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Une fin d’après-midi « marquante »

Chapitre unique

SM / Fétichisme
Suite à un échange avec une lectrice qui avait particulièrement apprécié une de mes histoires pour la scène de fessée qu’elle contenait, celle-ci la demande si je pouvais « coucher sur le papier » son fantasme. Elle m’a donné quelques indications qu’elle avait posté sur le forum il y a quelques temps, que voici :
« J’aimerais être allongée sur la plage avec un petit string au milieu de mecs. Mon copain arrive et me demande si j’aime montrer mon cul ; je lui dis « oui ». Il le demande alors de me lever et de marcher pour que tout le monde puisse bien le voir. Il me suit puis s’assoit sur un banc. Il me demande de me mettre devant lui, d’écarter mes jambes et de me pencher en avant pour l’embrasser, les jambes bien droites et le cul en arrière pour qu’ils puisent bien regarder et se branler. Ensuite, il m’allonge sur lui, me dit qu’il n’aime pas que je fasse ça, qu’il va me punir. Alors, il baisse mon string jusqu’à mes chevilles et me met des fesses devant tout le monde, le cul nu. Il alterne fessée, caresses et doigts ».
Je la remercie de m’avoir autorisé à publier cette histoire qu’elle m’a dit avoir beaucoup aimé. Une expérience à renouveler avec plaisir !

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L’après-midi touchait à sa fin et la chaleur devenait plus supportable. Elle avait décidé de descendre à la plage pour se détendre un peu en attendant le retour de son compagnon. Elle se rendit à un endroit qu’elle aimait beaucoup : un petit coin de sable avec des bancs en bordure. A cette heure, la plupart des familles étaient rentrés. Il ne restait que des hommes, jeunes pour la plupart, qui s’apprêtaient à passer une partie de leur soirée ici. Cela ne la dérangeait pas, au contraire en fait : elle aimait les regards masculins qu’elle ne manquait d’ailleurs jamais d’attirer avec son physique avantageux. A peine eut-elle commencé à fouler le sable qu’elle perçut les premiers coups d’oeil appréciateurs. Elle s’installa volontairement au milieu de la plage et elle entreprit de se déshabiller. Par mégarde, mais était-ce vraiment un geste inconscient ?, en retirant son haut serré, un de ses seins jaillit de son maillot de bain. Elle le remit très vite en place, rouge de confusion, mais elle vit, aux réactions de deux ou trois jeunes gens, que cela n’était pas passé inaperçu. Elle fit plus attention en retirant sa jupe, même si elle prit cette fois un malin plaisir à se tortiller plus que nécessaire pour l’enlever. Ainsi, les voyeurs auraient un aperçu magnifique de son petit cul qui plaisait tant !Et quelle vue ! Elle avait en effet décidé de porter un ensemble qu’elle avait acheté récemment, un ensemble qu’elle avait hésité plusieurs fois à mettre : il était d’un blanc immaculé, et elle savait que si elle plongeait dans l’eau, la transparence ne manquerait pas de dévoiler son anatomie. Mais plus encore, le bas était un tanga qui ne cachait quasiment pas ses fesses. Elle avait ainsi la sensation de se promener le cul à l’air sur cette plage, au milieu de jeunes hommes vigoureux. La sensation était grisante, follement excitante en fait. Elle aimait décidément les regards sur son corps…Elle s’allongea enfin, sans pour autant mettre fin au spectacle. Elle était sur le dos, les cuisses bien écartées. Ainsi, elle offrait une vue imprenable sur son entre-jambe et elle sentait, sans les voir, les paires d’yeux qui scrutaient son maillot, cherchant à percer le secret du mince tissu blanc.
Au bout d’un moment, elle décida de se retourner pour bronzer son dos et ses fesses. Elle reposait désormais à plat ventre. Sous sa serviette, une petite motte de sable dur appuyait très précisément sur son mont de Vénus. La sensation était à nouveau troublante. Elle se sentait excitée par la situation, des regards sur elle. Alors, dans un mouvement léger, imperceptible, elle commença à onduler du bassin, descendant doucement le long de la motte de sable qui vint ainsi caresser l’ensemble de sa vulve. Le contact, à travers son tanga, était délicieux. Son sexe s’ouvrait progressivement et elle sentait la mouille qui perlait à l’orée de ses grandes lèvres. Elle essayait d’accélérer ses mouvements tout en restant discrète ; les premières ondes de plaisir la gagnèrent et elle dut retenir ses cris. « Tu fais quoi là ? » L’interrompit soudain une voix.
Elle se redressa vivement sur le côté. Son compagnon se tenait, debout, face à elle, l’air énervé. Elle savait très bien ce qui allait se passer…« Je t’ai demandé ce que tu faisais, répéta-t-il avec insistance.— Je bronzais, répondit-elle.— Tu bronzais ? Reprit-il, le ton hargneux. Moi j’ai surtout l’impression que tu montrais ton cul à toute la plage ! — Mais non, tenta-t-elle de se justifier, je…— Arrête, cria-t-il ! J’ai à peine le dos tourné que tu files ici pour te faire reluquer par tous les mâles de la plage ! Et regarde ta tenue ! Je suis sûr que tu as du bien épiler ta petite chatte pour mettre ça ! ».Et voilà, ça recommençait se dit-elle… Il piquait une crise de jalousie dès qu’elle se montrait un peu trop sans lui. C’était tout le paradoxe de leur relation : ils allaient parfois en club et il aimait la partager avec d’autres hommes ; en revanche, il ne tolérait pas qu’elle s’exhibe sans lui. Cela le mettait dans une rage folle. « Non mais regarde-toi ! Poursuivait-il. Une vraie petite chienne en chaleur ! Tu voulais quoi ? Te faire prendre à la chaîne par tous ces mecs ? Ça t’exciterait, hein, petite salope ? — Et bien oui, ça m’excite ! », répondit-elle par provocation. Il resta un instant à la regarder, sans rien dire. Autour d’eux, les groupes d’hommes regardaient discrètement leur discussion. Ils ne comprenaient pas tout, mais ils sentaient la tension. Soudain, son compagnon se saisit de son poignet et il la força à se relever. Il l’emmena alors vers les escaliers, apparemment pour quitter la plage. « Ondule bien du cul en montant les marches, lui ordonna-t-il, comme ça ils vont tous en profiter ! ».
Sans discuter, elle adopta sa démarche la plus chaloupée pour gravir l’escalier. Effectivement, le spectacle qu’elle offrait devait être des plus agréables pour tous les hommes sur la plage. Contrairement à ce qu’elle pensait, son compagnon ne semblait pas vouloir quitter la plage. Il la mena vers un des petits bancs et il s’assit face à elle. « Embrasse-moi ! » Ordonna-t-il à nouveau.Elle aimait quand il se conduisait ainsi, quand il donnait des ordres. Elle le provoquait un peu pour cela aussi. Au fond d’elle, elle avait aussi une envie secrète, et elle espérait y parvenir en multipliant ces incartades. Elle fit mine de s’asseoir sur le banc mais il la retint.« Non, tu restes debout ! Tu te penches en avant et tu m’embrasses ».Elle obtempéra, se courbant vers l’avant pour que sa bouche vienne se plaquer contre la sienne. Ainsi, elle était bien cambrée, son cul tendu vers la plage. C’était la manière de son compagnon d’affirmer aux autres qu’elle était sienne. Elle ne pouvait s’empêcher de penser à sa chatte ruisselante qui avait frotté contre son maillot. Son tanga était humide et elle était morte de honte à l’idée que la tâche entre ses jambes puisse se voir depuis la plage. Morte de honte et folle d’excitation à la fois…« Je crois que tu as besoin d’une bonne leçon en fait, lui dit son compagnon en libérant ses lèvres. Je vais te passer définitivement l’envie de venir t’exhiber à la plage ! ».Sur ces mots, il l’attira vers elle d’une main ferme et il la fit basculer sur ses genoux. Elle faillit perdre l’équilibre et elle se retint tant bien que mal. Son bassin reposait sur les cuisses de son compagnon et ses bras et ses jambes pendaient de part et d’autre.Il posa une main sur le creux de ses reins pour la maintenir dans cette position humiliante. De son autre main, il commença à faire glisser le tanga le long de ses cuisses avec une lenteur calculée. Il ne manqua pas de voir la tache d’humidité et il lâcha un commentaire des plus salaces. Il fit descendre la fine couche de tissu en bas de ses chevilles. Il resta un long moment à contempler son petit cul totalement offert et exposé. Il savourait sa domination sur elle à cet instant. Elle respirait avec intensité ; son fantasme était en train de se réaliser, en tout cas elle l’appelait de ses vœux.Il posa sa main sur sa nuque, la maintenant fermement. Puis, soudain, sa main s’abattit avec fermeté sur sa fesse droite. Elle poussa un cri, plus de surprise que de douleur. Enfin, pensa-t-elle, elle se faisait fesser ! C’était encore meilleur que dans ses rêves, quand elle se caressait en pensant à cette scène. Les claques tombèrent méthodiquement sur son petit cul. A chaque nouvelle fessée, elle sentait des flots de mouille envahir sa chatte. Elle creusait les reins au maximum pour mieux s’offrir. Elle prenait un plaisir fou et le fait d’avoir du public décuplait son excitation. Après un long moment à lui meurtrir le postérieur, son compagnon marqua une pause et il glissa un doigt entre ses cuisses. D’elle-même, elle s’ouvrit davantage pour lui faciliter l’accès. Il caressa lentement sa petite fente.« Tu dégoulines ma petite chienne ! Ça te plaît alors de te faire fesser le cul ? Mais dans ce cas là, je vais le faire plus souvent ! ».Oh oui ! Pensa-t-elle, mouillant de plus belle. Le doigt se glissa lentement vers son clitoris qui dardait de plaisir. A peine l’eut-il effleuré qu’elle poussa un feulement de plaisir. Il la caressa ainsi un petit moment avant de reprendre ses fessées, pour son plus grand plaisir. Entre les claquements sur son cul rebondi, elle croyait entendre des bruits de pas, des pas nombreux qui se rapprochaient. Elle voulut tourner la tête pour voir ce qui se passait, mais son compagnon la maintenait fermement avec sa poigne sur sa nuque. Elle ne voyait rien, mais elle sentait que les voyeurs de la plage s’étaient approchés. Elle n’y pouvait rien de toute manière alors elle se laissa aller, profitant au maximum de cette fessée, le Tanga au bas des chevilles. Les fessées cessèrent à nouveau, et cette fois elle sut qu’elle était entourée par plusieurs hommes qu’elle ne pouvait cependant pas voir. Son compagnon commença de nouveau à caresser sa petite fente. Au lieu de descendre vers son clitoris, cette fois il remonta pour glisser ses phalanges dans sa raie. Il se mit à masser doucement son petit trou puis il reprit ses fessées.Elle sentit alors une main se poser sur son dos. Une main qui n’était pas celle de son compagnon. Elle tenta de se dégager, mais elle était fermement maintenue. Son compagnon semblait avoir donné son accord alors elle se laissa faire. Une autre main vint se glisser entre ses cuisses. Des doigts commencèrent à se glisser dans son vagin. Elle se faisait fouiller alors que les claques sur son cul se poursuivaient ; c’était divin !Elle entendit des zips de braguette qui s’ouvraient, des froissements de tissu. Plusieurs hommes avaient dû sortir leurs sexes, trop excités par le spectacle. Ils se branlaient autour d’elle, commentant désormais le spectacle de manière salace en encourageant son compagnon à la fesser plus vite et plus fort. Lui aussi n’était pas en reste, elle sentait qu’il avait sorti également son sexe pour se masturber.
Une main se saisit de sa chevelure et remonta sa tête. Elle eut à peine le temps de réagir que déjà un sexe s’enfonçait entre ses lèvres. Elle suça tant bien que mal cette queue qui allait et venait entre ses lèvres tout en subissant les claques de plus en plus vives sur son petit cul. Elle sentait l’excitation autour d’elle qui montait. Les bruits de masturbation allaient croissants. L’homme qu’elle suçait se retira de ses lèvres pour laisser la place à un autre. Celui-ci avait décidé de prendre les choses en main et il lui imposa son rythme d’une main ferme sur le crâne. Son compagnon continuait sa fessée avec méthode tout en se branlant de plus en plus rapidement. Les doigts se succédaient sur son clitoris, dans sa chatte et dans sa raie. Ses cris de plaisir étaient étouffés par les queues qui se succédaient désormais entre ses lèvres. Elle se sentait au paroxysme de l’excitation, elle sentait son orgasme arriver. Son compagnon n’était pas loin de la jouissance non plus et il accéléra encore ses claques à mesure que le plaisir montait en lui.Soudain, l’homme qu’elle suçait poussa un grand cri et il jouit en maintenant fermement sa tête sur sa queue. Elle sentit les flots de sperme gicler entre ses lèvres. En même temps, elle entendit d’autres cris et des traînées de foutre chaud vinrent se répandre sur son dos, ses fesses, ses cuisses.Ce fut alors l’explosion pour elle. Elle poussa un hurlement de plaisir tandis que les claques et les giclées de semence continuaient de s’abattre sur elle. Les doigts continuaient de la fouiller sans relâche tandis que son extase ne semblait pas vouloir finir. Elle n’aurait su dire combien de temps avait duré sa jouissance ni combien d’hommes avaient éjaculé sur elle. Elle était pantelante de plaisir et couverte de foutre crémeux. Elle en avait partout : sur le dos, les fesses, les reins, les jambes, et bien sûr dans la bouche. Son compagnon avait fini par jouir le dernier, écartant alors ses fesses pour se répandre sur son petit trou. Elle sentait son sperme chaud qui coulait le long de sa raie. Il remonta doucement son tanga sur ses fesses. Il l’aida ensuite à se relever ; elle était encore chancelante après ce qu’elle venait de vivre. Il la prit ensuite tendrement par la main et ils prirent la direction de la maison. Elle fit tout le trajet en sentant le foutre qui coulait sur sa peau, séchant lentement au soleil…
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