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Une formation réussie

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Mardi 15 septembre 2009

Ce matin, je fais l’effort de me lever plus tôt pour préparer le petit-déjeuner. Mes hôtes ont donc la surprise de trouver tout prêt et m’en remercient. Ils sont tous deux nus comme moi, et sentent encore le sperme, la cyprine et la sueur, ce qui est bon signe pour la suite. Christophe est le premier à finir et s’éclipse vers la salle de bains pour partir le premier au travail. Quand nous terminons aussi, Stéphanie se propose de faire la vaisselle pour ne pas avoir ça à faire en rentrant ce soir. Du coup, je me dirige vers la salle de bains et comme je n’entends plus couler d’eau mais qu’il ya encore du bruit, je sais qu’il y est. Je pose ma main sur la poignée et attends qu’il ouvre lui-même. Quand je sens qu’il ouvre pour sortir, je fais semblant de perdre l’équilibre et tombe sur Christophe qui est tout surpris et lâche la poignée pour me rattraper. Je fais en sorte que ma main vienne en contact avec sa bite et s’y cramponne comme machinalement. Je m’excuse :— Oh, pardon ! Comme il y avait plus de bruit, je croyais que tu étais déjà sorti. Ça m’a surprise quand tu as ouvert en même temps que moi et du coup je suis tombée.— Euh, oui, je comprends. C’est pas de ta faute, on pouvait pas s’y attendre. Mais…— Quoi ?— Ben, si tu pouvais me lâcher le… la…— Oh oui, pardon, c’était machinal, je me suis retenue à ce qu’il y avait.— Oui, c’était instinctif, j’imagine.
Avant de le lâcher, j’avais un peu serré mes doigts et senti qu’il commençait à avoir une légère érection. En regardant sans gêne dans cette direction après m’être écarté de lui, je peux voir que c’est bien réel car sa bite prend du volume et une courbe ascendante. Pour ne pas être en difficulté devant moi, il n’insiste pas et s’évacue vers sa chambre. 
Sur ce, Stéphanie me rejoint alors que je règle la température de la douche. Elle n’est pas au courant de ce qu’il vient de se produire et je me garde bien de le lui dire. Je vais le tourner à ma manière. Elle ne fait pas de chichis quand je commence à la savonner en la touchant partout et même me rend volontiers la pareille. Elle a bien digéré les évènements d’hier et n’a plus de retenue à faire ça avec une femme.
Après que nous ayons joui toutes les deux, il est temps d’aller nous habiller pour ne pas être en retard. Pendant que nous nous séchons, j’aborde le sujet de son mari :— Dis, ce matin en arrivant à la salle de bains, j’ai parlé un peu avec Christophe et il a eu encore une érection, comme hier soir. Il a une belle bite, je dois dire.— Oh, Anna ! Pour quoi tu parles de ça ?— Ben parce qu’il me semble que c’est un peu moi qui le fait bander. Vous en avez pas parlé ?— Oui, on en a parlé. Et c’est vrai, tu l’excite un peu.— Un peu seulement ? je suis vexée. J’espère que c’est plus que ça.— Bon, OK, mais je t’en veux pas. C’est un peu pour ça qu’il a repris de l’activité.— Ça, tu peux pas dire que t’en profites pas, je t’ai encore entendu cette nuit.
Nous nous séparons pour aller nous habiller. Je suggère à ma collègue de ne pas mettre de dessous elle non plus. Elle ne dit pas non car elle m’objecte :
— Euh, mais on va voir que j’ai pas de soutif.— Tiens, si tu veux, je te prêt un des miens, c’est taille unique pour les bonnets !— Ah, c’est amusant. Bon, je veux bien essayer.
Du coup, elle se lance dans sa première expérience cul nu en public. Elle est un peu empruntée au début, mais elle se relâche en cours de journée. De toute façon, elle a de nouveau enfilé une robe foncée et pas trop courte ni trop décolletée.

Au retour après la formation, après nous être mises nues rapidement, nous remettons ça avec Stéphanie comme hier. Mais aujourd’hui, même si nous nous passons mutuellement l’huile solaire, nous ne nous cachons pas derrière ce prétexte pour nous faire plaisir. En allant poser mes fringues, j’ai pris mon vibro et je lui fais tester car apparemment elle n’en a jamais utilisé. Je la sens très réceptive et j’en ai la confirmation quand nous nous calmons un peu dans les transats après un bel orgasme chacune :— Ouah, tu as fait des progrès !— Je sais pas, mais en tout cas ça m’a tellement excitée d’être à poil sous ma robe toute la journée en public que j’avais besoin de faire redescendre la pression.— A part ça, tu me permets de pousser un peu plus loin pour mettre Christophe en condition quand il revient tout à l’heure ? Tu sais que c’est tout bénéfice pour toi.— Je sais pas.— Allez, me dis pas que ça te gêne vraiment de le voir bander en ma présence.— Non, c’est pas ça. En fait, c’est tellement pas habituel. Mais tu as raison.— Alors, feu vert pour que je l’excite ? Tu pourras rire de voir sa gêne.— Bon, ça marche.
Nous montons un petit scénario et c’est donc à poil dans les transats, face au soleil que nous attendons son retour. Bien évidemment, je vais remettre le vibro dans la chambre pour ne pas en faire trop. Je m’entretien déjà avec un doigt sur le clito et comme l’heure habituelle approche, Stéphanie va se poster dan la cuisine comme si elle était allée nous chercher à boire. Puis j’entends la porte d’entrée et j’accentue un ma manœuvre. Je sais ce que ma collègue est en train de faire de son côté.
Pendant ce temps, elle accueille son mari et le fait déshabiller. Puis elle l’entraîne vers la terrasse avec son plateau de boissons à la main. En débouchant de la baie vitrée, il me découvre enfin, tournée de trois-quarts arrière mais qui ne laisse pas d’équivoque à ce que je suis en train de faire. Evidemment, Christophe stoppe et regarde sa femme tout en ayant un érection en cours de développement. Elle lui dit :— T’as vu comme elle a pas honte de se faire plaisir ? J’étais avec elle et c’était vraiment excitant de la voir faire. J’avais même commencé à faire pareil mais je suis venue chercher à boire pour me calmer un peu. Mais je crois que ça marche pas, j’ai encore envie. Et je vois que ça te fait de l’effet. N’aie pas honte, pas la peine de me le cacher. Et à elle non plus, je pense. Ça m’étonnerait que ça la choque. Allez, viens nous rejoindre.— Comme ça ? Mais je bande à fond, comme tu le vois.— Oui, justement, comme ça. T’es chez toi, et c’est elle qui a commencé, non ?— En fait, t’as raison, je vais pas me priver !
Et c’est comme ça que je les vois apparaitre dans mon champ de vison, elle avec son plateau qu’elle pose sur la table de jardin et lui avec sa queue à l’équerre. J’arrête un peu ma branlette pour regarder cet engin qui est enfin en plein développement et sans masque contrairement aux deux fois précédentes. Sa queue n’est pas inoubliable, mais correcte, dans la moyenne de longueur et de largeur, avec un gland cette fois décalotté et qui est plutôt conique contrairement à celui de Ber qui ressemble à une grosse prune rebondie. Il commence par s’excuser :— Euh, Anna, pardon, mais je… Euh…— Oh, c’est bon, j’en ai vu d’autres, t’inquiète.

A suivre…
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