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une femme déterminée

Chapitre 2

Eva

Avec plusieurs femmes
De retour à la maison, seul dans ma chambre, je pense à Caroline et à sa proposition, faire l’amour à deux femmes, le rêve de tout garçon qui découvre le sexe. J’ai hâte d’être à samedi, quand mon téléphone sonne:" allô Bernie ? c’est Valérie, comment vas-tu ?"C’est ma petite amie qui vient aux nouvelles. Nous discutons de tout et de rien, elle veut venir me voir ce soir. Je décline en lui prétextant un mal de crâne imaginaire et je raccroche.Cette fille qui se refuse à moi, alors que Caroline, elle me fait grimper aux rideaux. Elle ne mérite pas mes faveurs.
Plus tard, je me dis que j’en parlerai à ma nouvelle maîtresse, je verrai bien ce qu’elle en pense.
Le samedi arrive, je suis excité à mort, je prends mon vélo et pédale comme un fou.
Je sonne, Caroline m’ouvre la porte, "entre vite mon chou, hmm tu m’as manquée" et elle me roule une galoche d’enfer. Sa langue force mes lèvres et je lui rends son baiser.
Nous nous installons dans le salon, elle a fait un feu dans la cheminée. La lumière est tamisée, elle a pris soin de tirer les rideaux, et elle me sert un verre de vin blanc glacé.
Caroline s’est habillée très sexy: un débardeur qui moule son opulente poitrine, une jupe ultra-courte, des talons de 15 centimètres et des bas ajourés. Elle s’est préparée, me dit-elle, "je me suis rasée la chatte mon chéri, tu vas voir, un vrai petit lavabo, tout lisse." Je décide d’aller voir ça et ma main s’insinue sous sa jupe, elle ne porte pas de culotte, et je sens en effet son mont de Vénus entièrement glabre. Ca me fait de l’effet et ma queue commence sérieusement à gonfler.
Coup de sonnette " c’est sûrement Eva, je reviens."
Les deux femmes déboulent dans le salon, et je vois son amie pour la première fois. J’en reste sans voix, c’est une très jolie femme: grande, des jambes interminables, un postérieur bien rebondi, une taille fine et une paire de seins énormes, je n’en ai jamais vu de tels.
Son chemisier est déboutonné et j’aperçois le sillon profond et deux bouts qui pointent. Sa chevelure rousse et bouclée tombe sur ses épaules, elle porte un pantalon moulant qui lui serre les fesses et moule son entrejambe. J’en bave, cette femme sent la luxure, ses yeux sont deux émeraudes effilées, sa bouche une invitation aux baisers et ses dents blanches et régulières une splendeur.
Elle vient vers moi: " Bonjour Bernie. Alors c’est toi le petit coquin de Caroline ? ". Elle se tourne vers Caroline et lui demande si elle peut m’embrasser, et sans attendre la réponse, me roule une galoche. Sa langue pénètre ma bouche, joue avec ma langue, je passe mes bras autour de sa taille et l’enlace.
Caroline se positionne derrière son amie et se frotte à elle, malaxant ses gros seins, à bout de souffle. Eva cesse son baiser et nous nous asseyons sur le grand canapé. Les deux coquines m’ont fait assoir entre elles et leurs mains sur mes cuisses, elles m’embrassent à tour de rôle. Je sens leurs parfums, je suis aux anges.
Eva trouve qu’il fait chaud, se lève et retire son chemisier. "Toi aussi Caro, fais voir tes jolis seins, j’ai envie de les bouffer, hmm". Et joignant le geste à la parole, elle retire le débardeur de son amie, lui masse les seins. "Humm chérie, ça faisait longtemps. J’ai très envie de toi et de ton petit Bernie, tu me rends folle !".

Elle s’agenouille devant Caroline, sa langue parcourt le ventre, descend sur le pubis, tout en pinçant ses bouts devenus durs et turgescents. Caroline pousse des gémissements, "ho ! Eva lèche-moi partout, regarde, je mouille déjà!".
En effet, j’aperçois une coulée de son nectar jaillir de son con gluant. La langue d’Eva entrouvre sa grotte odorante et fouille. Ses doigts écartent les lèvres délicatement et je vois son bouton sortir de son capuchon. "Tu mouilles bien ma salope, je te fais toujours autant d’effet !". Ses doigts s’insinuent dans le fourreau brûlant, Caroline ne peut retenir sa jouissance, et largue en jouissant sur le visage d’Eva un jet de cyprine que la gourgandine avale jusqu’à la dernière goutte.
Cette entrée en matière m’a excité, ma pine jusque-là plutôt sage se met à enfler, ce qui n’échappe pas aux deux filles. " Ho ! regarde Caro, on dirait que Bernie s’impatiente, voyons ça...".
Elle rampe jusqu’à moi, défait ma braguette et sort ma queue. " Ha !! quelle jolie bite Caro, tu ne m’avais pas menti". De fait je bande à mort. " Mon Dieu, mais elle est énorme ! au moins 25 centimètres ! (en fait 22 centimètres, je l’ai mesurée un jour à la maison) Et bien épaisse ! Et ce gland ! "Elle prend la verge à deux mains et la branle doucement en invitant Caroline à la rejoindre. "Viens, il y en a pour deux.". Et les deux salopes me lèchent ensemble et s’embrassent sur mon gland. Je caresse leurs gros seins qui balancent, l’après-midi commence bien.
Après une longue fellation, je sens ma jouissance arriver et je veux me retenir car j’aimerais juter dans une chatte. Je les repousse doucement et demande à Eva et Caroline de se déshabiller entièrement. J’en fais autant et nous voilà nus tous les trois. Caroline s’affale, cuisses grandes ouvertes sur le canapé, Eva s’agenouille devant elle et écartant les deux globes charnus de son somptueux fessier, elle me montre sa chatte touffue. " Vas-y mon chéri, baise-moi en levrette, j’adore ça. Moi je vais préparer la chatte de cette salope de Caro et tu la baiseras après m’avoir faite jouir".
Je présente ma queue à l’entrée de son con, fais glisser mon gland de son trou du cul à son clitoris, histoire de voir comment elle réagit. Elle recule pour essayer de s’empaler, mais je retarde son plaisir, je la sens très réceptive. "Ho ! salaud, baise-moi vite, défonce ma chatte, je coule !". J’introduis ma queue et pousse d’un coup. Elle rentre à fond tant sa chatte est trempée de mouille, elle hurle: "ha ouiii ! Encore, pilonne-moi ! Défonce ton Eva, je suis ta salope !". Ces mots crus me motivent, je lui laboure le con de plus belle, ma bite entre et sort dans un rythme endiablé, tandis que Caroline qui ouvre grand les cuisses implore son amie de lui manger son clito. Elle gueule qu’elle veut jouir ! Elle se triture les seins les bouts, passe une main sur sa chatte en chaleur, c’est surréaliste !
Eva, le nez enfoui dans la chatte de son amie, se met à trembler, et se cambre. Elle se donne à fond, je lui remplis le vagin de ma grosse queue. Sa main vient pincer son clito et soudain, elle explose, une chaleur intense envahit ses reins et enfin la délivrance, elle se met à jouir en gémissant de plus belle. Au même moment, je lui largue mes jets de foutre au plus profond, en grognant. Je jouis intensément, me retire et mon sperme inonde son cul. Les deux filles se retournent et viennent lécher ma semence sur ma queue encore raide.
— Ho mon Dieu Caroline, mais tu as trouvé un dieu du sexe !
Nous sommes allongés sur le tapis, devant le feu de cheminée. Eva me caresse le torse, le ventre effleurant ma verge redevenue sage. Caroline est sur le côté et caresse son amie, lui embrasse les seins, puis s’adresse à moi: " alors Bernie chéri, que penses-tu d’Eva ?". En guise de réponse, j’enlace Eva et lui roule une pelle. Ma langue fouille sa bouche, mes mains sont partout sur elle, sur ses seins qui sont énormes, mais bien fermes et j’embrasse ses bouts encore durs et sensibles.
— Bon je vois qu’elle te plaît. Attention, je vais être jalouse.
Elle fait la moue, puis se met à rire, je me jette sur elle et lui mordille le cou.
— C’est vrai qu’elle me plaît, mais toi aussi, ne sois pas jalouse, d’ailleurs, je vais te baiser aussi, tu l’as mérité.
Mais regardant ma bite molle, je me demande si le vais réussir à bander de nouveau,. Cette chienne d’Eva m’a littéralement vidé.
— Bon, fait Caro, on se repose un moment et ensuite nous allons te montrer comment t’exciter. Et elle disparaît puis revient quelques minutes plus tard avec un double gode de belle taille.

Les deux garces qui n’en sont pas à leur coup d’essai, se positionnent en 69 et commencent à se caresser la chatte mutuellement. Elles arrivent rapidement à se faire mouiller, j’entends les clapotis, les langues se déchaînent, leurs doigts s’agitent autour de leurs clitoris bandés, elles sont en sueur, leurs corps sont luisants, j’entends leurs gémissements étouffés. Ce spectacle m’émoustille, je sens ma bite durcir et retrouver sa vigueur.
Mais elles n’en ont pas fini et elle se positionnent l’une en face de l’autre. Caroline dirige les opérations, elle lève la jambe d’Eva, et introduit le gode qui rentre sans problème dans le con lubrifié de son amante. Puis elle s’introduit l’autre partie du gode dans sa chatte et dans un mouvement de bassin bien coordonné, elles s’empalent sur le double dong en feulant. L’une crie sa jouissance, l’autre insulte sa partenaire:
— grosse salope, tu en veux hein ? Tu es une vraie cochonne tu sais ho ! — oui, baise-moi fort salope, viens Bernie, je veux sucer ta belle queue.
Je m’approche, elle (Caroline) saisit ma hampe et commence à l’enfourner. Elle suce le gland et se l’enfonce au fond de la gorge.
— Ouii, suce-la bien ma chérie et ensuite je te la mettrai dans le cul tu veux ?—Quoi ! glapit Eva, tu vas l’enculer ? Et moi alors?
Je lui réponds que je n’ai qu’une bite, mais si elle veut, je peux l’enculer avec le gode.
— Ho ! mon salaud oui ce serait super, ho !! je jouis d’avance .
En attendant, Caroline qui m’a bien sucé, "dégode" les deux chattes et se positionne en levrette pour un enculage en règle. Elle prend appui sur le canapé et Eva monte à califourchon sur elle, me présentant son derrière joufflu. Voir ces deux culs tendus vers moi est un enchantement. Je saisis le gros gode et présente ma bite sur le petit conduit de Caroline. Avec mes doigts, je récupère sa mouille pour bien la lubrifier et j’en fais autant avec le cul d’Eva. Ainsi prêtes, je les encule en même temps, quelques va-et-vient plus tard, je les entends jouir, ensemble.
— Humm fait Eva, c’était délicieux, n’est-ce pas Caro ? J’ai joui comme jamais, mes chéris.
Les deux femmes sont enlacées sur le canapé et moi assis sur le tapis, je les regarde en me disant que j’ai beaucoup de chance d’avoir rencontré Caroline chez moi. J’en suis toujours à me demander si ma mère était dans le coup. Je questionne Caro qui feint de ne pas comprendre.
— Allez, avoue que ma mère m’a envoyé chez toi, sachant ce qui allait se passer !— Eh bien oui fait-elle, ta mère et moi sommes de grandes amies, et même un peu plus: il nous arrive de nous caresser quand je viens la voir et que tu n’es pas là. C’est elle qui m’a demandé de te dépuceler, car elle se faisait du souci pour toi."— hé bien en voilà une affaire ! Alors comme ça toi et ma mère ? — Ho tu sais rien de bien méchant, mais depuis son divorce, la pauvre est en manque de sexe alors je lui rends ce petit service quand elle a envie. D’ailleurs ta mère est une très jolie femme.— Oui, je sais mes copains me le disent souvent, qu’elle est bonne à baiser, mais de là à baiser avec une femme, je ne me doutais pas.
Nous continuons à discuter quand Eva nous dit:
— Et si nous dormions ici ce soir tous les trois ?
Je la regarde et lui explique que je ne découche pas, car ma mère s’inquièterait trop.
Caroline propose de l’appeler, pour la convaincre...
Elle disparaît dans son bureau et revient trois minutes après.
— Voilà, c’est fait, en fait, je l’ai invitée à venir dîner avec nous ce soir et à rester coucher pour profiter de son dimanche autour de la piscine. Après tout autant profiter de cette belle maison que mon mari m’a laissée non ? Et puis il y a assez de chambres pour nous tous."
Je reste sans voix, ma mère ici dans ce temple de la luxure ! J’ai hâte de voir comment tout ça va finir, pas vous ?
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