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une femme révélée

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Nous nous installons comme Léa le demande. Au bout d’un moment, je constate qu’une main de Max a disparu sous la table. Il me suffit de regarder ma femme pour comprendre où elle s’est nichée, si bien que je demande ce que j’attends pour imiter Max. Je glisse donc une main entre les cuisses douces et tièdes de la maitresse de maison, qui dit à voix si haute que les autres l’entendent : « Ah ! Quand même » « Que se passe-t-il ? » « Oh, rien ! C’est seulement Georges qui se décide enfin à remercier la cuisinière. » Sur ces paroles, Léa se lève, elle quitte la table, elle sort, mais elle revient aussitôt et elle me dépose dans la main sa petite culotte, qui est trempée à tordre. Je la porte à mon nez et j’en respire longtemps le parfum. Dieu, qu’elle sent bon la femme ! Annie me dit :« Tu me la passes ? » A son tour, ma femme la sent longtemps, avant de la passer à Max. Pendant ce temps, j’ai repris le cheminement de ma main entre les cuisses de ma voisine. J’enfouis mon auriculaire et mon annulaire entre ses lèvres gluantes de cyprine, avant de les porter plusieurs fois à ma bouche pour déguster ce nectar. Léa avance ses fesses au bord de la chaise pour mieux offrir son vagin à mes caresses, tandis qu’elle me branle doucement, tout comme Annie fait avec son voisin. Les deux nanas se regardent avec un sourire complice. Sans échanger une parole, elles se glissent sous la table et je sens bientôt le souffle chaud de Léa sur mon gland. Elle engloutit aussitôt ma bite. Avant de fermer les yeux, je constate que le visage de Max affiche la même expression que le mien. Je souffle bientôt à ma suceuse : « Arrête ! Je vais jouir... » J’essaie de retirer ma verge, mais elle s’y cramponne. Je cesse de lutte et je me laisse aller avec un sourd râle de plaisir dans cette bouche accueillante. J’entends en écho le voisin d’Annie se répandre de même... « Alors, mes cochons, c’était bon ? » « Tu parles ! Si vous continuez comme cela, nous serons bientôt sur les rotules. » « Ne vous inquiétez pas, vous allez reprendre des forces. »Le diner se poursuit et il est succulent. Les chattes aussi. Les mains sont plus souvent sous la table que dessus. Juste avant la fin du repas, Max me demande : « Prendras-tu un dessert, Georges ? » « Avec plaisir, voyons ! » A notre tour, nous nous glissons entre les jambes déjà écartées des deux salopes ! Le jus divin nous coule bientôt dans la gorge. Je glisse trois doigts dans la caverne béante de Léa, pendant que les deux coquines miaulent comme des chatons sevrés. Léa me cramponne par les oreilles pour plaquer encore plus étroitement ma bouche contre sa chatte. Un jet dru me signale bientôt qu’elle vient de jouir. La chaise porte heureusement une protection parce que je ne peux pas tout avaler. Au moment de passer au salon pour le café, les filles sont entièrement nues. Puisque nous portons encore la chemise, elles nous demandent de l’enlever. Les ‘affaires’ reprennent quand elles se lèvent. Elles disposent sur le carrelage frais une couverture et elles commencent à danser ensemble. Quand je dis qu’elles dansent, je devrais plutôt parler d’un pelotage en règle. La bouche de l’une soudée à celle de l’autre, elles se glissent mutuellement des doigts dans la chatte. Nous les regardons se trémousser et nous nous branlons devant cet affolant spectacle. D’un commun accord, Max et moi les encadrons et nous joignons nos caresses aux leurs.
C’est ce qu’elles attendaient parce qu’elles se laissent glisser à genoux, elles saisissent nos bites et elles les rapprochent jusqu’à ce que nos glands se touchent. Quatre lèvres et deux langues avides parcourent les deux colonnes de chair, happées de temps à autre par une bouche vorace. Max s’accroupit soudain et, sans me laisser le temps de réaliser, il engloutit ma verge, qu’il vient de subtiliser aux filles. Elles n’en reviennent pas, mais elles le laissent faire. Moi aussi ! C’est qu’il suce bien, le salaud ! Du coup, j’ai envie de lui faire connaître mes talents. Je dégage ma verge et je me baisse pour saisir sa queue. Je lèche un gland brillant de liquide séminal. Sa queue est bonne, dure et douce à la fois. Les mouvements qu’il effectue pour me baiser la bouche prouvent qu’il apprécie le traitement que je lui inflige. Les nanas délaissées protestent bientôt et elles nous crient :« Oh, les mecs, nous sommes là » dit Léa« A moins que vous ne vouliez finir la soirée entre vous ? » ajoute Annie. Elles se sont allongées tête bêche près de nous et elles se broutent le minou. Nous nous allongeons respectivement derrière elles. Je relève très haut une jambe de Léa. Rien que ce mouvement fait bâiller sa chatte. Annie écarte sa bouche de ce volcan en éruption et elle guide complaisamment mon braquemart dans le ventre de sa copine. Je n’ai qu’à pousser lentement pour l’enfiler complètement, au point que je sens mes couilles buter sur ses fesses. Annie reprend le travail de sape de sa bouche sur le clito, qui reste accessible. Elle suce Léa, tandis qu’elle gémit de bonheur sous les coups de langue de Max. Nos compagnes ne se concentrent bientôt plus que sur nos queues, tandis qu’elles lancent leurs fesses à la rencontre de nos chibres. Ce sont deux femelles en rut, qui ne veulent que se faire défoncer la matrice. Après un moment de baise frénétique, je profite d’un moment d’accalmie pour murmurer à l’oreille de Léa : « Veux-tu nos deux queues dans ta chatte ? » « Oui. J’aimerais, mais je vais avoir mal... » « Pas du tout ! Tu es suffisamment ouverte. Cela va te faire du bien... » Léa se tourne vers Max et elle lui susurre : « Chéri, viens me voir. J’ai besoin de toi. »Max est obligé de s’extraire à regret de la moule d’Annie. Léa lui dit encore : « Allonge-toi, chéri » Le ‘chéri’ prend la position demandée et Léa s’empale aussitôt sur sa queue raide, enduite des sécrétions de ma chérie. Elle attend alors que je me positionne derrière eux. Je caresse un moment les deux sexes imbriqués. Annie, qui a compris ce qui se prépare, vient m’aider, elle sépare au maximum les lèvres gluantes de Léa et elle enduit mon gland avec de la mouille prélevée entre ses cuisses. Léa gémit doucement parce qu’elle appréhende la suite. J’appuie ma bite contre celle de Max afin de trouver la faille et enfoncer à mon tour mon sexe dans ce petit coin de paradis déjà plein. Petit à petit, mon gland disparait dans les chairs dilatées et malmenées. Léa se cabre un instant, puis, rassurée par la lente avancée, elle précipite d’elle-même la double pénétration, tandis qu’elle lâche un profond soupir de soulagement. Dès que nous la pénétrons ensemble, Max et moi coordonnons d’instinct notre va-et-vient en une puissante alternance. Nos sexes glissent dans la chatte de Léa comme deux pistons bien huilés. L’un après l’autre nous plongeons au fond de son sexe impatient, si bien qu’elle jouit, comme une hystérique. Ses cris de femelle assoiffée de sexe envahissent la pièce, jusqu’à ce qu’elle s’effondre dans un ultime hurlement sur son copain, avant de se laisser tomber sur la couverture, les bras et les jambes en croix. Quand elle reprend lentement son souffle, Léa me sourit et je sais qu’elle a apprécié !
Sans attendre, Annie a déjà mis les mains sur la bite de Max, qui l’avait délaissée. Ses poils sont tout collés par la jouissance de Léa, tandis que son sexe luisant est encore vigoureusement dressé. Il sourit à Annie et il lui dit : « Viens, ma grande... » Ma salope n’attendait que cela. Elle est aussitôt à califourchon sur son partenaire et elle se laisse descendre avec ravissement sur la rigide colonne de chair. Je les regarde baiser une ou deux minutes, avant de m’occuper du petit trou serré de ma femme. Le lubrifiant est en abondance à portée de mes doigts. Annie gémit aussi quand j’enfonce dans ses reins un doigt, qui coulisse sans peine. Son anus est si souple que j’y plante aussitôt un deuxième doigt, tandis que Max continue à la besogner. Je vois en gros plan sa bite qui coulisse sur une cadence folle dans le con ma femme. Cela suffit à me faire bander vigoureusement, d’autant plus que Léa a retrouvé son souffle et qu’elle me suce délicieusement. Annie geint en continu depuis que j’ai enfoncé un troisième doigt dans son cul et qu’elle subit le pilonnage intensif de Max. Je dis à Léa : «Je crois qu’elle est prête. » « Veux-tu la prendre dans le cul ? Cela n’entrera pas. » « Mais si ! Ce ne sera pas la première fois qu’elle se fait enculer. » « Ah ? Tu m’en diras tant ! » « Écarte bien ses fesses » Léa fait aussitôt ce que je demande. Je prélève encore un peu de lubrifiant et j’enduis mon chibre, devenu violet sous les coups de langue de Léa. Dès que j’ai bien centré mon gland sur le petit trou d’Annie, je force son anneau, qui cède lentement. Léa intervient : « Ta queue est trop grosse. Arrête ! Tu vas lui faire mal... »Léa n’a pas le temps de terminer sa phrase que mon gland a déjà disparu dans les reins de ma chérie, qui ne pousse qu’un faible cri de surprise. Je laisse son anus s’adapter à ce corps étranger, mais je l’enfonce jusqu’aux couilles dès qu’Annie vient à ma rencontre par ses mouvements de hanches. Léa s’étonne : « Mon dieu, je n’aurais pas cru cela possible. » « Tu vois, toi aussi, tu devrais essayer. » « Oh non ! Je ne me sens pas prête. »« La soirée n’est pas terminée. Nous essaierons... » Pendant que je parle à Léa, je pars à l’assaut du cul de ma bourgeoise, qui crie son bonheur sans complexes. Je sens à travers la mince cloison que ma verge coulisse sur celle de Max. C’est si intense que je ne peux le supporter plus longtemps. Je hurle moi aussi, tandis que je bloque Annie sur moi pendant que je vide mes couilles dans ses reins. J’ai déclenché une réaction en chaine puisque ma jouissance et celle de salope provoquent celle de Max, qui lui remplit la chatte de sa semence. Léa s’inquiète auprès de sa copine : « Tu n’as pas eu mal ? » Annie reprend une respiration moins saccadée et elle répond : « Non... Un petit peu au début, mais la suite est fantastique. Tu devrais essayer. » Après une pose pour se ressourcer, nous les baisons encore une bonne partie de la nuit ! Léa finit par essayer courageusement la sodomie. Max introduit prudemment son gland dans le rectum de Léa, mais elle hurle tellement qu’il renonce. Elle seµ’est trop crispée pour ce premier essai, mais je sens qu’elle y passera bientôt !Pour une fille qui n’avait jamais joui il y a seulement trois mois, c est une vraie renaissance ! Nous tenterons peut-être bientôt un deuxième essai avec eux, mais, comme dit Annie : « Il faut les laisser venir » En tout cas, je vous tiens au courant...
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