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Une Fleur soumise

Chapitre 1

Travesti / Trans
Bonjour à tous et merci de lire mon premier roman érotique. Celui-ci raconte mon changement de vie qui a eu lieu pendant les années 2020 à 2022. Certains détails et nom/prénom de ce récit ont été modifiés pour respecter l’anonymat des personnes concernées. Les faits qui se déroulent dans ce récit autobiographique sont authentiques et ont eu lieu réellement. C’est la première fois que j’écris un texte aussi long et il y a sûrement des tournures de phrases à améliorer et autres problèmes. J’essayerai de me corriger rapidement et de m’améliorer pour rendre votre lecture plus agréable. Je vous souhaite une agréable lecture
CHAPITRE 1: MON PASSÉ DANS LE DÉNI

Remontons ensemble dans un passé lointain.Nous sommes en 2006, j’ai dix-huit ans et il est minuit. Je suis allongé dans mon lit, l’appartement est calme et ma télévision est en marche.Je me remémore la discussion que j’ai eue la veille avec ma mère et ma sœur lors d’un repas.
Nous sommes une famille très ouverte sur la question du sexe et ce soir-là, le sujet fut abordé de façon inattendue :
— C’est bizarre je ne t’ai jamais surpris en train de te masturber, me dit ma mère en mangeant son repas.— C’est normal, car je ne l’ai jamais fait, dis-je honnêtement.
Ma mère me regarde avec un regard interloqué. Ma sœur en profite pour rebondir sur le sujet :
— Tu es bizarre, tous les garçons que j’ai connus le font régulièrement.
Je suis gêné par cette conversation et je change de sujet rapidement.Effectivement, à dix-huit ans je ne me suis jamais masturbé de ma vie. Je n’ai jamais éprouvé ce besoin.Je fais régulièrement des rêves érotiques qui me réveillent en sueur avec le slip trempé. Mais maintenant, je me rends compte que je suis peut-être passé à côté de quelque chose !
Je mets fin à mes pensées et je me souviens qu’à cette heure-ci, il y a des films érotiques qui passent à la télévision. Je me décide de regarder mon tout premier film pornographique. Je suis excité de transgresser une sorte d’interdit ! Pendant tant d’années, j’ai fui les contenus pour adulte. Mais maintenant, c’est à mon tour de découvrir ce monde !Je tombe sur plusieurs chaînes qui diffusent leurs programmes du soir. Une chaîne diffuse un vieux porno à l’eau de rose pas très passionnant, je change de programme. Et là je tombe sur un film érotique qui va changer ma vie.
— C’est le début du film, j’ai de la chance ! me dis-je.
Une femme en tenue très révélatrice se balade seule dans une ruelle éclairée par un lampadaire. Cette femme a l’air très mystérieux, sa démarche et ses formes me captivent. Je commence à me masturber maladroitement, car je ne sais pas du tout comment faire. Au bout d’un moment, la femme enlève sa culotte et elle dévoile son pénis !
Je marque un long moment d’arrêt tant je suis surpris par cette découverte. Je ne comprends pas ce que je vois et je m’interroge :
— Mais c’est une femme et elle a un pénis ! Est-ce une malformation ou autre choses ?
Un sentiment inconnu me parvient et je reprends malgré tout ma masturbation, car cette femme étrange me fascine. Plus le film passe et plus je sens le plaisir affluer dans mon pénis. Jusqu’au moment où ma première éjaculation volontaire et consciente arrive. Mon bas de corps est secoué de contractions et chocs électriques et du liquide blanc sort de mon pénis. Quelques secondes plus tard, je reprends mon souffle et décide de me nettoyer, car ce liquide est collant et malodorant. J’éteins la télévision, fier de mon exploit, et je m’endors en pensant à cette femme pas comme les autres.
Quelques soirées plus tard, une fois tout le monde couché, je me décide à me connecter sur Internet pour regarder du porno. Je découvre un monde rempli de milliers de contenus accessibles en quelques secondes. Je vois plein de catégories de vidéos dont la moitié avec des termes qui me sont inconnus. Je clique au hasard sur la catégorie « Bondage », car la miniature a attiré mon regard. Je regarde plusieurs vidéos où des femmes sont vêtues de latex et attachées dans diverses positions. Elles sont soumises à des hommes virils qui jouent avec elles avec différents outils. Parfois dans d’autres vidéos, les femmes sont soumises à d’autres femmes. Je continue de surfer sur le web et je me masturbe un moment jusqu’à tomber sur la deuxième vidéo qui va changer ma vie.
Je vois une jolie femme brune qui porte une tenue de latex bleue électrique et qui est attachée avec des cordes sur un poteau par une autre femme. Celle-ci commence à la punir avec une cravache et je me rends compte que j’adore voir ça ! Ces cris et déhanchements si féminins ! Puis vient le moment où la dominante retire la culotte de latex de sa soumise pour s’occuper de son sexe et de nouveau je suis surpris, elle a une bite ! Je m’en remets plus vite cette fois et je jouis rapidement tant cette découverte m’a excité. Je me couche avec des images dans la tête.
La nuit suivante, je décide de me renseigner sur Internet sur ces femmes à pénis que j’ai aperçues deux fois en aussi peu de temps. Je tombe sur plusieurs mots : Shemale, Tranny, Trans, Crossdresser... Après d’autres recherches, j’apprends l’existence des femmes transgenres et des travestis. Maintenant que j’ai compris et mis un mot sur ce que j’ai vu, je me décide à explorer tous les autres contenus pornographiques disponibles ; mais je garde toujours une préférence pour les contenus trans. Je n’arrive pas à comprendre ce qui m’attire dans ce genre de vidéo. J’essaye de regarder du contenu hétéro, gay, lesbien, mais je m’en lasse très rapidement. Après avoir eu mon orgasme sur une vidéo où une trans produit du lait avec ses seins, j’éteins mon ordinateur et je vais me coucher.
Je vais poursuivre ce rythme pendant plusieurs années. Je découvre un nouveau contenu qui me plaît : le BDSM. Je fais aussi mes premiers travestissements, pendant cette période, car je suis attiré par les vêtements féminins. Je me suis acheté du maquillage, un corset et des talons hauts. Malheureusement, je me travestis très peu par peur d’être surpris par ma famille, mais quand je le fais, je suis sur un nuage. Je commence également à jouer à des jeux en ligne de type MMORPG qui me permettent de vivre ma féminité sans risque. J’incarne toujours des femmes et je me sens bien dans ce rôle. Je me mets en échec scolaire pour passer plus de temps sur ces jeux et vivre ma féminité.
Pendant cette période également, je n’ai aucune expérience sexuelle avec une personne réelle. Je passe mes soirées à me masturber sur des films et récits pornographiques. J’essaye de comprendre ma sexualité, car les filles ne m’attirent pas sexuellement. Je suis plus en admiration devant leur beauté et je ressens même de la jalousie à leur égard ! Les garçons eux ne m’attirent pas du tout. Malgré tout avec le temps, j’ai de plus en plus honte de ma virginité tardive et je décide d’y remédier. Voici comment je m’y prends :
Comme je suis trop timide pour aborder quelqu’un en tête-à-tête, je me décide à demander conseil à mon meilleur ami du moment Xavier :
— Xavier, il faut que tu m’aides ! J’en peux plus d’être puceau et de mentir à tout le monde. Comment tu as fait pour perdre ta virginité, car tu es aussi timide que moi ?— J’ai répondu à une annonce Internet d’une femme qui adore faire l’amour avec des puceaux, me répond-il calmement et sans gêne.
Je sens l’espoir renaître et une vague d’euphorie me submerge.
— Je veux en savoir plus ! Je ne vais pas tenir plus longtemps dans cette situation, lui dis-je.
Celui-ci me répond avec un grand sourire en me tendant un papier :
— Envoie un mail à cette adresse en écrivant ta recherche et que c’est moi qui t’envoie.
Je prends le papier et le glisse dans ma poche.
— Merci Xavier, je t’en dois une ! lui dis-je avec le sourire.— C’est fait pour ça les amis, me répond-il avec un clin d’œil.
Je mets fin rapidement à notre balade et je rentre chez moi en courant.Enfin chez moi, je m’enferme dans ma chambre et après plusieurs minutes d’hésitation, je me décide à envoyer un mail à l’adresse inscrite sur le papier. Plusieurs minutes plus tard, je reçois un mail qui me propose de faire connaissance sur Skype. J’envoie mon identifiant Skype par retour mail et à peine dix minutes plus tard, je reçois un appel vocal d’une certaine Douxdesirs92. Je décroche et nous échangeons pendant au moins quinze minutes sur ma demande et ma vie. À la fin de la conversation, elle me dit que je l’intéresse et me donne rendez-vous le lendemain en me fournissant son adresse, son interphone et son téléphone.
Je dors très mal cette nuit tant je pense à ce rendez-vous. Le lendemain, je me mets en route et j’arrive à l’adresse indiquée. Un immeuble plus que banal se dresse devant moi. Après quelques secondes d’hésitation, je sonne à l’interphone. La même voix féminine, que j’ai entendue sur Skype, m’indique l’étage et la porte à laquelle je dois me rendre. La porte d’entrée se déverrouille et après une dernière grande inspiration, je monte les escaliers.
Je suis devant la porte que la voix m’a indiquée et j’hésite à sonner, car j’ai peur. Prenant mon courage à deux mains, je finis par le faire. Une jolie femme avec des origines asiatiques m’ouvre la porte. Elle est en déshabillé de satin très léger et révélateur. Elle s’adresse à moi avec un joli accent :
— Bonjour, je m’appelle Yin, tu es le bienvenu chez moi.
J’essaie de lui répondre, mais je n’arrive pas à sortir un seul mot. Pourtant, on a parlé hier sur Internet et je n’ai eu aucun problème d’élocution.
— Rentre et mets-toi à l’aise, me dit-elle.
Je rentre dans son petit appartement, la lumière est tamisée en rouge et il y a un grand lit. Yin voyant que je suis stressé me dit :
— Ne t’inquiète pas, je ne veux que ton bien. Retire tes vêtements, tu seras plus à l’aise.
Je retire mes vêtements avec une forte appréhension. Une fois tout nu, la dame retire sa descente et elle est entièrement nue. Elle me sourit et me demande :
— Ça te plaît ce que tu vois ?
Je regarde son corps en détail, ces petits seins qui pointent fièrement, sa taille de guêpe, ses cheveux soyeux et enfin sa belle petite minette. Bizarrement mon corps n’éprouve aucune excitation, je mets ça sur le dos du stress. Je suis incapable de répondre à cette question, mais je finis par hocher la tête.
Yin me fait allonger sur le lit, elle me met une capote et elle commence à me faire ma première fellation. J’éprouve du plaisir devant cette nouveauté et ces sensations, mais je n’arrive pas à bander. Dix minutes plus tard, je suis toujours mou. Vingt minutes plus tard, pas de changement... Yin déploie tout son savoir-faire pour me faire bander, mais rien n’y fait, mon pénis reste mou. Elle a malgré tout trouvé un moyen de me faire un peu bander en me touchant les seins et en m’introduisant un doigt dans mon cul.Et enfin au bout de 45 minutes, j’arrive à jouir dans ma capote avec une demi-molle. L’orgasme en lui-même est bon, mais je n’ai rien ressenti pour cette femme hormis les sentiments habituels d’admiration et de jalousie.
Yin sentant que je culpabilise me dit :
— Ne culpabilise pas c’est ta première fois et c’est normal de ne pas être au top. Viens ici je vais te détendre un peu avec un massage dont tu me donneras des nouvelles.
Elle me fait retourner sur le ventre et commence un super massage thaï. Je me sens de plus en plus détendue. Après vingt minutes de massage, Yin me demande :
— Tu veux réessayer ?
Je hoche de la tête et me rallonge sur le dos. Yin entame une deuxième fellation avec un nouveau préservatif. Le plaisir monte, mais après quinze minutes de plus, mon pénis est mou.Yin commence à s’impatienter et au bout d’un moment elle arrête la fellation.
— Ce n’est pas grave, on réessayera un autre jour, me dit-elle en me lançant un clin d’œil.
Je m’habille très rapidement et je quitte son appartement en la remerciant pour ce moment. Je fuis rapidement cet endroit et je rentre chez moi essoufflé.J’ai gardé pendant longtemps un sentiment de honte intense aux souvenirs de cette expérience. Je n’ai jamais eu le courage de recontacter cette personne. Pendant les années qui suivent, je me questionne de plus en plus sur ma sexualité.
Nous sommes maintenant en 2016, j’ai 28 ans et le porno fait toujours partie de ma vie, mais c’est différent maintenant. J’ai visionné des milliers de vidéos différentes, pendant ces dix ans, mais toutes ont fini par me lasser sauf celles sur les trans et le bdsm. Pendant toutes ces années, je n’ai jamais perdu ma passion et fascination pour les trans. J’ai même découvert de nouveaux contenus prometteurs sur les Sissy et la féminisation forcée. Je me suis mis à lire beaucoup de récits érotiques sur ces thèmes.
J’ai commencé de plus en plus à me travestir pendant cette période, car je me sens tellement bien quand je porte des vêtements féminins. Je ne me suis jamais senti honteux d’en porter. Comme je vis encore chez ma mère, je ne peux pas me commander facilement ce que je veux, et j’ai fini par lui voler quelques affaires.
Je me rappelle qu’une fois ma famille s’est absentée un week-end sans moi. J’en ai profité pour me mettre en tenue féminine, mettre une perruque et faire mon maquillage. Quand je me suis regardé dans le miroir, j’ai éclaté en sanglots. Je n’ai pas compris ce qui a déclenché cette crise de larmes.
Après de longues introspections, j’ai fini par penser que j’étais peut-être une personne transgenre. Cela expliquait beaucoup de choses ; ma jalousie vis-à-vis des femmes, ma crise de larmes lors de mon travestissement récent, mon échec lamentable à bander devant une femme et mon mal-être quotidien.C’est inimaginable pour moi et je crois devenir fou. Je me décide à enterrer tout ce raisonnement au plus profond de moi et à jeter mes affaires féminines.
Nous sommes en 2019, j’ai passé trois années infernales. La vie est sans intérêt et j’ai même développé une forme d’autodestruction. Je ne peux plus me masturber, car ça me fait souffrir mentalement. J’ai essayé de parler de ce problème avec différents psychologues sans succès. Les journées passent et sont de plus en plus noires pour moi. Le temps passe lentement et je pense de plus en plus à la mort. J’échappe de peu à plusieurs tentatives de suicide.
Je me souviens d’un jour où mon mal-être a atteint des sommets, j’ai eu une crise démentielle et je me suis retrouvé dans la cuisine avec un couteau dans la main pour mettre fin à mon existence. Je voyais tout en noir, j’étais toujours vierge après tant d’années, je ne pouvais pas pénétrer une femme et enfin je ne pouvais plus avoir d’orgasmes sans me torturer le corps et l’esprit. Au moment où j’allais me tuer, le chien familial, que je garde pendant l’absence de ma famille, est apparu dans la pièce avec un regard affolé, le corps tout tremblant et je n’ai pas pu aller au bout de mon geste devant tant d’affolement. J’ai décidé de rester en vie pour ma famille et pour ce chien. Suite à cet épisode, j’ai déménagé dans un petit appartement et j’ai repris le travestissement. Je me suis senti rapidement beaucoup mieux. Ça n’a malheureusement pas réglé mes problèmes d’orgasmes.
En 2020, j’ai découvert un discord sur la féminité et le bdsm. J’ai dialogué un moment avec différents membres, dont plusieurs personnes trans. En écoutant leurs vies, je me suis rendu compte que nos chemins sont similaires. Elles sont passées par les mêmes étapes, émotions et états d’âme que moi. J’ai repensé à mon introspection qui remonte à quelques années ; j’ai décidé de prendre rendez-vous avec une psychiatre qui s’occupe couramment de personne trans pour savoir si j’étais une personne transgenre.
J’ai rencontré cette psychiatre quelques mois plus tard et je me suis entièrement confié à elle. Elle m’a confirmé que j’avais de la dysphorie de genre et que j’étais sans aucun doute une personne transgenre.Enfin je comprenais d’où venait mon malaise profond. J’ai compris que si je n’ai jamais arrêté le porno trans, c’est parce que je m’identifie à ces personnes. J’ai choisi d’entamer une transition et c’est la meilleure décision que j’ai prise de ma vie. J’ai décidé de prendre un traitement hormonal pour féminiser mon corps.Les hormones m’ont changé en profondeur, la haine de moi a disparu et mes problèmes génitaux se sont un peu améliorés. Le porno a disparu de mes habitudes et je me suis décidé d’explorer un autre territoire inconnu : le bdsm dans la vie réelle.
Voici ce qui conclut la fin de ce chapitre d’introduction. Je ne vais pas plus détailler mon parcours trans, car celui-ci reviendra régulièrement dans les prochains chapitres.Dans le chapitre suivant, je raconterai mes débuts dans le bdsm au service de ma première maîtresse.
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