette, elle va devoir surveiller son volage amant.Rageuse, elle se met en levrette près du couple et dit.
— Lequel commence à m’enculer ? Dépêchez-vous, j’ai une grosse envie de sentir vos queues dans mon cul !
Un des hommes prend le tube de vaseline, lui met franchement dans l’anus et appuie dessus. Julie sent le froid du produit envahir son anus. L’homme enfile un doigt, étale la vaseline à l’intérieur, puis enduit la rondelle de la jeune femme. L’homme élargit la rosace de Julie avec deux doigts puis pose son gland et lentement glisse en elle. Cela force, mais reste supportable, même plutôt agréable. Désirée qui est face à Julie gémit sous les coups de rein d’Éric. Julie voit le visage ravagé de plaisir de la jeune fille et ne peut pas s’empêcher de poser ses lèvres sur celle de Désirée. La jeune fille ouvre la bouche et mêle sa langue à celle de Julie, un long baiser les unis. Toutes deux sodomisées s’embrassent en gémissant. Éric encule Désirée avec douceur, celui de Julie brutalement, il ne tarde pas à éjaculer dans le fondement de la jeune femme, se retire aussitôt remplacé par le second.
Julie sur la seconde sodomie prend un pied d’enfer, l’homme est plus habile que le précédent, il prend son temps, s’enfonce, ressort entièrement puis se renfile dans la pastille bien dilatée, chaque fois qu’il replonge Julie émet un râle de bonheur. Éric face à elle prend du plaisir, avec sa queue dans le petit cul de Désirée et avec les yeux de voir le vieux noir se mouvoir dans le cul de sa chérie.
— Tu aimes ça amour prendre plein ton cul, tu es complètement salope ma Julie, elle le regarde de façon reconnaissante de lui avoir permis de vivre ce moment-là. La seconde aspersion de son intestin se produit quand elle subit un orgasme terrible, son corps est secoué de spasmes violents, elle crie, déchire les draps tant elle se crispe dessus. Les doigts de son sodomiseur sont plantés dans ses fesses, les ongles de l’homme meurtrissent sa chair et pourtant elle jouit. Quand l’homme se retire de son anus, le sperme ressort par saccades comme la lave d’un volcan en éruption. Son anus largement ouvert se rétracte au ralenti. Avant qu’il ne se referme entièrement, Moussa pose son gland dans le sperme de ses amis et force de nouveau le petit trou avant qu’il ne se referme complètement. le gland réussit à s’introduire dans l’anneau qui se contracte sur lui. Moussa pousse, Julie la bouche grande ouverte n’arrive pas à sortir un cri bloqué dans sa gorge. Moussa avec un rire sadique lui dit.— Tu vas enfin savoir ce que c’est de se faire enculer par une belle bite salope.
En commentant, il fait pénétrer son gland plus loin, le cercle de défense est enfoncé, la dernière ligne de défense est vaincue, il faut maintenant accepter l’effraction de son anus. Lentement, la queue énorme de Moussa gagne du terrain, ce qui semblait impossible à la jeune femme se produit d’un seul coup, son intestin se dilate, les vingt-huit centimètres pénètrent entièrement dans le corps de Julie. Les autres en spectateur n’en reviennent pas qu’un tel membre disparaisse dans ce petit trou, la rondelle de Julie est distendue à l’extrême. Le visage de la jeune femme est livide, les yeux grand ouvert laisse penser qu’elle est morte. Puis, elle revit quand Moussa commence à se mouvoir en elle. d’abord, de petits cris, comme un bébé qui pleure, puis des gémissements qu’Éric connait bien, ceux qui annoncent le début d’un orgasme, Éric devant cette scène torride rebande, il bascule Désirée sur le lit et la prend sauvagement. Il entend à peine la voix de Moussa qui lui dit.
— C’est le meilleur cul de salope que je me fais, c’est une vraie pouffiasse ta femme. jamais je n’en ai fait jouir en les enculant, une sacrée nympho cette chienne avec son air de bourgeoise, tu devrais lui faire faire le tapin !
Julie entend, mais rien ne peut la détourner du plaisir de ce baobab qui lui ramone l’intestin, elle finit par pousser un cri rauque et s’évanouit tellement la jouissance est forte, Moussa n’en tient pas compte et la lime jusqu’à ce que sa queue libère des milliards de spermatozoïdes dans les entrailles de la jeune femme inerte. Il se retire de son cul, c’est impressionnant, son anus est dilaté comme la largeur d’un fond de verre, ce qui parait être une offrande pour les deux autres blacks qui s’empressent de sodomiser une nouvelle fois Julie qui revient doucement à elle, elle ne sent même pas les queues se succéder dans son cul, tant il est distendu et lubrifié.
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