Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 191 J'aime
  • 2 Commentaires

Une formation très intéressante

Chapitre 3

Dans le feu de l'action

Hétéro
Chapitre 3
Arrivée au Centre de Formation

Le lendemain matin, à neuf heures précises nous arrivions sur le parking du Centre formation du personnel navigant de la Lufthansa. Nous avions laissé nos bagages dans la voiture, on s’était donné un dernier baiser, puis nous étions partis chacun de notre côté rejoindre notre spécialité.Dans le hall de réception, nous étions quatre pilotes dont deux quatre gallons. Le directeur de la Formation nous fit un petit discours de bienvenue et nous apprîmes que vu que nous étions tous des pilotes avec l’agrément B737, la formation de mise à niveau se ferait exclusivement en Simulateurs de vols. Une Cabine mobile dynamique d’un simulateur de vol professionnel coute aux environs de: (Prix variable en 1 et 3 millions d’euros).

Après avoir salué mes collègues de travails, je me dirigeai à l’apéro de bienvenue avant de regagner la cafétaria de la compagnie située dans l’immense complexe aéroportuaire.
Ce stage était obligatoire pour tous les commandants de bord, pour les copilotes volant sur B734 (B737-400) ainsi que pour les équipages navigants commerciaux : les chefs de cabines, stewards et hôtesses.
Petit à petit Lufthansa allait se séparer des Boeing 737-400 pour passer au 737-500 et 800. Les B734 allaient être cédés aux filiales telles que Condor et Eurowings.
Parmi les Cdt. De bord, j’eus la surprise de remarquer qu’il y avait une femme qui semblait de pas être pas trop à son aise ; Elle faisait " la gueule" une mal baisée sans doute, une parano qui s’imaginait que tous les pilotes masculins étaient des misogynes qui n’avaient qu’une idée en tête en la voyant : celle de la baiser.
Elle affichait sur son visage un rictus contrarié de féministe…. Qui hait les hommes ; à moins qu’elle en soit une ? Où peut être me faisais je des idées et qu’elle se trouvait un peu gênée d’être la seule femme dans le groupe. Par contre, elle ne faisait rien pour donner envie à qui que ce soit de s’approcher d’elle pour engager la conversation.
Erwin, mon copilote était aussi là. Aussitôt qu’il m’eut aperçu, il s’empressa de venir me saluer.
Arrivés dans la grande salle de la cafétaria j’aperçu Ingrid a une table accompagnée du reste de mon équipage. Nous nous approchâmes pour les saluer et j’aperçus que deux couverts de plus avaient été prévus.

— Ces messieurs les officiers restent avec nous pour manger ou alors….— Bien entendu ! Avec plaisir coupais je.
Ingrid ainsi que le 4 autres PNC avaient revêtu l’uniforme de travail. Normalement, à bord, elles revêtaient un pantalon mais ce jour-là, elles étaient toutes en jupe droite légèrement fendue à l’arrière, les moulant comme dans un fourreau, descendant jusqu’à la largeur d’une main au-dessus des genoux. Tenue Très féminine !!!....
Il est vrai que j’avais la chance d’avoir dans « mon » éauipage de véritables « canons » dignes de figurer sur un magazine de mode.
J’étais assis à table en face d’Ingrid tandis que Erwin avait trouvé place en face de Renate une PNC qui faisait partie de notre Crew depuis 18 mois, en bout de table. Je les observais, Renate me donnait l’impression de lui faire du charme. La pointe d’une chaussure frôla mon entrejambe. Je dirigeai mon regard en face de moi et je remarquais un sourire sur le visage de ma compagne. Elle me fit un Clin d’œil coquin en bougeant discrètement son pied chaussé d’escarpins à talons hauts entre mes jambes et de sa tête elle fit un geste en direction du bout de la table, où se trouvaient Erwin et Renate. Je lui rendais son clin d’œil pour lui répondre que j’avais remarqué l’opération « séduction » de nos deux camarades.
Le repas se déroula tranquillement en conversations banales, suppositions sur le déroulement du stage : enfin c’étaient les femmes qui menaient la barque.Vint enfin le moment où il fallait nous lever pour aller à nos obligations. Ingrid s’approcha de moi et je fus surpris de la voir approcher son visage du mien et déposer un rapide « bisous » sur mes lèvres. Un message explicite pour annoncer officiellement à tout l’équipage qu’elle et moi étions un couple ; donc pour les autres femmes : « PAS TOUCHE ».
— Tu auras le temps d’aller chercher nos bagages dans la voiture, Chéri ? me demanda telle en français assez fort pour que toutes les collègues entendent.— Aber Ja ! Liebling. Ich geh auf die Stelle. Répondis-je dans la langue de Goethe afin que tout le monde comprenne et qu’il ne subsiste aucun quiproco au sujet de notre promiscuité Ingrid et moi… au point où on en était.
Durant le parcours jusqu’à la salle des simulateurs, Erwin me questionna.
— Il y a longtemps ?— Longtemps : quoi ?— Que la chef de cabine et toi…— Non ! c’est tout frais !— Cela faisait un moment que je me doutais que cela allait arriver un jour ou l’autre de la façon qu’elle te regardait sans avoir l’air d’y toucher. J’ai l’impression qu’il n’y avait que toi pour ne pas s’en rendre compte. Elle est mariée avec un 4 gallons, si mes renseignements sont exacts.— Exactement ! elle est en instance de divorce ; mentais-je à demie…. Et nous avons décidé d’officialiser notre liaison, mentais-je totalement.— Moi, je vois ça totalement positif ! vous êtes dans le même Crew. Comme cela aux escales, vous êtes ensemble…Enfin, si l’occasion d’un même scenario se présentait, je ne dirai pas non.— Tu as l’air de bien t’entendre avec Renate.— Je suis en phase d’approche, me répondit mon copilote.— Et j’ai l’impression de comprendre qu’elle t’allumé le papi en bicolor. [En aéronautique le papi est un signal lumineux placé en début de piste. Il est composé de quatre projecteurs qui changent de couleur en fonction de l’altitude de l’appareil en approche. Si l’avion est trop haut, les 4 faisceaux lumineux émettent une lumière jaune. Si l’avion est trop bas, la lumière est rouge et si l’altitude et l’angle de descente de l’aéronef est bon, deux projecteurs émettent une lumière jaune et les deux autres : rouge]. Cet instrument nous le nommons le « papi ».— Tu crois ? que le dieu des copilotes t’entende !
Nous étions arrivés dans la salle des simulateurs. On monta au premier étage. Un long couloir où tous les 20metres sur la cloison de gauche, une porte était percée sur laquelle était inscrit le type de simulateur qui se trouvait derriere.. Tout le groupe du matin était là attendant qu’on les invite à pousser la porte où était inscrit B738.
La porte fut ouverte par un instructeur navigant et on se retrouva tous à l’intérieur d’une cabine de pilotage d’un Boeing 737-800. Le parebrise ainsi que les vitres latérales étaient opaques. En réalité c’étaient des écrans qui allaient se transformer en parebrise virtuels aussitôt que l’ingénieur aura poussé les leviers adéquats sur son tableau de bord à l’arrière du siège du copilote. Là ou  prenait place l’instructeur de vols en simulations.
Lors d’une séance de simulation ( plan de vol virtuel) un scenario est affiché par l’ingénieur. Il programmait toutes sortes de scxenarios qui allaient de la météo jusqu’aux pannes de moteurs dont le stagiaire devait gérer.

Lé Flugsingenieur alluma ses écrans et immédiatement: on se croyait vraiment accroché à la passerelle télescopique de l’aéroport de Francfort. On nous annonça que cet après midi là, seuls trois d’entre nous auraient le temps de tester le simulateur. Quant aux autres, ils se rendraient à la « Schule » traduction de classe, école, où allaient se dérouler les explications théoriques: sur les divers scenarios sécurité. Je faisais partie de ceux-là. Pour moi et Erwin ce serait le lendemain matin que nous aurions notre cession.
Enfin, tout le speech dont on nous bourra le crâne, nous : les Commandants de bords on le connaissait de mémoire. A quelques détails près, c’était les mêmes blablas que celui que j’avais entendu lors de la formation du B737-400. Il n’y avait que les paramètres masse, distance et vitesse qui changeaient. Pour cela, le formateur nous remis à tous une sorte de règle à calculer consistant en une plaquette de format A4 en PVC sur laquelle étaient insérés des cercles attribués à chaque paramètre.
(Par exemple si on pesait 12 tonnes à l’arrivée avec le carburant, les passagers et les bagages, plus le poids de l’appareil nu on tournait la molette jusqu’à que le chiffre 12000 apparaisse dans la fenêtre marquée ! GEWIGT.
Ensuite venait la vitesse. Pour ne pas être en décrochage, la vitesse au badin ne devait pas être en dessous des 120 nœuds les flaps grand ouverts ainsi que les aérofreins tous sortis. On bougeait donc la molette pour afficher 120 dans la fenêtre marquée : SA – Speed Approach-
Ensuite venait l’angle de descente que l’on affichait selon le même principe dans une petite fenêtre marquée : VS. On plaçait le nombre 1200 pour 1200 pieds/mn.Et pour terminer il fallait mètre le curseur soit sur : Piste béton ou Herbe – Piste sèche ou mouillée et enfin Terre ou eau.Lorsque l’on avait renseigné tous ces paramètres dans la fenêtre teintée en rouge sur la plaquette, s’affichait une distance en mètres, qui était la distance théorique dont l’appareil aurait besoin pour atterrir et s’arrêter en cas d’atterrissage d’urgence sur le ventre.) Enfin tout ça n’était que théorie. Je connaissais ce stage pour l’avoir réalisé 12 ans plus tôt. Il n’y avait que le poids, la longueur et la vitesse de "la lampe à souder" qui changeait.
Bref ! il fallait le faire : dont on le faisait. .. Et basta !
Enfin, lorsque on fut libéré en fin de cession, nanti du dossier que l’on nous avait remis, on se séparait et chacun regagnait ses pénates. Je regagnais l’hôtel de la Lufthansa.Lufthansa-IntercityHotel Frankfurt Airport
Je montais à l’étage, et ayant repéré notre chambre, j’introduisais le badge magnétique dans la serrure. Je rentrais. Tout était silencieux. Un petit couloir totalement lambrissé de chêne clair servait de sass. Sur la paroi de droite un cadre représentant un des premiers avions de la compagnie à sa fondation, juste après la seconde guerre mondiale : un JU88.
Sur la paroi de gauche : 3 portes. L’une donnant dans une grande penderie, celle du milieu dans de grandes toilettes ; ce qui est rare dans les hôtels d’aéroport qui ne sont pas des palaces…. Du moins : pas pour le personnel naviguant, officiers ou pas ! La lunette ainsi que le lavabo étaient en marbre et les murs lambrissés eux aussi comme ceux du couloir d’entrée, quant au sol : il était totalement carrelé de mosaïque hexagonale de couleur beige.
A côté, il y avait la troisième porte qui donnait dans une salle de bain assez vaste pour contenir deux personnes, mais de loin pas si accueillante que celle de la maison d’Ingrid à Hambourg. Une douche italienne et une vasque en marbre. Les murs ainsi que les sols étaient carrelés de Fayence rectangulaire de couleur beige aussi.
Enfin, face à la porte d’entrée, une porte s’ouvrait sur une chambre où trônait un grand lit de 160
Je fus agréablement surpris. Décidément si la salle de bain et les WC pouvaient être classés dans la catégorie ****, la chambre également. Cette fois ci la Cie avait mis les petits plats dans les grands pour ses cadres et cadres sup. En face du lit géant, il y avait un téléviseur de près de 2 mètres. Afin d’essayer le matelas, je me laissais tomber du haut de mes 1 mètre quatre-vingt et je dus reconnaitre que sans être dur ou trop mou, il me convenait à merveille. Nous allions Ingrid et moi passer 3 semaines dans une chambre de VIP aux frais de la princesse.
Je me dirigeais vers la fenêtre afin de tirer les tentures. Je posais ma casquette sur la table ainsi que ma cravate. Je me déshabillais, posais mes vêtements bien pliés sur un ceintre dans la penderie et en boxer, je passais dans la salle de bain.
L’eau chaude coulait sur ma tête, dégoulinant sur mon torse et mon dos emportant avec elle ma fatigue ainsi que le stress de la journée. Je me savonnais et au moment du rinçage, j’aperçus la porte de la salle de bain s’ouvrir laissant entrer Ingrid en tenue d’Eve. Elle se saisit d’une serviette de l’hôtel pour s’envelopper les cheveux, puis elle vint sans un mot, me rejoindre dans la cabine de douche.
Elle encercla ma nuque de ses deux bras, plaqua ses seins et son ventre contre moi et posa ses lèvres sur les miennes. Aussitôt, sentant la pointe de sa langue qui frappait à la porte, j’ouvris ma bouche pour accueillir cette ambassadrice de notre tendresse et envies. Mon sexe s’érigea, pressé contre sa cuisse. Elle dégagea une main pour le saisir afin de le placer entre ses cuisses qu’elle referma aussitôt. Je sentais ma verge tout contre ses petites lèvres. Tout en continuant notre baiser langoureux, elle se mit à onduler légèrement des hanches ; ainsi mon sexe fut agréablement caressé voluptueusement par ma compagne qui était toujours en train de mélanger sa salive avec la mienne. De mes deux mains descendues dans son dos, je caressais ses fesses.
Je passais mon doigt dans le sillon partageant ses deux lobes et arrivé au niveau de sa « petite porte privée » d’un mouvement du bassin en arrière, j’eus l’impression qu’elle venait au-devant de ce doigt qui caressait ce trou à la peau plissée si délicate.
De ses bras délicats trahissant une force insoupçonnée elle m’attira à elle tout en reculant pour s’adosser à la paroi de la douche. Elle leva une jambe pour mieux me permettre d’introduire mon sexe raide comme une trique de chêne à l’intérieur de son vagin tout ruisselant de sa liqueur d’amour. Je passais ma main sous son autre cuisse pour la soulever. Ses jambes ne touchaient plus le sol mais étaient enroulées autour de ma taille. Je la portais littéralement en me servant de cette paroi pour me soulager de son poids.
Sa tête était posée sur mon épaule ; sa langue me caressait le lobe de mes oreilles. J’avançais mon bassin et de l’autre main je positionnais mon gland affamé devant l’entrée du Vagin. Ingrid vint à la rencontre de mon sexe d’un mouvement du bassin et je me trouvais profondément introduit en elle, mon pubis tout contre le sien. Lentement, je me mouvais en vas et viens voluptueux. Son vagin qui me serrait comme une gaine était tellement lubrifié qu’il fallait que je fasse attention de ne pas en sortir, vue la position dans laquelle nous nous faisions l’amour. Je sentais sa respiration qui s’accélérait, de sa gorge sortait une sorte de râle et d’un seul coup elle me serra d’une force que je ne lui connaissais pas en poussant un cri ; JAAAAAAAAAAA ! je t’aiiiiiime (en français). La sentir jouir ainsi m’électrisa et d’un seul coup sans signe avant-coureur, je me vidais à grands jets tout au fond de son vagin.
— Oui ! Viens mon cœur…Donne-moi tout. Je veux tout de toi !
La position n’était pas la plus confortable et malgré que ma compagne ne soit pas un poids lourd, elle commençait à me peser sur les bras. Elle s’en rendit compte elle aussi car elle dé encercla ma taille de ses ravissantes jambes pour les poser au sol. De par ce mouvement, ma verge qui était en train de perdre sa consistance sortit de son fourreau. Ingrid s’accroupit pour la prendre dans sa bouche afin de ne pas perdre une seule goutte de mon nectar de vie. Elle avait pris avec ses lèvres mon gland et ses joues se creusaient pour en aspirer tout ce qui aurait pu encore subsister. Mon regard se porta sur son abricot qui vue la position était bien ouvert. Je voyais des filets de sperme s’échapper de la vulve.
— Tu ne peux pas savoir Liebling combien j’avais attendu ce moment ! : me dit-elle une fois qu’elle m’eut bien nettoyé le sexe de sa langue. Toute la journée j’ai pensé à toi et heureusement que j’avais un protège slip dans mon sac, sinon j’aurais arrosé le sol tellement j’étais excitée. Je crois que tu m’as lancé un sort.
— Moi aussi j’ai eu envie de toi lorsque je t’ai aperçu à la cafétéria. Tu ne peux pas te l’imaginer.— C’est bête que la pause de midi soit si courte……— Auf fait Chérie…Tu as fait un effet bœuf ce midi lorsque tu m’as donné un baiser sur la bouche devant tout le Crew avant de partir après le repas.— C’est justement ce que je voulais faire, en plus de te donner un baiser, Mein Schatz ! Car j’avais saisi quelques bribes de conversations ce matin en arrivant…Comme ça je mettais les pendules à l’heure à l’intention de toutes celles qui auraient eu l’envie de « se faire » le commandant. Chasse gardée ! Pas touche. Le boss est à moi ! Pourquoi, Chéri ? Erwin t’a posé des questions ?— En effet ! et il m’a confirmé que cela faisait un moment qu’il se doutait que tôt ou tard, cela allait arriver.
On venait de sortir de la cabine de douche. Ingrid attrapa un drap de bain et commença à me sécher le dos, puis elle descendit plus bas pour s’occuper des cuisses. Je me laissais faire. C’était une situation des plus agréable. Elle y allait lentement en insistant en haut des cuisses, juste en bas des fesses, là où se trouve la région du périnée. Puis, ayant décidé qu’elle m’avait bien séché le recto, elle passa devant moi pour me sécher la poitrine, puis descendit vers mon abdomen. Arrivé à hauteur de mon sexe qui recommençait à prendre un début d’érection, elle le tamponna par petits attouchements, de peur de l’irriter puis fit pareil avec mes bourses. J’avais posé mes mains sur ses seins qui étaient sublimes. Ils étaient érigés comme ceux d’une jeune fille de 20 ans. Les aréoles d’un beige foncé dont les granulés paraissaient en érection, laissaient comprendre que mes caresses ne les laissaient pas indifférents. Les mamelons ressortaient.
Ils étaient d’une dureté qui trahissaient le plaisir que leurs donnaient mes doigts qui les faisaient rouler entre le pouce et l’index. Ingrid se dégagea lentement en souriant, posa ses lèvres sur les miennes je sentis sa langue telle une foreuse s’introduisant dans ma bouche, à la recherche de la mienne qui venait à sa rencontre. De nouveau elle plaqua son corps contre le mien comme si elle voulait s’incruster dans ma chair. Elle avait placé un bras autour de mon cou et me caressait les cheveux tandis que l’autre était passé entre nos ventres pour se saisir de ma verge qui venait d’atteindre son érection maxi. Elle la prit et levant tant soit peu une jambe, elle la plaça entre ses cuisses tout contre ses grandes lèvres et serra les jambes pour l’emprisonner.
Je commençai à la pousser en arrière. Elle reculait au fur à mesure comprenant où je voulais la conduire. Nous étions dans la chambre à coucher et le grand lit était tout proche.
— Stop, Liebling ! Tu te laisses faire.— Mais….— Pas de Mais ! Viens allonge toi sur le dos, j’ai envie de te faire un massage spécial maison, mais avant je vais aller chercher dans la valise ma crème de soins. Allonge-toi et ferme les yeux. Si tu bouges je t’attache ! me menaça-t-elle en riant.
Que faire ? sinon obéir. On ne reconnait pas un bon officier seulement à sa façon de commander mais aussi : à sa façon d’obéir. Je restais donc nu comme Adam, allongé sur le lit. Je la vis arriver avec un tube de crème pour le corps à la main. Elle avait enveloppé ses longs cheveux dans une serviette se faisant ainsi une coiffe comme seules nos femmes créoles savent le faire. Elle mit de la crème dans le creux de sa main et m’ordonna de me placer sur le ventre. Elle vint me rejoindre sur le lit en se plaçant à califourchon sur mes fesses. Je sentais ses grandes lèvres de son minou qui grandes ouvertes libéraient leur chaleur et humidité. Quelle sensation ! Ingrid commença à m’enduire la nuque de cette crème et avec la pointe des doigts des deux mains elle se mit à me masser, délicatement d’abord puis de plus en plus fort les muscles qui parfois me faisaient souffrir. Ses mains descendirent au niveau des épaules et elle s’exclama :
— Mais Chéri ! c’est horrible…. Tu es tout crispé. On dirait de l’acier que j’ai sous les mains. Tu as mal ???— Ça m’arrive de plus en plus souvent, Schatz. C’est sans doute que je reste trop longtemps assis le regard fixé sur les instruments. Je connais beaucoup de pilotes qui s’en plaignent.— Demain je vais aller à la pharmacie pour acheter des mini oreillers remplis de noyaux de cerises. J’ai vu que nous avions un micro-onde dans la cuisinette. Comme cela, le soir, lorsque tu rentreras de formation, je les ferai chauffer et te les placerai sur le bas de la nuque. Cela te détendra, mon pauvre chéri.— Oui volontiers ! merci mon cœur. Ça ne me fera surement pas de mal.
Tout en discutant, les mains de ma compagne ne restaient pas inactives. Elles terminaient avec le bas du dos et s’attaquaient aux lobes des fesses. C’était agréable de se faire dorloter. Je sentais sa main qui s’insinuait entre mes fesses. Je sentais un doigt encore enduit d’un reste de crème s’arrêter au niveau de mon anus. Il le massait en des mouvements circulaires puis s’arrêta à son entrée en appuyant légèrement.
— Ça te plait, mon amour ? me chuchota ma chérie comme si elle avait peur qu’une oreille indiscrète puisse entendre ses paroles.— Je ne suis pas habitué à recevoir de la visite à cet endroit. Mais puisque tu veux essayer….
Pas plutôt terminé de lui répondre, je sentis ce doigt appuyer un peu plus et entrer juste un peu. Sans en avoir l’intention, involontairement, par réflexe, je crois, je m’étais contracté ; ce qui fit que je ressentis une légère douleur au franchissement des sphincters qui fermaient mon iris rectal : douleur que dès la porte franchie, s’estompa pour laisser la place à une sensation jamais ressentie. Le doigt avança quelques centimètres de plus. Je le sentis appuyer sur une partie de mon anatomie intime qui éveilla une sensation plus qu’agréable.
— Tu aimes mon cœur ? me demanda mon amante tout en continuant à masser ce point précis.— Oui ! c’est agréable. Continue !— Attends, je vais changer de position. Tourne-toi sur ton côté droit.
Ingrid s’était allongée face à moi, la tête au niveau de mon sexe. Elle passa son avant-bras droit entre mes cuisses et retourna s’introduire en moi avec son doigt. De l’autre main, elle avait saisi ma verge qui était devenue dure comme un morceau de bois pour se l’introduire dans la bouche. Je sentis sur le gland une langue toute chaude qui taquinait la collerette. Son doigt avait commencé un mouvement court mais intense de va et viens et chaque fois qu’il arrivait à mon point sensible, il me semblait qu’il se recourbait pour le masser. C’était de plus en plus agréable. De temps en temps, je sentais les joues de ma compagne se creuser pour faire le vide et sa langue passer sur la pointe du gland. Le doigt s’activait de plus en plus rapidement dans mon fondement. Une sensation de plaisir était en train de naitre, sensation qui croissait en crescendo. Ingrid devait le sentir car sa langue s’activait elle aussi de plus en plus vite autour de mon gland.
D’un seul coup une vague monta de mes entrailles, une vague qui devint rapidement un tsunami de plaisir. Je fermais les yeux et je poussais un râle involontaire. Je jouissais en plusieurs jets dans la bouche de mon amante qui aspirait tout ce que je déversais sur sa langue et déglutissait. Jamais je ne me serais douté qu’un massage de prostate pouvait être si jouissif.
Rapidement et malgré que la langue de ma compagne continuât à me masser le gland, ma verge perdit de sa dureté. Ingrid sortit son doigt de mes fesses et libéra mon sexe qui tomba tout penaud sur les coussins que faisaient les testicules.
— Houahou ! s’exclama Ingrid en m’embrassant. Là : mon chéri s’est totalement vidé.— C’était extraordinaire ! ne puis-je que lui répondre.— Normalement ton éjaculation est assez copieuse mais cette fois ci…. j’en ai été surprise ! j’ai cru que tu ne finirais jamais !— C’est la première fois que je jouis de cette façon et par cet endroit. Ça m‘a mis sur les rotules. Je t’aime Ingrid.— Moi aussi je t’aime mon Adam ! TU as qu’à te reposer un moment. De toutes manières, j’ai dit aux filles que nous descendrions vers les 20 :00 heure pour diner.— Et toi que vas-tu faire ?— Je vais descendre à la boutique de l’hôtel pour faire quelques emplettes.

Et voila! la suite arrivera au chapitre 4..... si vous le voulez bien!Si l’histoire vous plait dites vous bien que pour moi elle appartient à mes souvenirs. N’hésitez pas à me laisser vos commentaires.A Bientôt donc!
Diffuse en direct !
Regarder son live