Le matin, j’émerge, encore un peu abasourdi par les évènements de la veille. Le réveil affiche 9 h. Le drap complètement froissé témoigne de notre intense activité intime. Hier soir, uniquement intéressé par le corps de Sandra, je n’ai pas prêté attention à la chambre. C’est une immense pièce, les murs sont recouverts d’une tenture rose très clair. Des tableaux de couples nus ou de fleurs les ornent. Les meubles sont blancs, certains capitonnés de rose. Sur un côté, deux fauteuils Emmanuelle avec devant une table basse. Derrière les fauteuils, des portes coulissantes masquant des placards. Deux petits chevets dont un contient quelques livres : tropique du cancer, tropique du capricorne, journal intime d’une femme de chambre, dix histoires coquines. Une coiffeuse sur laquelle est posée une photo osée de Sandra nue, un homme debout derrière elle la tenant par les seins. Je reconnais le visage de mon grand-père. Une commode avec un énorme bouquet de roses. Ce qui me surprend le plus, c’est l’immense miroir au-dessus du lit encadré par deux anges côté tête de lit, deux diables côté pied de lit. Cette chambre démontre la sensualité, l’érotisme de son occupante. La porte-fenêtre de la chambre est ouverte, j’aperçois Sandra, habillée de sa longue robe noire fendue, assise sur un fauteuil du salon de jardin. Sur la table, ornée d’un bouquet de roses fraîches, un petit-déjeuner nous attend. Je m’étire longuement et je la rejoins. — Bonjour, pas trop fatigué par nos ébats.— Non Sandra !! J’avais toujours rêvé de te voir habillée ainsi. C’est un plaisir de voir tes cuisses fuselées quand ta robe s’ouvre.— Tu te souviens que j’attends quelqu’un. — Je le connais ?— Oui (l’air rêveur, en souriant), il était là hier à ton anniversaire. J’attends Paul.— Et vous couchez ensemble ? Mais il n’a que 22 ans.— Tu es jaloux, mon chéri, c’est mon amant depuis un an. — Quand l’as-tu pris pour amant ?— Un soir, nous sommes rentrés très tard, il est resté coucher ici, mais il y a eu un petit incident. Il pensait que j’étais partie me coucher, il est rentré nu dans la salle de bain. J’étais nue appuyée contre le lavabo en train de m’épiler les cils. Il a fait exactement comme toi dans la cuisine, ses mains sur mes seins, son sexe contre mes fesses, j’ai écarté un peu mes cuisses et il m’a prise debout. Après nous avons passé une nuit torride. Il faut dire qu’il est bien foutu le bougre, un visage d’ange, des yeux noirs magnifiques, 1,95m, 90 kilos et tout ce qu’il faut pour combler une femme, comme toi d’ailleurs.— Tu me surprendras toujours !!!!!!!!
— Depuis, il a les clés de la maison, et quand il a envie de moi, il m’envoie un SMS, je fais la même chose avec lui.— Et que comptes-tu faire ce matin ?— Je vais te choquer. Bien que tu sois mon petit-fils, tu m’as baisée et enculée sans vergogne. Alors, autant tout dire : j’ai envie d’être prise par deux hommes.— Waouh !!! — Oui, mais après de longs préliminaires. Paul est d’accord, d’ailleurs c’est lui qui m’a confirmé que tu fantasmais vraiment sur moi. Avec une pointe de jalousie, j’imagine Paul dans son costume blanc, Sandra avec sa longue robe noire fendue, son collier de perle attirant le regard sur ses seins, ses escarpins de 10 centimètres. Ils forment un beau couple. Leur soir en rentrant du concert, ils se déshabillent de leurs mains fiévreuses. Pressés de faire l’amour, leurs corps se donnent comme Sandra sait si bien le faire.J’entends la porte de la chambre s’ouvrir, Sandra sourit doucement en me regardant, puis au bout d’un long moment, Paul apparaît nu. Je comprends qu’il s’est déshabillé dans la chambre. — Bonjour, Inutile de vous demander si vous avez bien dormi, les cernes sous vos yeux parlent pour vous.— Bonjour, Paul. Michel a fait le tour du sujet avec quelques exercices supplémentaires. Espérons qu’il soit encore en forme.— Paul, pourquoi ne m’as-tu pas dit que tu couchais avec Sandra ?— La première fois, ce n’était pas prémédité. Après, quand on a la chance d’avoir pour maîtresse une femme comme elle, superbe, intelligente, cultivée, douée au lit, on fait tout pour la garder, donc on ne s’en vante pas.— Je te comprends Paul, j’avoue qu’elle m’a surprise.— Moi aussi, j’espère que tu as découvert ses points faibles : se faire lécher, se faire prendre en levrette, après tu peux faire tout ce que tu veux avec elle, en la respectant bien sûr. Je vois Sandra devenir écarlate, Paul s’avance vers elle et l’embrasse longuement sur la bouche, passant une main sur ses seins. Elle caresse doucement son sexe. Je les regarde faire, je sens mon excitation monter. Elle se lève, prend Paul par la taille, attend que je sois levé pour faire de même. Elle nous emmène dans la chambre. Paul derrière elle, moi devant, très lentement, nous la déshabillons. Paul lève sa robe, je l’embrasse au fur et à mesure que sa robe remonte, m’attardant longuement sur ses zones sensibles. Elle ferme les yeux, gémissant doucement.Après une longue séance de caresses à quatre mains, de baisers, nous la couchons sur le dos. Je suis à genoux au-dessus de sa bouche, et m’enfonce doucement dedans. Sa langue parcourt mon sexe de bas en haut, s’attardant parfois sur mes bourses bien pleines, puis mon gland disparaît entre ses lèvres lui faisant lâcher un "Oh oui !". Alors qu’elle me suce, Paul lui malaxe les seins, elle prend sa main pour la diriger vers son sexe, ouvre ses jambes pour qu’il puisse la pénétrer avec son doigt puis, une fois introduit, elle les referme. Elle donne de petits coups de bassin pendant qu’il la doigte. Paul maintenant la lèche doucement, puis de plus en plus vite balançant ses jambes. Elle commence à gémir. Au bout de dix minutes de ce traitement, nous la retournons les fesses offertes pour la levrette. Nous nous retenons pour ne pas jouir et changeons de place. Je viens derrière elle, m’enfonce doucement dans sa chatte. Elle gémit avant d’enfourner le sexe de Paul et de lui faire subir le même sort que moi tout à l’heure. Je ne tiens plus longtemps, surtout voyant le visage de Paul se contracter, je lâche un puissant jet de sperme, lui aussi, je le devine, car Sandra déglutit en avalant tout. Nous nous allongeons à côté d’elle, elle rougit en nous regardant, nous embrasse tendrement, caresse nos sexes qui rien qu’à la voir ainsi offerte commencent à bien se redresser. Je la mets à quatre pattes, je frotte son anus avec mon gland, il est humide, du sperme et sa mouille ont coulé pendant nos ébats. Je la lubrifie, pousse mon gland qui à ma surprise rentre facilement. Je fais juste quelques aller et retour pour bien la dilater. Enjambant Paul, elle va s’empaler sur lui, l’embrasse. Paul la penche en avant en la prenant par les épaules, je viens derrière elle m’enfonçant dans son anus bien ouvert. Elle pousse un petit cri. Paul donne la cadence en soulevant son ventre pour mieux la pénétrer. Je me synchronise avec ses mouvements. Je pilonne ses fesses les attrapant à pleine main pendant que Paul s’agrippe à ses seins. Elle gémit de plus en plus fort, elle hurle. — Oh oui, bande de salauds, ahhhhhhhhhhhhhhhhhh. — Tu en veux encore ?— Oui, oui, vous êtes trop bons tous les deux.— On va te défoncer pour te faire jouir.— Oui, oui ahhhhhhhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.— C’est bon celle de Paul dans ta chatte et la mienne dans ton cul, ma petite salope ?— Oui, oui, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii continuez, continuez. Nous essayons de nous retenir, occupés à la faire jouir, nous sentons ses spasmes, elle se mord les lèvres. Nous stoppons nos mouvements. Je regarde Paul, il me fait un clin d’œil pour me dire qu’il est prêt à changer de place. — Allez, Sandra, on change. — Mes salauds, vous n’avez pas honte, vous allez me tuer.— On t’a dit qu’on te ferait jouir sans limites, tu es tellement bonne à baiser. Tu voulais deux hommes, tu les as.— Putain que c’est bon, j’aurais dû le faire avant. Elle m’enjambe et dirige mon sexe vers sa chatte, elle m’embrasse, je la baisse pour que Paul se positionne, tout rentre facilement, elle est tout ouverte. Je donne le rythme en soulevant mon bassin, Paul donne de petites tapes sur son cul. Il la pilonne de plus en plus fort attrapant ses fesses à pleine main. Il donne, comme moi dans sa chatte, de grands coups de boutoir sur ses fesses. Je sens son gland qui tape à travers sa paroi. Tout en la défonçant, je l’embrasse, mon regard sonde le sien, je la vois troublée, elle jouit maintenant sans retenue se donnant de toutes ses forces. Nous sentons ses spasmes de plaisir, son liquide coule le long de ma verge. Fatigués, épuisés, nous jouissons tous les deux en même temps. Elle gémit, crie : Oh non, oh oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Paul se retire, Sandra est écroulée sur moi m’embrassant avec fougue. Elle reste sans bouger, Paul caresse ses fesses, les couvre de baisers. Il lèche le sperme qui coule, elle frémit légèrement et se retourne. Paul caresse ses seins. Nous restons une bonne demi-heure sans bouger, perdus tous les trois dans nos pensées. Paul me regarde, je comprends ce qu’il veut, il écarte légèrement ses cuisses, pénètre sa chatte tout en l’embrassant. Je m’enfonce dans son anus en caressant sa nuque. Nous faisons de très lents va-et-vient. Les yeux clos, elle murmure : vous allez me tuer, mais que c’est bon. Nous la limons doucement jusqu’à ce qu’elle jouisse. Nous avons dû nous endormir, épuisés. Sandra dort à poings fermés entre nous deux, un léger sourire sur les lèvres. Nous nous levons en prenant garde de ne pas la réveiller. — Paul, je suis content que tu sois l’amant de Sandra, j’avais peur qu’elle tombe sur un vieux, ou sur un jeune qui se vante de baiser une vielle.— Moi, j’avais peur que tu sois jaloux, elle tellement belle et géniale, vraiment douée pour le sexe.— Écoute, Paul, si elle est d’accord, bien sûr, je te propose de recommencer quand elle en a envie. J’aurais juste une faveur à te demander, les mercredis, tu me la laisses pour moi tout seul. (A suivre)