Aujourd’hui j’ai 41 ans. Je suis cadre dans une grande entreprise financière de la région. Je suis marié à Natalie, une jeune femme brune de 28 ans qui est professeur dans une école primaire. Physiquement, je la trouve parfaite à un détail près : sa poitrine. Elle est en effet munie d’un petit 90b malgré moi, qui suis amateur de grosse poitrine. Ça a toujours été un véritable fantasme pour moi. Sinon, elle n’est pas bien grande, je dirais dans le mètre soixante, et est plutôt bien entretenue étant donné qu’elle passe deux soirs de la semaine dans sa salle de sport en centre-ville. Elle a aussi un très joli petit cul qui a le don de me foutre la trique à chaque fois qu’elle s’habille assez serré. Elle possède également des lèvres pulpeuses de bonne suceuse qui font mon bonheur. Je dirais que sexuellement, je suis plutôt comblé. Mais voilà, il y a deux mois, n’ayant plus le temps d’assumer les tâches ménagères dans cette immense villa qu’est notre maison, nous avons décidé de recruter une femme de ménage. Pour cela nous avons fait passer de petits entretiens afin d’en choisir une qui nous conviendrait à tous les deux. Je me souviens très bien d’ailleurs du jour où nous avons recruté Mégane (notre femme de ménage actuelle). C’était pendant le mois de mai, à peu près à la moitié du mois. Nous avions fait venir Mégane vers les 19h afin de procéder à « l’entretien d’embauche ». Je me souviens exactement des vêtements qu’elle portait : un débardeur rose avec un grand décolleté qui laissait dépasser son soutien-gorge rouge à dentelle, un mini short en jean qui nous laissait apercevoir une bonne partie du bas de ces fesses et de longues chaussettes blanches avec des baskets Nike blanches et roses. Je me souviens aussi très bien de l’érection qui avait suivi la vision de ce corps magnifique. En effet, Mégane avait une grosse poitrine bien ronde et jeune comme je les aime. Elle était blonde avec de magnifiques yeux bleus et avait de longues jambes qui m’avaient l’air bien douces. Et que dire de son cul si ce n’est qu’elle était juste trop bonne. On avait envie de le lui claquer en l’insultant de salope qui osait sortir dans cette tenue. J’eu un choc intérieur en la voyant pénétrer l’entrée de la villa. Ma femme la reluquer de haut en bas avec un air méfiant. Ne pouvant pas parler, ma femme prit les devants et l’invita à venir s’installer dans le salon. Quand Mégane passa à côté de moi, son parfum à l’odeur de bonbon emplit mes narines. J’étais totalement sous le charme, et Natalie ne semblait pas s’en être rendu compte. Tandis que celle-ci emmenait Mégane dans le salon je me retournai afin de pouvoir profiter de ce petit cul en mouvement qui ne demandait qu’à sortir de ce short si serré. Je lui emboitai ensuite le pas pour m’asseoir en face d’elle, à côté de ma chère femme qui prit la parole : — Très bien ! Mégane, c’est ça ?— Oui Madame— Quel âge as-tu ? , questionna ma femme— 22 ans.— Tu es toute jeune c’est parfait. Je ne comprenais pas ce que ma femme entendait par là, mais je ne dis rien, encore sous le choc. Pendant que Mégane parlait, j’avais l’impression que celle-ci tirait sur le bas de son débardeur car ses gros seins semblaient de plus en plus à l’étroit. D’ailleurs, celle-ci dû remarquer que je lui reluqué la poitrine avec attention car elle me lança un grand sourire qui me sortit de mon silence. J’étais pris au dépourvu, et je ne voulais pas que ma femme soupçonne mon voyeurisme érotique, d’où ma prise de parole, comme pour changer de sujet : — Tu as déjà une expérience dans le domaine ? Elle se tourna entièrement vers moi puis me répondit : — A vrai dire non pas vraiment, mais je sais faire plein de choses et je m’adapte vite. Et puis je suis très serviable. Je sentis quelque chose contre ma jambe. Avant d’avoir eu le temps de réagir, je sentis son pied monter le long de mon mollet pour venir caresser le haut de ma cuisse gauche. Elle faisait cela tout en plongeant ses beaux yeux bleus dans les miens. L’effet ne se fit pas attendre. J’eu directement une érection mémorable qui me faisait mal tellement ma verge était gonflé. En faisant ça, Mégane croisa les bras. Ce qui eu pour effet de contracter sa grosse poitrine. Je réussis cependant à prononcer les mots suivants : — D’accord…et…que faisiez-vous avant ?— J’ai fais pas mal de petit boulot comme caissière ou encore serveuse. Mais comme vous avez pu le constater, je recherche un emploi de femme de ménage pour changer un peu… J’étais clairement plus intéressé par sa grosse poitrine que par ses paroles. Je sentais que Mégane étais toute fière de l’effet qu’elle me faisait. Je détournai un instant le regard et vit que ma femme me regarder en train de mater et semblait tout à fait comprendre ce par quoi j’étais attiré. Avant d’avoir pu dire quoique ce soit et à ma grande surprise ma femme lança : — Très bien, tu corresponds à nos critères. Tant que tu fais ton travail sérieusement, il n’y aura pas de problème. Tu n’as qu’à venir dès demain. Nat se leva d’un coup comme pour mettre fin à la discussion et à l’entretien puis fit le tour de la table pour serrer la main de Mégane qui souriait franchement. Nous la raccompagnâmes donc jusqu’à la porte d’entrée. Je profitai encore de ce moment pour rester un peu en retrait et mater ce cul de petite pute en chaleur. Avant de partir Mégane remercia cordialement Natalie de lui accorder le poste puis me lança un regard complice. Elle se retourna puis s’en alla dans la rue tout en se dandinant. Je savais qu’elle sentait mon regard sur ses fesses et ça m’excitait d’avantage. Puis elle tourna au coin de la rue, ce qui mit fin à ce magnifique spectacle. En fermant la porte, Nat me lança un regard moqueur puis alla dans la cuisine afin de préparer le dîner. Je me souviens être resté quelques minutes dans l’entrée complètement sous le choc de ce qui venait de se passer. J’étais partagé entre l’excitation de revoir Mégane et la peur de ne pas pouvoir contrôler mes pulsions au détriment de mon mariage. Qu’allait-il se passer ? (à suivre ?)
