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Une grosse envie

Chapitre 1

Mourad

Travesti / Trans
Il est 7h30 du matin et j’ai envie de raconter cette nuit débridée où j’étais insatiable, maintenant que c’est un peu redescendu et surtout que je pars travailler dans une heure.
Je suis sortie avec des amies voir un spectacle transformiste et suis rentrée vers minuit. Arrivée à la maison, n’ayant pas envie de dormir, j’ai eu envie de me connecter sur un site de rencontre trans où je suis inscrite, voir si à tout hasard un homme à proximité serait intéressé par un plan sexe bref et intense. A peine connectée, plusieurs messages affluèrent et je fis une sélection de réponses à faire en fonction de la distance, dix kilomètres maximum. L’expérience m’ayant appris qu’il ne faut pas trop se disperser, je pris vite la décision de me focaliser sur celui qui m’avait le plus excitée par son abord, un homme dans la cinquantaine passée, qui me dit qu’il adorait les belles blondes aux yeux bleus comme moi, et que j’avais un beau gros cul qu’il baiserait volontiers.
Rien de particulier à ce stade, mais dans le message suivant, il me demanda si mon quartier était tranquille et si j’apprécierai un scénario où il me rencontrerait dans la rue pour me tripoter avant de monter chez moi ensuite. Étant très exhib, cela m’excita et j’acceptai. Nous conclûmes alors, comme ma rue était très petite et très sombre, qu’il m’aborderait en son milieu. Trente minutes plus tard, il m’envoya un SMS pour me dire qu’il était en place et je descendis dans la rue, vêtue d’une simple robe en laine moulante et d’un string.
Moi qui pensais qu’il allait soudain venir à ma rencontre, je fus surprise, car il apparut d’entre deux voitures garées à mon passage et m’attrapa brutalement par derrière, un bras autour du cou et me chuchota à l’oreille:
— Tu ne dis rien, tu te laisses faire, tu ne résistes pas OK ? Répète après moi : je suis une grosse chienne et je sors faire mon pissou
Je répétai lentement et il m’interdit de parler ensuite, puis je sentis ses mains saisir le bas de la robe et me la remonter sur le corps jusqu’à l’enlever entièrement. Il m’enleva aussi mon string, me poussa à quatre pattes, nue, et me plaça rapidement un collier autour du cou muni d’une laisse. L’endroit était désert et sans lumière, mais je me sentis honteuse d’être nue ainsi. Il m’ordonna alors de faire ma promenade en reniflant bien au sol et de me dépêcher de pisser. J’obéis et heureusement pour moi l’envie était là alors je m’accroupis et urinai dans le caniveau.
Il me fit alors rentrer et monter chez moi ainsi, puis me coucha au sol et il alla dans la cuisine et revint avec un bol d’eau et du pâté dans une assiette qu’il m’invita à utiliser. Je bus en lapant et mangeai quelques bouchées pendant qu’il se déshabillait en me regardant. Une fois nu, son sexe était tendu et très épais et il dit :
— Allez, viens ma chienne, viens lécher la bite de ton maître adoré
Et je le fis en lui léchant les boules et la verge docilement, étrangement incapable de me rebeller contre cette autorité humiliante, adoptant aussi passivement que méthodiquement toutes les attitudes et poses qu’auraient eu un animal de race canine. Soudain il me déclara :
— Voilà c’est bon, tu peux arrêter de faire le toutou, je voulais te montrer que vous les blondes êtes toutes des chiennes hahaha ! Maintenant, suce-moi bien la queue et je veux pas te voir toucher ta mini-bite.
Je lui pompai donc le dard en flattant ses bourses lourdes, lui arrachant de multiples gémissements de plaisir et quelques insultes, notamment que je suçais comme une grosse pute.
Il me dit de l’emmener dans ma chambre, de me placer en levrette sur le lit, le cul bien cambré tourné vers lui, de lui sortir du gel et de commencer dès maintenant à renifler beaucoup de poppers car j’allai en avoir besoin. Je m’exécutai donc et en quelques instants, mon esprit se mit à planer à travers des nuages de sentiments confus, tandis qu’un relâchement musculaire et une puissante désinhibition m’envahissaient complètement, accentuant ma cambrure et faisant palpiter ma petite rondelle anale. Celle-ci ne tarda donc pas à être badigeonnée de gel lubrifiant et de subir la poussée d’un large gland ne cherchant visiblement pas à ménager son entrée en piste. Un petit coup de reins et il était déjà au chaud, fiché dans mon trou, sans pour autant que je ressente la moindre douleur et la grosse queue le suivit de près dans toute sa longueur, avant de commencer à le limer avec force et précision.
Dans mon état semi-euphorique et du fait de sa grande largeur, mon anus se dilata rapidement et je laissai s’échapper de longs gémissements dans les aigus, qui semblèrent lui plaire, car il dit à haute voix :
— Mmmm j’adore les grosses salopes comme toi qui jouissent bien du cul ! Et quel cul ! Un gros cul de pute ça ! Parfait pour tapiner au bois !
Il m’encula pendant de très longues minutes, alternant entre lentes poussées profondes jusqu’à la garde et frénétiques défonces, faisant bruyamment claquer mes fesses contre ses cuisses et pousser des cris incontrôlés, tout en m’intimant d’inhaler régulièrement le poppers, afin de me maintenir dans cet état éthéré de manière permanente et ainsi de me permettre d’encaisser indéfiniment ses coups de boutoir. Jusqu’au moment où, après une énième accélération, je le sentis se cabrer différemment et son sexe projeter de grandes giclées de sperme chaud dans mes entrailles, tandis qu’il se mit à brailler:
— Oh oui c’est bon sale pute ! je te remplis ton gros cul ! Tu le sens bien mon jus là ?
Puis quelques râles supplémentaires, allongé sur le dos, et moi affalée à plat ventre à reprendre mes esprits. Il se releva une fois moins essoufflé et se rhabilla prestement.
Je le suivis silencieuse au salon toujours nue et une fois qu’il eut mis ses chaussures et enfilé sa veste, il me colla une bonne tape sur les fesses et se dirigea vers la sortie, non sans m’avoir dit que j’étais clairement faite pour ça et rien d’autre et que je ferai sans nul doute possible une parfaite prostituée.
Je m’assis sur mon canapé une fois qu’il fut parti, à l’écoute des pulsations persistantes dans mon rectum heureusement indolores, repensant à cette expérience à la fois inattendue et tellement intense, m’interrogeant sur les raisons qui m’avaient poussée à tout accepter aussi facilement, à me laisser rabaisser, humilier, brutalisée et pour ainsi dire abusée, et pourquoi ne ressentais-je à présent aucune honte, mais plutôt l’intime conviction d’avoir très rarement été aussi bien baisée... Devais-je aller me coucher sur cette note positive ? Mais pourtant, je n’en avais pas envie, car étrangement pas du tout sujette au sentiment de saturation sexuelle qui intervenait parfois à la suite de plans particulièrement intenses...
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