Il se réveilla doucement, assis sur une chaise, attaché par des cordes à cette même chaise et bâillonné par un morceau de tissu. Il se trouvait au centre d’une pièce vide au sol couvert de moquette. Il faisait sombre, très sombre, mais pas suffisamment pour qu’il soit totalement aveugle à ce qui l’entoure. Il était face à une porte ouverte qui semblait donner sur un couloir. Il tenta de se débattre un peu pour se libérer de ses liens, mais sans succès. Il était vêtu, trop vêtu, il avait chaud, car par-dessus sa chemise, il portait un pull à col roulé. Il était pieds nus, cependant. Il entendit des bruits de pas venant du couloir, des bruits de pas provenant, semble-t-il, de talons aiguille. Le stress commençait à monter en lui, qui allait apparaître ? Était-ce seulement pour lui ? Il vit apparaître dans l’encadrement de la porte, une femme blonde aux cheveux lui arrivant au milieu du dos, vêtue simplement d’un peignoir en soie noire. Elle s’avança de quelques pas, et, sans jamais détourner son regard de lui, claqua la porte derrière elle en la poussant du pied. Elle le regardait avec un sourire provocateur. Elle s’avança de nouveau et arriva à quelques centimètres de lui.Elle passa sa main dans la poche de son peignoir et en sortit un objet long et fin, elle le déplia, c’était un coupe-choux, un rasoir mono lame.Pétrifié, il se figea. Elle approcha la lame de son visage et commença à la passer sur ses joues et son menton, comme pour le raser à blanc. Puis, une fois fini, elle plongea délicatement la lame dans le col du pull, et se mit à tirer dessus. Le col s’étendit, se déforma, puis sur le tranchant de la lame, se sépara en deux et revint se claquer sur le cou de l’homme. Elle passa ensuite le rasoir dans l’entaille qu’elle venait de créer et découpa le pull comme si elle l’ouvrait avec une fermeture éclaire. Elle découpa ensuite les manches de la même manière, puis lui retira le vêtement avant de le jeter négligemment dans un coin de la pièce. Il n’avait à présent en haut plus que sa chemise. Elle se mit à genoux et déboutonna son pantalon, puis passa le rasoir dans chacune des jambes l’une après l’autre, pour encore une fois découper le vêtement sur toute sa longueur, et le lui retirer pour le jeter lui aussi. Elle se releva, et commença à couper les boutons de la chemise, un par un, les bloquant avec son pouce alors qu’elle passait la lame derrière pour en sectionner la couture. Et arrivée en bas, elle coupa le caleçon avant de délester leur propriétaire de ses deux derniers vêtements. Elle jeta alors le rasoir par-dessus son épaule qui alla se planter dans le sol derrière elle. Elle dénoua alors la ceinture de son peignoir. Elle était nue en dessous, son décolleté n’en était plus un, et sa toison blonde finement taillée était visible. Elle posa son pied toujours chaussé de son talon haut sur le torse de l’homme, et le poussa en arrière pour le faire tomber. Sa tête cogna contre le sol. Elle retira ensuite son peignoir en étendant les bras en croix, et s’avança au-dessus de l’homme en posant un pied de part et d’autre de lui. Elle se mit à genoux, puis posa sa chatte contre son ventre. Elle commença alors à se frotter sur lui. Faisant des mouvements de bassin d’avant en arrière, ses fesses venant rencontrer la bite de l’homme à chaque passage. Elle se recula et finit par prendre la bite dans sa chatte. Elle le chevaucha, encore, et encore, et encore. Il finit par jouir en elle, elle se plaqua alors à lui, récoltant sa semence.
