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Une généreuse maman

Chapitre 6

Inceste
La puissance du jet lui a arraché un petit cri, maman s’y est abandonnée en claquant des dents. L’eau glacée ruisselait sur son corps, lui fouettait le sang.Elle avait besoin de se vider le cerveau.Après, elle essayerait de se reprendre en main, de remettre un peu d’ordre dans ses idées…

Elle avait entrevu l’issue dès le début : quand on joue avec le feu, on se brule à l’arrivée !
En femme désabusée qui connaît son sujet, elle savait que je ne renoncerais jamais, qu’il suffirait d’une simple étincelle pour mettre le feu aux poudres, pourtant elle ne s’attendait pas à ce que son mari gratte l’allumette le premier.
Il n’avait cherché qu’à l’humilier, la rabaisser.Il avait fait un esclandre parce qu’il ne supportait pas que « son territoire », sa chasse gardée, soit partagée avec quelqu’un d’autre, fût-ce son propre fils animé par un amour filial innocent.
Car - et c’était toute l’ironie de la situation – ce macho arrogant était à des années-lumière d’imaginer la nature réelle des « rapports affectifs » qu’elle entretenait avec moi.Il avait mis le doigt dessus, sans se douter un seul instant qu’il avait tapé dans le mille.
Elle n’en pouvait plus de sa détestable suffisance de mâle alpha, de son besoin pathologique de tout régenter.Elle en avait assez qu’il la considère comme un article de luxe, un animal de compagnie amélioré qu’il adorait exhiber pour mieux briller en société. Ce qu’il avait osé lui reprocher était inexcusable. Elle refusait qu’il la traite comme une écervelée.
Avant sa pitoyable intervention dans la voiture, maman s’était toujours imaginée que j’étais gouverné par les démons de l’âge ingrat.Elle croyait que j’avais jeté mon dévolu sur elle par pure opportunité, mais que n’importe quelle autre femme disponible aurait fait l’affaire aussi bien qu’elle, sinon mieux.
Et voilà que mon attitude insensée – sur la banquette arrière d’abord, et puis dans son lit, au beau milieu de la nuit - lui faisait reconsidérer la question.
Elle avait été stupéfiée par la force du désir qu’elle m’inspirait. Elle ne s’était jamais doutée qu’elle m’obsédait à ce point.Elle ne savait plus où elle en était.
Elle m’avait giflé parce que je le méritais, mais elle s’était sentie désarmée devant l’émoi irrationnel que me procurait la vision de son corps, alors qu’elle était bien placée pour savoir que son anatomie n’avait (presque) plus aucuns secrets pour moi.
« Il me dévore des yeux, et pas seulement au sens figuré ! »
Malgré ses réticences légitimes, elle avait été tellement bouleversée par ma persévérance qu’elle avait décidé de m’offrir ce qu’elle m’avait refusé jusqu’alors…

Elle est sortie de la douche et s’est regardée de pied en cap, toute nue, dans le grand miroir qui lui faisait face.D’un regard qu’elle voulait le plus neutre possible, impitoyable, celui que redoutent les belles femmes qui vieillissent, elle a observé avec attention l’image qu’il lui renvoyait.Une femme de presque trente sept ans, aux formes certes plus épanouies qu’avant, mais qui défiaient encore l’apesanteur.Ses seins étaient lourds, pleins et laiteux, mais encore haut perchés. Les hanches, un peu plus larges, faisaient ressortir la finesse presque intacte de la taille. Elle s’est retournée ; le contraste entre sa taille étroite et ses hanches en amphore, entre la cambrure prononcée de ses reins et l’arrondi lascif de ses fesses, lui a fait pousser un soupir de soulagement.
Son cul demeurait son plus bel argument, aussi irrésistible qu’avant.
Elle s’est fait la remarque, non sans fierté, qu’elle ne pouvait qu‘exacerber le désir sexuel d’un jeune mâle en rut – y compris (et surtout ?) celui de son propre fils, avec un corps comme le sien.Elle a frissonné à cette pensée…

Elle est venue me retrouver, après son bilan anatomique qui l’avait rassurée.Papa était parti, la voix était libre, rien ne la retenait.Elle s’est glissée dans mon lit toute nue, s’est jetée sur moi, m’a serré dans ses bras.Elle a tout de suite frotté sa chatte sur ma queue, avec une sorte d’urgence désespérée.
Je somnolais. J’avais passé la nuit à me demander comment nous allions nous comporter, à tête reposée, après ce que nous avions fait.Nous avions baisé !Ce n’était pas rien !J’avais imaginé plusieurs scénarios qui nous auraient permis de ne pas être mal à l’aise l’un en face de l’autre, mais ce n’est rien de dire qu’elle m’a pris au dépourvu.
Elle donnait l’impression que toute la frustration qu’elle avait accumulée depuis si longtemps, quand elle n’était préoccupée que par mon seul bien-être, laissait soudain place à un torrent bouillonnant qui ne demandait qu’à déborder.
Elle avait envie de baiser, me le prouvait, mais elle m’effrayait plus qu’autre chose ; je n’étais qu’un puceau, et elle était vraiment déchainée !
Elle s’agitait. Elle sentait bon le propre, le savon, et aussi le shampoing Prairial aux pommes vertes. Elle s’est redressée, a entamé un lent déhanché circulaire en ondulant du bassin, s’est soulevée sur les genoux.
Elle a attrapé mon sexe et s’est empalée dessus avec autorité.
Elle s’est mordue les lèvres quand ma queue l’a pénétrée de toute sa longueur, a fermé les yeux en gémissant.
Elle s’est imprégnée de sa raideur, et puis elle a lancé son ventre en avant pour me chevaucher ; elle me faisait encore un peu peur.
Elle m’engloutissait voracement, frénétiquement, elle s’en mettait jusqu’aux ovaires !
Ma queue la remplissait, elle la réclamait, mais sa quête avait quelque chose de douloureux, d’interdit ; elle ravalait un sanglot quand le plaisir la dévastait.
Elle me donnait l’impression qu’elle avait la conviction qu’elle le regretterait le lendemain, qu’elle en subirait les conséquences, mais qu’elle acceptait d’en payer le prix tellement c’était bon.
Je n’osais pas bouger, ni même me manifester.J’assistais avec stupeur à l’étonnante métamorphose de ma mère, enchanté par son implication, même si je n’y participais que passivement.Ses gros nichons ballotaient sur son torse, secoués en cadence au rythme de sa chevauchée.Elle n’était plus dans la transgression, ni même dans l’interdit, elle avait dépassé toutes ces considérations. Elle était à l’écoute de son corps, et son corps voulait jouir jusqu’à satiété.Ma présence était superflue, tout au plus accessoire. Seule ma queue était importante. Ma queue qui la remplissait.Rien d’autre ne comptait.

Elle s’est raidie, son corps tout entier s’est mis à vibrer.Elle s’est cabrée, a rejeté la tête en arrière, s’est agrippée à mes chevilles en bombant le torse.Elle a joui, l’orgasme l’a dévastée.Elle a laissé échapper un son guttural qui venait du fond de ses entrailles, et puis elle s’est effondrée sur moi, comme une poupée cassée.Comme j’étais toujours en elle, j’ai donné de furieux coups de reins en lui malaxant les fesses, en lui suçant le bout des seins.J’ai joui à mon tour. J’ai éjaculé.
J’ai fait tourné ma langue dans sa bouche, et elle a enfoncé la sienne très loin dans la mienne.
Elle est restée sur moi, moi en elle, et nous avons continué à nous caresser passionnément.
Avant de partir elle m’a léché le visage ; les lèvres, le nez, et aussi les paupières.
Elle est sortie du lit en me souriant.
Sur son visage, il y avait la reconnaissance d’une femme – et plus celui d’une mère - trop longtemps privée…
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