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Une femme se découvre

Chapitre 4

retour à la maison

Travesti / Trans
Cela faisait maintenant 3 semaines que je vivais dans la peau de Stéphanie, je m’étais peu à peu habituée et après une première semaine très active au niveau sexuel, je m’étais calmée. Bien sûr, il y avait eu d’autres épisodes torrides entre Sandrine et moi, j’avais aussi de nouveau eu des relations avec des hommes qui me procuraient énormément de plaisir à chaque fois. Mais enfin, mes ardeurs s’étaient calmées, j’avais pu me concentrer de nouveau sur mes études.
En fait, j’appréciais de plus en plus ma vie de femme, je prenais du plaisir à m’habiller, à me maquiller, chose que j’arrivais maintenant à faire seule après m’être entraînée à la maison. Je décidais d’une absence de cours pour rentrer chez mes parents. Bien que j’appréhendasse ce retour, les échanges de mails, d’appel au téléphone ou en Visio m’avaient confirmé que comme mes amis, les souvenirs de mes parents étaient ceux de leur fille. Je me rendais donc à la gare ce jeudi soir pour prendre mon train. J’avais 2h de trajet pour arriver à la gare de Quimper proche de chez mes parents. J’avais prévu de me prendre une revue pour passer le temps. Je me dirigeais donc vers le kiosque quand je fus bousculée par une jeune femme perdue dans son téléphone. Je finis les fesses par terre.
Alors qu’elle m’aidait à me relever, je ne pus m’empêcher de remarquer ses jolies formes mises en valeur par une robe moulante courte, elle portait un collant en résille ainsi qu’une très jolie paire de bottines. Je souriais en relevant tous ces détails.
— Je suis désolée, vous ne vous êtes pas fait mal ?— Non ça va merci, je ne m’attendais pas à me retrouver dans cette posture.— Excusez-moi, j’étais...— Plongée dans votre téléphone.— Oui. Mince, votre chute a troué votre collant.— Ah oui, en effet.— Je vais vous le rembourser.— Non ce n’est pas grave, je le changerais dans le train, j’en ai d’autre dans ma valise.— Je ne peux pas vous laisser comme ça.— Alors si vous voulez vous faire pardonner et si vous avez le temps, mon train ne part que dans 30 min, donc offrez-moi un café et ça ira.— Vous prenez quel train ?— Le train pour Quimper.— Moi aussi, vous habitez Quimper ?— Mes parents habitent une petite commune à côté. Et vous ?— J’habite Quimper, j’étais venue à Rennes pour une réunion professionnelle.— D’accord.— Donc je vous offre un café avec plaisir.— Allons-y.
Nous nous sommes installées à une table à la brasserie quand elle plongea dans son sac de voyage et en sortit un collant.
— Tenez, vous faites la même taille que moi, il devrait vous aller.— Ne vous inquiétez pas, j’en ai dans ma valise.— Je ne peux pas vous laisser avec un collant troué et ça me fait plaisir. Ne vous inquiétez pas, il est propre, j’en prends toujours plusieurs avec moi.— Je porte un collant basique et celui-là ne l’est pas.— Ça me fait plaisir de vous l’offrir.— Merci, je reviens tout de suite.
Je faisais un rapide passage aux toilettes pour changer de collant et rejoindre la charmante jeune femme qui me l’avait offert. Nous avons papoté de sujets divers, j’appris qu’elle était commerciale dans les assurances, qu’elle s’appelait Vanessa.
— Votre copain ou mari doit vous manquer ?— Je vis seule. Et vous ?— En colocation avec une amie.— C’est sympa les colocs quand on est étudiante.— Oui, c’est plein de surprises et de bons moments.— J’ai vécu en coloc au début de ma vie professionnelle quand j’ai passé 2 ans à Paris. Mais je dois avouer que j’aime bien être seule chez moi.— Vous ne vous ennuyez pas le soir ?— Je rentre tard, je fais pas mal d’activités et j’ai pas mal d’amis.— Moi je m’ennuyais quand je vivais à Quimper, la vie rennaise est beaucoup plus animée.
Nous avons été tirées de notre conversation par l’annonce de notre train. Nous sommes parties toutes les deux en direction du quai et sommes montées dans le train. Vu la place disponible dans les wagons, nous avons demandé au contrôleur si nous pouvions voyager ensemble. Il nous dit que si une personne se présentait pour la place, nous devrions lui laisser, mais qu’il n’y voyait aucun inconvénient. Nous avons donc pris place côte à côte, moi près de la fenêtre et elle côté couloir. Je portais une jupe assez courte qui remontait sur mes cuisses. Sois je me tenais les jambes collées, sois croisées ce qui remontait encore plus ma jupe. Je choisissais tout de même de croiser les jambes, ce que remarqua Hélène. Nous reprîmes notre conversation sur notre vie, je lui racontais une partie de la mienne en omettant volontairement le passage où je suis devenue une fille. Le trajet passa à une vitesse folle. Alors que nous arrivions à Quimper, Sacha me demanda mon numéro.
— Je peux t’appeler ce week-end ?— Bien sûr.— Tu voudrais qu’on sorte demain ?— Je n’ai pas planifié mon Week-end, alors pourquoi pas.— Je t’appelle demain en début d’après-midi.— OK à demain alors.
Après nous être fait la bise, je rejoignais mes parents dans le hall de la gare. Ma mère me câlina comme elle ne l’avait jamais fait, mon père après les bises de rigueur prit ma valise pour nous diriger vers la voiture.
— Tu es radieuse ma chérie, la vie rennaise te réussit. Tu ne trouves pas chéri ?— Si elle est très jolie, mais sa jupe n’est pas un peu courte ?— Papa, c’est la mode.— Elle a raison de montrer ses jolies jambes. — Oui, mais bon là, je trouve ça trop court.
J’embrassais mon père en le prenant par le bras.
— Tu sais, je suis une grande fille maintenant.— Je le sais bien ma fille. Pour moi, tu seras toujours ma petite fille.
Le trajet vers la maison familiale fut rapide, je rejoignais ma chambre, elle avait totalement changé, elle était passée de la chambre d’un geek à une chambre girly. Que la robe me transforme, fasse que tout le monde ne se souvienne de moi qu’en aillant toujours été une fille déjà, c’était dur à comprendre, mais comment cela avait pu modifier ma chambre chez mes parents. Je découvrais ce nouvel environnement quand ma mère frappa à la porte.
— Stéphanie ?— Oui maman.— On a prévu de t’emmener au restaurant ce soir, je peux te demander de passer une tenue une peu plus sobre pour ton père.— Maman, je suis désolée, mais je n’ai pas pris grand-chose avec moi. Et je crains de ne pas avoir ce qu’il faut.— On a le temps, il n’est que 17h, tu veux qu’on aille faire un tour à Gourvilly ?— Je dois faire attention à mon budget en ce moment, j’ai un peu trop dépensé ces dernières semaines.— Ça me ferait plaisir de t’offrir une jolie robe et puis cela fait longtemps que je n’ai pas fait du shopping avec ma fille.
En moi-même, je pensais (maman, on n’en a jamais fait du shopping mère/fille)
— Je ne voudrais pas vous faire faire des dépenses.— Ne discute, tu prends ton sac à main et on y va.— D’accord maman.
Nous abandonnions mon père pour partir en virée shopping.
— N’oubliez pas que nous avons réservé pour 19h30.— On sera revenues.— Mais bien sûr, comme si je ne vous connaissais pas toute les deux. Vous allez encore faire le tour des boutiques et ne pas regarder l’heure.— Promis papa, on sera rentrées à l’heure et même avant pour nous préparer.— Bon shopping les filles.
Je prenais le volant et je dois dire que conduire avec des talons, et bien, ça n’était pas facile.
— Alors ma chérie, tu sais plus conduire.— J’ai perdu l’habitude à Rennes, je ne conduis pas et là mes talons sont un peu hauts.— Oui je vois ça, mais je n’ai pas voulu t’en parler. Tu veux aller où ?— Je pensais plus aller à Géant qu’à Gourvilly du coup, si cela ne te dérange pas ?— Je te laisse faire, c’est toi qui conduis.— On va chez H&M ?— Comme tu veux.
Nous avons donc passé du temps à faire les rayons, maman m’offrit plusieurs tenues, jupes, pantalons, hauts et un manteau.
— C’est trop maman.— Ne t’en fais pas, on a des choses à te dire ce soir et cela nous fait plaisir de te gâter.— Tu es sûre, car là, ça fait une somme.— Je pensais faire cette sortie avec toi demain après-midi, alors cela ne change rien, profite ma chérie.— Merci maman.— Bon on n’a toujours pas trouvé ta robe pour ce soir.— Avec ce que j’ai acheté, j’ai de quoi m’habiller ce soir.— Non, il te faut une robe plus habillée.— Si tu insistes.— On va aller chez Mango.— OK.
Elle me fit acheter une robe midi rouge, avec de la dentelle sur le décolleté et une forme cintrée. Ma mère ainsi que la vendeuse ne tarirent pas de compliments sur moi. Nous avons fini notre virée shopping chez Undiz où je repartais avec 5 parures et différentes culottes.
— Maman, tu as dépensé une fortune.— Ne te tracasse pas pour ça, si on le fait, c’est qu’on peut.— Merci, merci, merci.
Je faisais un gros câlin à ma maman quand mon alerte SMS sonna. Je prenais mon téléphone pour consulter le message. Je devais avoir un grand sourire, car ma mère remarqua ma bonne humeur.
— C’est qui ?— Oh, une amie de Quimper qui me demande si je suis libre demain après-midi.— Comme on a fait notre sortie shopping, tu peux la rejoindre demain.— Tu es sûre, je voulais passer du temps avec vous.— Ecoute, tu ne vas pas passer tout le week-end enfermée avec tes parents, et puis tu as l’air heureuse du message.— Oui, elle devait me contacter demain, mais je suis contente qu’elle l’a fait ce soir.— Ça a l’air.— Tu es sûre que cela ne vous dérange pas si je ne suis pas là demain.— Mais non, profite pour voir tes amis.
Nous sommes rentrées à 18h45, ce qui nous laissait le temps de nous préparer. Papa s’était changé, il portait une chemise, un pantalon habillé, des chaussures de ville, c’était très différent de ses jeans et t-shirts habituels. Je passais dans ma chambre pour me changer avant de retrouver maman dans la salle de bain. Elle avait passé une jolie robe, un collant et était face au miroir pour se maquiller.
— Tu es très jolie maman.— Merci, ma chérie, toi aussi. Cette robe est parfaite, tu es vraiment très belle ma chérie.— Merci maman.— Il faut finir de se préparer sinon ton père va encore être énervé.— Je dois juste me remaquiller un peu et je suis prête.
Ma féminité était de plus en plus forte, je prenais un grand plaisir à m’habiller, à me maquiller, cette pensée alors que j’étais si proche de ma mère dans la salle de bain me fit monter une larme.
— Alors ma chérie, ça ne va pas ?— Si maman, je suis simplement heureuse d’être là avec vous.— Oh ma puce, tu es trop gentille.
Nous avons reçu beaucoup de compliments de mon père sur nos tenues et c’est une famille heureuse qui partit pour le restaurant. Nous nous sommes rendus dans l’un des meilleurs restaurants de Quimper, le repas fut excellent et nous avons attiré de nombreux regards, maman et moi. A la fin du repas, mes parents m’annoncèrent enfin cette nouvelle. Il avait fait un héritage d’une vieille tante. Ils avaient hérité d’une belle somme ainsi que de la maison et d’un immeuble de 6 appartements loués, ce qui leur assurerait un revenu mensuel confortable. Ils avaient pris la décision que papa arrêterait son travail, car il souffrait de plus en plus du dos, et maman allait finir son année à l’école avant de s’arrêter aussi. J’étais heureuse pour eux, connaissant les difficultés qu’ils avaient rencontrées tout au long de leur vie. Ils allaient maintenant pouvoir profiter de la vie.
Papa m’indiqua qu’il pourrait m’aider plus pour mes études et que si je le souhaitais, je pourrais prendre un appartement pour vivre seule.
— Non, je suis très bien avec Sandrine, cela se passe super bien.— Sache que tu pourras si tu en as envie.— Merci papa.
Nous sommes rentrés à la maison où je profitais enfin d’un peu de calme, après un dernier câlin à mes parents, je regagnais ma chambre pour dormir sans oublier d’envoyer un SMS à Vanessa pour convenir de notre lieu de rendez-vous.
— rendez-vous place St Corentin à 14h.— D’accord à demain bonne nuit.— Bonne nuit toi aussi.
Mes pensées allèrent vers Vanessa, j’avais chaud et une folle envie de sexe, je ne pus m’empêcher de me caresser et c’est après avoir joui dans mon oreiller afin de ne pas réveiller mes parents que je trouvais enfin le sommeil. Je profitais de la matinée pour passer du temps avec mes parents avant de commencer à me préparer.
— Alors ma fille, tu as l’air bien dubitative.
Maman venait de faire son entrée dans ma chambre que j’avais laissée ouverte. Perdue dans mes pensées, je ne l’avais pas entendue entrer.
— Je cherche quoi mettre pour cet après-midi.— Tu ne restes pas comme ça ?— J’hésite entre une tenue confortable et...— Et quelque chose de plus sexy ?— Non de plus femme.— Quoi que tu portes, tu seras superbe. Mais dis-moi, tu as l’air de vouloir lui plaire ?— J’ai juste envie de...— De te faire belle, pour elle, elle te plaît cette fille ?— Je ne sais pas maman.— Alors, mets une robe ou une jupe et un chemisier.— Tu veux bien m’aider ?— Avec plaisir ma chérie.
J’ai passé l’heure qui suivit à essayer différentes tenues, finalement mon choix se porta sur une tenue plus sage, un tregging noir qui moulait mes petites fesses, un pull léger blanc et un perfecto court. Ni trop sexy, ni trop sage, une tenue confortable, mais jolie.
— Tu es parfaite.— Merci maman, tu peux me descendre en ville ?— Bien sûr.
Nous avons discuté de mes goûts pour les filles ou les garçons, je précisais à maman que je ne savais pas qui je préférais.
— Je te souhaite une bonne après-midi. Si tu ne rentres pas, tu nous envoies un message pour qu’on ne m’attende pas pour le dîner.— OK maman, merci.
J’embrasse maman avant de prendre la direction de la place Saint-Corentin. Je m’installe sur un banc et je prends mon téléphone quand on m’interpelle.
— Salut.— Salut Vanessa.— Je suis contente que tu aies accepté de venir.— Je suis contente de te voir aussi.— Bon tu as envies de faire quoi ?— Rien de précis, et toi ?— Un peu de shopping ? Ou tu préfères qu’on aille boire un verre ?— Shopping pour l’instant, je n’ai pas soif, ça te va ?— Super. Tu es super jolie.— Toi aussi.
Vanessa portait une minijupe en jean, un top légèrement transparent blanc à travers lequel se devinait un soutien-gorge en dentelle blanc. Ce que je supposais être un collant chair satiné et de jolis escarpins à talons fins.
— Si j’avais su que tu serais en jupe, j’aurais fait de même.— Ton pantalon te va à ravir.— Merci (son compliment me fit rougir)— Bon tu veux commencer par quoi ?— Ça fait longtemps que je ne suis pas venue à Quimper, je te laisse me guider.— OK.
Elle me guida dans les rues piétonnes, s’arrêta devant la vitrine d’une boutique de lingerie.
— On entre ?— Si tu veux.
Nous avons fait le tour de la boutique comme des copines de longue date, échangeant nos avis sur telle ou telle parure, les couleurs, les formes.
— Regarde ce tanga, je suis certaine que tu serais superbe dedans. Tu ne veux pas l’essayer ?— Pourquoi pas ?
Je prenais ma taille et filais vers la cabine, après avoir ôté mon pantalon et ma culotte, j’enfilais le tanga.
— Tiens, j’ai trouvé le soutien-gorge qui va avec, tu fais quelle taille ?— 85B.— OK je t’apporte ça.
Elle écarta le rideau en me tendant le soutien-gorge.
— J’avais raison, il te va bien.
J’enlevais mon pull et mon soutien-gorge et enfile celui que Vanessa m’a donné.
— Attends, je vais le régler.
Ses mains sur mes épaules alors qu’elle ajuste les bretelles me font frissonner.
— Voilà, tu es vraiment parfaite.— Merci.
Je la regardais dans le miroir, elle se tenait dans mon dos à l’entrée de la cabine, son regard passait de mon reflet à mes fesses.
— Je te l’offre, tu es trop belle dedans.— Non il ne faut pas.— Ça me fait plaisir.— Je ne sais pas quoi dire.— Juste merci.
Je me retourne vers elle, pose mes lèvres sur les siennes.
— Merci.— Mademoiselle, nous allons prendre l’ensemble, elle va le garder sur elle, vous pouvez vous occuper des étiquettes ?— Bien sûr Madame.
La vendeuse s’empressa d’ôter les étiquettes, ce qui la fit rougir quand elle écarta le tanga de mes fesses. Je prenais plaisir à voir son trouble. Lorsque nous sommes sorties de la boutique, je prenais la main de Vanessa.
— C’est vraiment gentil.— Ça me fait plaisir et puis le merci aussi m’a fait plaisir.— Tu veux faire quoi maintenant ?— J’ai plusieurs envies, mais je voudrais qu’on aille t’acheter une jupe et une paire de collants.— Pourquoi ?— Je te préfère en jupe même si ton pantalon te fait des fesses magnifiques, je voudrais les voir dans une petite jupe moulante. Et puis j’ai envie de te faire plaisir.— Tu n’es pas obligée.— Je peux te demander quelque chose ?— Oui.— Tu veux bien me laisser faire et t’offrir la tenue dans laquelle j’ai envie de te voir.— Je ne comprends pas.— J’en ai rêvé cette nuit, je ne peux pas me l’expliquer, mais je t’ai vue en rêve cette nuit dans une tenue et j’ai envie que ce rêve devienne vrai.— C’est marrant, moi aussi j’ai rêvé à toi cette nuit.— Et alors, de quoi tu as rêvé ?— Je dirais que mon rêve était assez hot.— Le mien aussi.
Nous sommes parties dans un grand éclat de rire. Et je me jetais de nouveau sur ses lèvres, elle eut un mouvement de recul avant de céder et de répondre avec fougue à mon baiser en pleine rue.
— C’est d’accord, j’espère juste que je ne vais pas me retrouver en minijupe au ras des fesses.— Non, mais elle sera mi-cuisse et moulante.— Et du coup on va où ?— Là.
Nous sommes entrées chez Pimkie, elle se dirige vers le rayon des jupes, en prennent deux ainsi qu’un chemisier en satin blanc.
— Tu veux bien essayer ça ?— Bien sûr.
La première jupe bleue n’est pas assez moulante pour Vanessa, j’essaye donc une rouge en xs, ce qui fait qu’elle est très moulante et m’arrive à peine à mi-cuisse.
— Voilà, exactement comme dans mon rêve.— La bleue c’était juste pour me faire croire que j’avais le choix ?— Oui.
Elle paye et en sortant, elle me propose de rejoindre sa voiture pour aller chez elle. Une fois en voiture, j’envoie un message à maman, lui indiquant de ne pas m’attendre ce soir.
— Tu es vraiment très jolie.— J’ai juste l’impression que ma jupe ne demande qu’à remonter.— Et je trouve ça très sexy.
Elle se gare au pied d’un immeuble moderne juste à la sortie de Quimper, nous prenons l’ascenseur et grimpons au sixième et dernier étage. La porte s’ouvre sur un appartement spacieux et lumineux, une grande pièce de vie composée d’une cuisine ouverte sur une partie salon-salle à manger. La déco moderne, les couleurs claires, je suis sous le charme de cet intérieur luxueux.
— Il ne te manque qu’une chose.— Ah oui quoi ?— Le collant. Installe-toi dans le canapé, je reviens.
Je me suis assise dans le canapé en cuir, elle est revenue, tenant en main un collant fin. Alors qu’elle se met à genoux devant moi, nos regards se croisent, elle me sourit.
— Je peux te le mettre ?— Si tu veux.
Je la regarde préparer le collant, enlever mes escarpins et doucement enfiler le collant sur mes pieds, elle remonte doucement sur mes chevilles, arrivée au genou, je me mets debout pour qu’elle puisse continuer, la sensation est étrange, je me sens comme une petite fille que l’on habille et je suis excitée par la situation. Ses mains entre le collant et ma peau, le collant qui se plaque petit à petit sur mes jambes, je commençais à mouiller et comme elle avait relevé ma jupe sur ma taille pour finir, elle ne pouvait que sentir l’odeur de mon intimité. Elle finit de plaquer le collant sur mes fesses, le lissant en me caressant les fesses. Son regard toujours plongé dans le mien, elle remet ma jupe en place.
— Comme tu es belle, j’ai adoré te mettre ton collant.— C’est étrange, mais j’ai aimé aussi, je me suis sentie comme une petite fille pendant un moment.— Tu veux bien m’embrasser à nouveau ?
Je me précipite sur ses lèvres et nous partons dans un baiser fougueux. Ses mains se promènent sur mes fesses, dans mon dos avant de me saisir un sein avec sa main droite. Je me mets à gémir, que c’est agréable. Elle me malaxe le sein tout en continuant à m’embrasser. Sa main gauche remonte ma jupe et se glisse dans mon tanga, je sens maintenant un doigt caresser ma raie. Elle trouve enfin ce qu’elle cherche et un doigt caresse ma rosette. Je ne peux me retenir de tendre mon derrière afin de lui faciliter la tâche. Elle comprend et appuie de plus en plus. Après un instant, son doigt me pénètre, ce qui déclenche en moi un cri de jouissance et un lâcher de cyprine qui trempe ma culotte. Elle me retourne et me plaque le ventre sur le canapé, elle se positionne derrière moi, descend un peu mon collant et mon tanga et je sens sa langue se poser sur mon petit trou. De grands frissons me parcourent le corps.
Je lui dis que je n’ai jamais été sodomisée, elle me réconforte en me disant qu’elle ira doucement. Après de longues minutes à m’avoir léchée, elle me pénètre de nouveau avec un doigt puis deux. Nouvelle sensation intense, c’est agréable, je remonte mes fesses vers ses doigts, j’ai envie qu’elle aille plus loin, plus profond.
— Tu as envie que je te prenne ?— Oui.— Tu en es sûre ?— Oui, prends-moi le cul.— Je reviens, ne bouge pas.
Elle se dirige vers sa chambre, y passe un petit moment, je la vois revenir du coin de l’œil, elle porte un gode ceinture sous sa jupe posée dessus. Elle se repositionne derrière moi, je sens un liquide froid sur mon anus et ses doigts qui l’étalent à l’intérieur. Elle en met sur le gode et le présente contre mon anus. Elle pousse doucement, je le sens me pénétrer doucement, elle y va petit à petit jusqu’à la garde. Elle est posée sur mon dos, le gode entièrement entré dans mes fesses.
— Je vais te donner un plaisir intense ma chérie.
Elle se redresse et commence ses va-et-vient. Elle commence doucement avant d’accélérer le mouvement, je sens une énorme vague de chaleur m’envahir le corps, je tends mes fesses vers l’objet qui y est entré, elle bute de plus en plus fort contre mes lobes. Je ne peux plus retenir mes cris de plaisir, je suis en train de bouillir intérieurement. J’explose totalement, inondant ma culotte de cyprine. Elle continue ses mouvements, je suis totalement vidée. Elle se retire, je reste à bout de souffle, allongée sur le canapé.
— Tu es merveilleuse, je n’ai pas entendu une fille jouir comme toi depuis longtemps. Un mec non plus d’ailleurs.— Tu l’as déjà fait à des mecs ?— Oui et je peux te dire qu’ils adorent aussi.— Je suis épuisée.— Prends le temps de te remettre. Tu veux boire quelque chose ?— Un verre d’eau.— OK.
J’eus du mal à me redresser, mes fesses étaient douloureuses.
— Je ne pensais pas me faire défoncer comme ça.— Tu n‘as pas aimé ?— Si. Au contraire, je ne savais pas que la sodomie c’était si bon.— J’aurais peut-être dû te le dire avant ce que je voulais.— Non comme ça je n’ai pas eu à réfléchir et je dois t’avouer que je ne l’aurais sans doute pas acceptée si tu m’en avais parlé avant.— Tu ne m’en veux pas alors ?— Non pas du tout, j’ai découvert un plaisir très fort. Je peux prendre une douche ? J’ai eu très chaud.— Bien sûr je vais te montrer la salle de bain et te préparer un peignoir.— Merci.
Après avoir pris une douche, je reviens dans le salon en peignoir.
— Comme tu es belle.— Merci.— Je t’ai remis tes affaires sur le lit de ma chambre, tu as le choix.— Je n’ai pas envie de m’habiller pour l’instant, j’ai plutôt envie d’enlever ton collant et culotte et de te bouffer la chatte.
Elle se pencha pour enlever son collant et sa culotte. Elle me les tend, je les porte à mon nez, ils sentent son intimité, ils sont humides.
— Remonte ta jupe que je puisse voir ta chatte.
Elle s’exécuta, son regard plongé dans le mien. Je pouvais maintenant regarder sa chatte rasée, humide. Ses lèvres gonflées par le désir, je pensais que j’adorerais les caresser. Elle plongea sa main droite vers sa chatte, commença à se masturber, debout devant moi, ses doigts allaient et venaient sur ses lèvres, les écartaient, pinçaient son clito. La cyprine coulait sur ses doigts, elle se mit à gémir.
— Ne t’arrête pas ma chérie, continue. Je veux te voir jouir, t’entendre hurler de plaisir.
J’imaginais mes mains à la place des siennes, découvrir ses fesses, entrer dans son anus et dans sa chatte. Elle le fit à ma place, une main devant l’autre derrière, elle se masturbe la chatte et le cul. Elle se gémit de plus en plus fort avant de s’écrouler à genoux sous l’effet de l’orgasme. Elle met du temps à reprendre ses esprits. Elle a du mal à comprendre ce qui vient de se passer.
— Tu es très belle quand tu te masturbes et que tu jouis.— J’ai eu l’impression que tu me dictais quoi faire.— Ne réfléchis pas, tu m’as donné beaucoup de plaisir. Je voulais que tu en prennes aussi, mais nous n’en avons pas fini.— Tu veux dire quoi ?— On verra plus tard.
Je me dirigeais vers la chambre pour me rhabiller. Si elle m’avait surprise en me faisant connaître ma première sodomie, elle est surprise par ce qui vient de se passer et je sais que je peux contrôler son désir.
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