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Une fête de village un peu particulière

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Une fête de village un peu particulière pour nousEn retraite depuis 15 mois, nous avons repris nos navigations lointaines et nous sommes de retour dans un pays que nous apprécions beaucoup, le Sénégal, puis exactement la Casamance où nous avons fait relâche dans un petit belon (bras d’eau saumâtre, très nombreux autour de cette rivière).Nous sommes à côté d’un petit village, Affiniam, où très rapidement nous avons fraternisé, nous approvisionnant chez eux en fruit et viande ; pour le poison, il suffisait de tendre une ligne. C’est alors que notre boy, un sénégalais qui nous accompagnait par sécurité, nous a transmis l’invitation du chef de village à participer à la fête des mères célibataires, très respectées car les mariages coutent très chers et les jeunes femmes ont un enfant mais ne vivent pas avec le papa ; même s’ils sont pratiquement en couple. Le souvenir d’un très ancien voyage, j’avais trente ans et ma femme 28, m’est revenu en mémoire.Cette année, j’avis pris l’engagement de livrer un catamaran de 12 m dans l’ile du Cap Vert au large du Sénégal ; comme équipage, j’avais avec moi, en plus de ma femme, deux très grands amis, navigateurs expérimentés à savoir Pierre, 25 ans et son père, 55ans. La descente depuis Santander, notre dernière escale s’est faite tranquillement, avec un temps très clément . Jo (mon épouse) faisait les quarts de nuit, alternativement avec nous trois. Nous étions très complice et elle avait l’occasion quand elle le voulait, de faire l’amour avec chacun de nous, et meme avec Pierre et René ensemble quand j’étais de service à la barre. J’aimais la voir avec eux et surtout l’entendre jouir car tous les deux étaient de très bons amants, fort bien gâtés par la nature, principalement Rene, avec ses 23 cm, pendant les six jours de nav, elle a très souvent été prise, parfois cinq à six fois par jour.Nous avions prévu passer plusieurs jours sur la rivière Casamance et par sécurité, aussi bien que pour la connaissance des fonds, nous avons pris un boy, originaire de la région. Il dormait dans une des cabine avant, pour le reste il pouvait vivre avec nous, et rapidement il a pu constater la relation privilégiée de Jo avec mes amants ;au début de sa présence, nous étions le plus discret possible, mais très rapidement nous avons pris des libertés et il a pu l’entendre et même la voir se faire prendre ; le trampoline avant étant un terrain très agréable pout y faire l’amour, moi le premier. Très vite, il a fait des avances à Jo, mais même si c’était un bel homme, 1, 90, bien charpenté comme beaucoup de sénégalais, et bin monté comme visible sous un short sans slip, et un peu aussi sur nos conseils, elle a toujours refusé ses avances, allant même le rabrouer vertement. Et il allait se venger un peu plus tard.
Dans un village, très proche de notre mouillage, devait se faire un mariage ; dans ce genre de cérémonie, tout le monde parle à tout le monde, la consommation de boisson y étant pour beaucoup, ce qui donne une très bonne ambiance. C’est Jo qui avait envie de le voir et à fait l’erreur d’en parler 0 notre boy. Après un silence, il nous a quitté pour se rendre au village ; il n’est rentré que fort tard, tout excité. Nous n’en n’avons pas tenu compte, satisfait de l’accord. Pierre et René ayant prévu une sortie pêche, c’est donc tous les deux que nous avons suivi notre guide.Pas déçu par l’ambiance, nous avons rapidement pris part à la fête, buvant sans réaliser, une boisson fraiche et épicé ; pas question de boire de l’eau. Assez vite, j’ai eu vite chaud, la tête en feu et j’ai pu constater qu’il en était de meme pour Jo, avec en plus une tendance à entre très provocante, ce qui n’a pas tardé à ameuter les males sans attaches. Il faut reconnaitre qu’avec sa jupette, virevoltante, découvrant parfois la petite culotte blanche, son corsage, laissant découvrir en saillie la pointe de ses seins, elle était vraiment bandante ; et bandé, plusieurs noirs l’étaient sous leur pantalon de toile légère. Assis à l’ombre, j’ai du mal à voir ce que fait Jo ; la tête me tourne et je perds un peu le fil de la réalité. Arès une courte période ainsi, je récupère un peu et j’aperçois, à l’écart de la fête, en flou, ma petite femme qui danse, collée à son partenaire, alors que celui-ci les mains sur les fesses, la plote allégrement ; puis stupeur, ils sont rapidement trois autour d’elle ; elle rit, sans doute l’alcool, se frotte sur eux, alors que leurs mains maintenant lui caressent, pour l’un la poitrine, alors qu’un autre semble avoir investit sa chatte, car la jupe est relevée et la main s’active sous la culotte blanche ; surpris d son comportement, je réussis à me relever et difficilement je me dirige vers eux, afin de mettre fin à cette situation ; je n’ai pourtant pas beaucoup bu, mais j’ai l’impression d’être ivre, ou drogué.
A mon arrivée, je découvre que les trois hommes sont accompagnés par notre boy, qui me voyant ricane et s’adressant aux autres :
— C’est le mari cocu de cette dame ; elle se fait baiser par les deux autres, mais elle m’a toujours refusé et meme à été vexante avec moi ; aujourd’hui, elle va être à nous, elle va connaitre de vrais mecs et elle va s’en souvenir
Comprenant le piège qu’il nous a tendu, je me précipite sur lui, mais pas assez vite ; deux des noirs, m’attrapent et me retiennent, ce qui fait rire le boy.« Rassure toi, tu vas pouvoir assister et la voir jouir devant toi » puis ils s’adressent à eux en yoloff ;aussitôt il empoigne Jo avec l’aide du troisième, alors que mes deux cerbères les suivent, tout en me maintenant. Arrivés à une case éloignée, ils m’attachent fermement à poteau et me bâillonnent... Furieux, mais dans l’impossibilité de réagir, je les vois quitter leurs vêtements et arborer tous les quatre un sexe hors dimensions pour un européen.Jo ne semble pas choquée, elle me regarde, sans doute surprise de la tournure des événements, mais pas seulement car plusieurs mains se promènent sur son corps. Déjà les doigts se glissent sous le corsage, titillant les pointes érigées ; elle ne lutte pas, bien au contraire ; la jupe est descendue et son slip blanc semble taché au niveau de son minou. Le corsage arraché, sa poitrine est disponible, et des mains se faufilent vers sa chatte.Le slip est arraché et elle se retrouve nue ; derrière elle, l’homme frotte son sexe sur la raie. Elle ne peut ignorer les sexes bandés devant elle, elle semble les jauger, mais elle ne se débat pas, bien au contraire, elle me regarde et semble sourire au jeu pervers qui se prépare. Deux des hommes la soulèvent et la portent vers le boy, le traitre, sans aucun doute l’organisateur de cette séance. Son sexe est si tendu, qu’il pointe à la verticale, il sait qu’il va enfin la posséder et me regardant, il me nargue
— Elle s ‘est refusée sur le bateau, s’offrant à vous trois ; maintenant elle va connaitre une bite noire et je suis sûr qu’elle va apprécier ; regard et écoute tu vas la voir jouir et elle va en redemander
Il attend sa proie et quand les deux hommes la déposent sur le gland, elle s’empale spontanément ; elle est suspendue accrochées à ses hanches. C’est elle qui descend aidée par celui qui la soutient, tout en profitant de lui caresser le sillon. Son sourire, le petit pli au niveau de ses lèvres, tout montre qu’elle profite du mandrin sur lequel est s’est empalée déplaçant, le boy se place devant la table et il y dépose sa proie ; toujours prise, elle est allongée et il entreprend alors de la pistonner. Loin de se refuser à l’homme, elle l’attire lui qu’elle a plusieurs fois remis à sa place ; elle y trouve plaisir et pire, elle sollicite les autres, agrippant leurs attributs et elle les porte à sa bouche, à tour de rôle ; alors que je suis immobilisée, elle se fait baiser, elle suce deux queues. Dans ma tête, divers sentiments se bousculent ; d’abord l’image d’une salope, une garce se faisant baiser, de l’autre l’excitation e la voir prise ainsi ; à chaque fois que je la vois prise par un autre homme, j’ai la gaule et là malgré la situation scabreuse, je ne peux que voir cette femme que j’aime prendre son plaisir, meme si maintenant je suis sur que nous avons été drogué et que c’est la raison de sa légèreté.Elle jouit, c’est sur ; et malgré les chibres qui lui emplissent la gorge, je perçois ses grondements, alors que l’homme décharge en elle, laissant suinter des filaments jute, alors qu’il continue à baiser un long moment avant de se retirer. L’homme se retire et je vois un autre s’approcher de la table ; elle va subir une partouse, mais elle ne se formalise pas, elle est chaude, son regard pétille ; je ne suis pas le seul à être exciter ; qui peut se plaindre ; ma queue me fait mal et je ne peux me branler.Pas Jo non plus ; elle se laisse ouvrir par les mains puissantes, plaçant ses jambes en v sur les épaules de l’homme, découvrant son antre béante, pleine de sperme et un anneau, rosé, encore serré. Pour elle ce n’est pas la première fois, mais cette queue noire, se frottant sur son petit trou est d’une autre taille que la mienne ; elle se tortille sous la possession, mais ses cris témoignent de son plaisir. La sodomie est longue et puissante ; son fessier encaisse de véritables coups de butoir, et elle jouit en continue, l’encourageant à se rependre en elle. Pour moi, s’en est trop et sans même mettre touché, je jute dans mon vêtement.Pour elle ce n’est pas fini, car les deux derniers vont eux aussi profiter de son corps ; l’action se répète, alternant saillie de sa chatte et sodomie d’un cul, maintenant dilaté et encaissant les chibres sans difficulté, laissant suinter les foudres des deux premiers lascars. Devant ma passivité, le boy me détache et s’écarte de sans doute avec la crainte de ma réaction
— Tu vois le plaisir qu’elle a pris ; quatre bites noires, bien plus montées que la tienne, maintenant elle sait ce que je peux lui donner,......... mais je vois que cela t’a plu ; regardez les gars, il a juté dans son pantalon et il bande à nouveau ; il a peut-être envie aussi d’une belle bite
Alors que deux lascars m’attrape et me désape, laissant apparaitre une queue bien bandée, l’autre dans le cul de ma belle vient de l’engrosser une nouvelle fois et quand il se retire, un flot de jute jaillit de sa chatte et se répand sur ses cuisses. Elle n’a pas le temps de se redresser car il m’oblige à me pencher sur elle :« Vas y lèche lui la chatte, vient constater avec t bouche combien on a pu lu mettre de semence ; tu as pris du plaisir à la voir, maintenant c’est elle qui va te voir te faire enculer « deux m’ont enserré la tête entre les cuisses de Jo et alors que je bois le nectar de ses pourfendeurs, le boy se reproche de mes fesses. Les hommes resserrent leur emprise et lui me susurre à l’oreille« Tu vas voir ;tu vas apprécier ma queue comme ta salope de femme l’a encaissé et aimé tout à l’heure ; je vais te faire jouir comme elle. » J’essaie de me débattre, mais rien n’y fait et déjà son bâton devient douloureux alors qu’il s’enfonce au chaud dans mon conduit. Si je me suis déjà fait prendre, soit par le gode de Jo soit lors de sortie libertine, je n’ai jamais encaissé un tel calibre. Et pourtant il m’envahie, sans à-coup, m’ouvrant à son désir. S’agrippant à mes cheveux, il me ploie sur le gouffre de Jo, puis me tire en arrière me cambrant, pour me soumettre à son désir ; ma langue a du mal à rester entre les lèvres de sa chatte, et Jo à son tour m’appuie la tête sur son abricot
— Lèche moi, vois le plaisir que j’ai dans mon ventre, lèche mon trou qui vient d’encaisser leurs énormes bites ; tu vas voir comme c’est bon
Il me semble défaillir lorsqu’il perfore mon anneau, mais la suite est tellement bonne ; combien cette chose, dure, chaude puissante me fait du bien, poussée après poussée, elle me comble, m’envahit, ; la lente montée de mon plaisir et sous cette saillie, je deviens femme ; c’est la première fois et sous les derniers soubresauts de la verge qui se vide en moi,, moi aussi je me libère.Quand elle se redresse, Jo m’embrasse fougueusement « si tu savais combien j’ai jouis et combien j’ai aimé te voir pris par cette grosses bite noire ; et s’adressant aux autres, je viens de comprendre que même si vous nous avez forcer en nous faisant boire, sans aucun doute une boisson aphro, mais si ma jouissance avec mes trois marins reste énorme, ce n’est pas comparable et si mon homme est d’accord, ce que je souhaite, nous resterons ce soir avec vous ; j’ai encore envie de vos belles bites, j’ai envie de jouir lorsque vous me prendrez sans limite et je crois que lui aussi aimera en profiter »Finalement nous ne sommes rentrer au bateau que le lendemain matin, fourbus, comblés, après l’un comme l’autre avoir appartenu, plusieurs fois à ces quatre individus, toujours prêt à nous pourfendre. ****Pris dans mes souvenirs, je n’ai pas entendu Jo revenir sur le pont et elle peut découvrir une belle érection, ce qui ne manque pas de l’étonner ;je lui fais part de mes souvenirs etelle égit aussitôt « nous serons en retard, amis tu viens de me donner envie et si cela peut se reproduire, je suis partante »
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