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Une femme se découvre

Chapitre 3

Sandrine

Travesti / Trans
Je viens de vivre ma première expérience sexuelle en femme et j’ai découvert des sensations intenses. Sur le chemin du retour, j’ai beaucoup de mal à revenir à la réalité. J’ai adoré faire l’amour avec Cynthia. Alors que je suis perdue dans mes pensées, rentrant chez moi par le centre-ville et ses rues commerçantes. Mon œil est attiré par une vitrine. Je stoppe et me retourne pour y faire face. Ce qui a attiré mon attention est un mannequin dans la vitrine. Il est habillé avec une jolie jupe prune, un chemisier crème et une veste de la même couleur que la jupe. Je pousse la porte de la boutique, et c’est quand je m’entends demander à la vendeuse que je veux voir l’ensemble présenté en vitrine, une pensée étrange traversa mon esprit. Une tenue extrêmement féminine m’a attirée, Sandrine m’a prévenue que mon esprit se féminiserait, mais aussi rapidement ?
Je ne peux pourtant pas résister. Je passe en cabine après que la vendeuse m’ait donné les vêtements à ma taille. J’enfile le tout, et ce look working-girl avantage ma silhouette fine. La jupe taille haute, le chemisier classique et la veste cintrée, tout dans cette tenue respire la femme sexy. Me voir dedans est stupéfiant, et les compliments de la vendeuse quand je sors de la cabine afin de mieux me voir, finit par me convaincre. Je décide d’acheter la tenue et demande à la vendeuse si je peux la garder sur moi, ce qui ne pose aucun problème. Elle me conseille juste de prendre collant. Ce que je fais en achetant un collant couleur chair, satiné, avec mes talons, l’effet est splendide. Le passage à la caisse me calme quand la vendeuse me réclame 250€ pour le tout. Je paye et sors de la boutique, fâchée par la somme que je viens de dépenser, mais mon reflet dans les vitrines dissipe ma mauvaise humeur rapidement.
Je prends mon temps pour rentrer à l’appartement, espérant que Sandrine soit sortie, et ainsi éviter pour l’instant les questions sur ma soirée et sur la tenue que je porte en rentrant. J’entre dans l’appartement, il est silencieux, si ce n’est le bruit de mes talons sur le parquet. Je suis soulagée d’être seule. Enfin, c’est ce que je pense, lorsque j’entre dans ma chambre, Sandrine ouvre la porte de la sienne.
— Enfin ma chérie, tu es rentrée.— Bonjour Sandrine.— Mais tu es super jolie.— Merci.— Je commençais à m’inquiéter pour toi, tu as plein de choses à me raconter.— Je peux aller prendre une douche avant et on s’installe devant un café, j’ai faim.— OK, va prendre ta douche, je prépare le café.
Je pose mes affaires dans ma chambre, en reprends le legging de Cynthia et son t-shirt.
— Sandrine ! je peux te piquer une culotte ?— Oui, vas-y.
Je prends une petite culotte jaune en coton dans sa commode et file sous la douche. Je prends tout mon temps sous la douche, retardant le moment de rejoindre Sandrine. Mais bon, il faut bien quitter la salle de bain. Sandrine m’attend, assise dans le canapé, elle a préparé les tasses et des gâteaux. Nous allons passer un moment à discuter. Nous avons passé plus de deux heures à papoter, me demandant de revenir sur des détails de la soirée. Sur mon envie, lorsque j’ai vu la tenue en vitrine, bref, toutes mes sensations de femme. J’en suis émue, et excitée, ce qui se voit rapidement à travers le legging gris clair que je porte. Je ne m’en rends pas compte, mais mes mains vont régulièrement se glisser entre mes cuisses. J’ai envie de me caresser, j’ai souvent regardé des pornos où on voyait des filles se masturber, et à ce moment précis, alors que je raconte comment j’ai fait l’amour avec Cynthia, j’en ai une très forte envie.
Mes tétons pointent, et cela est bien visible avec le t-shirt, en plus je n’ai pas mis de soutif. Ma respiration s’accélère, j’ai de plus en plus chaud. L’excitation m’envahit et je ne peux m’empêcher de mettre la main dans le legging, je commence doucement à me caresser à travers ma culotte. Sandrine ne dit plus rien, elle m’observe. Je réalise que je me masturbais devant Sandrine, mais l’envie est trop forte. Je ne peux empêcher ma main de me caresser, quand ma culotte est trempée, je remonte mon t-shirt pour caresser mes seins, tirer sur mes tétons, les pincer. Ma main se glisse à nouveau dans ma culotte, tantôt mes doigts me pénétrant, tantôt jouant avec mon clito. Je gémis de plus en plus fort, mon regard ne quittant pas Sandrine. Elle commence à rougir, quand je finis par jouir bruyamment, elle me regarde intensément.
— Merci pour le spectacle.— Je suis désolée, je n’ai pas pu résister.
— Ça doit être un effet secondaire que je ne connaissais pas. En tout cas, tu m’as offert une jolie masturbation, ma culotte en est tout humide.— Sandrine, écoute je...— Chut ce n’est pas grave.
Je me suis mise à pleurer, Sandrine me prit dans ses bras pour me cajoler. Je mis de longues minutes à me calmer.
— Je ne savais pas que ça pouvait créer ce genre d’effet. Apparemment, ça a augmenté ta libido, ou alors c’est juste parce que tu as découvert des sensations fortes. Tu devrais retourner sous la douche et te changer, je vais te préparer des affaires, après on fera une lessive avec toutes tes fringues. — OK.
On passe une partie de l’après-midi à laver et sécher mes fringues, je lave toute ma lingerie à la main afin m’a dit Sandrine de ne pas l’abîmer. Nous préparons le dîner ensemble, et après avoir regardé un peu la télé, nous sommes allées nous coucher. Je mets très longtemps à m’endormir, ces deux dernières journées tournant en boucle dans ma tête. Je m’endors vers trois heures du matin. Le réveil fut difficile. Encore à moitié endormie, je me dirige vers mon placard pour m’habiller, je vais pour enfiler un caleçon quand tout me revint à l’esprit. Je file nue attraper un ensemble dans la salle de bain et prends le jean et le top achetés avec Cynthia. Je rejoins Sandrine dans la cuisine.
— Bonjour, Stéphanie, tu as bien dormi ?— Bonjour Sandrine, non, pas du tout, j’ai eu beaucoup de mal à m’endormir.— Un café ?— Avec plaisir.— Prête pour ta première journée en fille à la fac ?— Non pas du tout.— Tu te souviens de ce que je t’ai dit, tout le monde ne connaît que Stéphanie, à toi de te comporter comme une fille, mais après ce que tu as fait hier, je ne doute pas que ton esprit est déjà féminin.— Arrête, ce qui s’est passé hier, je ne le contrôlais pas.— Je sais.— Je ne veux pas que ça continue.— Pour l’instant, on n’a pas le choix. J’ai envoyé un message à ma mère et j’attends qu’elle réponde.— Tu m’as dit que ça prend du temps pour devenir une vraie femme et que j’aurais le choix.— Je ne suis pas Madame Irma, je fais juste supposer et te répéter ce qu’on m’a raconté à propos de la robe. Mais je t’ai dit, elle n’a pas fait de transformation totale comme avec toi depuis très longtemps, donc je ne sais pas du tout ce qui va se passer.— Tu rigoles ?— Bon, on finit de te préparer, va te laver, ensuite je te coiffe et te maquille et on va en cours.— OK (me maquiller pour sortir me semble normal).
Nous prenons le bus, direction la fac, je sens le regard de certains garçons sur moi. Me rendant compte que cela ne me dérange pas plus que ça. Au contraire, j’en ressens un grand plaisir. Quand nous sommes arrivées à la fac, les amis à qui je serrais la main il y a encore deux jours me font la bise. Pour eux, j’ai toujours été Stéphanie, mais moi, je me sens mal à l’aise, Sandrine m’aide à me détendre. Je m’aperçois que tout se passe naturellement pour tout le monde. Sandrine de son côté s’applique à ne pas me laisser seule, de peur de certaines de mes réactions. Dans l’ensemble, la journée se passe sans problème majeur. Nous nous sommes arrêtées pour faire quelques courses alimentaires avant de rentrer à l’appartement. J’ai hâte de me changer. Au bout d’une journée, je trouve mon jean inconfortable et me précipite dans ma chambre pour enfiler un legging.
Je me sens mieux après cela, Sandrine sort de sa chambre, elle avait échangé sa jupe contre un minishort de sport en lycra jaune qui lui fait un cul adorable. De la voir ainsi provoque en moi une montée de chaleur.
— Sandrine ?— Oui ma belle.— Arrête de m’appeler comme ça.— Je ne peux pas m’en empêcher, et en plus, je sais que ça te dérange, tu rougis à chaque fois.— Tu exagères.— Je sais.— Bon, tu veux manger quoi ce soir ?— Tu fais le repas ?— Oui.— Je te laisse faire. — Pâtes, lardons ça te va ?— Super, je laisse faire ma petite fée du logis.
Pendant que je prépare le dîner, elle nous sert un soda et me regarde faire. Sentir son regard sur moi et la voir dans sa tenue quand je me retourne m’excite à nouveau. Je devine ses petits seins ronds sous son t-shirt, je me rends compte qu’elle a ôté sa culotte, car il n’y a aucune marque sous le short moulant, et il dessine son intimité d’une façon qui me donne envie de la découvrir.
Je laisse cuire les pâtes et mijoter les lardons et m’approche de Sandrine. Avant qu’elle puisse réagir, je pose ma main sur son short et commence à la caresser à travers le short. Elle n’a aucune réaction ou n’essaye de repousser ma main. J’insiste de plus en plus, je sens son short s’humidifier, sa respiration s’accélérer, son regard est planté dans le mien. Son manque de réaction me fit comprendre qu’elle ne peut pas me résister. Je coupe les plaques, lui prends la main pour l’emmener vers le canapé. Elle semble hypnotisée :
— Continue Stéphanie, fais-moi l’amour. Je veux que tu me caresses.
Je reprends mes caresses à travers son short, remonte son t-shirt pour découvrir sa poitrine. Maintenant, je la masturbe rapidement, elle gémit de plus en plus fort, son short est trempé, je me sens également de plus en plus humide. Quand je la sens prête, je fais descendre son short et je me jette sur sa chatte trempée, me délectant de son jus, suçant son clito, elle jouit, mais je ne suis pas rassasiée, je continue de lui caresser les seins, la pénétrer avec ma langue. Après un troisième orgasme, elle me supplie d’arrêter. Je m’installe dans le fauteuil en face d’elle, la laissant reprendre ses esprits. Elle ne cesse de me regarder, un sourire béat sur le visage. Je commence à me masturber en ne la quittant pas du regard, ses yeux se posent sur ma main glissée dans mon legging. Je la sors et en regardant Sandrine, lui dis de venir la lécher la main. Elle se précipite littéralement dessus. Je suis fière de la sentir sous mon emprise.
— Déshabille-moi !— Oui Stéphanie.
Elle prend la ceinture de mon legging pour l’enlever en même temps que ma culotte, puis enlève mon t-shirt. J’écarte alors les cuisses après m’être assise, et elle plonge sur ma chatte. Me dévorant littéralement, elle s’applique sur mon bouton hyper-sensible. Elle commence à me doigter le vagin, et c’est en moi une explosion. Je jouis si fortement que je mets un certain temps à me remettre. Après cela, elle va se coller contre le canapé, serrant ses jambes contre son ventre. Je peux lire le désarroi et la honte dans son regard.
— Tu n’as pas aimé, Sandrine ?— Si, mais j’ai honte de ce qui vient de se passer.— Pourquoi ?— Je ne suis pas attirée par les filles, mais je ne peux pas résister à ta beauté.— Tu es trop belle dans ton petit short, je te voulais.— Et je l’ai ressentie et à ce moment-là, je n’ai pas pu résister. J’ai perdu tout contrôle.— Je m’en suis rendu compte, et te voir ainsi totalement sous mon emprise m’a donné envie d’en profiter.— Stéphanie ?— Oui.— Je crois que la robe n’a pas fait que te transformer en femme. Tu dégages tellement de sensualité que je crois que personne ne pourra te résister à partir du moment où tu le veux.— Tu crois ?— Oui, je n’ai jamais eu envie de faire l’amour avec une fille, depuis deux jours, je n’ai jamais pensé à toi comme çà, et là, toi tu as eu envie de moi, car tu m’as trouvée sexy, et c’est comme si j’avais reçu un ordre. Au fond de moi, je ne le voulais pas, mais toi, tu m’as désiré et je n’ai pas pu résister.— Tu crois que c’est à cause de la robe, qu’elle m’a changé en une nympho.— Non, je pense que si tu as envie de faire l’amour avec quelqu’un, cette personne ne pourra pas te résister et que tu pourras sur le moment tout obtenir d’elle.— C’est grave si je n’arrive pas à me contrôler. Parce que te voir dans ton minishort, m’a donné envie de toi, imagine ce qui peut se passer ailleurs.— Il va falloir que tu apprennes à te contrôler. Mais je vais t’avouer un truc, j’ai adoré ce qu’on vient de faire, et jamais on m’a fait jouir comme ça, et en plus, plusieurs fois.— J’ai adoré aussi quand tu t’es occupée de moi.— Je crois que je vais m’habiller, mais autrement.
Je retournais dans ma chambre, enfilais un tanga, et je pris une robe longue dans la penderie. Sandrine sortit de sa chambre, habillée d’un bas de survêt large et un long pull. Une tenue qui n’était absolument pas sexy. Nous avons repris la préparation du repas, et gênées, nous avons dîné sans un mot. Mes rêves de la nuit furent hantés par le moment passé avec Sandrine. Le lendemain matin, je laisse Sandrine se préparer et partir à la fac, je lui ai dit que je la rejoindrai plus tard.
Je prends mon temps, je veux être toute seule ce matin. Je m’installe tranquillement dans le canapé avec un café, je porte une nuisette et une petite culotte, que c’est agréable, je caresse mes jambes sans poils, observant ma poitrine se lever à chaque respiration. Vers dix heures, je décide de m’habiller, j’ai envie de me promener en ville. Je m’habille, je mets très longtemps à essayer de me maquiller, après plusieurs essais infructueux, le visionnage de quelques tutos sur le Net, je décide d’abandonner. De toute façon, j’étais belle au naturel. Je pique à Sandrine une paire d’escarpins, si les premières minutes de marches m’ont paru compliquées et ont failli me faire faire demi-tour, je m’habitue petit à petit, et après une heure, je déambule dans les rues comme si j’avais toujours marché avec. Je m’habitue très rapidement au fait d’être une fille.
J’adore sentir l’air sur mes jambes gainées, le son des escarpins sur les pavés, le frottement de ma jupe, la fraîcheur du chemisier en satin et surtout, sentir mes seins se balancer à chaque pas. Je n’ai pas mis de soutien-gorge, et j’adore la sensation de mes siens en liberté.
Il est maintenant 13h00 et je commence à avoir un petit creux, je décide de manger une salade dans une brasserie. Je m’installe tranquillement à une table, près de la porte, j’ai une vue sur toute la salle, et je tourne le dos à la rue. Il y a des couples, des hommes et des femmes qui terminent leurs repas. Un homme seul mange à la table en face au fond de la salle. Je vois bien ses regards vers moi. Il me fait un sourire que je lui retourne avant d’être distraite par la serveuse qui vient prendre ma commande. Une charmante jeune femme au demeurant. Je commande une salade, une carafe d’eau et je me replonge dans mon smartphone. J’ai plusieurs appels et SMS de Sandrine me demandant ce que je fais. Je lui envoie un SMS lui disant que je ne serais pas à la fac aujourd’hui. Je repars dans la consultation de mon tél. quand la serveuse me dépose ma salade sur la table.
J’entame mon plat en relevant la tête, j’aperçois l’homme, continue de me regarder, et quand il croise mon regard, il se met à rougir. Le voir rougir me fait frissonner, de nouveau, ces sensations dans mon bas-ventre. C’est comme une boule de feu qui grandit et je me sens rougir aussi. Mon regard est attiré par lui, et je me sens sourire béatement. Je finis par me concentrer sur ma salade, mais je me sens troublée. Je finis mon repas et je passe devant l’homme pour aller payer. En m’approchant, je sens son regard me détailler, je me sens désirée. Je prends la note, sors un stylo de mon sac à main, griffonne mon numéro, et en passant, la dépose sur la table, et je quitte le restaurant. Je ne tarde pas à recevoir un SMS me demandant un rendez-vous et mon prénom.
— Stéphanie, rendez-vous dans 1h, vous me donnez l’adresse où je vous rejoins.— Rendez-vous au Novotel de la gare, je vous attends dans le hall, Franck.— J’y serais.
Je me rends compte de ce que je viens de faire, je viens de donner rendez-vous à un inconnu. Mais mon corps réclame, j’ai envie de sexe, même si la serveuse était désirable, cet homme a éveillé en moi une envie plus forte que celles qu’ont pu me donner Cynthia ou Sandrine. Je me rends compte que je ne suis pas maquillée, je passe devant un magasin de cosmétique qui propose un maquillage sans rendez-vous, j’y passe trente minutes, et ressors maquillée et parfuméee, m’étant au passage acheté un parfum. Je prends donc la direction de la gare, mes restes de conscience masculine hurlant de ne pas y aller, mais mon côté féminin qui prend le pas à l’heure actuelle me pousse vers l’hôtel. Je rentre dans le hall, Franck m’y attend, lorsqu’il me voit, il me fait un grand sourire.
— Je ne pensais pas sincèrement que vous alliez venir.— Je ne donne pas de rendez-vous sans venir.— Je vous offre un verre ?— Non merci, je préfère que nous allions dans votre chambre.— Je peux vous poser une question ?— Bien sûr.— Vous n’êtes pas une call-girl.— Vous voulez savoir si je me fais payer.— Heu. Oui.— Non je vous rassure, je ne suis pas une prostituée, vous me plaisez, c’est tout.— Vous faites ça souvent de glisser votre numéro à un inconnu ?— Vous êtes le premier.
Nous prenons l’ascenseur pour rejoindre sa chambre, il en profite pour m’embrasser. Que ce baiser est agréable. Nos langues jouent ensemble, il me prend la main pour m’emmener à sa chambre. Sa chambre est spacieuse. Je le pousse vers le lit, et j’enlève doucement ma veste, mon chemisier, ma jupe puis mon collant. Il est subjugué, je sais que désormais, je peux tout obtenir de lui, il est dans le même état que Sandrine hier soir. Alors que j’avance vers lui en culotte, il ne peut plus quitter mon regard. Je m’allonge sur le lit.
— Déshabille-toi.— Oui Stéphanie.
Il se met nu et me rejoint dans le lit, son sexe est déjà en érection. Ce sexe d’homme identique à celui que j’avais entre les jambes il y a encore trois jours, je veux le toucher, le caresser, le goûter et pour finir le sentir en moi. Il commence doucement à me caresser les seins, puis à les embrasser.
— Lèche-moi la chatte.— Oui ma chérie.
Il commença à vouloir baisser ma culotte.
— Non mon chéri, tu lèches ma culotte.
Il se bloque une minute avant de commencer à lécher ma culotte déjà bien humide. Après quelques minutes, je l’autorise à ôter ma culotte et reprendre son travail sur ma chatte. Alors que je suis prête à jouir, je lui demande de se coucher sur le dos et je prends place entre ses jambes. Je me penche sur son sexe qui me fait tant envie et sans aucune hésitation, après l’avoir léché et embrassé sur toute la longueur, je le prends en bouche pour le sucer. J’arrive à avaler tout son sexe, ce qui provoque chez lui de forts gémissements qui m’excitent encore plus. Je sens ma chatte dégouliner, et lui sur le point de jouir. J’arrête ma fellation pour m’empaler sur son sexe. Je sens mon hymen se déchirer, mais quelle formidable sensation de sentir ce sexe me pénétrer. Cela me fait complément exploser, alors que je sens les pulsations de son sexe en moi je commence des va-et-vient, il ne tient pas très longtemps avant d’exploser juste après, je jouis à mon tour et m’écroule sur lui.
Après avoir repris mon souffle, je roule sur le côté pour me reposer. Je le laisse récupérer, car j’ai encore envie, et cette fois, je veux que cela dure plus longtemps. Nous sommes restés sans un mot, allongés pendant environ une heure. Je me lève finalement pour aller aux toilettes et me rafraîchir avec une douche. En sortant de la salle de bain, je le trouve assis dans le lit, admirant mon corps nu se rapprocher du lit. Je monte lascivement sur le lit.
— Excuse-moi de te demander ça, mais tu es vierge ?— Oui pourquoi, ça te dérange ?— Pas du tout, je ne l’aurais pas cru c’est tout.— Tu n’as pas aimé ?— Si beaucoup.— Et tu es prêt à recommencer ?— Oui.— Alors, tu attends quoi ?
Il grimpe sur moi, m’embrassant, me caressant la poitrine, ma chatte, jouant avec mon clito, mes réactions ne se font pas attendre comme la sienne, je sens son sexe grossir contre ma peau, et moi, je mouille de plus en plus.
— Baise-moi maintenant.
Je ne me contrôle plus, ce besoin de sexe est tellement fort que j’en veux plus. Il me pénétrait doucement avant d’accélérer petit à petit. Je gémis de plus en plus fort, les sensations sont dingues, j’ai l’impression de bouillir à l’intérieur. Quand il explose en moi tout mon corps vibre, la jouissance est fulgurante, je ne peux plus bouger, totalement épuisée. Il se retire et bascule sur le côté, je reste sans pouvoir bouger et m’endors nue sur les draps. C’est le bruit de la douche qui me réveille et il fait déjà nuit.
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