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Une généreuse maman

Chapitre 5

Inceste
Mes craintes étaient infondées, j’avais réussi à la rassurer.
Nous avons continué nos activités coupables, mais il y avait désormais une nouvelle variante dans nos petits jeux interdits : quand je m’étais diverti tout mon soûl avec ses appas, je ne lui grimpais plus dessus pour me finir ; maman me suçait la queue.
Il ne me manquait qu’une chose pour que mon bonheur soit parfait : la baiser !
Elle s’obstinait à refuser que je lui enlève sa culotte. Je ne comprenais pas les raisons obscures, les tortueux cheminements de sa conscience pour qu’elle s’imagine que me permettre de lui ôter cette dernière muraille symbolique était plus immoral que de me tailler des pipes.
La psychologie féminine est un mystère, un puits sans fond…

Elle ne voulait tout simplement pas aller jusqu’au bout, alors, jour après jour, elle repoussait les limites de ce qu’elle m’accordait.Elle avalait mon sperme maintenant, elle n’allait plus le recracher dans le lavabo ; une concession qu’elle me permettait parmi d’autres.Mais, demeurait dans son attitude, surtout quand c’était fini, une persistante impression de culpabilité dont elle n’arrivait pas à se défaire et que je remarquais.
— Au fait Victor, n’oublies pas que nous allons chez tes grands parents demain soir… Ne prévois rien d’autre, mon chéri.
Je venais de jouir dans sa bouche, je la regardais papillonner dans la chambre en petite culotte, allongé sur son lit comme un pacha.
— Oh non maman, par pitié ! Tu n’auras qu’à dire que je suis en retard dans mes révisions… je n’ai pas envie d’y aller.
J’avais complètement oublié. Quelle angoisse ! C’était le genre de soirée familiale assommante et interminable à laquelle tout le monde rêve d’échapper.
Elle a fait comme si mes arguments n’avaient pas d’importance et elle a disparu dans la salle de bain. Elle avait gâché ma journée.


Mes grands parents habitaient à une heure de route.Ils vivaient dans une luxueuse bâtisse perdue dans les terres.On ne les voyait que très rarement ; à la Noël, pour les anniversaires, ce genre de réunions.Ils détestaient copieusement maman. Ils la trouvaient ordinaire, pour ne pas dire vulgaire.Elle ne faisait pas partie de leur monde, mais ils lui reprochaient surtout d’avoir mis le grappin sur leur fils, persuadés qu’elle avait tout planifié depuis le début dans son propre intérêt.Pour une raison qui m’échappait, ils m’adoraient.

Nous sommes arrivés en fin d’après midi.Niveau vestimentaire, maman avait fait fort : elle portait un petit haut moulant très décolleté, et une jupe crayon qui mettait admirablement en valeur son beau derrière.Elle était si bandante que je me suis demandé sur le moment comment j’avais pu mettre si longtemps pour m’en émouvoir.
Je savais qu’elle l’avait fait exprès pour emmerder ses beaux-parents qui la trouvaient trop délurée. Il leur en fallait peu, coincés comme ils étaient, mais il faut bien avouer que je ne pouvais pas leur donner tort pour une fois.
Tous les mâles présents dans l’assemblée ont dû s’astiquer avec une image précise en tête, les jours suivants.Mon père n’avait pas l’air dérangé par la tenue provocante de sa femme, bien au contraire ; on voyait qu’il était fier qu’elle inspire le désir, son ego en était flatté.La soirée s’est déroulée exactement comme je m’y attendais, longue et soporifique à souhait.Inévitablement, est arrivé le moment où ils n’ont pas pu s’empêcher de se pousser dans l’eau encore habillés, et maman a fait sensation en ressortant de la piscine toute mouillée.Comme ses vêtements n’étaient pas secs au moment de partir, ma grand-mère, excédée, lui a prêté une longue chemise de bucheron difforme pour qu’elle se change.

Un type, que nous ne connaissions pas, nous a demandé si nous pouvions le déposer au village. Il a invoqué une voiture à récupérer, je ne sais quoi. Il s’est assis d’autorité sur le siège passager, je me suis installé sur la banquette arrière avec maman.Après quelques kilomètres je me suis allongé, en chien de fusil, et j’ai posé ma tête sur ses genoux.Ma joue reposait sur ses cuisses nues ; elles étaient douces et fraiches, le contact était délicieux.
J’ai dû somnoler un moment. Quand j’ai ouvert les yeux, sa chemise épaisse était remontée, et j’avais mon visage dans son nid.
Elle me démêlait les cheveux, les enroulait distraitement autour de ses doigts.
Mon père lui a demandé si elle avait du feu, et il s’est alors tourné vers nous en lui posant la question.
Il faisait noir dans la voiture - c’était une nuit sans lune, il n’y avait pas d’éclairage sur cette départementale - mais quand il a vu la position que j’occupais, il a agressé maman en aboyant.
— Mais qu’est-ce qui te prend ? Tu ne vois pas qu’il a le nez dans ta culotte ! Ce n’est plus un petit enfant, bon-sang !
— Il dort ! Parle moins fort, tu vas le réveiller… Et nous ne sommes pas seuls dans la voiture, mon amour…Tu devrais te calmer et regarder la route.
— Mais enfin, qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez toi ? Il n’a plus cinq ans, merde ! Quand vas-tu cesser de le materner comme un bébé ?
Papa à encore juré en déplorant le comportement de sa femme, mais il s’est retourné et a continué à conduire comme si de rien n’était.Il devait avoir conscience qu’il se donnait en spectacle, ou pire encore, qu’il montrait à un inconnu qu’il était jaloux de son propre fils.Le pauvre type hallucinait d’ailleurs. Il ne disait rien, pétrifié par la scène à laquelle il venait d’assister.Le voyage s’est poursuivi dans une mauvaise humeur palpable, et malgré tous les efforts que faisait notre invité pour engager la conversation, personne d’autre que lui ne parlait.
Maman était furieuse. Elle n’arrêtait pas de cogner nerveusement ses genoux l’un contre l’autre, faisant rebondir ma tête dans la fourche de ses cuisses.
Contrairement à ce qu’elle avait affirmé je ne dormais pas, et depuis que mes yeux s’étaient habitués à l’obscurité, j’étais aux premières loges.
Comme l’avait fort à propos fait remarquer mon père, j’avais bien le nez où il le disait.Je pouvais apercevoir les poils de sa chatte, derrière sa culotte encore imprégnée de chlore.C’était touffu et mystérieux là-dedans ; ça me donnait envie.J’ai saisi l’opportunité ; j’ai approché mon visage et j’ai reniflé les effluves que sa chatte exhalait. J’ai léché, timidement, du bout de la langue, le renflement de ses lèvres charnues imprimé sur l’étoffe en soie.Papa ne pouvait pas deviner ce que je faisais, même en se retournant : je n’avais pratiquement pas bougé. J’étais sur le point de m’enhardir, d’aller plus loin, quand maman m’a violemment tiré en arrière en agrippant mes cheveux.
— Victor mon chéri, sois gentil maintenant, retourne de ton côté… Tu me donnes chaud, tu sais !
Je l’ai dévisagée, ahuri, avec des yeux bovins et les joues en feu, alors elle m’a fait un petit clin d’œil complice et s’est mise à regarder le paysage la joue collée au carreau.Devant, papa et son nouveau copain s’étaient finalement entendus sur un sujet, et ils discutaient à bâtons rompus.
Nous avons laissé notre passager où il le souhaitait et maman a changé de place, elle est montée devant sur ordre de mon père.
Comme il était tard quand nous sommes arrivés, nous avons regagné nos chambres immédiatement.J’ai écouté de la musique au casque, pianoté sur mon ordinateur, essayé de lire… rien à faire. Deux heures après, je n’avais toujours pas sommeil.Je n’arrêtais pas de penser à maman. Je l’avais goûtée dans la voiture.Enfin, pas vraiment goûtée ; disons que j’avais picoré autour, de quoi m’ouvrir l’appétit.Elle me rendait de plus en plus fou.N’y tenant plus, je suis sorti de ma chambre et me suis dirigé vers celle de mes parents - à l’écart de la mienne.J’ai collé mon oreille à la porte ; mon père dormait, je l’entendais ronfler. Je me suis décidé et je suis rentré.
A pas de loup, je me suis dirigé vers maman, qui dormait bordée jusqu’aux oreilles.Je ne voyais presque rien, alors je suis ressorti pour allumer l’applique dans la salle de bain, juste en face de leur chambre.
En jouant de manière adéquate avec les portes, l’effet était saisissant ; le côté du lit où maman dormait était éclairé juste ce qu’il fallait : assez pour que je vois ce que j’étais venu chercher, mais insuffisant pour la réveiller.
Je l’ai regardée, et comme les ronflements réguliers de mon père me confirmaient qu’il dormait à poings fermés, j’ai lentement rabattu le drap sur le corps de ma mère.Elle portait une nuisette que je connaissais, celle à larges mailles ; tout un programme !Elle dormait sur le dos, les jambes légèrement écartées, et je pouvais enfin voir sa chatte.Elle avait la motte poilue mais bien entretenue, la touffe épilée en un triangle parfait.
Je me suis agenouillé et j’ai posé ma main sur son ventre, j’ai palpé sa chair tiède, un peu molle ; quel supplice j’endurais !Tout s’est passé très vite. Je me suis penché et j’ai enfoncé ma langue dans la fente. C’était chaud, âcre, un peu poivré, délicieusement gluant. Papa ronflait toujours.Tout à coup, maman s’est redressée comme un ressort cassé. Il y avait de la panique dans ses yeux.Elle a voulu me repousser, mais sa vulve avait bon gout, ma bouche y était fermement accrochée, comme une palourde à son rocher.Elle a réussi à descendre du lit sans réveiller mon père, et, une fois debout, elle m’a tendu la main.Son geste m’a tellement surpris que je lui ai spontanément donné la mienne.
Elle m’a entrainé, à petits pas légers, hors de sa chambre.Nous sommes descendus dans la cuisine, et soudain, sans prévenir, elle s’est retournée et m’a donné une gifle magistrale. Elle fulminait, je ne l’avais jamais autant vue en colère.
— Qu’est-ce qui t’a pris, Victor ? A quoi tu joues ? Pour qui tu me prends ?
J’étais si choqué par son geste que j’ai éclaté en sanglots. Elle ne m’avait jamais frappé avant, c’était la première fois qu’elle levait la main sur moi. Je me sentais comme un petit garçon qui découvre que le monde n’est finalement pas tout à fait tel qu’il l’imaginait.
Elle m’a regardé bouche-bée.
— Et si ton père s’était réveillé… tu y as pensé ? Je sais qu’à ton âge vous avez, vous les garçons, des pulsions incontrôlables… mais ce n’est pas une raison ! Je ne te néglige pas, non… Je suis même très gentille avec toi, tu ne trouves pas ?
Elle comprenais qu’elle m’avait blessé, que j’avais trouvé sa réaction disproportionnée, alors elle essayait de se rattraper avec ses allusions à peine déguisées qui me donnaient des frissons.
Je n’avais rien à répondre bien sûr, elle avait raison, alors je l’ai regardée et j’ai pensé qu’elle avait l’air encore plus nue, dans sa nuisette affriolante qui ne dissimulait rien de ses formes voluptueuses, que si elle avait été vraiment à poil.
— Je suis désolé maman, mais je n’arrête pas de penser à toi… tout le temps… C’est plus fort que moi !
Elle s’est jetée dans mes bras.
— Mon pauvre petit chéri… Je sais que c’est dur pour toi…Allez viens, suis-moi…
Elle m’a repris par la main et je lui ai emboité le pas ; je me donnais l’impression d’être un gentil toutou capable de la suivre jusqu’au bout du monde.

Je pensais qu’elle allait retourner dans sa chambre et me planter là, mais elle s’est dirigée vers la mienne.Elle s’est assise sur mon lit, a baissé mon pantalon de pyjama.Elle m’a pris dans sa bouche, m’a sucé un peu.Elle a retiré sa nuisette, s’est allongée toute nue sur mon lit, m’a attiré sur elle.Elle m’a guidé d’une main en écartant les cuisses, et je me suis enfoncé, en suffocant, dans une matière chaude et visqueuse. Elle remuait sous moi, m’engloutissait.
— Oh maman ! Je suis en train de te… je te…
— Oui mon chéri, baise-moi… Baise ta maman, c’est ce que tu attends...
C’était tellement bon, tellement puissant que j’ai explosé presque immédiatement.
Je ne me suis pas retiré juste après, j’ai attendu de débander pour sortir. Je suis resté sur elle, en elle, à lui faire des petits baisers dans les cheveux, dans le cou, le corps parcouru de frissons à retardement.
— Je vais aller me coucher maintenant, mon chéri… Il ne faudrait pas que ton père se réveille et qu’il se demande où je suis !
Elle s’est levée, a ramassé sa nuisette, m’a embrassé sur la bouche - un vrai baiser d’amoureux - et elle est sortie de ma chambre encore à poil. Elle n’y avait pas passé plus de cinq minutes.
J’ai accompagné du regard sa silhouette tout en courbes.
Je n’arrivais pas à réaliser ce qui venait de nous arriver.La tête me tournait.Je me suis endormi tout de suite, avec encore le gout de sa chatte sur la langue…
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