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une femme déterminée

Chapitre 1

mon dépucelage

Avec plusieurs femmes
Je m’appelle Bernie et cette histoire m’est arrivée lors de mes 18 ans, ma mère avait invité une amie pour le café, et lorsqu’elle arriva, je ne pouvais détacher mon regard de ses formes généreuses.Caroline, c’est son prénom, est une femme mûre d’environ 45 ans, 1.65 centimètre et une poitrine voluptueuse, brune, la peau laiteuse, et des jambes bien galbées, pour autant que je puisse voir.Je passais et repassais dans le salon, et je finis par m’assoir en face d’elle en faisant semblant de lire un magazine.Caroline discutait avec ma mère, et me jetait des sourires en coin, en croisant et décroisant ses jambes gainées de bas noirs, laissant voir l’ombre de son entrecuisse, j’en étais tout émoustillé et ma queue commençait à se tendre dans mon jean serré.
Très excité, je montais dans ma chambre et sur mon lit, je pensais à Caroline, en me triturant la verge déjà dure, je n’avais jamais fait l’amour avec une fille et mes expériences sexuelles se résumaient à l’attouchement des seins de mes petites amies, Valérie ma petite amie du moment me refusait d’aller plus loin, et me laissait souvent sur ma faim, m’obligeant à me soulager avec un magazine porno que je chipais dans les tiroirs du bureau de ma mère.
Je rêvassais, quand ma mère m’appela.
— Chéri ! descends s’il te plaît.
Je dévale l’escalier et vois Caroline et ma mère dans l’entrée.
— Sois gentil, Caroline s’en va et je voudrais que tu ailles chez elle récupérer un livre que je lui ai prêté, mais pas avant une heure, car elle doit faire des courses avant.— Bien maman, j’y serais vers 16 heures.
Caroline prend congé et m’ébouriffe les cheveux en me glissant à l’oreille " a tout à l’heure mon grand, ne sois pas en retard."Caroline habite à un quart d’heure en vélo de chez moi, et j’arrive à l’heure chez elle.Je sonne, elle m’ouvre la porte et m’invite à entrer.Elle s’est changée, elle porte une robe noire longue, de fines bretelles, et un décolleté vertigineux qui laisse entrevoir la naissance de ses gros seins.
— Viens dans le salon, je vais te donner le livre.
Je la suis et peux admirer sa démarche chaloupée, son cul balance devant moi, et ma bite durcit instantanément, arrivés dans le salon, elle monte sur un petit escabeau devant la bibliothèque, et me demande de lui tenir l’échelle, car celle-ci est plutôt branlante.Elle se saisit du livre, et en descendant, rate une marche, je la rattrape de justesse et elle se retrouve dans mes bras.

— hé bien ! heureusement que tu étais là ! me dit-elle, en me palpant les bras, tu es costaud pour ton âge, et elle me plante un gros baiser sur la joue, veux-tu boire quelque chose ? Assieds-toi, je reviens dans une minute.
Elle disparaît dans la cuisine, et revient quelques minutes plus tard avec deux verres de jus d’orange.Elle me fait assoir sur le grand canapé à côté d’elle et commence à papoter, elle veut savoir si j’ai une copine, me pose mille questions, et se rapproche de moi, elle me dit qu’elle me trouve mignon, passe sa main dans mes cheveux, caresse ma joue au passage, je sens son parfum délicat, elle est de plus en plus pressante, et veut savoir comment est ma petite amie, si elle a de jolis seins, je bredouille, je suis sans voix, je commence à avoir chaud, tout à coup, son regard se pose sur ma braguette, " mais tu bandes ma parole ! c’est moi qui t’excite comme ça ? dit-elle en riant, et prenant ma main, elle la pose sur sa poitrine, "en as-tu déjà vu des comme ça ? " Et elle écarte son décolleté laissant voir ses deux globes de chair bien galbés dans un soutien-gorge en dentelle noire.
Je rougis, ma main s’attarde sur un sein, je caresse doucement et elle pousse un petit gémissement de plaisir, "hmmm c’est bon, continue, pince-moi les bouts" elle sort le sein de son écrin de dentelle et je peux voir enfin ce trésor, le téton est comme dressé, son aréole large et granuleux, je malaxe, caresse, elle se renverse et sort l’autre, "viens, lèche-les, j’adore ça, " j’accepte l’invitation et me penche sur cette poitrine superbe, je lèche ses tétons l’un après l’autre, les tortille, elle gémit de plus en plus, "ha ! Bernie, c’est trop bon, " elle se redresse d’un coup et me dit " viens dans ma chambre nous serons mieux".
Elle me jette sur le lit, ses cheveux sont défaits, elle est belle cette femme en chaleur, ses mains s’activent sur ma braguette et elle m’ôte mon pantalon, ma queue tendue dépasse de mon slip, et la gourgandine s’en empare, le sort et d’un coup, le prend dans sa bouche, elle me branle en suçant le gland gorgé de sang, ma bite est de plus en plus dure, elle salive dessus, essaie de l’avaler complètement, tâte mes couilles, les lèche, je n’en peux plus, si elle continue, je vais lui juter dans la bouche, elle le sait et cesse sa fellation, se redresse et enlève sa robe, son corps est parfait, elle défait son soutien-gorge, ses seins tombent un peu, ils sont lourds, son ventre palpite, et elle ôte prestement son string laissant apparaître sa toison taillée en cœur, sa vulve est entièrement épilée.
Nous sommes nus l’un sur l’autre, elle me caresse, m’embrasse, ma main s’aventure dans sa toison humide, elle tortille du cul, j’écarte doucement ses lèvres, et mon doigt trouve le clitoris bandé, elle gémit, "ho ! oui rentre tes doigts, caresse ma chatte, je suis trempée !"
Je lui branle le con, mes doigts s’agitent à l’intérieur, ils rentrent et sortent avec un bruit de clapotis, c’est vrai, elle mouille abondement, ma main est couverte de son jus délicat, soudain elle se cabre, ses cuisses enserrent ma main et je l’entends jouir "ha ! ouiii je viens, je viens, continue fouille-moi ! "
Elle se renverse sur le lit, jambes relevées, elle agrippe ses mollets, et m’implore de venir lui lécher sa chatte grande ouverte, dégoulinante de sa cyprine, je me jette dessus et ma langue s’enfonce dans sa grotte d’amour, elle sent bon, je suce, lèche de plus belle, puis n’y tenant plus, je m’agenouille entre ses cuisses et présente mon engin turgescent à l’entrée de sa chatte, "viens ! baise-moi, ho ! j’en ai envie ! elle prend ma bite dressée et l’enfourne, le gland a du mal à passer, elle est étroite et ma bite épaisse, mais lubrifiée comme elle est, je finis par la rentrer jusqu’aux couilles, elle couine, hurle " vas-y, baise ! défonce-moi mon chéri ! elle m’agrippe les fesses comme pour s’empaler encore plus, je commence mon va-et-vient, doucement, puis j’accélère, je donne de grands coups de reins, je me penche et suce ses seins ses bouts, sa tête oscille de droite à gauche, elle bredouille des mots sans suite, elle jouit sans vergogne, en poussant des cris aigus, je ralentis, car je sens ma jouissance arriver, une chaleur envahit mes reins, et je déverse ma semence en longues saccades, mon orgasme est intense, jamais je n’ai ressenti pareille chose, je m’affale sur elle, elle m’embrasse, sa langue s’insinue dans ma bouche, puis nous nous séparons épuisés, elle me cajole "merci mon chéri, j’avais tellement envie de toi, "
Nous restons un moment allongés sur le lit, bavardant de tout et de rien, elle me raconte qu’elle est divorcée depuis peu et que faire l’amour lui manque (ça, je l’avais remarqué) elle a peu d’aventure, car elle a deux enfants et les hommes qu’elle rencontre ne sont pas prêts pour une liaison sérieuse.
Elle me demande si je veux bien venir la voir de temps en temps, je suis d’accord, car cette femme me fait beaucoup d’effet, d’ailleurs, tout en discutant, sa main qui caresse ma verge doucement se fait plus ferme, ma bite réagit et retrouve en peu de temps une vigueur que je pensais impossible, elle se penche sur moi et s’installe à l’envers, me présente son cul et me demande de la lécher, avant d’enfourner mon gland épais, sa langue court sur la longueur, elle titille mon prépuce, tourne autour, elle sait y faire cette salope, de mon côté, je ne suis pas en reste, j’écarte ses grandes lèvres humides et fouille son con gluant de mon sperme mélangé à sa mouille, instinctivement, je lui doigte le trou du cul, et rentre délicatement un puis deux doigts, "ho ! chéri c’est bon ! j’aime aussi par là, viens m’enculer !"
Elle se positionne en levrette et à genoux derrière son cul somptueux, je me penche pour lui lubrifier l’anus avec ma salive, elle vient s’écarter les fesses et vient au-devant de ma queue, je rentre d’abord le gland, puis en poussant, je m’introduis dans son petit conduit, "ha ! salaud, ta bite est grosse ! je la sens coulisser ! tu me combles chéri, continue je vais frotter mon clito je veux jouir de toi ! "
Je vois ses grosses mamelles se balancer, son cul se tortiller, ma jouissance arrive vite, je ressors ma bite et lui largue sur le cul mon foutre épais qui dégouline entre ses fesses.
Plus tard, elle me parle de ses amies, seules comme elle, et surtout d’une de ses collègues de bureau, Eva, une rousse flamboyante, aux yeux verts, elle aussi en manque de bite, elles se voient de temps à autre pour se gouiner " elle te plairait sûrement Eva, elle adore les petits jeunes comme toi, voudrais-tu la rencontrer ?Si tu veux, je peux organiser une petite soirée tous les trois, samedi après-midi, mes enfants seront chez leurs pères pour le week-end, tu serais partant ?"Le rendez-vous est pris.Je la quitte et rentre chez moi, encore tout émoustillé de nos ébats sexuels, en rentrant, ma mère me demande pourquoi j’ai été si long, mais je vois qu’elle n’est pas dupe, je me demande même si elle n’a pas arrangé ce rendez-vous avec Caroline.
A suivre
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