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Une femme piégée

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Une femme piégée 1Sinful wife 1Coulybaca / Lord John Thomas
--------------------------------------------------------Droits d’auteur 2005.Si vous publiez cette histoire, veuillez noter le nom de l’auteur original.Vous pouvez poster cette histoire sur des sites non- commerciaux, ou dans la partie libre des sites commerciaux.--------------------------------------------------------

Chapitre1
Nous étions au jeudi matin, le quatrième jour de ma semaine de vacances, une petite équipe de maçons nous travaillait dans notre garage, je m’affairais dans la maison. Pour l’instant je me trouvais dans la chambre des enfants, je ramassais leur linge sale, lorsque j’entendis le patron de l’équipe m’appeler au rez-de-chaussée.— Madame Holmund... Madame Holmund, pouvez-vous me consacrer quelques instants? — J’arrive...
Je descendais l’escalier pour gagner mon petit bureau où était installé mon P.C. le patron des l’équipe de maçons était venu me demander, quelques minutes plus tôt s’il pouvait utiliser mon ordinateur, pour rechercher un grossiste pouvant lui fournir le matériel nécessaire aux travaux du garage.Je lui avais allumé mon P.C puis je l’avais abandonné à ses recherches. Comme j’arrivais au bas des escaliers, je présumais, que comme tous les manuels, il était imperméable aux subtilités de l’informatique et de ce fait requérait mon aide.Aussi en toute confiance, prête à expose mes talents en la matière, je pénétrais dans mon bureau. Toute mon assurance fondit en un instant alors que je regardais ce qui s’affichait sur l’écran.
— Que faites vous avec ceci?Je restais figée, le sang ayant déserté mon visage...— Eh bien... Vous n’avez rien à me dire? Rien à me dire au sujet de ces mails! Je parie que monsieur Holmund ignore tout de cela! — Je faisais de mon mieux pour conserver mon self-control...
— Vous n’avez pas à fouiller mes dossiers en rentrant dans mes archives privées! — C’est d’accord... Puisque tu ne veux pas me répondre et me menacer, je dois te dire que...Que j’ai fait plusieurs copies de ces mails, et je vais m’assurer que ton mari apprenne quelle salope il a épousé! — Non pas ça! Vous ne pouvez pas...— Bien sur que si je le peux, penses-tu vraiment qu’il s’agisse d’une menace en l’air! — Je vous en prie... Je ne lui ai pas été infidèle... Il ne s’agit que de courriers échangés sur le web...— Je ne crois pas que cette explication lui suffirait! ...— S’il vous plait... je vous en supplie... Ne lui dites rien! — Si je me tiens pénard, que feras-tu pour me remercier? — Que voulez-vous dire? — Tu sais très bien ce que je veux dire... Je veux te baiser! ...— Non... Vous ne pouvez pas me demander cela... Je vous en prie... Je n’ai jamais ne serait-ce qu’embrassait un autre que mon mari depuis nos épousailles! — Quel innocent petit ange... Quelles sont les histoires que tu préfères?
Je suppose qu’à ce stade, il est nécessaire, que j’explique ce que cet homme avait déniché sur mon P.C, et dans quelle situation sa découverte me plongeait.Je m’appelle Camilla Holmund et je suis mariée à Göran, nous avons deux merveilleux enfants Helle 3 ans et Björn 6.J’ai 32 ans et je me suis comportée comme dépravée, Mon Göran est très doux et il prend soin des enfants et de moi-même avec beaucoup de tendresse.Je l’aime profondément, je sais ce que vous pensez, si je l’aime tant il ne devrait pas y avoir de problèmes.En vérité, je n’ai jamais trompé Göran, et je ne le tromperai jamais, même si le plus séduisant des hommes me donnait rendez-vous! ... Cependant ma personnalité abrite un coté sombre et, comme lady Chatterley, je ne pense pas que Dieu m’ait doté de ce coté lascif sans raison.
Aussi un jour que je trainais sur le web, ai-je recherché des sites concernant le sexe.Comme vous pouvez l’imaginer j’ai été submergée de sites à visiter. Une fois que j’en eus exploré une bonne dizaine, je n’avais trouvé que des photos et des vidéos extrêmement crues.Je commençais à penser que ces sites de cul ne répondaient pas à mes attentes.En fait je n’avais aucune idée de ce que je recherchais, des choses indéfinissables. Ma vie amoureuse avec Göran était si sécurisée, si prévisible, je pensais qu’il devait exister quelque chose d’autre.C’est alors qu’en consultant le résultat de mes recherches je dénichais un site gratuit qui ne nécessitait pas d’inscription préalable et offrait des histoires pour adultes.Je n’avais aucune idée de ce que j’allais découvrir, mais lorsque je l’ouvris je réalisais que le matériel qu’il présentait était hautement jouissif! ...
Les quelques semaines qui suivirent je téléchargeais des histoires que je lisais avec grand plaisir, certaines étaient très hard incluant des scènes de viols, de bondage et d’incestes. Il y avait même des histoires de bestialité où des femmes avaient des rapports sexuels avec des animaux, mais cette idée me révulsait, aussi les évitais-je.La lecture des autres histoires m’échauffait terriblement les sens, à chaque fois des flots de cyprine inondaient ma chagatte...J’étais maintenant avide de lire ces histoires, elles relataient en majorité des fantasmes avec parfois un fond d’histoire vraie, mais souvent elles n’étaient que prétexte à décrire des rapports sexuels hautement érotisés.C’est alors que je lus une histoire qui semblait bien innocente, seul le fait que cette histoire soit postée par une femme laissait augurer un développement nettement plus pornographique, visiblement quelque chose de très sombre allait arriver à la femme qui était le personnage central de ce récit.Sans entrer dans les détails, cette innocente jeune femme, cette ménagère des plus classiques, était piégée dans différentes situations, elle était obligée de tourner dans des films pornos, et de se faire partouser.
Si les autres histoires m’avait fait mouiller, cette dernière me faisait exulter. Je m’étais doigtée tout le temps de ma lecture, et l’histoire était longue.Je ne me rappelle pas du nombre de fois que j’avais joui. Je lisais et relisais continuellement cette histoire pendant trois jours, à chaque fois les mêmes frissons parcouraient ma colonne vertébrale, je m’imaginais à la place du personnage principal.Un jour enfin j’eus le courage d’envoyer un mail à l’auteur, il avait laissé ses coordonnées en fin d’histoire, demandant aux femmes d’Angleterre d’envoyer leurs commentaires. Je ne l’ai pas encore mentionné, mais je suis suédoise et fière de l’être, ce qui ne m’empêcha pas de lui envoyer un message.
De ce jour, j’attendis et attendis sa réponse. Jour après jour, je me ruais sur mon P.C voir si j’avais une réponse. Le quatrième jour, j’avais fait quelques courses sur le chemin du retour à la maison, et Göran était rentré avant moi.Je pensais alors que je ne devais pas prendre le risque de consulter mon P.C en sa présence, de toute manière je subodorais qu’il ne m’avait pas encore répondu. Et même s’il l’avait fait, que pourrait-il me dire de vraiment intéressant! ...Aussi n’est ce que le lendemain matin, une fois Göran parti au boulot, les enfants ayant déjeuné que j’ouvrais ma boite à message. Il avait répondu à mon message.
Il s’agissait d’une réponse fort courtoise, pas vraiment personnelle, elle me soumettait une liste d’histoires qu’elle avait écrite, et m’indiquait sur quels sites les trouve.Une fois de plus je n’entrerai pas dans les détails, mais comme je ne parvenais pas à trouver ces histoires, je me permis de lui envoyer un nouveau mail, et elle m’envoya gentiment une histoire complète En fait je reçus trois mails, contenant chacun une partie de l’histoire.
Je commençais lire l’histoire, et cette fois encore une fois, je m’imaginais à la place du personnage central.Cette femme se faisait violer, mais sans violence juste en se servant de persuasion et en profitant de circonstances.Puis le récit progressait il prenait une toute autre dimension.Je disais qu’auparavant l’idée de rapports sexuels avec des animaux me soulevait l’estomac, mais en maintenant que je lisais cette histoire, dans mon esprit j’étais cette fille et après m’être fait partouser mes suborneurs m’obligeaient à baiser avec des chiens! Mais de façon fort surprenante, cela ne fit que m’exciter follement. Aussi je continuais ma lecture, il s’agissait surtout de rapports avec de chiens, mais aussi... Avec des chevaux! Et à ma grande honte, j’aimais chaque propos de ce récit, je ne pouvais pas me passer de leur lecture.
C’est ce qui nous avait amené à ma situation actuelle. Le fouineur avait déniché ces histoires sur mon P.C, puis il avait lu mes messages et les réponses de l’auteur.Bien sur j’avais déjà eu honte de mon comportement auparavant, mais je savais ce que je faisais! Et voila que cet horrible bâtard savait tout, j’étais très humiliée... Mais si mon Göran venait à découvrir mes lectures malsaines, je me suiciderai! Je ne pourrai plus jamais le regarder droit dans les yeux...
Mais revenons à mon problème.— Même les petits anges ont leur face cachée... Que penses-tu de ces histoires que tu lis avec passion? — Rien... je les lis avec mon mari! — Tu n’es qu’une sale menteuse! Tu dis toi-même dans tes messages que ton mari ne sait absolument pas que te régales de telles merdes...— Mais ce ne sont que des histoires! — C’est bon... On va bien voir... Je vais en imprimer une et tu me la liras! — Si je lis une de ces histoires, me promettez-vous de ne rien dire à Göran? — Peut-être bien, Voyons un peu si ces récits autant que toi!
Il se dirigea immédiatement vers l’imprimante, et imprima le texte page par page, avant même d’avoir terminé il se saisit d’une liasse de feuilles et me les tendit.— Allez viens ici... Assois-toi, je me tiendrai dans ton dos...Il quitta le siège de l’ordinateur et se posta derrière moi. Je ne savais pas si je serai capable de lire, à voix haute, les termes crus de cette histoire, mais je savais que je devais le faire pour éviter que mon bien-aimé Göran apprenne que je n’étais qu’une chatte en rut.Comme je commençais la lecture du texte, il posa ses mains sur ma poitrine et empauma mes nichons. Cela provoqua de violents élancements dans ma chatoune embrasée, mes mamelons dardèrent tout de go. Je cessais ma lecture.— S’il vous plait non... Je n’aime pas que vous me touchiez ainsi...— Je me fous de ce que tu aimes... Tu as le choix... Et maintenant reprend ta lecture et sois contente que ne t’ai pas encore enlevé ta petite culotte!
Je repris ma lecture alors qu’il manipulait mes tétons du bout des doigts, le texte débouchait maintenant sur la première séquence sexuelle, je sentais ma cyprine inonder la fentine.La tendre manipulation de mes tétons engendraient une myriade de démangeaisons dans mon estomac, non seulement mon estomac frémissait mais aussi tout mon corps! Et plus particulièrement les parties les plus intimes de ma féminité.Il ouvrit alors mon corsage et glissa ses mains dans les bonnets de mon soutien-gorge. Un invraisemblable frisson de plaisir naissait dans mes mamelons nus sous la caresse langoureuse de ses doigts.
— Je vous en prie pas ça...— Reprends ta lecture! Je recommençais ma lecture, mais j’étais sur le point de jouir, je ne parvenais pas à contrôler mes sens.Puis alors que je lisais la scène où l’héroïne se faisait pénétrer pour la première fois, cela arriva. Je dus cesser ma lecture, je ne pouvais m’empêcher de m’arquer sur les hanches en frottant mes fesses sur mon siège.— Bordel... Cela te fait donc autant d’effet! S’esclaffa le patron alors que je reprenais mon calme. Je m’abstins de répondre, me contentant de rougir, une vraie tomate! Il se tenait maintenant face à moi, sa grosse mentule bandée en main pointée sur mon visage.— Et maintenant mon petit ange, es-tu prête à me sucer? J’étais extrêmement humiliée par la perte de contrôle de mon corps, je savais qu’il ne se serait entièrement satisfait de ma prestation qu’une fois que sa grosse bite aurait vomi des flots de foutre dans ma gorge... Aussi ne me suis-je pas permis la moindre protestation, je me résignais à combler ses moindres désirs...
Même si cela ne pouvait pas être pire de mon point de vue, je me focalisais sur le fait que devais lui vider les couilles.J’étais si dépravée, et comme de plus je ne contrôlais pas mes sens lorsque je faisais l’amour...J’ouvris la bouche et enserrai de mes lèvres gonflées sa grosse mentule, ma chagatte pulsait follement. Je ne contrôlais déjà plus mes sens alors qu’il manipulait durement mes tétons dardés. Ce n’était pas des caresses auxquelles j’étais habituée, mon Göran était très classique dans ses initiatives.Comme son gros chibre gonflait entre mes lèvres, je m’efforçais de l’absorber dans ma gorge. Je suçais âprement sa bite alors qu’il me torturait les miches, mon orgasme montait.Lorsqu’il projeta son jus salé dans ma gorge, je tortillais follement des hanches en gémissant sourdement, je glissais au sol.Johan se tenait debout devant moi me regardant fixement, sa grosse bite mollissant entre ses doigts.
Lorsque je repris une contenance ordinaire, je me relevais pour m’asseoir su une chaise. Debout dans le vestibule Johan fumait une cigarette.— S’il vous plait, mon Göran n’aime pas que l’on fume dans la maison...— Mais il veut bien que tu tailles des pipes à des inconnus! ...— Je vous en prie, il sentira la fumée à l’instant même ou il mettra le pied dans la maison...— Ca a quand même l’avantage de dissimuler l’odeur de foutre provenant de la grosse tache sur la moquette!
Sur ces mots il baissa les yeux sur l’endroit où je me frottais les fesses il y a peu. A ma grande honte, une large tache de mouille souillait la moquette, un flot de cyprine avait du s’écouler de ma chatoune alors que j’orgasmais. Mes joues rougirent comme des tomates, une fois encore la honte me submergeait.— Me promettez-vous de ne rien dire à Göran? Il porta la main à sa poche et en sortit une liasse de feuillets imprimés.— Tu as été vraiment gentille... Aussi je vais ne rien dire pour l’instant... Mais je garde ces feuilles je copierai toutes les autres demain quand nous reprendrons le boulot... Je parie que mes ouvriers voudront que tu prennes soin d’eux avant qu’on en ait terminé avec les travaux.— Je vous en prie... J’ai fait ce que vous vouliez... — Je le sais ma chérie... Et c’était drôlement bon... Mais comme je te le disais nous sommes encore là jusque demain soir, et chaque fois que je te reluque, mon excitation renaît... Je pense donc que tu me câlines à nouveau, c’était si bon!
Je me pris la tête entre les mains sans lui répondre. Il tourna les talons et m’abandonna à mes remords... Je gagnais la cuisine, m’emparais de mes outils de nettoyage, retournais dans le bureau et récurais les traces de foutre et de cyprine entachant la moquette...Je remarquais alors qu’il y en avait aussi sur la chaise du bureau, une fois que j’en eus terminé, je ramenais mon kit de nettoyage dans la cuisine... Je voyais le garage et les trois maçons, par la fenêtre de la cuisine.
Johan était le patron, il drivait deux ouvriers. Il avait environ 45 ans. Le plus vieux de ses ouvriers avait à peu prêt le même âge, il s’appelait Stenn. L’autre n’avait que 25 ans, il s’appelait Loather. Il s’exhibait toujours torse nu, arborant poitrine musclée. Il était bâti comme un bodybuilder, pas une seule once de graisse, il avait même des muscles dans des endroits que je ne soupçonnais même pas qu’il puisse y en avoir.
Alors que j’épiais ces hommes, ils firent une pause cigarette. Loather se contentait de la pause sans fumer. Je réalisais alors avec horreur que Johan devait leur révéler ce qu’il venait de faire avec moi... Je ne pouvais pas entendre ce qu’ils disaient, mais certains de leurs gestes et les expressions s’affichant sur les visages des deux ouvriers ne me laissaient aucun doute... La pensée qu’ils savaient maintenant quelle salope j’étais, la réaction de Stenn me terrifia.
Il venait vers la maison invitant Loather à se joindre à lui. Ils ne pouvaient vouloir qu’une chose! ... Je tournais les talons et me précipitais vers les escaliers menant à l’étage, alors que je commençais mon ascension, je les entendis arriver dans le porche d’entrée.— MADAME ERRICSON... MADAME ERRICSON OU ETES-VOUS? C’était la voix de Stenn qui retentissait dans toute la maison. Je n’étais qu’à mi-chemin des escaliers, mais même si je réussissais à gagner ma chambre, que pourrai-je faire?
Ils me menaceraient de tout révéler à mon époux, aussi n’avais-je d’autre option que de satisfaire leurs appétits lubriques pour les amener à se taire...Je restais figée à mi-escalier, je me retournais pour leur faire face alors qu’ils pénétraient dans le hall.
— Ah, vous êtes là! Ca fait un moment que vous appelle... Vous ne me répondiez pas...— Je voulais paraître aussi peu concernée que possible.— Oui... Y’a-t-il un problème? Ils entreprirent de monter les escaliers pour me rejoindre.— Non, on veut juste que tu t’occupes de nous comme tu l’as fait pour Johan....
Nous nous tenions face à face à deux marches de distance, mais comme ils étaient nettement plus grand que moi, nous visages étaient au même niveau.— C’est bon... Si je vous suce tous les deux, vous me jurez de ne rien dire à mon mari? — Nous n’avons rien à lui dire, n’est ce pas Loather...— C’est sur, si tu me vides les couilles, je me serai muet comme une carpe...— Bon puisqu’on est d’accord, tournez donc les talons et descendons au rez-de-chaussée...— Il n’en est pas question ma petite dame! ... C’est nous qui te donnons des ordres dorénavant... Et moi je te dis de tourner les talons et de te rendre dans ta chambre conjugale...— Non, Me révoltais-je brusquement— Je veux bien m’occuper de vous, mais pas dans la chambre que je partage avec mon mari! ...— Tu n’es qu’une stupide petite idiote... Tu n’as pas bien compris... Je t’ai dit que c’est nous qui donnons les ordres! Et maintenant grimpe dans ta chambre avant que je t’empoigne pour t’y emmener...La colère et les menaces contenues dans la voix de Stenn me terrorisa, mon esprit de révolte s’effondra, je me transformais immédiatement en esclave soumise.Je faisais demi-tour et je grimpais les dernières marches, une main se glissa subrepticement entre mes jambes...
Mais j’en avais marre de ce sentiment de culpabilité, si je ne me grouillais de graver ces photos sur les CD de Johan, je risquais que l’un de mes suborneurs révèle mon comportement à Göran.
— Je vous en prie... Pas ça...La main continua implacablement à tracer son chemin, et avant que nous soyons arrivés au sommet de l’escalier, elle avait atteint son but.— Tu peux supplier autant que tu le veux ma petite dame... Mais si tu n’écartes pas tes cuisses pour m’offrir un excellent accès à ta cramouille, je te le ferai regretter... Je te promets que tu n’aimeras pas la méthode que j’emploierai... Et maintenant écarte-tes foutues cuisses!
J’ouvris instantanément mes cuisses, et son autre main sur ma croupe je repris le chemin de ma chambre, je marchais en canard à cause de cette main qui me mignotait l’entrecuisse.Il avait maintenant inséré deux doigts dans ma chatte... Ma moule était encore trempée suite à mon intermède avec Johan, aussi n’avait-il eu aucun mal à sonder mon intimité.
Ce rude traitement, quoiqu’odieux, affolait mes hormones. Je détestais tout ce qu’ils me faisaient endurer. Leurs demandes lubriques, la violation de ma chambre conjugale, ces doigts qui me fouillaient en profondeur.Mais si je haïssais leurs gestes, je ne pouvais empêcher mon corps de répondre à ces assauts comme le ferait celui d’une quelconque salope.A chaque pas, je crispais mes sphincters sur ses doigts. Nous sommes arrivés rapidement le long du lit, je dus enlacer mon tourmenteur pour m’éviter de tomber alors que je tortillais des hanches sous ses caresses.— Je vois ce que voulait dire Johan, elle est vraiment chaude comme la braise! Allongez-la sur le lit et foutez-la à poil!
J’entendais leurs propos, je savais ce qu’ils signifiaient. Jusqu’ici je n’avais jamais laissé personne me traiter comme cela.Je me retrouvais allongée sur le dos sur mon propre lit, les doigts de Stenn grouillant dans mon intimité, tortillant des hanches pour approfondir ses caresses, alors que Loather me dépouillait de mes vêtements.Et je les laissais faire! ... Je n’émettais aucune protestation, ne me révoltais pas, mes bras et jambes étaient repoussés de bas en haut, de droite à gauche, jusqu’à ce que je me retrouve entièrement nue...
Loather se trouvait maintenant à califourchon sur mes épaules, il était lui aussi entièrement nu. Sa grosse mentule en semi-érection pointait sur mes lèvres. Il me prit les mains et les posa sur son épais engin, puis il se pencha en avant pressant son gland contre mes lèvres charnues. A peine l’avais embouché que déjà il s’enfonçait profondément dans ma gorge.Mon corps entier était en flammes, je réalisais alors que j’arquais mes hanches. Stenn cessa subitement de me doigter.J’étais parfaitement consciente de leurs actes, je pensais qu’il se déshabillait pour succéder à Loather dans ma bouche. Aussi me laissais-je à nouveau submerger par ces sensations exquises.
Je sentis soudain quelque chose de dure se presser contre ma féminité, je sentais soudain ma fentine se distendre pour accueillir quelque chose de bien plus gros qu’un doigt. Je tentais de lui résister. J’ai vraiment essayé. Mes efforts étaient trop faibles, et son assaut trop puissant.Déjà il forait irrésistiblement son trou dans mon intimité, il m’élargissait comme jamais Göran ne l’avait jamais fait. Il entreprit alors de coulisser lentement en moi. Même si Göran était entré dans la chambre à cet instant, je subodore que mon corps aurait continué à vibrer à l’unisson des assauts lubriques de Stenn. Je ne contrôlais absolument plus mes sens! Chaque fibre de mon corps résonnait divinement, j’atteignais des sommets jusqu’ici inconnus!
Loather extirpa son chibre de ma bouche, et entreprit der se branler frénétiquement, projetant son foutre sur mon visage et dans mes cheveux.— Oh bordel Ahhhhhhhh! ... Quel sacré coup... Elle est sacrément bonne... Regardez là jouir!
Je me foutais totalement de ce qu’ils pensaient, tout mon corps frémissait de plaisir... Tout ce que je désirai était de sentir la grosse bite de Stenn exploser dans mon intimité, je savais déjà que j’allais ressentir un orgasme comme jamais je n’en avais éprouvé!
— Cherche une caméra... Ce serait bien étonnant qu’ils n’en aient pas... Je veux une photo de son visage couvert de foutre!
Vous pouvez penser qu’en entendant ces mots, je reprendrai mes sens... Mais non, je ne me contrôlais toujours pas! Je me pourléchais les babines, savourant jusqu’à la dernière trace le foutre souillant mes lèvres... Je n’avais pas la patience d’attendre de me nettoyer le visage! Mes mains étaient bloquées sur les hanches de Stenn, l’encourageant à m’investir totalement!
Je n’étais pas désappointée, l’accroissement de son rythme de baise annonçait la fin imminente de sa chevauchée... Alors qu’il ralentissait lentement je sentais des geysers de foutre inonder ma chatoune... Je m’arquais sur les hanches, mes sphincters se crispaient sur sa mentule...Lorsque je me laissais retomber sur le lit, me tortillant de jouissance, je verrouillais mes jambes dans son dos... Le temps que mon corps exulte! ... Je n’avais plus les pieds sur terre... Je me trouvais au septième ciel! Mes veines charriaient des flots de plaisir dans tout mon corps! ...
Lorsque je repris mes sens, ils étaient tous deux rhabillé et regardaient le petit de la caméra de mon Göran.Je savais le type de photos qu’ils avaient emmagasinés, des photos de moi en pleine action! — Pourquoi suis-je si salope? Je fréquente l’église... Je crois en Dieu... Je fais mes prières tous les soirs... Et pardessus tout j’adore mon Göran... Aussi comment avais-je pu me comporter de la sorte? J’étais malade de honte... Je savais qu’ils détenaient des photos compromettantes sur la caméra de Göran...
— Hey, je veux que vous effaciez ces photos! Stenn me regardait de travers d’un oil railleur. Il était bien loin le sourire qu’il affichait en regardant les photos défiler sur l’écran de la caméra...— Tu crois vraiment que tu peux nous commander de faire ce que tu veux? Si nous montrons ces photos à ton mari, tu seras bienheureuse si le soir même tu ne couches pas sur le trottoir...— Je vous en prie je ne voulais surtout pas vous commander... Je vous en supplie, laissez moi effacer ces photos avant que Göran ne rentre...— c’est déjà mieux... Tu peux demander et supplier... Je peux le tolérer... Mais je n’ai aucune raison d’effacer ces photos! — Je vous en prie... Si Göran tombait dessus! — Eh petite madame ordinateur, tu ferais mieux de les copier sur ton disque dur afin de les envoyer par mail... Et pas de tricheries, si je ne les trouve pas dans mon ordinateur en arrivant chez moi, tu feras mieux de quitter le pays ce soi-même... Tu comprends ce que je te dis? — Oui, je ferai ce que vous voudrez... Mais je vais devoir réduire les photos... Elles sont bien trop grandes pour être envoyées par mail!
— Ne prends pas ce ton avec moi! Et toi sais-tu ce qu’elle veut dire? — Je pense que je le sais, mais on ferait mieux de demander à Johan ce qu’il en ait, il s’y connait en ordinateurs... Je vais lui demander... Tu ferais mieux de descendre avec elle dans le bureau où se trouve son P.C...— Suis-moi salope, magne toi le cul... Allons dans ton bureau! ...— Puis-je me rhabiller s’il vous plait? — Ne te casse pas pour ça, Dès que j’entendrai Johan rentrer dans la maison tu dégringoleras les escaliers que tu sois vêtue où à poil!
Je me précipitais sur mes vêtements me contentant d’enfiler une petite culotte et une jupe. Je boutonnerai mon corsage en descendant les escaliers... J’avais repoussé mon soutien-gorge qui gisait sur mon lit.Je me trouvais maintenant assise face à mon P.C, je transférais les images de la caméra sur le disque dur, dans un dossier que j’avais ouvert à cet effet...
Comprends-tu ce qu’elle veut dire quand elle prétend qu’elle doive diminuer la taille des photos? — Oui, elle a entièrement raison... Ces photos sont de trop bonne qualité... Elles sont trop importantes pour pouvoir être envoyée telles quel par mail... Regarde ce que je vais faire...
Johan tendit le bras au dessus de mon épaule, s’empara de la souris et ouvrit le dossier contenant les photos de mon visage couvert de foutre... J’aurai pu en mourir tant je me sentais humiliée... Aucun mot ne saurait expliquer ma détresse... J’étais restée étendue sur le dos alors qu’ils prenaient les photos qu’ils voulaient... Je me sentais malade de honte, au bord des nausées...D’u n seul coup tout sembla remonter, je me précipitais dans les toilettes où je vomis tripes et boyaux en me tenant l’estomac à deux mains tant j’avais mal!Je me trouvais maintenant à genoux, la tête dans la cuvette des toilettes, malheureuse comme jamais je ne l’avais été!
Comment peut-on ressentir des émotions aussi extrêmes?En quelques minutes j’étais allée du plaisir comme jamais j’avais rêvé, au tréfonds des profondeurs du désespoir, tout cela à cause de la débauche dans laquelle j’avais sombré!Combien de temps ai-je passé la tête posée sur le rebord froid des toilettes?
Graduellement je repris le contrôle de mes sens, essayant de rendre aux événements de plus justes proportions...J’avais été infidèle à mon Göran... Pire encore, je l’avais trompé dans notre lit conjugal!Oh mon Dieu, comment pourrai-je jamais me trouver des excuses? Je ne suis qu’une salope, qui se comporte en salope! Je ne suis pas mieux qu’une pute de bas étage! Qu’ai-je fait!Heureusement que si mon Göran n’en savait rien, il n’en souffrirait pas!Plus important encore, mes bébés, ils n’ont jamais rien fait de mal! Pourquoi devraient-ils souffrir de mon comportement? Quoiqu’il advienne, il faut que je me tire de cette galère, en laissant Göran en dehors de tout cela!Il me prendrait mes bébés! Je n’aurai alors d’autre alternative que de me suicider!Mais même cela punirait mes bébés pour quelque chose que j’aurai fait de mal! Non! Göran ne doit jamais rien savoir! Je baiserai avec ces trois hommes selon leurs volontés, du moment qu’ils ne révèlent pas mon secret à mon Göran!
J’avais entendu leur lourd badinage, tandis que Johan travaillait les images gravées sur mon P.C... Mais jusqu’ici je n’avais rien retenu de leurs propos.— Regardez-moi ces photos... Tu as tellement zoomé sur sa cramouille qu’elle tient toute la place sur cette image! On peut voir chaque détail de sa moule, chaque poil la cernant!Visez-moi ce flot de sperme s’écoulant de sa chatoune!
Ils bavaient sur chaque détail de mon anatomie! Je revins silencieusement et me tint silencieuse dans le vestibule... J’y restais cinq bonnes minutes avant qu’ils remarquent ma présence... Ils continuaient à baver tout détaillant méticuleusement mes charmes intimes largement exposés sur les photos rapportant ma performance!
Jusqu’à ce jour, seuls le médecin qui m’avait accouché et Göran avaient vu mes parties intimes...— T’es revenue... Je leur ai expliqué que pour les envoyer par mail il était nécessaire que tu diminues la résolution des images... Je ramènerai demain matin trois CD vierges, tu pourras ainsi nous graver les photos à leur bonne taille...— mais cela veut dire que je devrai conserver les photos sur mon disque dur jusqu’au moins demain matin!— Oui, cela te pose un problème? Cela ne risque pas de les endommager!— Mais si Göran tombe dessus!— Cela ne te tracassait pas tant auparavant, puisque tu conservais les mails de ton petit ami et ces histoires cochonnes! Je vous ai bien dit les gars, je parie que la lecture des histoires qu’elle conserve vous ferez bander comme des ânes! Ce type qui les écrit doit être un sacré dépravé!— S’il vous plait ne dite pas de telles choses à son sujet!— Oh ma chère... aurai-je touché une corde sensible? Tu n’aimes pas qu’on te dise la vérité en ce qui concerne ton petit ami!— Ce n’est pas vrai, ces histoires ne sont pas perverses!— se faire emmancher par des chiens et des chevaux te parait donc normal?— Ca ne se passe pas comme ça!— Je ne vois pas de différence... Ces histoires mettent en scène des femmes qui baisent avec différents animaux... Vous êtes sacrément dépravés tous deux, pour trouver ça normal!
— Je sais qu’il met en scène des scènes avec des animaux, mais ce ne sont que des prétextes, ce qui compte ce sont les sentiments qu’il traduit, les sensations qu’il exprime, le reste ne fait sert qu’à faire évoluer l’intrigue... Seul l’histoire est importante...— Pour moi, c’est un pervers... Mais je suppose que si tu as des chaleurs pour ce type, tout ce qu’il fait te semble merveilleux! On dit que l’amour est aveugle... En tout cas, le temps c’est de l’argent les gars, autrement dit il est temps de reprendre le boulot! Quant à toi, Rappelle-toi bien que je connais le nombre de photos figurant sur ton P.C, ainsi que la taille du dossier qui les renferme, aussi ne t’avise pas de les effacer ou de diminuer leur taille!
En passant devant moi Stenn m’épingla contre le mur. Ses jupes s’engouffrèrent directement sous mes jupes droit dans ma cramouille et il me doigta avec frénésie... Toute protestation était inutile, cela ne ferait qu’aggraver ma situation!Aussi sachant que Johan ne tarderait pas à le rappeler à l’ordre, je le laissais faire passivement.Johan apparut quelques secondes plus tard et tomba en arrêt en voyant Stenn me doigter brutalement...Comme je l’ai déjà concédé, je ne suis qu’une chienne en chaleur, il suffit de quelques secondes et déjà mes cuisses s’ouvraient alors que je gémissais sourdement.
— Par le diable Stenn, n’as tu pas assez profité de ses charmes aujourd’hui? — Ca va patron... Laissez-moi la baiser encore une fois... Elle ne demande que ça!— C’est sur mon gars! Mais je pense que même si tous les marines de la navy lui passaient sur le ventre, elle en réclamerait encore! Vise-moi cette salope, mes lampes à inflorescence mettent plus longtemps à s’allumer qu’elle!
— Cela ne me prendra pas bien longtemps patron... S’il vous plait... Je me la tape et je travaillerai gratuitement pour rattraper le retard!— Mais tu as déjà une heure à rattraper... De plus ce boulot doit impérativement être terminé demain soir!— Je commencerai une heure plus tôt demain matin... Allez patron soyez gentil! Vous savez très bien que le boulot sera terminé si on se met sérieusement à l’ouvre!— C’est bon, mais fais vite! Elle n’a nul besoin de préliminaires! Et ne t’épuise pas, je veux que le boulot avance quand tu en auras fini avec elle!— Ca marche pour moi... Surenchérit Loather.
Je les entendais discuter de leurs petites affaires, je restais muette. En fait je n’étais pas loin de jouir, mes cuisses étaient grandes écartées, mes jambes tremblantes, j’étais sur le point de choir au sol.— Allons-y alors, montons dans sa chambre, prenez-la en sandwich, ça ira plus vite, je vais prendre de nouvelles photos... Décidez lequel de vous deux se fera son trou du cul! On n’a pas de temps à perdre en discussion!
Avec leur aide, je remontais à nouveau les escaliers, me déshabillais et m’allongeais à plat dos sur le lit. Ils se dévêtirent promptement, je roulais sur Loather mes jambes éteignant ses hanches. Stenn se posta dans mon dos. Il avait visiblement lubrifié sa grosse bite, je pense avec mon jus féminin, il commença par enfouir un doigt dans mon anus, après l’avoir inspecté il décida qu’il était assez graissé pour y enfouir sa mentule.
Je le sentais pousser contre mon oillet crispé qui s’entrouvrit, je poussais un cri aigu. Il m’écarta brutalement les fesses. Je ne disais pas un mot, me laissant faire mollement. Il poussa jusqu’à forer son trou dans mon intestin. Ils me baisèrent en chour pendant cinq bonnes minutes. La douleur avait lentement décru dans mon trou du cul martyrisé. Mais cela avait éveillé mes démons.Je me gourmandais durement alors qu’ils me labouraient de concert. Des sensations indésirables m’envahissaient, j’avais envie de leur crier :— BAISEZ-MOI PLUS FORT! Mais je ne parvenais pas à prononcer ces mots!
Comme j’essayais de rassembler mes forces, Stenn résolu d’adopter un rythme de chevauchée plus rapide.Je me savais sur le point de jouir, je ne pensais plus qu’exulter en même temps qu’eux. C’est alors que comme il me pilonnait puissamment, il projeta des jets de foutre crémeux au fin fond de mon intestin, quelle sensation enivrante!Et comme déjà auparavant mes sphincters se contractèrent sur la bite de Loather qui projeta à son tour des flots de semence dans mes profondeurs, on aurait dit que ces deux bâtards n’avaient pas joui depuis des jours!Je flottais dans des nimbes bienheureuses provoquées par mon orgasme, sans tenir compte de leurs commentaires et du fait qu’il prenait des photos.
Cette fois, comme l’avait promis Stenn, ils m’abandonnèrent gisant sur mon lit, tandis qu’ils retournaient travailler. Johan transféra ces nouvelles photos sur mon P.C puis il partit rejoindre ses ouvriers. J’avais déjà vu de nombreux ouvriers à l’ouvre, mais l’attitude de Stenn et Loather me surprenait grandement, Ils ne plaisantaient pas entre eux, travaillant sans échanger un mot. Cela me rappelait vaguement un vieux Charlie Chaplin "les temps modernes", ils agissaient comme deux robots répétant leurs gestes de façon synchronisée.
Lorsque la voiture de mon Göran s’arrêta devant la maison, j’ouvris la porte et accueillis mes enfants. Ma gorge se serra alors que mon Göran me souriait à pleines dents, mes yeux se remplirent de larmes. J’avais bien du mal à garder mon calme, je ne savais pas ou je trouvais les ressources pour me dominer.Göran se dirigea vers moi, je lui ouvris mes bras en grand, J’étais folle de joie, et plus encore lorsque Helle m’étreignit.Je les dévorais de baisers avant de tourner les talons les entrainant vers la maison.Alors que les deux enfants faisaient la course pour arriver le premier devant le poste de télé, j’essuyais les larmes qui perlaient au coin de mes paupières avant de me retourner vers Göran.Je l’étreignis fermement le couvrant de baisers amoureux.
— Hey Camilla, tu cherches à m’étouffer?— Oh mon Dieu non mon chéri, Je t’aime tant mon Göran!— Que se passe-t-il ma Camilla... Des problèmes?— Non rien mon chéri... C’est seulement que je t’aime tant!— Je le sais bien ma chérie, mais généralement tu ne cherches pas à me le montrer en m’étouffant! Est-ce que tout va bien? Que s’est-il passé de fâcheux aujourd’hui? Que fait la camionnette de maçons devant le garage?— Rien de moche, c’est juste que la journée m’a semblé longue, interminable, sans personne avec qui parler... J’avais juste besoin d’être réconfortée...— Viens ici...Il encercla ma taille de ses mains et m’attira à lui jusqu’à ce que nos lèvres se touchent...C’était ce que j’attendais de la vie, un mari tendre et amoureux! Il m’embrassa tendrement pendant 30 secondes, mais une demande l’interrompit :— Quelle joie de voir un couple vraiment amoureux!C’était Johan qui sortait une grosse boite à outil de sa camionnette.Göran me reposa instantanément au sol, comme si nous étions encore des écoliers qui venaient de se faire prendre à s’embrasser dans la cour de récréation.— Ah c’est vous Erricson! Je me demandais ce que faisait votre camionnette dans la cour?— Rien de bien grave, ne vous tracassez pas pour cela... Mais nous avons été obligés de nous presser... On avait un gros problème avec les portes... Mais grâce à votre aimable épouse, et grâce à l’aide de mes ouvriers, on s’est débrouillé pour faire au mieux.— Comment les as-tu aidée ma chérie?— Je n’ai pas fait grand chose en réalité... Je les ai laissés juste laissé utiliser mon P.C...— Votre femme est bien trop modeste... Sans on aide, nous n’aurions pas pu visiter autant de sites très intéressants!— C’est sur, elle se sert parfaitement de son P.C. Il faudra bien qu’un jour elle m’apprenne à s’en servir... Toutefois, du fait de ce problème, pensez-vous quand même terminer les travaux demain? — Oui, nous serons là vers 7 heures et demi, en commençant tôt nous devrions avoir terminé avant que vous rentriez du travail.— Je réfléchis à autre chose, mais si vous avez des objections, dites les moi...
Göran avait entamé la conversation en parlant à Johan, mais maintenant, il se tournait vers moi me regardant dans les yeux.— Johan, ma femme a l’habitude de vivre en société, à son travail elle baigne dans la foule.— Göran, il n’y a aucune raison d’embêter monsieur Erricson avec mes problèmes!— Laisse moi continuer chérie, il n’y a aucune raison de ne pas en parler à monsieur Erricson, il peut refuser de nous rendre service si cela l’ennuie...— C’est bien vrai monsieur Holmund, mais s’il y a quelque chose que je puisse faire pour vous madame Holmund, je serai très heureux de vous faire plaisir.— Tu vois ma chérie... C’est comme je vous le dis Johan, elle a vraiment l’habitude de vivre avec des gens autour d’elle ce week-end, je pense qu’elle s’est profondément ennuyée assise toute seule dans sa maison, et je me blâme de ne pas y avoir pensé plus tôt. Mais cela ne devrait pas vous gêner outre mesure, je pensais simplement que vous-même, ou vos ouvriers pourraient lui tenir compagnie lorsque vous feriez votre pause, si cela ne vous ennuie pas j’aimerai que vous veniez vous asseoir avec elle dans la maison pour la distraire de sa solitude.— C’est entendu, nous ferons ce que vous désirez...— mais Göran ils profitent de leur pause pour griller une cigarette, et comme tu détestes que l’on fume dans la maison...— Désolé de ne pas être fumeur, cela ne m’était pas venu à l’idée...— Cela ne pose pas de problème monsieur Holmund, Loather ne fume pas, et Stenn peut fumer une paire de cigarettes en travaillant... Je suis sur qu’il préférera tenir compagnie à votre adorable épouse plutôt que d’en griller une!— Merci Johan, ainsi Camilla tu t’ennuieras moins demain, ces hommes t’offriront leur compagnie... Si je ne vous vois pas demain matin, laissez-moi-vous remercier pour l’ensemble de votre travail et pour votre amabilité... Au revoir monsieur Erricson...
Sur ces mots nous sommes rentrés chez nous... Je jetais un oil par dessus mon épaule et vit Johan qui m’adressait un geste sans équivoque, il avait empoigné son vit au travers de son pantalon et faisait mine de le branler en me regardant railleusement.Les ouvriers partis la soirée se passa sans anicroches, rien ne vint la perturber. Cette nuit, bien au chaud dans notre lit, Göran se montra très tendre et très amoureux, je m’en sentais d’autant plus honteuse et coupable!Ma seule consolation était de m’être livrée à ces hommes pour protéger Göran et mes enfants... Mais je savais cependant que ce n’était pas l’unique raison!
Le lendemain matin tout continua à se passer normalement, les enfants étaient prêts à partir à la crèche et à l’école maternelle, et Göran au boulot...C’est alors que je vis arriver les ouvriers, ils me fient un signe amical de la main en passant devant la fenêtre de la cuisine.Göran rassembla alors ses affaires les enfants m’embrassèrent tendrement, et je les vis tous trois partir pour la journée.Avant que je ne ferme la porte d’entrée j’entendis la porte de la cuisine s’ouvrir. Elle communiquait avec l’arrière cour où travaillaient les ouvriers.
Je ne fus donc pas surprise de les voir sortir de la cuisine, se dirigeant vers moi.— Bonjour Camilla, as-tu passé une bonne nuit?— Oui, merci... Je suppose que vous ramenez les CD vierges que vous voulez graver...— Oui, je les ai posés sur la table de la cuisine... Cela peut attendre... Je suppose que tu devines ce que l’on veut tout d’abord... Et comme ton mari m’a demandé de prendre soin de toi... Je ne voudrai surtout pas le décevoir!
Ils étaient maintenant tout proches de moi... Au pied de l’escalier menant aux étages... Je supposais que tout allait recommencer... Mais si je supportais encore leurs assauts toute la journée, mon épreuve se terminerait ce soir! Aussi me résignais-je à subir une nouvelle journée d’humiliations, je décidais de faire leurs quatre volontés, quelles qu’elles soient!
— C’est bon... Je suppose que nous allons monter dans ma chambre...— Non ma chérie...Stenn a une bien meilleure idée...Oh mon Dieu, à quoi a-t-il pu bien penser pour m’humilier encore plus que la veille? Cela semblait être son grand plaisir... Je ne crois pas que le sexe était le plus important pour lui, il aimait bien plus me dominer, m’humilier!— Ne vas-tu me demander quelle est cette idée?— Comme de toute manière je dois obéir, que je sois d’accord ou non...
Stenn prit alors la parole, habituellement il marquait sa déférence envers son patron, en se taisant lorsque celui ci parlait.— Ne te montre pas irrespectueuse salope.... Je crois t’avoir dit hier qui commandait!Ce simple constat sonnait comme une menace! Mes sentiment étaient passées d’un "mon Dieu" misérable à un "Oh merde" colérique.— Je ne voulais pas me montrer insolente... Je voulais juste dire que j’attendais que vous me disiez ce que je devais faire!Johan reprit la parole et Stenn se tut respectueusement.— Stenn il n’y a aucune raison de te montrer aussi méprisant! Notre petite Camilla est prête à faire tout ce que l’on lui demandera...Puis se tournant vers moi il poursuivit :— N’est ce pas ma chérie?— Oh, oui, je ferai tout ce que vous voudrez...— Je pense que tu veux dire oui maître...— Désolée maître... Oui maître...— T’es vraiment une docile petite chienne qui va nous obéir servilement... C’est bon salope, monte dans votre chambre et ramène la caméra de ton mari, et magne-toi le cul!
J’aurai aimé qu’ils ne prennent pas de nouvelles photos, spécialement avec la caméra de Göran. Mais je décidais de coopérer tout au long de la journée, aussi, comme la docile petite chienne que je suis, je me ruais dans les étages et ramenais la caméra.
— Brave petite... T’es vraiment bien obéissante... Et maintenant avant que l’on sorte, on va prendre soin de toi comme promis à ton mari... On va passer notre première pause avec toi... Allez les gars enlevez vos fringues de travail et posez les dans la cuisine où vous avez déjà laissé vos bottes...— Mais si quelqu’un me téléphone pour me faire une visite!— C’est à la demande de ton mari que l’on te tient compagnie, et je suis sur qu’il ne voudrait pas que l’on salisse vos meubles avec nos vêtements de travail souillés...Ils étaient tous trois assis sur notre grand canapé de cuir, dans l’arrière salon qui donnait sur le jardin. Ils étaient tous trois en boxers shorts, ce qui me faciliterait l’accès à leurs épaisses mentules... J’allais me mettre à genoux pour cajoler leurs gros chibres...— Tout d’abord, fais nous un petit strip-tease ma chérie... Mets de la musique... Et montre-nous comment tu tortilles ta fesse...On peut penser que l’on danse sexy, ce qui parait normal sur une piste de danse avec quelques verre dans le nez. De là à s’effeuiller en dansant à 8 heure du matin sous les yeux lubriques de trois spectateurs enthousiastes qui se branlent machinalement... Je mis en route la chaine stéréo, je dansais sur un slow tout en me déshabillant lentement, une fois nue, je continuais à danser en remuant mes nichons et mes fesses. Je ne me sentais pas particulièrement sexy, il était évident qu’ils s’en foutaient totalement.
— C’est bon salope... Tu peux arrêter de danser... Pointe-toi à nous genoux et viens sucer nos bites!— Hey patron, vous avez laissé Stenn mettre en ouvre son idée, puis-je maintenant soumettre la mienne?— Ton idée? Je ne savais pas que tu étais capable d’avoir des idées! Je pensais que tu étais tout en muscles avec un cerveau gros comme un petit pois!— C’est pas juste patron, moi aussi je peux réfléchir!— C’est Loather, je me moquais de toi... Mais vas-y Einstein, développe ton idée que je te dise si je suis d’accord....— Bon vous connaissez le solarium?
Et maintenant, avant de poursuivre, il vaudrait mieux, pour la clarté de l’histoire, que je fournisse quelques explications.Nous avons la chance que notre jardin soit invisible de quelque coté que l’on regarde, il est limité par une clôture de 2 mètres de haut alignée le long de grands arbres mesurant sept mètres empêchant tout regard.Mais comme le jardin est assez petit, le soleil n’y pénètre qu’en milieu d’après-midi.C’est pourquoi Göran a fait installer un petit solarium sur le toit du garage, c’est justement ce que construisait ces ouvriers, renforçant les charpentes du garage avant d’installer un appentis le long d’un mur latéral garage, pour y agencer les commandes.Puis pour nous protéger des regards indiscrets et du vent du nord ils avaient érigé un haut mur de l’autre coté du garage.Cela nous offrait un endroit élevé où prendre des bains de soleil ou nous pouvions profiter des premiers rayons du soleil au petit matin sans que les arbres ne projettent leurs ombres. De plus ce haut mur nous offrait un solarium totalement sécurisé.Aussi quand Loather disait : vous connaissez le solarium, se référait-il à ce nouveau présent que m’avait offert mon mari.
— Bien vous voyez le solarium?"— Sur, puisque c’est nous qui l’avons installé ces derniers jours!— Ne serait ce pas jouissif de la voir installée sur le toit du garage? Peut-être même allongée entièrement nue sur un matelas pneumatique nous lisant une de ces histoires pornos qu’elle adore tandis que nous la prendrions dans toutes les positions imaginables!— Effectivement j’aimerai cela, Elle nous a déjà sucé la bite ce matin, mais je sais que dès qu’elle commencera à lire ses histoires elle se transformera en goulue folle de son corps! Et une fois partie, nous ferons ce que nous voudrons d’elle! Mais il faut d’abord terminer ce boulot, nous ferions mieux de nous donner une heure limite!— Mais patron, il ne nous reste plus énormément de travail, il vaudrait mieux qu’on la baise par tous ces trous avant d’être épuisé...— Désolé Stenn, nous avons déjà passé une heure avec elle, je veux que vous repreniez tous deux le travail, et, en ce qui me concerne, vous ferez d’elle ce que vous voudrez une fois le boulot terminé, jusqu’à ce que vous voyiez la voiture de son mari remonter l’allée. Cela devrait vous réjouir de saluer son mari alors que des flots de foutre s’écouleront de sa chatoune et de son trou du cul embourbés.— C’est bon patron... Je parie que nous aurons terminé avant midi!— Excellent, cela vous laissera tout l’après-midi pour la partouser selon vos désirs les plus lubriques!
Texte de Lord John Thomas (lord_john_thomas@hotmail.com)Traduit de l’anglais par Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)22 avril 2009
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