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Une future soumise

Chapitre 1

4h30 plus tard

Travesti / Trans
Une nouvelle vie

Chapitre 1 – 4h30 plus tard


J’entends ma mère depuis une demi-heure dans sa chambre. Durant tout ce temps, elle l’avait occupée pour se préparer avant de partir au travail. Elle était en charge de la communication au sein d’une grande entreprise. C’était une femme souvent occupée, mais qui savait faire la part des choses entre boulot et famille. Mon père quant à lui, est responsable de chantier et part plus tôt qu’elle.
J’attends surtout que ma mère s’en aille pour être seul chez moi. J’aime être seul chez mes parents, car je sais que je peux jouer avec mes jeux de construction, jeux vidéos ou regarder la télé indéfiniment. J’entends que la porte d’entrée se ferme. Je sors du lit et je commence ma vie jusqu’au retour de ma mère avant midi.
Je me retrouve enfin seul avec mes occupations favorites. Je joue un peu aux jeux vidéos, puis à mes jeux de construction et je ne sais plus comment, je me retrouve dans la chambre de ma mère. Une délicate odeur d’iris ou de fleur d’oranger envahit mes narines, sa chambre sent encore le parfum qu’elle a mis avant de partir. Pour moi, c’est le parfum de la liberté, un parfum qui me rappelle que je suis seul chez moi pour faire ce que je veux. Et ce que je veux faire, c’est fouiller dans ses tiroirs, un autre passe-temps parmi le reste. J’ouvre les portes du dressing de ma mère, encore cette odeur, mais cette fois, pas dans l’air, mais sur les robes, les t-shirts, les pantalons... sur tout et de partout, quel plaisir !
J’attrape l’essentiel : jean slim, tanga en dentelle noire, haut blanc décolleté, mis bas couleur chair et un soutien-gorge noir. Je me déshabille devant un miroir accroché au mur qui permet de se voir de la tête au pied. Je me retrouve vite changé devant ce miroir... j’éprouve un sentiment de bien-être. Je me regarde, tourne sur moi-même rapidement, je me touche les pieds avec les mi-bas. Cette sensation de douceur entre du nylon sur mes doigts me rend dingue et me fait sourire à pleines dents. Je me sens bien...
— Pierre ?! Qu’est-ce que tu fais ?!
Je n’avais pas entendu ma mère rentrer bien qu’elle portait des escarpins qui claquaient sur les escaliers en bois.
— Pa... pardon maman... je voulais... c’est pas ce que tu penses !
En essayant d’enlever les objets du crime le plus maladroitement possible, elle répliqua aussitôt :
— Enlève ça tout de suite et j’en toucherai deux mots à ton père ce soir !— NON !!! Maman, non !!! Fais pas ça s’il te plaît !!!
J’étais en pleurs et la peur s’empara de moi. Une immense montée de stress et ce pantalon qui ne veut pas s’enlever, tout comme les mi-bas et le reste qui ne veut pas s’en aller !
— DING-DONG !!! Mesdames et messieurs, nous arriverons bientôt à destination. Veuillez s’il vous plaît, vous assurez de n’avoir rien laissé à vos places. Notre compagnie vous souhaite une agréable journée et vous remercie de nous avoir choisis.
Je suis soulagé, ce n’était qu’un cauchemar... sauvé par le gong. Je me réveille de ma longue traversée en train. Quatre heures et demie de train passées en un éclair grâce à ce cauchemar avec en prime, une petite douleur au cou et un léger filet de bave séché au coin de ma bouche... heureusement que le wagon était pratiquement vide.
Il est 10h30 quand je débarque dans une nouvelle ville. J’ai quitté mon sud natal pour un travail que j’ai trouvé directement après être diplômé d’une licence en robotique. Avoir trouvé un travail à 24 ans juste après avoir terminé tout juste les études, c’est une chance ! J’avais envie de m’installer plus au nord en laissant mes repères derrière moi : amis, petite amie, famille... partir à l’aventure en somme, faire mes propres expériences.
En me baladant dans la ville pour me rendre à mon nouveau chez-moi, je me suis aperçu que cette ville allait être parfaite pour moi. Il y a des transports en commun, des bars étudiants, des restaurants dans chaque rue. Je me sens comme à la maison.
Je retrouve mon propriétaire devant un immeuble de la vieille ville. C’est un homme chauve d’une quarantaine d’années, plus petit que moi d’environ 1m70. Il m’accueille st de costume et tout ce qui va avec, j’ai l’impression d’avoir un rendez-vous très important. Je le trouve très élégant contrairement à moi, avec mes tennis blanches plus si blanches que ça et une odeur de siège de train...
Il me fait visiter l’appartement sur lequel j’ai flashé en fouillant les petites annonces auparavant. C’était une ancienne chambre de bonne rénovée en un studio plutôt moderne. C’est mon propriétaire qui a fait les rénovations avec sa femme. Ils ont aménagé une cuisine ouverte sur le reste du studio, mais séparée par un demi-mur qui fait comme un comptoir de bar. Le parquet est en véritable bois, ce qui lui donne une atmosphère très chaleureuse. Il y a un coin salon avec une table basse et un petit canapé pour deux personnes environ. Le canapé est quant à lui collé à un ancien foyer de cheminée, rebouché depuis. Il sert de séparation entre « le coin salon » et le « coin chambre »... après tout, c’est un studio, ma cuisine est mon salon et ma chambre. Après un rapide tour dans la salle de bain, il m’indique le loyer et les règles de bonne conduite. C’est un homme très arrangeant avec qui le feeling est passé.
Il est si bien passé que j’ai pu gagner sa confiance dès que je lui est proposé de réparer la fermeture de la fenêtre qu’il avait eu du mal à réparer depuis des quelques semaines... il n’est pas très bricoleur, mais j’ai pu faire ça en quelques minutes avec trois fois rien. Il avait un sourire jusqu’aux oreilles !
Les papiers sont signés, j’ai les clefs du studio. Me voilà enfin chez moi, prêt à commencer ma nouvelle vie.
Le propriétaire part. Je commence tout de suite à m’installer. Je range mes habits dans l’armoire en prenant soin de les replier si nécessaire. Je suis quelqu’un qui aime l’ordre et je suis assez carré dans tout ce que je fais en général.
Ma valise est presque vide. Il ne me reste plus qu’un sac plastique que je vide sur la petite table. Tout tombe d’un seul bloc. Toute ma lingerie féminine est là : string, tanga, culotte, porte-jarretelles, bas, collants, soutien-gorge... Toute cette lingerie que j’ai accumulée depuis mes années lycée... rien n’est vraiment à moi en fait. J’ai toujours aimé les femmes, leurs manières, leur présence. J’ai toujours voué un culte pour le genre féminin, plus particulièrement pour la mode féminine, les chaussures, les talons hauts, la lingerie, le maquillage... Tout ça pour dire que toute cette lingerie étendue devant moi est ou était à des amies. Je volais des sous-vêtements pendant les soirées, sous prétexte d’aller aux toilettes.
D’ailleurs, j’ai porté durant tout le voyage un collant sous mon pantalon. C’est celui d’une amie de mes parents. Une très belle femme de deux fois mon âge environ, un visage très jeune pour son âge avec aucun trait de vieillesse, de très beaux cheveux longs et noirs. Comme elle est petite, elle met souvent de très jolis talons aiguilles assez hauts, ce qui ne manque pas de me faire fantasmer. La veille nous avions fait un apéro chez elle et je me suis absenté pour aller aux « toilettes », la suite vous la connaissez. Son collant sent tellement bon, imprégné de son parfum envoûtant, je ne peux pas empêcher d’avoir une érection, cette femme me fait beaucoup fantasmer.
Il y a un autre sac dans ma valise. Je le prends et le vide. Mes sex-toys tombent sur la lingerie.Je souris pendant un petit moment, avant de repenser à ce cauchemar...à moins que ça soit un souvenir... je ne sais plus, je suis trop excité à l’idée de ce qui m’attend ce soir.
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