Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 83 J'aime
  • 2 Commentaires

Une généreuse maman

Chapitre 8

Inceste
Rien n’avait fondamentalement changé dans nos rapports : j’étais toujours attiré par maman, mais plus seulement sexuellement ; j’étais amoureux de ma mère à mon corps défendant.
Mes attentes avaient évolué, et je craignais qu’elle refuse de répondre positivement aux élans qu’elle m’inspirait.Je n’étais pas un simple adolescent impliqué dans une relation avec une femme de vingt ans son ainée, c’était plus compliqué ; c’est ma mère que je baisais !Elle n’était pas ma maitresse à proprement parler, et je ne pouvais me prévaloir d’être son amant ; nous n’étions pas un couple adultère comme les autres, nous étions parents.Tout se bousculait dans ma tête, j’avais perdu mes repères ; j’avais peur de me trahir en lui révélant par mégarde la nature de mes sentiments…

Il y a toujours une période un peu floue, entre la fin des examens et l’annonce des résultats, où il n’y a rien d’autre à faire qu’attendre, juste patienter.Mais avec maman nous trouvions toujours le moyen de passer le temps : nous faisions l’amour à longueur de journée. Je la prenais souvent dans la position du missionnaire, afin de pouvoir étudier les variations de son visage quand je la pénétrais.Je m’allongeais sur elle de tout mon long, et elle éprouvait un plaisir si intense quand ma queue la remplissait, sa joie paraissait si sincère qu’elle suffisait à mon bonheur.Je ne la quittais pas des yeux jusqu’à ce qu’elle jouisse, et puis je me blottissais dans ses bras, la serrais sur mon corps – en évitant de laisser paraître mon émoi - pour lui voler un peu de la tendresse que je n’osais pas lui réclamer…

Un jour - nous étions dans son lit, nus tous les deux - j’ai remarqué que maman affectait un petit air contrit. Elle était d’humeur maussade.Je ne m’en suis pas formalisé plus que ça, mais j’ai tout de suite compris que ses scrupules faisaient leur retour. Nous avions baisé toute la matinée. Je démêlais nonchalamment du bout des doigts ses poils couverts de mon sperme, quand elle s’est redressée d’un bond.Elle s’est ébrouée, m’a défié du regard.
— Victor, mon chéri, dis-moi franchement… Est-ce qu’il t’arrive encore de me considérer comme ta gentille maman, ou ne suis-je plus pour toi qu’une femme vicieuse avec laquelle tu fais des « cochonneries » ?
Sa question m’a surpris, alors j’ai suspendu mon geste ; j’ai arrêté de lui tripoter la chatte.Je ne savais que trop où elle voulait en venir.
Il y avait longtemps qu’elle ne m’avait pas fait une crise de conscience, et voilà qu’elle recommençait.Je pensais que la question était enfin réglée pour elle, mais d’un autre côté, elle m’offrait une occasion inespérée de me justifier.
— Mais qu’est-ce qui t’arrive encore ? Nous en avons déjà parlé, tu ne t’en souviens pas ? Tu es ma maman… mais tu es aussi une femme… et moi je t’aime tout entière… la femme comme la mère !
J’avais plongé dans le vide sans filet, et elle n’avait même pas tressailli face à l’énoncé ; je me demandais si elle m’avait seulement écouté.
— Mais enfin Victor, tu ne te rends pas compte ? Ce qui se passe entre nous n’est pas du tout normal ! Ces « choses » que nous faisons ensemble… c’est vraiment dégoutant… Nous n’avons pas le droit de faire ça !
« Des cochonneries », des « choses dégoutantes », je n’aimais pas du tout le vocabulaire qu’elle employait pour qualifier la sublime complicité sexuelle que nous partagions.
Elle n’en aurait donc jamais fini avec sa satanée culpabilité ?
A l’arrivée, nos états d’âme lui pourrissaient la vie autant qu’à moi, mais pour des raisons différentes. J’étais soulagé de ne pas lui avoir confié le fond de ma pensée, elle aurait vraiment flippé.Pourquoi se montrait-elle si coincée, alors qu’elle était avide de sexe la plupart du temps ? Quel était son problème, exactement ?
Je me suis souvenu d’une théorie controversée que nous avions abordée en philo.Le postulat, qui avait provoqué des réactions houleuses dans la classe, reposait sur un principe proche de sa moralité mise à mal.
— Sais-tu, maman, ce que la plupart des hommes recherchent chez une femme ?
— J’ai ma petite idée mon chéri, mais vas-y, éclaire-moi donc… Je suis tout ouïe !
— Ils veulent une « Maman » à la maison, une femme qu’ils respectent parce qu’ils l’ont épousée, une âme-sœur qui les dorlote et qui leur fait de bons petits plats, mais ils veulent aussi une « Putain », féminine et sexy, qui les attend le cul en bombe… Comme il arrive un moment où ils refusent que la femme qu’ils aiment, devenue mère, endosse les deux personnages, ils vont voir ailleurs, et ils se sentent coupables de la tromper avec une salope en guêpière qui les affole mais qu’ils méprisent parce qu’elle ne leur inspire qu’un désir animal…
— Seigneur, Victor ! C’est ce qu’on vous apprend à l’école, maintenant ? Je sais depuis longtemps que les hommes pensent avec leur sexe, mais ce que tu racontes ne s’applique qu’aux machos frustrés… Une mère attentionnée peut rester un très bon coup tu sais, si son mari se donnait la peine de le vérifier !
— C’est plus subtil que ça, maman ! Il paraît que les hommes sont tous un jour victime de ce syndrome qu’on appelle le complexe de « la maman et la putain ».
— Oh, Mon Dieu, mon chéri, mais qu’est-ce que tu peux être caricatural ! Selon ta fumeuse théorie, il y aurait alors d’un côté des putes, et de l’autre des épouses désespérées, des mères au foyer qui ont renoncé, et aucune alternative entre les deux ?
— Mais Maman, tu as pourtant réagi selon ce principe toi aussi ! Qu’est ce que tu viens juste de me demander, au sujet d’être ma maman ou la femme qui baise avec moi ? Tu vois bien que tu n’acceptes pas d’assumer les deux fonctions toi aussi !
— Mais enfin, Victor, tu es devenu fou ou me fais-tu marcher ? JE SUIS ta mère bon-sang, je ne suis pas une maman de substitution… et c’est bien la raison pour laquelle je me sens criminelle d’avoir outrepassé mon rôle. Ton délire n’a rien à voir avec nous !
— C’est là où tu te trompes, maman… Avec toi, je n’ai pas besoin de passer de l’une à l’autre ! TU ES ma maman, mais tu es une femme qui me fait bander, une femme que j’ai aussi envie de baiser ! TU ES les deux en même temps… parfaite… Tu es la femme idéale !
Elle m’a regardé avec des yeux gros comme des soucoupes, la bouche ouverte comme si elle n’arrivait plus à reprendre sa respiration.Elle était sous le choc. Elle avait l’air si déstabilisée par mes propos que j’ai craint un instant d’avoir pousser le bouchon un peu loin.
— Seigneur, Victor ! Tu te rends compte de ce que tu me dis ? C’est la chose la plus tordue, mais c’est aussi la déclaration la plus sincère qu’on ne m’ait jamais faite de toute mon existence !
— C’est la vérité maman… Je t’aime d’amour !
— Dis-moi si je me trompe, mais c’est une demande en mariage, n’est-ce pas ? Parce que je vais sans doute te décevoir, mon chéri, mais je ne peux pas t’épouser ! Je suis déjà mariée avec ton père, tu te souviens ?
Alors, devant mon air consterné, elle à pouffé et m’a lancé un sourire désarmant dont elle avait le secret.Voilà ! C’était ça ma mère : un pur concentré de réactions imprévisibles.
Capable de plaisanter, de se moquer de moi, alors qu’elle traversait une crise existentielle deux minutes avant.Sensible et charmeuse, toujours dans la démesure, passant d’un extrême à l’autre sans transition. Sérieuse à faire peur, et puis plus insouciante, plus espiègle qu’une ado l’instant suivant.
Elle s’est laissée glisser sur le lit, a ouvert les cuisses, alors que je n’avais jamais cessé de jouer avec ses poils soyeux pendant notre conversation.
J’ai promené mes doigts sur sa fente, écarté les lèvres proéminentes pour les ouvrir, afin de découvrir l’intérieur de sa vulve.J’aimais tellement regarder de près son sexe qui dégoulinait, qui s’épanouissait sous mes doigts comme un petit animal blessé qui renaissait.J’ai léché, tété sa chatte comme l’obsédé que j’étais, et je sentais qu’elle adorait ce que je lui faisais.Elle hurlait, remuait sous moi les cuisses écartelées pendant que je la dévorais.

Elle était capable de mettre sa culpabilité en veilleuse au bon moment, et j’en remerciais Dieu, le Ciel, et tous les saints qu’elle devait prier pour la pardonner de ce qu’elle me permettait de lui faire…
Diffuse en direct !
Regarder son live