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Une fessée pour une mauvaise élève

Chapitre 1

Hétéro
Camille avait dix-sept ans et fréquentait une école catholique à plusieurs kilomètres du domicile de ses parents. Il s’agissait d’une académie austère et puritaine comme il ne s’en voyait plus tellement. Élève douée au comportement irréprochable, elle était présidente du comité religieux qui rassemblait les élèves les plus vertueux de l’établissement. L’école n’acceptait que la gente féminine et peu de garçons pouvaient entrer en ces lieux. La plupart des élèves buvaient en cachette, fuyaient dès la nuit tombée et s’adonnaient à des actes charnels dans les dortoirs. Camille les dénonçait et s’en tenait aussi loin qu’elle le pouvait, ce qui ne manquait pas d’attiser la haine de certaines de ses camarades.
Un soir, Camille se rendit au bureau de son professeur de science afin d’obtenir quelques explications au sujet d’un travail qu’elle devait rendre le surlendemain. Elle s’avança à pas mesurés dans le couloir qui l’y menait puis s’arrêta en entendant du bruit. La porte étant entrouverte, elle y jeta un coup d’œil discret. Elle fut alors complètement désarçonnée par la scène qui s’offrait à elle. Le professeur avait le pantalon aux chevilles et tenait entre ses mains la chevelure blonde d’une étudiante qui avait sa verge entre ses lèvres. Celle-ci suçait le pénis du professeur sans assurance et celui-ci ne se gênait pas pour enfoncer son sexe dans sa bouche en lui murmurant de sucer plus fort. Camille ne put rester plus longtemps. Elle s’enfuit vers le bureau de la directrice pour dénoncer ce qu’elle avait vu.
Une semaine après, le professeur donnait toujours ses cours et rien ne semblait avoir changé. Camille pensa que celui-ci avait été réprimandé par la directrice et qu’il avait abandonné ses déviances. Pourtant un après-midi, après un cours, il lui demanda de rester après la classe. Il attendit que tous les élèves soient partis pour fermer la porte derrière eux et adresser un regard sévère à Camille.
« J’ai eu vent de vos ragots, mademoiselle, lui dit-il sur le ton de la réprimande.
— Je …
— Comme ça, je m’adonnerais à des actes charnels avec une étudiante dans le cadre de mes fonctions ?
— Professeur, je vous ai vu, répondit-elle.
— Est-ce là votre seule preuve, mademoiselle Leblanc ?
— Je … oui …
— Quel impertinence ! Tout cela parce que je ne vous ai pas donné une note qui vous satisfaisiez ! Vous colportez cela par pure vengeance.
— C’est faux ! S’insurgea-t-elle. Mes notes ont toujours été justes, professeur. Je vous ai dénoncé, car je vous ai vu dans votre bureau ce soir-là.
— Vous répondrez de vos mensonges devant un conseil de discipline.
— Non ! Non … tout, mais pas ça. »

Les sourcils froncés, l’enseignant la toisa avec mépris avant que son regard ne se radoucisse progressivement.
« Je préfère les punitions traditionnelles, mademoiselle Leblanc. Celles qui n’impliquent ni la direction, ni vos parents. Qu’en pensez-vous ?
— Oui … c’est une bonne idée. »
Il prit place sur une chaise et tapota sa cuisse droite sèchement.
« Couchez-vous ici.
— P … pourquoi ?
— Une punition traditionnelle. Dépêchez-vous. »
Camille obtempéra. Elle fut placée sans ménagement sur les genoux de l’enseignant. Ses seins s’affaissèrent sur la cuisse du professeur, sa tête dans le vide. Le professeur releva sa jupe écossaise et fit descendre sa culotte sur ses chevilles sèchement.
« Qu’ … qu’est-ce que vous faites ?
— Une fessée. »
Elle n’eut pas le temps de réfléchir à ce qu’il venait de lui dire. La main du professeur s’abattit sur ses fesses violemment. Un cri de surprise lui échappa. La claque se répéta une deuxième fois puis une troisième fois. Camille n’avait pas particulièrement mal, mais elle se sentait humiliée, ainsi exposée devant un homme qu’elle respectait. Elle attendit que la punition s’arrête, ce qui lui sembla particulièrement long. L’intervalle entre les claques se fit plus long jusqu’à ce que cela cesse. La main de l’enseignant caressa ensuite les fesses endolories. Camille n’osa rien dire tant cela la déboussolait. Elle eut cependant un violent sursaut en sentant la main rude de son professeur se diriger vers ses lèvres intimes pour les caresser.
« Quelle petite salope. Votre chatte est toute mouillée.
— Non ! protesta-t-elle. C’est faux ! »
L’enseignant rapporta ses doigts mouillés de cyprine devant le visage de Camille avant de les reposer sur ses lèvres intimes et de les caresser avec plus d’insistance. Le visage de Camille était rougi de honte. Le pouce du professeur s’était posé sur son clitoris qu’il malaxait un peu brutalement. Malgré elle, Camille sentit qu’elle appréciait ses caresses. Elle ne protesta pas quand deux doigts de l’enseignant entrèrent en elle et débutèrent un sec va-et-vient.
« Vous m’avez dénoncé parce que vous étiez jalouse de la pute qui me suçait la queue, c’est ça, hein ? Petite salope … regardez comme vous mouillez entre mes doigts, comme vous gémissez quand je vous doigte. »
Camille ne s’était pas aperçue qu’elle gémissait. Elle se mordit les lèvres aussitôt, retenant tant bien que mal ses cris de plaisir. À un moment, ce fut plus fort qu’elle. Le professeur pinça son clitoris entre deux doigts et elle ne put s’empêcher de jouir bruyamment. À peine eut-t-elle joui qu’elle sentit son corps se faire soulever et poser sans ménagement sur le bureau de l’enseignant. Celui-ci se débarrassa de son pantalon promptement ainsi que de son caleçon. Les yeux de Camille s’attardèrent longuement sur la verge de l’enseignant qu’elle n’avait vue qu’à moitié l’autre soir. Celui-ci ne lui laissa pas le temps de la contempler, il enfonça sa queue dans sa chatte trempée, poussant un grognement de satisfaction.
« Même pas vierge. Vous qui vous disiez si vertueuse. »
Enfoncée dans les vapes du plaisir, Camille ne fut pas atteinte par les paroles du professeur. Elle donna un coup de hanche vérifié et corrigé pour sentir le sexe du professeur s’enfoncer plus profondément en elle. Ravi, l’enseignant posa ses mains sur ses hanches et profita allègrement de sa chatte serrée et mouillée de jeune femme. Il se retira pour jouir sur son chemisier, la traitant de salope en la recouvrant de sa semence. Il partit dès qu’il eut remis son pantalon, laissant l’adolescente haletante et humiliée derrière lui …
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