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Une femme se découvre

Chapitre 2

le shopping

Travesti / Trans
Nous y étions, nous voilà toutes les deux à arpenter le centre commercial. Nous avons commencé par une enseigne pour le moins féminine de lingerie, Sandrine m’a fait acheter des basiques, mais aussi quelques ensembles en dentelle. Je trouve que cela fait beaucoup, mais elle insiste, je suis tellement mal à l’aise que je ne discute pas. Nous avons ensuite changé de magasin, on entre dans un magasin de collants, je n’imaginais pas qu’il puisse en exister autant. Sur les conseils d’une vendeuse, je prends des collants opaques, des fins, des collants à motifs. Bref, je sors avec une douzaine de paires. L’addition commence sérieusement à grimper, mais ce qui m’attend par la suite est pire. Une réelle épreuve pour moi, un magasin de fringues, déjà rien que d’y rentrer, je suis rouge pivoine. Sandrine m’abandonne dans les rayons, me disant de choisir ce qui me plaît le temps qu’elle aille aux toilettes.
Je suis donc là à regarder les vêtements quand une vendeuse de mon âge me demande si je veux de l’aide.
— Bonjour, ben je suis un peu perdue.— Je vois ça, vous tournez dans la boutique depuis 20 minutes et on voit que vous êtes nerveuse.— J’ai des soucis pour choisir quelque chose.— Je peux sûrement vous aider, alors vous voulez quoi, une robe, une jupe un pantalon ?— Je voudrais bien un pantalon.— Jeans ou classique ?— Un jean.— OK alors skinny, droit, évasé ?— De quoi ?— La coupe, plutôt près du corps ou large ?— Large.— Avec votre silhouette, vous devriez plutôt prendre une coupe serrée.— Je ne sais pas, je n’ai pas l’habitude.— Vous êtes plutôt robe.— Oui.— Bon je vais vous faire essayer un modèle vous me direz ce que vous en pensez.— OK.— Vous faites quelle taille ?— Je ne sais pas.— Vous ne savez pas ?— Non aucune idée.
— Je dirais 34/36, venez on va regarder.— Je vous fais confiance.— Merci.
Elle prend deux jeans dans un rayon et me demande de la suivre. Nous sommes allés vers les cabines.
— Vous avez un haut pour essayer le jean ?— Non.— Commencez à vous changer, je vous apporte ce qu’il faut.— Merci.
Après plusieurs contorsions, je réussis à défaire la robe, me voir en collant et soutien-gorge dans le miroir de la cabine me fait étrange, mais que ce corps est joli. Je suis dans mes pensées quand la vendeuse me demande si ça va.- Je passe le jean.
— Tenez.
Elle me passe par le côté du rideau un top rose avec de la dentelle. Je me rends compte que j’ai les seins qui pointent et ma culotte devient humide. Une boule de chaleur monte dans mon ventre. Ces sensations étranges sont très agréables. Je me rends compte que la situation est en train de m’exciter. J’enfile le top et me regarde dans la glace. Le jean me moule les fesses, le top un peu court laisse entrevoir le bas de mon ventre lisse. C’est une vision des plus sexy.
— Vous permettez ?— Pardon ?
Avant que j’aie eu le temps de répondre, le rideau s’écarte et la vendeuse apparaît derrière moi. Je sursaute.
— Je ne voulais pas vous faire peur.— Vous m’avez surpris.— Ah bon surpris ?— Surprise.
Un large sourire s’affiche sur son visage, je remarque ses jolis yeux verts, sa silhouette élancée et sa tenue, un t-shirt moulant au nom de l’enseigne qui est sûrement volontairement petit, sa jupe courte moulante, elle est incroyablement sexy. Cette vision me fait encore mouiller ma culotte, mais de façon tellement importante qu’une tâche apparaît sur le jean clair que je porte. Je me suis rendu compte immédiatement que la vendeuse s’en est aperçue avec le reflet de son regard dans la glace qui se porte sur mon entrejambe. J’essaye de masquer les dégâts,
— Ce n’est pas grave, ça arrive.
Je suis devenue toute rouge.
— Je vous assure, ce n’est vraiment pas grave.
Elle entre alors dans la cabine en me poussant vers le fond et en laissant retomber le rideau derrière elle. Je ne peux quitter son regard. Quand elle pose sa main sur mon épaule, un frisson me parcourut. Le top moulant ma poitrine ne peut cacher mes tétons pointés.
— Je te fais de l’effet apparemment.— Je...— Chut, écoute, change-toi et je t’attends à la caisse.
Je sors de la cabine quand Sandrine réapparaît enfin, je passe en caisse où la vendeuse s’occupe de moi en me glissant un papier dans le sac, je peux y voir son téléphone.
— A très vite j’espère.— Au revoir.
Je me sens vraiment mal à l’aise, mais je ne peux m’empêcher de me retourner avant de sortir.- Alors ça s’est bien passé ?- Oui bien- Tu as acheté quoi ?- De quoi ?
— Allo !- Oui- Alors tu t’es pris quoi ?— Un jean et un haut.— OK et une vendeuse aussi.— Tu es bête ou quoi ?— Tu crois que je n’ai pas vu le mot qu’elle a glissé dans le sac.— Il ne fallait pas me laisser tout seul.— Tu t’es bien débrouillée toute seule.— Oui toute seule si tu veux.— Bon encore un dernier magasin et on rentre.— Encore.— Une tenue ne va pas suffire.— Ça commence à me coûter cher.— Je te l’offre pour me faire pardonner.— Tu n’es pas obligée.— Ça me fait plaisir. — Viens j’ai une idée de boutique.— Et c’est quoi ?— C’est une surprise et je pense que tu vas vite avoir besoin de ce à quoi je pense.— C’est quoi ?— Une surprise.
On entre dans un magasin où les vêtements sont très jolis, je devine une boutique assez chic et quand on commence à regarder les robes et que je vois les prix je lui dis que ce n’est pas raisonnable.- J’ai envie de te faire un joli cadeau, tu le mérites après ce qui t’arrive. Après avoir regardé plusieurs robes sur les portants, elle en sélectionne deux et m’indique les cabines. Elle m’aide à ôter ma robe et enfiler la première, elle est très près du corps.
— Tu es superbe.— Merci.— Essaye l’autre, mais celle-là te va merveilleusement bien.— OK.
J’essaye la seconde, mais en effet, comme Sandrine, je préfère la première qui épouse les courbes de mon nouveau corps. J’en ai encore mouillé ma culotte. Décidément, je suis très sensible. Nous avons repris le métro pour rentrer à l’appartement, Sandrine à peine passée la porte attrape mon sac et l’ouvre pour découvrir mes achats, mais surtout le mot glissé dedans.
— Ah toi qui ne voulais pas de jean moulant, un super skinny, tu ne peux pas faire plus serrer.— Je sais, mais je l’ai trouvé top une fois enfilé.— Bon et en plus tu as eu droit à un bonus.— Donne-moi ça.— Donc on a un tel et un petit mot te demandant de l’appeler ce soir.
.- Je ne vais pas l’appeler
— Ben pourquoi ?
?- Je ne peux pas, en plus je ne suis vraiment pas à l’aise avec...
— Avec ton corps ?— Oui.— Elle te propose juste d’aller boire un verre. Tu devrais l’appeler. Tu as eu souvent des filles aussi sexy qui t’ont donné leur tel ?— Non jamais.— Alors, fonce.— Je ne sais pas.— Écoute, pendant que tu réfléchis, va donc enfiler ton jean et ton haut que je vois ça.— D’accord.
Je file dans ma chambre pour me changer. Sandrine en profite pour prendre mon téléphone dans mon sac pour envoyer un message à Cynthia, la vendeuse du magasin.
— Tu es super belle, tu as très bien choisi.— Ce n’est pas moi, c’est la vendeuse.-
Elle a très bon goût, tu es magnifique ma chérie.
— Merci.
Je rougis en entendant les compliments de Sandrine, mais je suis distraite par la sonnerie de mon téléphone. Le signal m’indique que je viens de recevoir un message. Lorsque je lis le message, je sens une grosse montée de colère. Cynthia me donnait rendez-vous ce soir dans un bar place St Anne, le rendez-vous est fixé à 19h30 après son travail.
— Mais qu’est-ce que tu as fait ?— Je t’ai juste donné un petit coup de pouce.— Je ne voulais pas l’appeler.— Je sais bien que tu n’aurais jamais osé alors je l’ai fait pour toi.— Je vais annuler.— Non, écoute je t’accompagne, je ne resterais pas loin si tu ne te sens pas bien, tu m’appelles.— Mais je vais faire quoi ?— Passer une bonne soirée, je pense. — Bon il est 18h20, on va te préparer.— Je vais rester comme ça.— Non on ne porte pas des vêtements neufs, il faut les laver. — Je vais te choisir une tenue. Va prendre une douche et tu me rejoins dans ma chambre.— OK.
Après ma douche, enroulée dans une grande serviette, je rejoins Sandrine dans sa chambre. Sur le lit sont posés des dessous, une robe ainsi que des bas.- Voilà ma chérie, je te laisse t’habiller et ensuite on passera au maquillage.
— Elle est trop sexy cette tenue.— Tu vas à ton premier date, donc tu dois te faire belle.— De toute façon, tu ne vas pas me lâcher.— Non.
J’enfile la superbe lingerie de Sandrine, un ensemble rose pâle en dentelle, shorty et soutien-gorge, des bas autofixant couleur chair et une robe noire moulante.
— Je m’en doutais qu’elle t’irait bien cette robe.— Merci.— Bon, tu t’installes, je vais te maquiller, mais demain on commence à t’apprendre à le faire seule.
Sandrine s’active assez longtemps, elle a placé un miroir sur la table où je peux suivre en direct ce qu’elle fait. Et le résultat est étonnant, beaucoup plus appuyé que celui de ce matin, mes yeux ressortent sous l’effet des couleurs et mon regard est profond. Sandrine va se préparer, une douche vite fait, une jupe, un collant un petit pull fin et un zeste de maquillage et nous voilà prêtes pour le départ. Habitant proche de centre-ville, c’est à pied que nous avons rejoint la place St Anne. Le temps, bien que doux, me fait sentir l’air frais passer sous la robe, avec les bas, je sens l’air directement sur mon shorty et la sensation est agréable.
— Ça y est, on est arrivée.— Oui.
Je suis nerveuse, j’aperçois Cynthia qui attend à l’intérieur, assise à une table côté devanture. Elle me fait un signe de la main. Sandrine m’abandonne, elle a donné rendez-vous à des amis dans un bar tout proche. Cynthia se lave et me fait la bise. Je m’installe en ôtant mon manteau.
— Waouh, tu es encore plus belle que cet après-midi.— Merci.— Je comprends pourquoi tu préfères les robes, tu es très jolie.
Ses compliments me font rougir, mais c’est très agréable à entendre. Elle nous a commandé deux cocktails. Au deuxième, je suis plus détendue et sous le charme de Cynthia, ses grands yeux verts, son visage fin, ses cheveux châtains, elle a un charme fou. Je bois totalement ses paroles. Elle me propose d’aller manger dans une pizzeria d’une rue voisine. Nous sortons du bar et Cynthia me prend le bras comme le feraient des copines de toujours. Ce contact même à travers nos manteaux me provoque un frisson. Je sens son parfum qui m’enivre. Une fois notre commande passée, assise l’une en face de l’autre, je sens son pied qu’elle a déchaussé se frotter sur mon mollet. C’est électrisant, elle me prend ma main.
— Tu es très belle, tu sais.— Merci, tu es très jolie aussi.— Merci, tu veux faire quoi après le dîner ?— Je ne sais pas, tu as une idée ?— Oui, j’ai très envie que tu acceptes de venir chez moi.— Tu es direct.— Quand une femme me plaît, je ne tourne pas autour de pot. Et tu me plais beaucoup.— Je crois le sentir.— Ça te dérange ? — Non pas vraiment, mais je n’ai pas l’habitude de me faire draguer.— Par une femme ?— Non draguer.— Tu ne vas pas me dire que jolie comme tu es, tu n’as pas déjà eu de copain ou de copine ?— Je... c’est un peu compliqué.— Raconte-moi.— Non ce n’est pas très intéressant.— Comme tu veux, alors tu viens chez moi après ?— Je ne sais pas trop.— Bon, écoute on mange ça, te laissera le temps d’y réfléchir.
Nous avons passé le reste du repas à parler de nos loisirs, de mes études, de son travail, je sens toujours son pied frotter sur mes bas et plus le temps passe et plus je sens monter en moi de l’excitation. A plusieurs reprises, elle m’a pris la main pour la caresser. A la fin du repas, j’ai très envie de l’embrasser. Elle le voit et se penche par-dessus la table pour m’embrasser. Son baiser est si doux, ses lèvres sur les miennes m’ont littéralement électrisé.
— OK pour aller chez toi après.— Super j’en suis ravie.
Avant de quitter le restaurant, j’envoie un message à Sandrine, lui disant de ne pas m’attendre.
— La fille qui t’a rejoint à la boutique c’est ?— Ma coloc.— Ta coloc ?— Oui juste ma coloc.— OK.
Nous avons à peine passé la porte du restaurant qu’elle m’attire à elle pour m’embrasser, ses lèvres plaquées aux miennes, sa langue cherchant à entrer en contact avec la mienne. Nous sommes restées un long moment à nous embrasser avant qu’elle m’entraîne d’un pas rapide vers chez elle. Heureusement pour moi, elle n’habite pas très loin, car je n’ai pas l’habitude de marcher rapidement en talons. J’ai à peine le temps d’enlever mon manteau qu’elle se jette sur moi pour m’embrasser et me caresser les seins à travers ma robe. Quelle sensation incroyable, j’ai l’impression de bouillir. Quand elle relave ma robe pour glisser sa main sur ma culotte, je gémis.
— Tu es hypersensible ma belle.— Tu me fais beaucoup d’effets.— Je vois ça et ça me donne plus encore de te découvrir.
Elle s’empresse d’enlever ma robe, je me retrouve en sous-vêtements, allongée sur le canapé. Elle se glisse sur moi, m’embrassant, me caressant la poitrine puis l’entrejambe, je suis trempée, je sens mon vagin couler. Elle descend lentement vers le bas de mon ventre en embrassant chaque parcelle de ce dernier, quand elle arrive en bas, elle tire sur ma culotte pour l’enlever puis m’écarte les cuisses pour se jeter entre mes cuisses. Dès que sa langue se pose sur mes lèvres, je ne gémis plus, mais je me suis mise à haleter de plaisir, c’est tellement intense. Elle s’attarde sur l’entrée de ma grotte avant de venir jouer avec mon clito. Je grimpe tout de suite au septième ciel, je jouis très rapidement, ce qui la fit sourire. Elle remonte pour m’embrasser en me souriant.- Tu jouis très rapidement, on dirait que tu n’as pas fait l’amour depuis des lustres.
— En fait, c’est ma première fois avec une fille.— Je m’en doutais- Je risque d’être maladroite.— Il n’y a pas de soucis, on a toute la nuit devant nous, tu veux prendre un verre ?— Sans alcool.— Coca, eau à bulles ?— Un coca, ça sera super.
.- Je te sers ça.Je prends mon temps pour boire mon verre, elle continue à me caresser les cuisses, nous nous embrassons. Je recommence à avoir chaud et je commence à lui caresser les cuisses, une sensation nouvelle, mais tellement agréable, elle se lève pour ôter ses vêtements, ne gardant que son string, son corps est superbe, jamais je n’avais vu une fille aussi belle, ses courbes parfaites, ses seins bien ronds, je devine son sexe à travers son string en dentelle. Je me lève pour la caresser, embrasser ses seins, elle me guide à sa chambre, on s’allonge sur le lit, je prends les choses en main et à mon tour, me glisse entre ses cuisses. Je découvre le bonheur de sentir un sexe de femme, ma langue parcourt son string humide, elle me demande de lui enlever avant que je replonge vers son sexe luisant, ma langue entrant en contact avec ses lèvres puis pénétrant à l’intérieur, découvrant chaque partie de son intimité, s’attardant sur son clito gonflé.
Je me délecte de chaque partie de son sexe, ses lèvres gonflées, son clito, je bois sa cyprine. Elle met du temps avant de jouir, mais les spasmes parcourant son corps et sa respiration me confirmèrent qu’elle a pris beaucoup de plaisir.- Pour une première tu es très douée ma chérie.- Merci, je n’ai fait que reproduire ce que tu m’as fait.- J’ai besoin de récupérer un peu, mais ne t’inquiète pas, je vais encore m’occuper de toi. Durant la nuit, nous avons fait l’amour à plusieurs reprises et c’est épuisées que nous nous sommes endormies. J’ai découvert cette nuit-là qu’une femme peut jouir plusieurs fois de suite. Et quel bonheur que cette jouissance, nettement plus forte que celles que j’ai eues en étant un mec. Je suis rentrée au milieu de la matinée à mon appartement. Cynthia m’a prêté un legging et un t-shirt. Cela nous obligeait à nous revoir comme elle m’a dit.
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