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Une Histoire d’été inhabituelle...

Chapitre 3

Quand son mari me prend et que je prends sa femme..

Gay
Une semaine était passée, depuis ma dernière petite escapade dans le parc de l’hôtel. Pendant les deux jours qui suivirent, je ne sais pas si c’était volontaire ou pas, mais je n’avais plus croisé le vieux dans l’hôtel, il faut dire aussi, que j’avais plutôt pris le large.Et puis un jour, alors que j’étais en train de déjeuner dans le snack de l’hôtel, un serveur me remit une petite enveloppe, sans me donner la moindre explication. "Ce soir 21:30 chambre 828 tu ne seras pas déçu". C’est tout ce que contenait, la petite carte.Ça ne pouvait venir que de mon vieil amant de passage, car je ne connaissais personne d’autre ici.
20h30 tapantes, chambre 828 j’arrivais enfin devant la porte. J’allais toquer quand je m’aperçu qu’elle n’était pas fermée. Je me permis alors d’entrer. Lumière tamisée, m’attendait-on ?J’étais bien dans sa chambre. Sa femme était installée sur le canapé, en face de la porte et vêtue d’une robe noire assez courte, je remarquais immédiatement, qu’elle portait des bas noirs.Lui, assis en face d’elle sur un fauteuil, était habillé en femme. Pour la circonstance il avait mis un chemisier rouge et une jupe à petits volants noire également. Des bas noirs ornaient ses jambes. Ils avaient tous les deux, opté pour des escarpins à talons hauts. — Asseyez-vous je vous en prie, me dit-elle, en me montrant la place à sa droite.— Moi c’est Alice.— Enchanté Alice, moi c’est Alain, répondis-je en m’asseyan. Elle continua son mouvement pour me faire la bise. Une bise qui glissa quelque peu, jusqu’à effleurer ma bouche et non mes joues.
Alice était en beauté. Outre une tenue très élégante et plutôt sexy, on sentait que cette sexagénaire prenait soin d’elle. Un maquillage parfait et de circonstance, des yeux très bien dessinés et une grande bouche, rougie sans excès, par un lipstick très brillant qui donnait envie de s’y arrêter… Son mari, j’appris plus tard qu’il s’appelait Henry resta très discret et se contenta d’un simple bonsoir.— Ca va Alain, vous passez de belles vacances ? Et après quelques secondes, elle reprit : — Henry m’a détaillé votre rencontre et aussi de la deuxième, dit-elle en esquissant un sourire.— Ah oui, je vois.. un peu embarrassé.Ca doit vous arriver souvent ce genre de rencontres non ? Il faut dire que vous êtes très séduisant. Wahou ! La dame était cash.– Merci pour le compliment, mais pour tout vous dire, c’était la première fois.– La première fois, avec un homme qui rentre dans votre chambre comme ça ?– Oui en effet, c’était la première fois.
Je me demandais comment allait se passer la suite. Henri n’avait toujours pas dit un mot. Lui aussi avait fait un gros effort, quant à sa tenue et à son maquillage, on aurait presque cru que c’était une femme. Comme quoi, de beaux vêtements, un joli maquillage, une perruque et des talons hauts, ça pouvait créer le doute. Il croisait et décroisait ses jambes, laissant entrevoir chaque fois, le haut de ses bas, ainsi que sa petite culotte noire. J’étais confus.— On peut se tutoyer ?
– Oui, bien sûr.– Et si ça avait été une dame de mon âge qui était entrée dans ta chambre, qu’est-ce que tu aurais fait ?– Bah rien pareil, lui répondis-je en souriant.– Vraiment ? Et tu te serais laissé faire ? Et d’ajouter le geste à la parole, posant alors délicatement, sa main sur ma cuisse. Oooops un frémissement parcouru mon corps.– Ah c’est bien vrai, tu te laisses faire… elle s’approcha alors de moi, commença à embrasser mon cou, mes joues, glissant jusqu’à sa langue dans mon oreille. Wahou que de frissons.
Sa main droite glissa entre mes jambes, puis sur l’intérieur de ma cuisse, en esquissant même, une discrète, mais néanmoins très appuyée, petite caresse sur ma braguette. Dame mature était assez libérée.Je ne savais pas trop comment réagir devant son mari, même si je me souvenais, qu’il m’avait proposé sa femme. Mais il était là, silencieux, et il sentait bien que sa femme était très entreprenante avec moi. Elle commença à caresser mon sexe, tout en me poussant légèrement en arrière sur le dossier canapé, afin que je me sente totalement à l’aise et relaxé. Quand ce fut fait, elle ouvrit grand sa bouche et langue en avant, prit possession de la mienne et au même moment, elle serra fort mes testicules. Ooooooh c’est à peu près, le son qui sortit de ma bouche et j’eu immédiatement un soupir. Je n’eu aucune réaction, si ce n’est de commencer à bander, Alice était bien sur moi et commençait à bien s’occuper de mon sexe, tout en fouillant ma bouche avec sa langue. Après quelques secondes, elle lâcha ma queue, afin de décrocher quelques boutons de son chemisier.
– Regarde mes seins comme ils sont beaux. C’est vrai qu’ils étaient magnifiques, gros et lourds. Puis elle repris ma bouche, c’est à ce moment-là qu’Henry décroisa ses jambes et commença à se masturber sur sa jupe, de haut, en bas, comme une femme. Il écartait de plus en plus ses cuisses, et je sentais bien qu’il voulait me montrer sa petite culotte noire à dentelles.Il se masturbait avec des petits mouvements circulaires, comme s’il avait un clito. C’était vraiment excitant, je pense qu’il avait dû mettre des faux seins, car je devinai une grosse poitrine sous son chemisier.– Il t’excite Henry hein ? Me susurra sa femme au creux de l’oreille. Je ne répondis pas. Je me contentai seulement d’écarter complètement les cuisses, laissant ainsi, tout l’espace nécessaire à ses caresses, qui devenaient de plus en plus pressantes. Henry continuait à se faire du bien tout seul et après quelques minutes, il releva un peu sa jupe et glissa sa main dans sa petite culotte. Oh le salaud, il commençait vraiment à m’exciter, mais il faut dire que la main droite de sa femme, ainsi que sa langue y étaient pour beaucoup.
Alice, déboutonna alors doucement, un par un, tous les boutons de ma chemise. Une fois que ce fut fait, elle vint délicatement, lécher et titiller avec l’extrémité de sa langue, le bout de mes tétons. Sans discontinuer ses caresser par dessus mon pantalon, c’était vraiment délicieux. J’aimais sentir sa langue exciter mes tétons.Son vieux mari n’arrêtait pas de se toucher en silence, et je sentais bien qu’il était de plus en plus chaud. Il me suffisait de le voir, il n’était qu’à 2 m de nous, la table basse seulement, nous séparait. Sa queue, occupait presque tout l’espace de sa petite culotte, mais il ne l’avait toujours pas sortie et se contentait, de s’astiquer par-dessus. C’était très excitant.– Ça te tente ? Me susurra Alice.– Quoi donc ? – De le sucer… je préférai ne pas répondre, c’était gênant et je me contentai de la prendre par la nuque et de la plaquer sur ma bouche. J’avais envie, de sentir encore cette langue me dévorer.
Nos salives se mélangeaient et sa main droite, s’activait de plus en plus sur ma bite. Elle se rendit compte que j’étais en plein érection et pris de défaire ma ceinture, puis le zip de mon pantalon. Elle glissa alors, sa main dans mon caleçon et se saisit de mes couilles, qu’elle commença à malaxer fortement ; je bandais vraiment et après quelques minutes, elle commença à me masturber. Waouh, cette mature savait y faire. Pour sûr, elle avait dû en branler quelques unes avant la mienne. J’aimais sentir sa langue fouiller ma bouche et après un moment, elle redescendit s’occuper de mes tétons avec sa langue Mmmmmm..Henry revint du coup, dans mon point de vision. Il vit que je le regardais et j’ai l’impression que ça l’excitait encore plus. Sa main était toujours dans sa petite culotte, et il continuait de se branler en cachette. Je crois que c’était comme un jeu pour lui, il jouait à la petite femme.
Ma queue était en pleine érection et Alice qui l’avait dans sa main, s’en était évidemment aperçu. Elle abandonna mes tétons et descendit doucement tout en embrassant toutes les parties de mon ventre. Arrivée "en bas" elle ouvrit la bouche et entreprit avec le bout de sa langue de lécher mon prépuce. Oooooh c’est boooon, dis-je doucement.T’aimes ça hein ?Ouiiii j’adore...Pendant qu’Alice léchait ma queue comme un esquimau, je ne quittais pas son mari des yeux. Il se branlait encore dans sa culotte et avec l’autre main, il se caressait les seins par-dessus son chemisier.Dans l’état d’ excitation où j’étais, mon cerveau ne savait plus faire la différence et il m’ôtait tout discernement. Il ne savait plus me dire si je voyais un homme ou une femme mature. Tout ce que je croyais voir, c’était en effet, une femme avec des gros seins, vrai ou faux, c’était confus, et qui se branlait, avec sa main dans sa culotte.
Pendant que sa femme me mangeait la queue, tout en malaxant mes boules, lui n’en perdait pas une miette et soudainement, il sortit enfin sa grosse bite de sa petite culotte noire. Elle était énorme ! Puis, il se leva, laissant retomber sa jupe qui ne pouvait pas cacher cette énorme érection. Il s’approcha alors de nous. J’étais vraiment confus. Il s’assit à côté de moi, toujours sans dire un mot. Il remonta un peu sa jupe de nouveau, repris sa bite avec sa main droite et recommença sa masturbation, sauf que là, il était juste à côté de moi, cuisse contre cuisse. Il regardait sa femme me sucer et sa l’excitait vraiment. J’étais paralysé par tant d’excitation. Alice releva un peu la tête vers moi et me dit :-T’as pas envie de la toucher un peu ? Et elle repris immédiatement, ma queue toute entière au fond de sa gorge. C’était étrange, car elle avait vraiment dit LA toucher et non LE toucher. Sans lâcher ma bite, elle prit ma main gauche et la posa délicatement sur la cuisse de son mari.
C’était de plus en plus confus et je restai comme ça immobile. Après quelques secondes, je glissai discrètement ma main sous sa jupe, jusqu’à effleurer la couture de ses bas. Lui, s’arrêtait pas de se masturber et je n’avais d’yeux que pour sa grosse bite et le spectacle qu’il m’offrait. Mais alors que j’étais accaparé par la magnifique gorge profonde que m’offrait sa femme, ainsi que sa branlette qui m’hypnotisait, je n’avais pas vu que le vieux avait passé son bras droit, sur le dossier du canapé. Je sentis juste sa main se poser sur ma nuque et le temps que je réagisse, il me guidait déjà lentement sur sa bite, je ne pu résister, mais en avais-je vraiment envie. J’ouvris alors grand ma bouche et j’avalai goulûment, sa grosse queue toute entière, pendant que sa femme en faisait de même avec la mienne. -Mmmmmm ouiii bouffe la bien, vas-y… et c’est ce que je fis sans me faire prier. Maintenant, j’étais totalement conquis.
Sa femme me faisait une gorge profonde pendant que moi je suçais la grosse bite de son mari. Mon excitation était à son comble et ma queue, dure comme du bois. J’étais fasciné par cette belle queue que je suçais et par le faite que sa dureté ne dépendait que de ma bouche. J’étais à présent tellement excité, que j’avais envie de plus. Sans arrêter ma fellation, je tendis mon bras droit et j’attrapai le gros sein d’Alice, qu’elle s’empressa pour m’aider, de sortir de son soutien-gorge. À 60/65 ans, cette femme était vraiment bien foutue. Elle avait réellement de beaux et énormes seins et il me tardait de voir le reste. Je malaxais et je pétrissais les deux seins d’ Alice, qui, appréciait fortement. Je l’entendais gémir, chaque fois que je pinçais le bout de ses gros tétons et pour m’encourager à le faire, elle prit mes doigts et avec, elle les pinça encore plus fort, c’était bon et elle poussa un petit cri.-Pince-moi bien fort, ça m’excite et j’adore ça. je ne me fis pas prier, et je continuai ce petit jeu, avec ses beaux et gros tétons, aussi gros qu’une phalange de mes doigts.
Après quelques minutes, elle remonta sa jupe jusqu’à mi cuisse, écarta ses jambes et guida ma main, directement dans sa culotte en dentelle. Je sentis enfin, cette belle petite chatte parfaitement épilée et déjà trempée. La vieille dame était très chaude, bouillante même. Puis elle se redressa en me disant :-Je veux que tu me baises, j’ai trop envie, je suis trempée. Elle se retourna alors, se mit en position de levrette et les cuisses bien écartées. Je lâchai la grosse bite du vieux et je me mis immédiatement à genoux derrière elle. J’allai présenter le bout de mon gland sur sa vulve, quand Henry, qui s’était allongé sur le dos et entre mes jambes, pris ma queue dans sa main, et l’enfonça au fond de sa gorge pendant quelques secondes, ce qui augmenta mon érection, puis il la guida lui-même, dans la chatte de sa femme. Je pris juste le temps avec mes 2 pouces, de bien ouvrir ses fesses, quand j’entendis Alice me dire :-Ouiiiiii vas y plante-moi, plante-moi la bien au fond, j’suis trempée ; et c’est vrai qu’elle l’était. J’enfonçai alors mon gourdin, sans préambule et sans aucune retenu, au fond jusqu’à la garde, mes couilles claquaient sur sa vulve..
-Aaaaaaaaff c’est à peu près comme ça qu’Alice s’exprima, au moment de la pénétration, plutôt brutale. J’étais tellement excité, C’est vrai que ce n’est pas tous les jours que je baise une femme de cet âge, encore belle, ferme et très bien foutue, mais surtout, elle était totalement libérée et adorait le cul. Plus je la pilonnais et plus je m’excitais. J’avais préféré la baiser tout habillée, je m’étais juste contenté, de lui relever sa jupe jusqu’aux fesses, et d’écarter sa petite culotte sur le côté, pour la pénétrer. Henry se releva alors et se mit face à nous. Il avait laissé retomber sa jupe, mais ca ne masquait pas son érection. Une grosse bosse apparaissait sous sa jupe. Je tendis alors mon bras gauche et je commençai
 à lui caresser son membre par-dessus sa jupe. Je sentis immédiatement le soubresaut que lui produit le contact de ma main sur son sexe. Je crois que j’eu la même sensation.— Vas-y caresse la bien, il aime bien ça, surtout pendant que tu me baises.C’est vrai que le salaud, ou la salope, je ne sais plus, aimait ça.

Ce qui était vraiment étrange, c’est que depuis le début de la soirée, Henry n’avait pas dit un seul mot. Il regardait, il acceptait et provoquait mes caresses et ma fellation, mais toujours en silence. Je pense que ça devait augmenter son excitation. La bosse, que provoquait sa grosse queue sous sa jupe, c’était vraiment impressionnant. Je passai alors doucement ma main sous sa jupe, et il s’approcha très près de nous. Je sortis son membre de sa jolie petite culotte et je repris de le masturber, tout en fourrant sa vieille femme. — Baise-moi encore c’est boooon. Elle est belle sa queue hein ? Elle te fait envie hein? Suce-le, tu l’as déjà fait, et je veux vous voir tous les deux Mmmmm continue comme ça tu me fais mouiller.C’était une bonne idée, et de toutes manières, j’en avais envie. Henry s’approcha encore un peu, devinant à quoi je pensais et immédiatement j’ai pris son sexe fortement, et j’ai commencé à lui lécher le bout du prépuce. Ça que été dure comme du bois, et toute droite.
Manifestement, il aimait ce que je lui faisais. Après quelques minutes, je l’enfonçai complètement au fond de ma gorge, j’avais presque du mal à respirer, tant sa queue envahissait ma bouche et ma gorge toute entière, mais c’était tellement bon de sentir cette puissance à l’intérieur de moi. J’avais à présent, lâché la bite d’Henry avec mes mains, et j’avais chopé de nouveau les hanches de sa femme ; et pendant que je faisais une bonne pipe à son mari, je n’arrêtais pas de pilonner Alice qui elle, n’arrêtait pas de crier. J’espérais que ça n’allait pas déranger les voisins.-Vas y mon chéri, mets toi derrière lui et encule-le, pendant qu’il me baise, je veux jouir comme ça. Sitôt dit, sitôt fait, Henry se mit à genoux derrière moi, fit tomber mon pantalon sur mes genoux, écarta mes fesses avec ses mains, et commença à me lécher l’anus.
Même en silence, il savait bien se servir de sa langue, qui glapissait entre mes fesses et c’était bien la seule chose que j’entendais de lui. Il suivait bien mes mouvements, pendant que je baisais sa femme, J’avais quand même ralenti un peu mon rythme, pour ne pas lui faire mal. Au bout d’un moment, je sentis, qu’après avoir craché plusieurs fois dans mon petit trou, il pénétra un doigt, puis deux dans mon cul, huuuuuum c’était vraiment très bon ! -Je veux voir comment il va te baiser, me dit Alice.Elle se dégagea alors de moi, se retourna rapidement et se mit sur le dos en position missionnaire, laissant tomber sa jupe sur ses hanches. Elle écarta immédiatement ses cuisses, m’offrant un magnifique panorama sur sa lingerie, ses bas et ses gros seins. Alice, me prit alors par les hanches et me ramena vers elle, afin que je reprenne ma pénétration. Elle prit elle-même ma queue, avec sa main pour la guider directement dans sa chatte. Je repris sans perdre une seconde, mes va-et-vient. La sexagénère était vraiment très chaude et complètement délurée.
Je n’en étais qu’au 3e ou 4e coup de queue, qu’Henri me saisit par les hanches pour me bloquer, il écarta mes fesses et présenta son gland dans mon anus. Je fus immédiatement saisi d’une grande excitation. Alors, je me laissai aller de tout mon poids sur sa femme, pour le laisser entrer dans mon intimité. Alice en profita pour reprendre ma bouche avec sa langue, j’adorais ça, elle embrassait si bien. Je sentis alors, sa grosse bite pénétrer doucement mon cul cm par cm. Waouh qu’est-ce que c’était bon.-Il te baise là ? Me susurra Alice à l’oreille.-Oui, puis elle pris mes fesses et les écarta pour lui faciliter la pénétration. je jouissais d’avance, de savoir qu’à eux deux, ils me baisaient et c’était bon.-Aaaaaaaarf ouiiii dis-je en gémissant. Sa grosse queue était enfin au fond de moi. Alice, s’en rendit compte et commença à imprimer de nouveau, les mouvements de mon bassin lentement, pour qu’on soit synchro avec son mari.
Henry suivait bien mon rythme. Je pénétrai alors sa femme doucement, mais du plus fort que je pouvais et j’enfonçai ma queue au fond de sa chatte. À chaque fois que je butais sur son clito, elle poussait des petits cris. C’était surréaliste, et c’était la première fois que je vivais une telle expérience. C’était si excitant… Je savais que je n’allais pas tarder à prendre mon pied, le plaisir était trop grand.Le 1er orgasme, vint par les fesses et c’est Henry qui me le provoqua. Il m’enculait vraiment bien. je n’avais pas toujours un orgasme anal, mais quand j’en avais, ils étaient toujours très forts et celui-ci en était un. C’était probablement un mélange de tout. Il continua comme ça à me labourer l’anus et après quelques minutes je sentis tout son sperme inonder mes fesses. Une fois fini, il resta quand même en moi et suivi mon rythme.J’Accélérai alors mes va-et-vient car je sentais qu’un deuxième orgasme allait venir mais par ma queue cette fois. Après quelques minutes c’est Alice qui déclencha son orgasme.
-Ouiiiii continue continue continue encore. J’ai alors écrasé ma bouche contre la sienne. Pour ne pas alerter les voisins. Elle n’avait pas encore fini totalement que déjà. mon sperme se répondait au fond de sa chatte. Henry, enfonça sa queue tout au fond de mon anus, ça ne servait plus à rien, mais ça augmenta considérablement mon éjaculation, il devait s’en douter.Qu’est-ce que c’était bon, je n’en reviens toujours pas aujourd’hui.Nous sommes restés comme ça pendant quelques minutes. Moment qu’Alice et moi, avons passé à nous embrasser, à nous lécher la bouche, à enfoncer nos langues au fond de nos gorges respectives.
L’ histoire ne s’est évidemment pas arrêtée là. Si vous voulez connaître la suite, alors je vous dis à bientôt… Surtout n’hésitez pas à liker, ça fait toujours plaisir.
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