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Une formation adaptée

Chapitre 1

Hétéro
J’avais rencontré Sarah au travail. Officiellement, elle était mutée dans mon magasin pour évoluer sur un nouveau poste. La réalité est que l’on m’avait chargé de la licencier.Les RH m’avaient décrit une personne un peu agressive, souvent absente et pas très compétente.Je n’avais aucune envie de m’en occuper, mais cela faisait malheureusement partie du job.Un appel rapide pour faire connaissance et je lui donnai rendez-vous pour son premier jour.Lundi 9h dans le bureau, j’attendais sagement avec mon café. Personne. « Tant mieux si elle ne vient pas. Cela sera plus simple ».30 min plus tard, ma responsable caisse vint me voir accompagnée d’une magnifique Marocaine : 36 ans, le teint mat, les cheveux châtains sous les épaules, 1m65.Elle s’approcha et me tendit la main avec un large sourire : « Bonjour je suis Sarah. Je suis arrivée un peu en avance à 8h et j’ai déjà commencé à travailler ».D’une part, je me dis qu’elle était peut-être plus sérieuse, et d’autre part, je n’étais pas insensible à son physique.Je l’invitai à faire un point sur sa situation à 15h. Elle repartit, ce qui me laissa l’occasion de reluquer de magnifiques fesses bien bombées. Elle portait un jean et des talons aiguilles.15h précise. La voilà. Aussi souriante que le matin. Nous parlâmes durant 3h. Je compris vite que ce n’était pas du tout le personnage que l’on m’avait peint. Elle était au contraire très volontaire, mais avait souvent des relations professionnelles conflictuelles, car elle voulait imposer ses idées coûte que coûte. J’étais touché par cette femme.
Tous les jours, nous fîmes un point sur sa formation. Plus les jours passèrent et plus ces moments dérivèrent sur des conversations personnelles. Elle me parla de son enfant et de son mari. Pour la première fois, je parlai de ma vie à une collaboratrice. Rapidement, nous devînmes presque amis tout en nous vouvoyant.
Plus les jours passèrent et plus ses tenues me plurent. Ses pantalons ont vite été remplacés par des robes de plus en plus courtes. Je pus quelques fois apercevoir la lisière de ses bas. En revanche, jamais de décolleté. Je ne pouvais m’empêcher de la regarder. Il m’arrivait régulièrement d’avoir des érections lors de nos échanges. Nous devenions tactiles, une main sur le bras, une main sur la hanche pour qu’elle me précède dans le couloir.
24 décembre, j’étais en famille. SMS de Sarah : « Joyeux noël chef ». « Joyeux Noël Sarah ». Et comme à chacune de nos discussions dans mon bureau, cet échange de SMS dura toute la soirée. Le lendemain matin, je ne tenais plus. Je voulais absolument la voir. Elle m’obsédait.
Je lui proposai donc de passer dans l’après-midi boire un café. À ma grande surprise, elle accepta.17h, on sonna à ma porte. J’ouvris et je découvris Sarah dans une splendide robe noire. Je la fis entrer. Et là, soudainement, sans réfléchir je l’attrapai par le cou, la plaquai contre le mur et glissai mes lèvres contre les siennes. Nous nous embrassâmes fougueusement. Pendant que ma main gauche serrait fermement son cou, ma droite parcourait son corps. Je dézippai rapidement sa robe et la fis glisser à ses pieds. Je découvris une imposante poitrine comprimée dans un soutien-gorge noir.
Dans un sursaut de remords, elle me demanda d’arrêter. Elle balbutia qu’elle était mariée, qu’elle ne pouvait pas faire ça. Obsédé par son corps si sexy, je n’entendais rien. Je continuai à la caresser. Ma langue s’attaqua ensuite à son téton droit dépassant par-dessus la dentelle. Je le léchai, l’aspirai.
Le souffle court, je l’entendis à nouveau : « non arrêeeeetteee ».Je desserrai mon étreinte et fis quelques pas en arrière. Je pris quelques secondes pour admirer ses formes. Elle me regarda, interloquée. A la fois soulagée que je ne l’entraîne plus loin, mais aussi déçue de ne pas assouvir son désir.
J’attendis quelques secondes avant de me déshabiller. Ma queue se dressait fièrement devant elle.Je me jetai à nouveau sur elle. J’enfouis ma langue dans sa bouche. Elle me mordit. Pour réponse, je lui pinçai le téton. Je la vis se mordiller la lèvre. Je compris vite qu’elle aimait se faire légèrement maltraiter.
J’arrachai littéralement son string et je glissai deux doigts en elle. Son corps essaya de se défaire, mais sa main se mit à me caresser la queue. Plus j’étais dur avec elle, plus elle se débattait, mais plus elle manifestait de plaisir. Son sexe était maintenant trempé. J’y glissai un troisième doigt et accélérai la cadence. Ce n’était pas suffisant. Je voulais qu’elle prenne plus de plaisir. Je la portai, les jambes autour de mon corps et je la posai sur le bar. J’écartai ses cuisses et ne voulant pas faire retomber son excitation, je glissai directement ma langue sur son clito. Son sexe sentait terriblement bon.
Mes trois doigts reprirent leur chemin. Ma langue continua de déguster son sexe. Elle me fixait avec un regard empli de panique, tout en gémissant. Je prenais un plaisir fou à manger son intimité. Son corps se cambrait sous mes coups de langue. Elle ferma ensuite les yeux. Je la sentis se crisper et je la sentis jouir. Elle poussa un cri de plaisir.
Je l’aidai à descendre du bar. Complètement perdue et tendue, elle chercha ses affaires pour se rhabiller. Je n’en avais pas fini avec elle. Je la saisis par les cheveux et la guidai jusqu’à ma chambre. Je la poussai sur le lit et je me jetai sur elle. Elle cacha tout d’abord son sexe avec ses mains. Je pris fermement ses mains et les bloquai sur le lit. J’approchai ma queue de son sexe trempé. Elle protesta « non Sylvain, je suis mariée ». J’étais comme possédé. Peu importait ses contestations, je la voulais. Elle essaya de se débattre, mais je glissai à ce moment entièrement en elle. Je restai figé en elle et commençai à l’embrasser tendrement pour la rassurer. Je débutai de lents et profonds va-et-vient en elle. Je sentis ses cuisses se détendre autour de mon corps. J’accélérai la cadence. Elle me regarda dans les yeux et me lança un « baise-moi plus fort ». Je mis alors ses cuisses sur mes épaules et commençai à pilonner son sexe sans ménagement.
Elle se concentrait pour ne pas être trop démonstrative tout en me défiant du regard. Je mis alors une main sur son cou et me mis à le serrer. Elle esquissa un sourire. Je compris alors que je devais accentuer ma pression. Son visage devint rouge. Des veines apparurent sur son front. Je guettai sa respiration pour ne pas aller trop loin.
Au bout de quelques minutes, je la laissai reprendre son souffle quelques instants.Je la fis basculer sur le ventre, tirai ses fesses en arrière et la pris en levrette. Ses fesses étaient incroyables dans cette position. Je la pris fermement par les hanches. Ma queue la pénétrait à un rythme effréné. Je ne pus m’empêcher de lui assener de violentes fessées. Elle cria maintenant son bonheur. Elle enfouit sa tête sur le lit et dans un râle de plaisir, je la sentis jouir. Je la retournai et déchargeai mon sperme sur sa poitrine.
Nous passâmes le reste de la soirée à nous câliner jusqu’à l’appel de son mari.
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