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Une généreuse maman

Chapitre 4

Inceste
Maman est revenue dans ma chambre le lendemain matin.Les regards que nous avions échangés à table la veille, dans le dos de papa, étaient si lourds de sous-entendus, chargés de tant de promesses tacites que je n’ai pas été surpris.Elle a enlevé sa robe de chambre et s’est glissée dans mon lit. Elle n’avait sur le dos qu’une nuisette affriolante à mailles larges, et, comme je dormais nu, j’ai senti la chaleur qui émanait de son corps, son odeur matinale ; tout de suite, j’ai bandé.Je l’ai attirée ; mon sexe est venu frotter son bas-ventre.Sa nuisette me gênait ; je m’en suis débarrassé avec des gestes désordonnés.Une fois nue elle aussi - sinon sa petite culotte, elle a refusée que je la lui ôte –, je l’ai caressée, mais je ne savais pas par où commencer.Elle était brûlante, elle haletait.J’ai approché mon visage du sien et j’ai happé sa bouche.Elle gémissait sur un ton plaintif, bredouillait qu’il ne fallait pas, que nous allions le regretter, pourtant elle m’a rendu mon baiser, a léché mes lèvres.J’ai enfoncé ma langue dans sa bouche, et puis j’ai glissé mes mains dans sa culotte ; je voulais caresser son cul à même la peau, et lui toucher la chatte aussi.
Mais elle a refusé, s’est débattue, alors je n’ai pas insisté.
J’étais si excité que j’ai vite éjaculé. J’ai joui, j’ai crié, et chaque nouvelle giclée était une délivrance. Le petit clapotement obsédant de mon sperme, en contact avec nos ventres qui se frottaient, était si obscène que maman ne l’a pas supporté.J’ai voulu la prendre dans mes bras, afin de lui témoigner un peu de la tendresse qu’elle méritait, mais elle s’est figée et m’a repoussé en maugréant.Elle s’est levée, a enfilé sa robe de chambre, et puis elle est sortie de ma chambre raide comme un piquet.J’ai regardé sa nuisette roulée en boule au fond du lit, toute froissée, témoignage à charge de notre nouveau dérapage.Je me suis levé, suis allé me doucher et me suis habillé ; il était l’heure de partir au lycée…

Avec maman, nous avions franchi un nouveau cap.J’étais inquiet. Je craignais qu’elle ait des remords, qu’elle refuse de continuer ; j’y ai pensé toute la journée, alors que nous potassions le bac en classe.
Fort heureusement, et j’en fus soulagé, elle s’est pointée dans ma chambre le lendemain matin, et les jours suivants.

Elle attendait que papa libère les lieux, et puis elle venait me rejoindre dans ma chambre ; elle se déshabillait et entrait dans mon lit.
Je prenais un plaisir accru à peloter et à téter ses gros nichons, à caresser son ventre ses hanches ou son cul, et aussi à l’embrasser à pleine bouche ; je ne m’en lassais pas, je n’étais jamais rassasié.
Quand j’étais chauffé à blanc je lui grimpais dessus, et elle m’excitait tellement que je partais tout de suite. Elle m’avait transformé en une sorte d’éjaculateur précoce à répétition.
Dieu seul sait le nombre de petites culottes que j’ai pu lui souiller, combien j’en ai usé en m’y frottant comme un chien en rut.
Sa culotte ! On peut dire que sa culotte est devenue une véritable obsession pour moi, et le seul litige entre nous.Car maman refusait, malgré mon insistance, de l’enlever ; elle faisait comme si les élastiques de sa culotte délimitaient la frontière d’un territoire sacré dont l’accès me serait interdit à jamais.Je pouvais faire de son corps ce que je voulais, mais pas touche à son sexe !J’en éprouvais une frustration à la mesure de mon attente.
Je savais qu’elle était embarrassée par nos agissements, qu’elle payait de sa personne ; je n’étais pas aveugle.Je me doutais qu’elle n’agissait que dans mon intérêt, qu’elle ne cherchait que mon plaisir sans en retirer une vraie satisfaction personnelle.Il suffisait de voir comment elle me regardait quand je jouissais, vautré sur son corps : il y avait tellement d’amour maternel dans son regard, malgré la situation, qu’elle me gâchait presque le plaisir.J’étais jeune et égoïste, je ne réfléchissais plus avec ma tête mais avec ma queue. Mes hormones avaient pris le contrôle.J’avais oublié qu’avant d’être la femme que je rêvais de baiser, elle était avant tout ma maman !
Un matin, elle n’est plus venue dans ma chambre, et j’ai compris qu’elle avait besoin que je la laisse souffler. J’ai patiemment attendu qu’une nouvelle occasion se présente.Je ne voulais surtout pas la brusquer…

Mon père est parti un vendredi soir. Il s’est absenté pour le week-end, afin de disputer un tournoi de golf dont il était coutumier.Nous étions seuls à la maison, maman et moi.Le timing était parfait, c’était le moment ou jamais de lui remettre la pression…
Le samedi matin - j’avais réglé le réveil à 6h, pour être sûr qu’elle dormirait encore - je suis sorti de mon lit encore engourdi de sommeil et je suis allé prendre une douche.
Je me suis dirigé vers sa chambre, tout nu, en me disant que c’était à mon tour d’aller la réveiller, pour changer.
Les stores étaient entrouverts, le soleil qui se levait diffusait une douce clarté dorée sur les murs.Elle dormait. Je n’ai pas réfléchi ; je suis rentré dans son lit et je l’ai enlacée.Elle s’est réveillée en sursaut, a cligné des yeux, comme si elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait.Elle semblait confuse, mais elle m’a souri quand elle m’a reconnu.Elle m’a rendu mon étreinte en poussant un long gémissement de soulagement.
Elle n’avait pas sa maudite culotte, elle était toute nue elle aussi ; j’ai senti ses poils qui crissaient sous les miens.J’ai attrapé ses fesses à pleines mains, les ai faites rouler entre mes doigts.
Je me suis frotté ; je pouvais sentir le renflement prononcé des lèvres de sa chatte sous la toison pubienne.Mes mains étaient pleines de son cul.Elle a réalisé qu’elle était nue et offerte, a paniqué, a cherché à m’échapper, mais j’ai cherché l’entrée de son vagin en guidant ma queue d’une main.Elle a lutté avec l’énergie du désespoir, m’a supplié d’arrêter, et puis elle s’est peu à peu résignée.
J’étais aux anges. Le moment que j’attendais tant était sur le point de se réaliser : j’allais enfin pouvoir baiser ma mère !
Mais elle s’est mise à pleurer.
Elle ne sanglotait pas de manière hystérique, ne pleurnichait pas non plus. De grosses larmes débordaient de ses yeux et roulaient sur ses joues.
Dieu sait que j’avais envie de la baiser, mais je n’avais pas l’intention de la violer !
A regrets, pour tout dire honteux de m’être emporté, j’ai basculé sur le côté et me suis assis à une extrémité du lit.Maman s’est assise à l’autre, le drap à hauteur du nombril.
Je l’ai regardé, disons plutôt que j’ai dévoré des yeux ses gros seins qui exerçaient sur moi un pouvoir de fascination qui ne manquait pas de la surprendre chaque fois.
— Je suis désolée Victor, mais c’est impossible… Je ne peux pas faire ça avec toi… Je suis quand même ta mère !
Elle me lançait son regard plein de compassion, celui qu’elle prenait pour m’indiquer qu’elle n’était plus en mesure de me donner ce que j’attendais d’elle.
Je commençais à en avoir souper de ses revirements incessants.S’imaginait-elle qu’elle pouvait jouer avec mes sentiments éternellement ?
— Tu n’es vraiment pas sympa maman ! Tu m’allumes, et puis tu me laisses en plan… C’est dégueulasse de me faire ça !
— Non mais quel toupet ! C’est toi qui es venu dans mon lit ! Je ne t’ai pas invité que je sache ?
Je n’avais pas envie de me disputer avec elle, alors j’ai rabattu le drap sur mes genoux, pour qu’elle constate par elle même l’effet qu’elle me faisait, que j’étais loin d’être calmé.
Elle a regardé ma queue, hypnotisée.
Je ne vais pas me vanter, commencer à raconter que j’ai un énorme sexe ; ce n’est pas vrai.Néanmoins, la nature m’a plutôt gâté de ce côté, et la grosse érection que j’agitais fièrement sous son nez la rendait particulièrement nerveuse.
Elle avait eu l’occasion de la sentir souvent, mais c’était la première fois qu’elle la voyait à la lumière du jour.
— Eh bien mon chéri, elle est vraiment belle… On ne peut pas dire que tu tiennes de ton père ! Je crois bien que je suis la seule responsable de ça…
J’étais flatté qu’elle apprécie les dimensions de l’objet, mais je cherchais un peu plus que des compliments – louanges quelle adressait autant à elle qu’à moi, soit dit en passant.
— Allez, sois gentille maman, regarde comme j’ai envie !
Elle venait de se refuser à moi, alors elle a peut-être pensé qu’elle m’était redevable, ou je ne sais quoi.
Elle est restée indécise un moment, à fixer ma bite d’un regard vide, et puis elle s’est rapprochée de moi et a glissé sa main sous mes couilles.Elle les a soupesé délicatement, en les saisissant dans sa paume ouverte, et elle m’a lentement décalotté le gland du bout des doigts de son autre main. J’étais pétrifié, incapable de respirer, mon cœur s’emballait.Elle m’a masturbé très doucement, presque tendrement, et j’ai poussé mon ventre en avant,
— Avec ta bouche, maman. Avec ta bouche, s’il te plait...
Elle m’a regardé surprise, a froncé les sourcils, mais elle s’est penchée docilement et j’ai senti ses cheveux balayer mon ventre. Elle me tenait la queue avec ses doigts refermés autour, ne laissait dépasser que le gland.Elle l’a pris entre ses lèvres, a commencé à le téter en aspirant, en creusant les joues, et elle a fait tourner sa langue chaude et mouillée tout autour.J’avais l’impression que mon cœur allait exploser.
— Oh oui, maman… comme ça … non plus bas… oui, c’est ça…
Je l’encourageais, lui donnais des conseils.
— Tu n’as pas honte Victor ? Tu veux bien te taire !
J’ai compris qu’elle était gênée que je participe, que mon implication rendait ce qu’elle me faisait encore plus réel pour elle, alors je l’ai fermé et j’ai pensé au jour où j’aurais la chance de pouvoir lui bouffer la chatte à mon tour, et j’ai réalisé que ce jour là mon bonheur serait parfait.Elle m’a repris dans sa bouche, en concentrant toute son attention sur mon gland.

Elle s’occupait si bien de moi que je n’ai pas mis longtemps à lâcher, dans un cri, plusieurs jets de foutre au fond de sa gorge.Elle m’a gardé entre ses lèvres, a pressé mes couilles comme si elle voulait en extraire tout le jus qu’il restait.Elle a léché le sommet du gland pour recueillir les dernières gouttes qui perlaient sur le méat.
Tout de suite après, elle a bondi hors du lit pour aller recracher mon sperme dans le lavabo de sa salle de bain. Comme elle était à poil, j’en ai profité pour contempler son cul admirable, ses fesses pleines et cambrées qui dansaient à chaque pas.
De nombreuses femmes qui approchent de la quarantaine ont le corps qui a tendance à s’affaisser naturellement.Elles sont par conséquent bien plus à leur avantage quand elles sont habillées.Mais maman échappait à cette malédiction ; elle était encore plus pulpeuse et appétissante toute nue.
Si les hommes qui se retournaient dans la rue sur son passage avaient pu la voir à cet instant, être à ma place…Je me rendais compte de la chance que j’avais.
Elle a enfilé son peignoir blanc avant de revenir s’asseoir sur le bord du lit. Elle a croisé et décroisé les jambes, s’est tordu les mains, a joué avec ses cheveux ; elle donnait l’impression de vouloir me dire quelque chose mais sans oser le faire.Elle était adorable avec son air coupable.
— Je suis une mère indigne Victor, une horrible personne ! Si tu savais comme j’ai honte de ce qui vient de se passer…
— Arrête de dire des bêtises, c’était vraiment super… et tu es la plus gentille maman du monde !
— Mais tu ne te rends pas compte ? Tu es mon fils voyons ! Je me sens si sale…
— Tu ne devrais pas… Au contraire, tu devrais être fière ! Peu de mères sont aussi attentives et à l’écoute que toi… Ce que tu as fait, c’est le plus beau des sacrifices…
— Oh mon poussin, tu es gentil de vouloir me rassurer… Qu’est-ce que tu as muri !
— Ecoute maman, ne t’en fais pas pour moi, je vais très bien… je ne suis pas traumatisé, bien au contraire… Et ne te prends pas la tête non plus…
— Oh Victor… Je ne t’ai pas vu grandir… mais tu resteras toujours mon bébé tu sais… c’est pour ça que je me sens si dégoutante !
— Je te l’ai dit maman, tout va bien entre nous, ne stresse pas…
Elle avait une disposition naturelle à dramatiser tout ce qui m’arrivait, alors comme elle se sentait responsable, j’avais tout intérêt à la déculpabiliser immédiatement, sinon elle allait se refermer comme une huitre.
Elle est allée prendre une douche, j’avais rendez vous avec des potes pour réviser…
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