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Une généreuse maman

Chapitre 3

Inceste
Maman avait tout juste dix-huit ans lorsqu’elle tomba enceinte de moi. Mon père, qui en avait quatorze de plus, l’avait séduite, et elle lui avait cédé rapidement. Elle s’était sentie flattée, mais aussi intimidée, qu’un homme aussi distingué et raffiné puisse être attiré par une jeune femme d’une culture médiocre et d’un milieu social inférieurs au sien.Issu d’une vieille famille bourgeoise de province à cheval sur les principes, il fut obligé de reconnaitre son erreur et il dut, en homme qui ne fuit pas ses responsabilités, assumer les conséquences de son imprudence.Il convola avec l’engrossée, au grand désespoir de ses parents qui rêvaient pour lui d’un mariage plus prestigieux.Chez ces gens là, on ne rigolait pas avec l’honneur.Au début, ils renvoyaient l’image d’un couple idéal : elle était jeune et jolie, attendait un enfant ; il était respectable, travaillait dur et gagnait bien sa vie.Maman, qui sortait tout juste de l’adolescence, se retrouva vite piégée dans sa nouvelle vie qui consistait, pour l’essentiel, à devenir « la femme de ».Comme elle était vraiment ravissante, il la considéra très vite comme un trophée, un objet décoratif qu’il exhibait dans les diners tel un témoignage de sa fulgurante réussite sociale.Peu lui importait qu’elle fût pétillante et intelligente, et toute disposée à assimiler les codes impitoyables du panier de crabes dans lequel il l’avait précipitée.Il ne l’avait pas épousée parce qu’il l’aimait, aussi ne manquait-il jamais une occasion de lui rappeler que leur union n’était rien d’autre qu’un mariage arrangé...

Il faut savoir – afin d’avoir les clés pour comprendre les raisons qui ont fait basculer maman - qu’elle m’a toujours considéré comme sa priorité, son seul rayon de soleil dans sa morne existence de bourgeoise désœuvrée.
Une fois sorti de son ventre je fus sa récompense, sa plus belle expérience, et elle s’attacha à moi de manière excessive, me voua un amour exclusif.
Bien-sûr elle n’était pas à plaindre, elle ne manquait de rien ; elle ne faisait que s’ennuyer dans sa prison dorée. Les diners, les réceptions, les séjours à l’étranger représentaient l’essentiel de ses activités.
A force de fréquenter les mêmes cercles privés, de côtoyer les mêmes têtes, maman acquit très vite une intime conviction : tout les hommes que son mari lui présentait, tous sans exception, n’étaient que des porcs prêt à tout pour la séduire et la mettre dans leur lit.Ils se prenaient pour les maitres du monde, ne respectaient aucune règle. Ils ne cherchaient qu’à satisfaire leur égo démesuré, aussi bien dans leur vie professionnelle que dans leur sphère privée.
Comme ils se comportaient d’une façon qui l’écœurait, elle devint rapidement cynique avec eux, et puis désabusée.Tous ces mâles vaniteux lui donnaient la nausée.

Elle n’aimait pas son mari non plus, mais elle ne lui avait jamais manqué de respect, ni fait l’affront de le tromper, alors que les innombrables prétendants qu’il prenait pour ses amis se bousculaient au portillon.
Et tout à coup, sans prévenir, j’interférais dans le paysage sans crier gare ; moi son fils qui grandissait, la prunelle de ses yeux, j’avais des exigences qui faisaient voler en éclats les repères de son quotidien bien rodé…

Seule à la maison, confortablement installée sur le grand canapé du salon, maman sirotait son Martini blanc en écoutant « Absolution », l’album de « Muse » que je lui avais fait découvrir et qu’elle adorait.Elle ne buvait jamais d’alcool la journée, mais elle s’était autorisée cet écart de conduite car elle avait besoin de faire le point, de réfléchir calmement.
Elle n’avait pas mis longtemps à comprendre le genre de pensées qu’elle m’inspirait ; elle n’était pas dupe, elle savait depuis longtemps ce qu’il se passe dans la tête des hommes. C’est pourquoi elle était consternée que je la convoite à mon tour, maintenant que j’en étais devenu un moi aussi.Pourtant, malgré la panique légitime que cela lui inspirait, elle ne pouvait pas s’empêcher d’en être flattée, et beaucoup plus qu’elle ne l’aurait dû.
Et c’est bien ce qui la troublait !
Elle s’est servie un autre verre, l’a posé sur la table basse à portée de main, et puis elle s’est allongée dans le canapé la tête sur un accoudoir, les jambes en appui sur l’autre.Elle a laissé son esprit vagabonder, s’est indignée quand elle s’est souvenue de mon impatience à la faire se déshabiller devant moi.
Ce culot, quand même !Elle n’en revenait toujours pas.
Elle s’en voulait d’avoir cédé si facilement, de m’avoir obéi si rapidement, mais c’était si bon de se sentir convoitée à nouveau ; quelle récompense de découvrir le regard débordant de désir que je posais sur son corps !
Grisée par l’alcool, elle commençait à être sérieusement émoustillée.Elle était émerveillée de constater que sa libido, en sommeil depuis si longtemps, s’était brusquement réveillée. Elle était trempée, ne demandait qu’à s’embraser à nouveau. Elle a replié les genoux, a posé les pieds à plat sur l’accoudoir, et puis elle a écarté les cuisses, les a ouvertes presqu’à angle droit.Elle a glissé ses mains dans sa culotte, a replié ses doigts dans son vagin et les a enfoncés très loin, s’est triturée en même temps le clitoris en le pressant entre ses pouces.Elle a joui très vite, un orgasme animal, et le dégout d’avoir éprouvé un plaisir si coupable l’a submergée juste après.
« Oh Mon Dieu, mais qu’est-ce je fais ? »
Elle regardait, hagarde, ses propres doigts sans y croire ; ils étaient tout englués de mouille, recouverts par des filaments de son jus.
« Mais où avais-je la tête ? Je me suis masturbée en pensant à mon fils ! »
Elle sentait la crise d’angoisse qui montait, aussi a-t-elle fermé les yeux avant d’entamer la série de petits exercices respiratoires qu’on enseigne aux femmes qui accouchent afin qu’elle ne paniquent pas.
Elle a repris son souffle peu à peu, a discipliné les battements de son cœur affolé.
Elle a fait le vide dans son esprit, et puis elle s’est assise dans le canapé et a calmement évalué la situation, en sirotant son verre lentement.
Au diable les états d’âme !
Après tout, elle n’avait rien fait de mal. Elle n’avait rien à se reprocher, n’avait aucune raison de se blâmer.
C’est lui qui avait commencé, et il était (enfin) majeur et vacciné.
Elle s’est demandée jusqu’où il était capable d’aller, et puis elle a ricané quand elle a constaté que sa culotte était encore toute mouillée…

Le comportement de maman m’intriguait.
Elle ne fermait plus la porte de sa chambre, ni celle de la salle de bain quand je rodais dans les parages.C’était comme si elle m’invitait à la surprendre en sous vêtements, et même presque à poil.Je savais qu’elle le faisait exprès, mais je n’arrivais pas à comprendre pourquoi, alors je m’en contentais.
Depuis le déshabillage presque forcé que je lui avais imposé, je faisais profil bas ; j’avais honte de moi.J’en déduisais que c’était peut-être sa façon à elle d’entretenir mes fantasmes masturbatoires sans trop se mouiller.
Et puis elle est montée d’un cran. Elle a commencé à venir me réveiller tous les matins en robe de chambre, ou enveloppée dans la sortie de bain qu’elle avait retirée suivant mes ordres.
Je me demandais si elle m’allumait volontairement, ou si au contraire je me faisais des idées, mais j’étais constamment en érection. Elle me rendait fou.
Un matin, alors qu’elle s’était assise au bord de mon lit, je me suis brusquement retourné et je l’ai empoignée par le bras pour l’attirer sur moi.
Elle a poussé un petit cri de stupeur, mais je l’ai installée aussitôt sur le dos et je l’ai immobilisée, avant de m’allonger de tout mon long sur elle.
J’étais stupéfait par mon audace, mais elle l’était encore plus que moi car elle n’a pas bougé, ni même rouspété ; elle s’est contentée de me dévisager de ses grands yeux étonnés.
Durant notre empoignade, les pans de sa robe de chambre s’étaient écartés.
Sa chemise de nuit, très échancrée, avait bien du mal à dissimuler sa généreuse poitrine.
Ses gros nichons palpitaient sous moi, au rythme de sa respiration saccadée.
Elle haletait, se débâtait, mais ses gesticulations désordonnées ne faisaient que m’exciter davantage.
Vautré sur elle, ivre de désir, j’ai rabattu les fines bretelles pour libérer sa poitrine, et j’ai enfoui mon visage entre ses seins que j’ai pressés contre mes joues.
Comme maman ne disait rien, qu’elle se laisser faire, je suis devenu plus entreprenant.J’ai agacé du bout de la langue ses mamelons, passant alternativement de l’un à l’autre. Je léchais les aréoles, aspirais les tétons qui s’allongeaient et durcissaient entre mes lèvres. Tout en lui suçant les bouts, j’ai empaumé ses nichons par en dessous. Je les ai triturés, les ai malaxés, incapable de me rassasier de leur volume qui ployait sous mes doigts.J’ai longtemps tété ma mère, avec la même volupté et les mêmes reflexes que quand elle m’allaitait quand je n’étais qu’un bébé.
Elle n’était pas une femme comme les autres, loin de là, et j’en avais la confirmation.
Je n’avais jamais été aussi heureux de toute ma vie, jamais je ne m’étais senti aussi vivant.
Tout à coup, elle est sortie de sa léthargie et m’a repoussé, s’est redressée comme une furie.Elle était échevelée, elle transpirait.Son visage était cramoisi, elle avait les yeux fous.
— Mais bon-sang Victor, qu’est-ce que tu fais ? Ton père est encore là, tu sais ?
Elle s’est levée et m’a foudroyé du regard, a rassemblé le peu de vêtements qu’il lui restait autour de son corps, mais elle n’avait pas l’air de m’en vouloir plus que ça.
Elle est sortie de ma chambre en levant les yeux au ciel, comme si elle trouvait ma conduite si extravagante qu’elle se demandait après coup ce qu’elle allait bien pouvoir faire de moi.
Mais moi je jubilais intérieurement, car le seul prétexte qu’avait trouvé maman pour condamner mon comportement, c’était que mon père était encore à la maison, et qu’il aurait pu nous surprendre vu mon manque de discrétion.

Elle pouvait compter sur moi pour que j’attende son départ la prochaine fois.
Alors, une fois parti, je me retrouverai en tête à tête avec maman, rien que tous les deux…
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