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Une généreuse maman

Chapitre 11

Inceste
Maman a retiré sa robe, dégrafé son soutien-gorge, baissé sa culotte, comme si elle trouvait parfaitement naturel de se mettre toute nue devant son fils.
Elle m’a tourné le dos pour me montrer son cul, et, poursuivant son exhibition, elle m’a fait face ; elle m’a lancé un regard qui en disait long, avant de se laisser tomber à la renverse dans la piscine.Elle a fait la planche, et la lune était suffisamment pleine pour que je distingue, sous sa clarté pâle, la fente de sa chatte glabre et ses mamelons qui pointaient.
— Elle est délicieuse, mon chéri… Tu viens te baigner avec moi ?
Je ne me suis pas fait prier ; j’ai ôté mes vêtements et j’ai sauté à pieds joints.
Je me suis approché, l’ai entrainée par le bras vers le bord où le l’ai adossée à l’échelle.Je l’ai embrassée sur la bouche. Elle m’a rendu mon baiser, a enfoncé sa langue entre mes lèvres ; sa salive avait le gout du champagne.J’ai plaqué ma main entre ses cuisses, paume à plat, lui ai soupesé la motte, ai glissé un doigt dans sa fente ; elle était bouillante, toute gluante à l’intérieur ; malgré l’eau environnante, je sentais sa mouille dégouliner dans ma main.
Je l’ai attrapée par le cul, l’ai soulevée pour l’asseoir – avec son aide - sur le dernier barreau de l’échelle.Je me suis installé à la bonne hauteur, dans la meilleure position, et j’ai guidé ma queue d’une main pour l’introduire dans son vagin. Elle a planté ses ongles dans mes reins, a jeté son bassin vers le mien, s’est furieusement démenée pour mieux m’engloutir, m’aspirer voracement dans sa chair.
— Oh, Victor, qu’est-ce que tu es dur !
Je n’ai pas compris tout de suite qu’elle faisait allusion à mon érection, mais j’ai ressenti une immense fierté quand j’ai réalisé qu’elle parlait de ma virilité.
— C’est de la folie, mon chéri… Oh, vas y, ne t’arrête pas… Continue… Baise-moi… Baise ta maman !
Elle gémissait, haletait, en redemandait ; elle était à ma merci, je faisais d’elle ce que je voulais, elle m’appartenait ; j’ai éprouvé un sentiment de triomphe absolu.

— Tu es sûre que tout le monde est parti, qu’on ne risque rien ?
Je scrutais les environs ; j’avais l’appréhension qu’un retardataire, ayant perdu son chemin en sortant de la maison, nous surprenne en pleine action.
— Mais pour qui tu me prends ? Il n’y a plus personne ! Tu crois que je suis folle, que j’ai envie que quelqu’un voit ce que je fais avec toi ?
Nous parlions bouche à bouche, je lui pétrissais les seins.
Je n’arrêtais pas de me dire que j’étais en train de baiser ma mère dans la piscine familiale, celle-là même où elle m’avait appris à nager quand je n’étais encore qu’un enfant innocent. Je la prenais dans une position inconfortable, en équilibre instable sur cette échelle, j’avais la tête ailleurs.
Je me suis brusquement retiré, sans prévenir, lui arrachant au passage un hoquet de surprise dépité.Je suis sorti en toute hâte de la piscine ; je venais d’avoir une autre idée.
— J’ai envie d’essayer autre chose… quelque chose qu’on n’a jamais fait… Je voudrais me branler entre tes nichons… Tu veux bien, dis ?
J’avais pris ma voix sucrée d’enfant gâté, celle à laquelle elle ne résistait pas quand, petit garçon, je faisais un caprice énorme.
— Mais enfin Victor, c’est quoi ces façons ? Tu n’es pas bien de me demander une chose pareille ?
Je sentais qu’elle était choquée par cette requête inattendue, qu’elle ne savait pas comment réagir.
— Allez maman, sois sympa… Entre tes gros seins… s’il te plait !
Elle a planté ses grands yeux noirs dans les miens ; elle était courroucée, elle tremblait de colère et de frustration, pourtant elle est sortie de l’eau et s’est assise sur une chaise de jardin. Elle a fait jaillir ses nichons en reculant les épaules, a bombé le torse.
L’invite était on ne peut plus claire.
Je me suis avancé, me suis arrêté le sexe à hauteur de sa poitrine ; elle s’est penchée en avant, ma queue raide lui a balayé les seins.Maman les a refermés autour, les a pressés avec ses mains sur les côtés, afin de l’emprisonner tout entière dans la masse moelleuse de sa chair élastique et généreuse. Je m’agitais, je poussais en gémissant, seul mon gland débordait du sillon profond de sa poitrine comprimée, et ma mère le léchait du bout de la langue, avant de le prendre entre ses lèvres.
J’ai déchargé, mon foutre a fusé avec une force inouïe, je lui ai souillé le visage de plusieurs giclées.Elle en avait partout : sur le menton, le nez, et même un peu sur le front.
— Bon sang Victor, tu pourrais faire attention ! Non mais regarde-moi ça… Je suis couverte de sperme ! C’est du propre… Tu n’as pas honte, sale petit cochon ?
J’étais consterné, j’avais l’impression d’avoir dépasser les bornes, mais maman s’est levée et s’est précipitée dans la piscine - pour se débarbouiller la figure ? -, et j’ai repris des couleurs.

Elle a fait la planche à nouveau, mais à l’envers cette fois, sur le ventre, la tête dans l’eau et les bras en croix.J’étais hypnotisé par son cul ; ses belles fesses blanches, magnifiées par le clair de lune, ressemblaient à deux collines de chair voluptueuse déposées à la surface de l’eau.Elle s’est retournée, a impudiquement écarté les jambes en faisant toujours la planche.
— Et moi alors ? Tu m’as laissée en plan tout à l’heure, tu m’as négligée… Tu es bien le fils de ton père !
J’ai fait comme si l’allusion m’échappait et j’ai plongé.Je l’ai rejointe en barbotant, me suis installé le visage entre ses cuisses, et j’ai tout de suite accouplé ma bouche à sa vulve.J’ai exploré, en les fouillant méticuleusement de la langue, tous ses petits replis secrets, tout en l’entrainant doucement à l’entrée de la piscine.
Elle s‘est agenouillée sur la dernière marche, les jambes écartées, les mains agrippées au rebord en grès, et elle a soulevé son derrière, creusé les reins.Elle était outrageusement provocante dans cette posture obscène, elle s’offrait comme une chienne en chaleur.Elle avait de l’eau à mi-cuisses mais sa croupe, surélevée, était exposée à l’air libre.Debout, derrière elle, j’ai planté ma queue dans son vagin, et je l’ai furieusement pilonnée en lui pétrissant les fesses à pleines mains.
Je les ai écartées ; son anus s’écarquillait sous la poussée, alors j’ai posé mon doigt sur la pastille et j’ai enfoncé le bout dedans.Maman ne s’y attendait pas ; elle a serré les fesses pour expulser ce corps étranger, et elle a tourné son visage vers moi.
— Qu’est-ce que tu fais, encore, Victor, qu’est-ce qui te prend cette fois ?
— Allez maman… S’il te plait !
— Tu ne dois pas faire ces choses là… C’est sale, tu m’entends ? Je ne veux pas… C’est dégradant !
— Rien qu’une fois… Sois gentille maman…
J’avais repris mon ton geignard d’enfant capricieux.
— Arrête ça tout de suite… Je t’ai dit non !
-Allez quoi, sois sympa… J’en ai envie… Pense un peu à moi !
— Une seule fois alors… Tu promets ?
— Oh oui maman, oui, c’est promis… Je t’adore, tu sais !
J’ai retiré mon doigt pour y mettre mon sexe à la place, et j’ai poussé avant qu’elle ne change d’avis.C’était très serré, j’ai eu du mal à entrer, mais une fois le gland à l’intérieur de la cavité, ma queue a suivi, aspirée tout entière.
— Fais doucement, mon chéri, ça fait mal !
— Oh maman… Je suis en train de t’enculer… C’est merveilleux… C’est tellement bon !
Je venais d’éjaculer entre ses seins, alors j’ai pu me retenir longtemps, et elle a crié, elle a pris son pied de se faire sodomiser par son fils…

Après, nous sommes retournés sur la terrasse. Nous étions nus tous les deux, allongés dans le même transat, et elle était vautrée sur moi ; je la caressais distraitement, du bout des doigts. J’avais joui deux fois, j’étais repu, pourtant je ne pouvais pas m’empêcher de la toucher.J’avais la bite en feu, irritée ; le prix à payer pour l’avoir enculée à sec !Maman m’a fait plusieurs confidences. Certaines, qui concernaient mon père, n’ont fait que renforcer l’opinion que j’avais de lui.Elle a voulu boire encore un verre, alors je suis monté nous servir.Nous avons bu, fumé, discuté et plaisanté. Elle avait l’air heureuse, épanouie, comme si ce que nous vivions lui offrait l’occasion de profiter d’une seconde jeunesse inespérée…

— Tu viendras dormir avec moi, après, maman ?
— Voyons Victor, sois raisonnable ! Ton père ne va pas tarder à rentrer… il sera bourré… et il va me harceler !
— Tu viens de me dire qu’il ne te baise plus !
— C’est vrai ! Ça fait des années que nous n’avons pas fait l’amour… et il n’a même pas remarqué que je m’étais tout épilée… mais quand il rentre saoul, il ne me fiche pas la paix tant que je ne l’ai pas… Enfin, bref, tu vois ce que je veux dire ?
L’idée qu’elle allait lui sucer la queue, quand il rentrerait alcoolisé, m’était insupportable, mais je m’apercevais, stupéfait, qu’elle me troublait tout autant.
Maman s’est levée, a ramassé sa robe d’une main, sa culotte et son soutien-gorge de l’autre, les a serrés dans ses poings fermés.
— Promets-moi que tu viendras quand il dormira…
Elle n’a pas répondu, mais elle m’a fait un clin d’œil malicieux avant de s’échapper, ses fringues dans les mains.Je l’ai regardée s’éloigner, disons plutôt que j’ai accompagné des yeux ses somptueuses fesses nues qui tressautaient gracieusement à chaque nouvelle foulée.
J’ai fumé une autre cigarette, me suis servi une dernière coupe.J’étais en train de la siroter quand j’ai entendu le moteur de la voiture qui ramenait mon père à bon port.Je n’avais pas envie de le voir, alors je me suis dépêché de regagner ma chambre sans avoir à le croiser...

Je n’avais pas sommeil, mes sens étaient exacerbés par l’alcool, par maman, par tout ce qui nous était arrivé.J’ai fouillé dans mon disque dur, à la recherche de quelque chose d’inhabituel à écouter pour m’endormir, conforme à mon état d’esprit du moment.J’ai découvert que j’avais plusieurs fichiers que je n’écoutais jamais, et j’ai arrêté mon choix sur « Clair de lune » de Debussy.Je me suis allongé sur mon lit, les mains croisées derrière la tête, et je me suis laissé bercer par cette douce mélodie mélancolique.J’ai fermé les yeux.
Une nouvelle vie m’attendait.J’allais partir travailler tout l’été chez mon oncle, dans le Sud, et puis, à la rentrée, j’intégrerais une école préparatoire à Paris.J’allais rencontrer des gens, découvrir de nouveaux horizons, quitter le cocon familial, m’éloigner.J’étais convaincu que maman ne tarderait pas à prendre un amant, et j’espérais qu’il saurait la rendre un peu moins malheureuse.Elle le méritait tant.
J’en étais là de mes considérations quand elle a ouvert la porte, timidement.J’ai cru défaillir de bonheur. Elle est restée sur le pas de la porte, hésitante, comme si elle regrettait après coup de venir dans ma chambre au milieu de la nuit, ou qu’elle avait quelque chose à se reprocher.
Elle était désarmante dans sa chemise de nuit transparente, les joues colorées, le regard fuyant.Je l’ai dévisagée avec insistance, et elle a honteusement baissé les yeux.
— C’était le seul moyen pour qu’il s’endorme rapidement, s’est-elle justifiée, mais je me suis brossé les dents, a-t-elle précisé, et j’ai senti mon sexe qui durcissait.
J’ai baissé mon slip sans la quitter des yeux, et elle s’est approchée, s’est agenouillée.Elle m’a léché un sein, le nombril, après elle m’a sucé.
Je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’elle avait pris la queue de papa dans la bouche, juste avant de prendre la mienne ; elle suçait le fils après le père, j’étais jaloux, mais je débordais aussi d’une vilaine excitation perverse.
Je ne voulais pas jouir dans sa bouche, j’avais envie de la baiser encore une fois, alors je lui ai enlevé sa nuisette et je l’ai attirée dans le lit.
Je lui ai fait l’amour longtemps, très tendrement, et nous avons joui presque en même temps.Je suis resté blotti contre son corps, un mamelon dans la bouche, mes mains sur ses fesses.
— Tu peux rester encore un peu, maman… J’ai envie de te téter pour m’endormir…
— Mais bien-sûr mon chéri… maman va te donner le sein… Endors-toi tranquillement !
Elle avait toujours été là pour moi. Pour mon bien-être d’abord, veillant sur ma sécurité, et puis pour mon plaisir ensuite, mon plaisir égoïste, sexuel, avec un abandon totale de ses valeurs et de sa morale de mère. Elle m’avait donné son cul ce soir, elle ne me refusait plus rien, elle acceptait tout, et même si j’étais jaloux, je savais qu’elle m’appartenait tout entière, et bien plus qu’à mon père.
Mon départ m’inquiétait. Je craignais qu’elle oublie, peu à peu, ce que nous avions traversé ensemble, et qu’elle en soit réduite, avec le temps et mon absence prolongée, à minimiser la portée de ce qui s’était passé entre nous.
Mais j’avais l’intention de venir la voir assez souvent pour lui prouver que le désir qu’elle m’inspirait n’était pas près de faiblir, ni l’amour que je lui vouais.
Je lui faisais confiance, car elle était beaucoup de chose, mais elle était, par dessus tout :

    une généreuse maman.
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