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Une histoire de famille

Chapitre 1

Un secret bien gardé

Divers
Cette histoire trotte dans ma tête depuis plusieurs mois. J’ai mis beaucoup de temps à arriver à la mettre "à plat", et l’écriture a été difficile. Même si le sexe est une part importante de ce récit, elle n’en est pas la composante principale.

Même si cette histoire remonte à plusieurs siècles, elle a commencé pour moi il y a un peu plus de deux ans. Je me souviens que c’était le lendemain du premier anniversaire de mon fils. La veille, justement, nous fêtions son anniversaire avec Stéphanie, mon épouse, et mon grand-père. Je sentais bien qu’il était tracassé par quelque chose, mais il n’a pas voulu me dire quoi ce jour-là.
J’ai une relation très particulière avec mon grand-père. C’est lui qui m’a élevé. Mes parents sont morts dans un accident de voiture, alors que j’avais à peine trois ans. Dans la voiture se trouvait aussi sa femme. Je me suis retrouvé orphelin, et lui veuf. Malgré son chagrin, il s’est occupé de moi comme si j’étais son propre fils, et j’ai grandi à ses côtés, et nous sommes restés très proches. Je n’ai aucun souvenir de mes parents.
Dans les premières années de notre vie commune, il était aidé par une gouvernante, du nom de Monique, qui vivait dans un petit studio sous la maison principale. Je me souviens d’elle, toujours vêtue de rouge et de noir. Elle préparait nos repas, et aidait mon grand-père à tenir la maison. J’étais gamin, et je suppose qu’il y a beaucoup de choses dans leur relation que je n’ai pas vues à l’époque. J’ai appris beaucoup plus tard que les commérages allaient bon train dans le petit village du Lot où nous vivions. Pensez-vous, un veuf qui vit dans la même maison (ou presque) qu’une femme de son âge. Et ce n’était que le début… Ceux qui trouvaient à médire en ont eu pour leur argent quand Monique a quitté la maison un jour, pour être remplacée par Sylvie, une jeune femme d’un roux flamboyant, toujours vêtue de rouge de la tête au pieds, et qui avait vingt-cinq ans de moins que papy.
J’avais environ dix ans à ce moment-là, et je n’ai pas été surpris qu’elle n’emménage pas dans le studio, mais qu’elle pose ses affaires directement dans la chambre de mon grand-père. Depuis, je la considère comme ma seconde maman, et nous avons toujours été très complices.
Sa présence dans la maison m’a fait prendre conscience de plusieurs choses. La première était que papy avait toujours une vie sexuelle. Il se passait rarement une journée sans que j’entende les ébats plus ou moins étouffés du couple. Quand j’avais dix ans, je ne comprenais pas trop ce qui se passait, et quand je l’ai compris, les habitudes étaient prises. Je n’ai jamais été choqué par ça, même quand les orgasmes de Sylvie étaient un peu bruyants. J’ai grandi en imaginant que les couples mariés faisaient l’amour tous les jours ou presque. Ce n’est que plus tard que j’ai compris que ce n’était pas vraiment la norme…
La vie a continué, et j’ai rencontré Stéphanie lors de nos études, à Toulouse. Nous avons vécu ensemble pendant cinq ans avant de nous marier (vivre dans le péché était donc une habitude dans la famille), et deux ans plus tard, notre petit Thomas était né. C’est à cette occasion que nous sommes venus vivre près de chez Papy.
Le lendemain du premier anniversaire de mon fils a donc été le jour qui a changé ma vie du tout au tout. Cela a commencé quand j’ai reçu un appel de mon grand-père.
— Salut Julien.— Salut Papy, comment ça va ?— Ça va… (un silence). Dis, tu peux passer cet après-midi ? Seul ?— Euh… oui, bien sûr, mais pourquoi tu me demandes ça ?— Rien… rien de grave. Mais j’aimerais te montrer quelque chose. — OK. Je viendrai vers 14h alors.— Merci, à tout à l’heure.
Ce coup de fil m’a intrigué. Il était rare qu’il m’appelle, et il était resté bien mystérieux. C’est donc plein d’interrogations que j’arrivais chez lui en début d’après-midi. Je frappai à la porte, et entrai sans attendre, comme à mon habitude.

Il était au séjour, et à côté de lui se tenait Monique. Je ne l’avais pas vue pendant plus de quinze ans, mais je la reconnus tout de suite. Sa vue me fit chaud au cœur, et je m’avançais vers elle pour l’embrasser. Elle me prit dans ses bras, sans un mot. Je m’éloignai d’elle pour la regarder et lui dis :
— Tu n’as pas changé, j’ai l’impression que tu es la même que…
Je laissai la phrase en suspens. J’ai réalisé à ce moment-là que je ne savais pas ce qui s’était passé. Était-elle partie ? Mon grand-père l’avait-il mise dehors pour vivre sa vie avec sa nouvelle maîtresse ? C’est elle qui reprit la parole avec un sourire moqueur
— Que quand je suis partie ? Tu es gentil de dire ça.— Tu devrais t’asseoir, me dit Papy.
Son regard était grave et il semblait fatigué, comme s’il portait un poids immense sur les épaules. Un peu interloqué, je fis ce qu’il me demandait.
— Nous allons te montrer quelque chose qui va te surprendre. Tu auras toutes les explications en suivant. Je te demande d’être ouvert et de garder ton sang froid pendant quelques minutes, le temps que nous puissions tout t’expliquer.— Regarde-moi, me dit Monique.
Elle baissa la tête, laissant ses long cheveux auburn cacher entièrement son visage. Elle murmura un mot que je ne compris pas, et quand elle releva la tête… c’était Sylvie. Son visage avait changé. Ses cheveux avaient changé de couleur. Son corps aussi s’était affermi.
— BORDEL !!
Je faillis tomber de ma chaise. Elle mit un doigt devant sa bouche, murmura un "chut" silencieux, et quand elle eut fini, c’était maintenant Sylvie à vingt-cinq ans. Ses vêtements avaient changé, et elle portait un short et une chemise nouée qui avait du mal à cacher sa poitrine ferme et opulente.
— C’est quoi ce truc ? Qu’est-ce qui se passe ?
Je cherchais papy du regard, mais il gardait la tête basse, le regard au sol. Je le connaissais suffisamment pour savoir qu’il ne m’aiderait pas, inutile de le bombarder de questions. Je regardai Monique/Sylvie, l’interrogeant du regard. Elle me regarda dans les yeux, hésita quelques secondes, puis me répondit.
— Je suis Monique. Et je suis aussi Sylvie. Et je suis bien plus. Mon vrai nom est inaudible pour des oreilles humaines, mais ce qui s’en rapproche le plus est Aalial. Je suis… à défaut d’un autre mot, je suppose qu’on pourrait dire que je suis une succube.
Mes souvenirs de jeux de rôle me revinrent rapidement
— Une succube ? Tu veux dire un démon ?— Je n’aime pas ce mot. C’est trop péjoratif. Je suis une créature magique, avec certains attributs de ce que vous appelez démon, mais je ne suis pas que ça.
Mon grand-père se leva et dit doucement
— Je m’en vais, vous avez beaucoup à vous dire.
Il regarda Aalial, lui envoya un baiser du bout des lèvres, et quitta la pièce. Nous restâmes silencieux, jusqu’à entendre la voiture démarrer et quitter le jardin, en nous regardant, moi complètement perdu, et elle souriant tendrement. Elle rompit le silence
— Je suppose que tu as beaucoup de questions…— Je... je ne comprends pas… explique moi tout.— Je suis… une sorte de fée. J’ai signé un pacte avec un de tes ancêtres il y a plusieurs générations de cela, et je suis dévouée au bien être de tous ses descendants mâles.— Au bien être ?— Ne fais pas l’innocent. Même si je n’aime pas me définir comme ça, tu sais très bien ce qu’est une succube.— Un démon du sexe.— C’est très réducteur, mais on peut s’en tenir à cette définition si tu veux.— Mais, depuis tout ce temps, toi et papy ? — Oui, comme avec ton père, même si ce fut malheureusement trop court. Comme avec ton arrière grand-père, et on pourrait remonter à loin.— Mais... pourquoi me dire ça maintenant ?— Une des règles de notre accord était de ne jamais informer les intéressés avant qu’un héritier mâle atteigne ses un an. Nous avions peur qu’en ayant une créature dédiée au sexe, un homme se perde et n’honore pas sa compagne comme il se doit. J’ai beau avoir certains pouvoirs, je n’ai pas celui de procréer, et il ne fallait pas que la lignée s’arrête. — … une créature dédiée au sexe ?— Je sais que tu nous a entendus plusieurs fois, ton grand-père et moi, dit-elle en souriant de façon très coquine. Et oui, je sais que tu comprends de quoi je parle.
Elle s’approcha de moi, et je ne pouvais m’empêcher de la regarder. Elle n’était pas la Sylvie que j’avais connue, mais une autre femme très désirable. Elle se pencha vers moi, me montrant son décolleté. Ses seins semblaient parfaits. Et je sentais monter en moi le désir de la prendre.
— Je peux être Sylvie. Je peux être quelqu’un d’autre. Je peux être qui tu veux. Je peux être éternellement vierge, ou bien la dernière des salopes. Je peux être jeune, vieille, être connue (elle se transforma d’un coup en Marylin Monroe), et être une célébrité que tu as envie de te taper, ou bien (elle se changea en Stéphanie, une Stéphanie et tenue de cuir moulante), devenir celle avec qui tu veux passer ta vie, ou un amour passé (elle devient un de mes crush du lycée, telle que je m’en souvenais, et semblait avoir 16 ans). Je peux être entreprenante, et décider de ce que nous allons faire, comme je peux être soumise à ton bon vouloir… et cela peut changer à chaque fois que tu le souhaites.
Pendant ce discours, elle s’était approchée de moi, et avait commencé à déboutonner mon pantalon. Je n’opposais aucune résistance, d’une part parce que je ne comprenais pas encore ce qui m’arrivait, et d’autre part parce que j’avais envie d’elle. Elle finit d’enlever ma ceinture, et baissa mon pantalon sur mes chevilles. Mon sexe était au garde à vous, et j’avais envie de sa bouche. Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle passe sa langue le long de ma bite, et la goba en entier, me faisant la première gorge profonde de ma vie. Je me laissais faire, longuement. Elle savait s’y prendre, aucun doute là dessus. A chaque fois que je pensais que j’allais éjaculer, elle ralentissait, voire s’arrêtait, et reprenait tout doucement. Je me mis à imaginer qu’elle montait à califourchon sur moi, et c’est ce qu’elle fit, encore une fois comme si elle lisait dans mes pensées.
— Non, je ne suis pas capable de ça, mais je peux ressentir tous tes désirs pour m’y adapter, dit-elle, alors que mon sexe s’enfonçait dans le sien..
Sa chatte était trempée, et me serrait comme un fourreau. Elle resta à califourchon sur moi, faisant des allers retours, et semblait prendre son pied elle aussi. Son souffle s’accéléra, et je sentais nos orgasmes approcher. Ils arrivèrent de façon parfaitement synchrone, et elle poussa un cri rauque au moment où j’éjaculais. Nous nous regardions dans les yeux, et au moment où elle jouit, ses yeux s’allumèrent pendant un très court instant d’une lueur rouge. Elle resta sur moi, immobile et m’embrassa dans le cou. Au bout de quelques secondes, elle se leva et me dit
— On remet ça ?— Euuuh…. il me faut quelques secondes quand même.
Alors, elle se transforma en une femme splendide, au corps parfait. Elle était grande, rousse aux yeux verts, avait la taille mince et des seins en poire, et elle commença à se caresser devant moi. J’adorais voir ça
— Je t’ai déjà dit que j’avais certains pouvoirs ?
Et elle murmura un mot que je ne compris pas, mais qui m’électrisa. Comme si ce mot avait atteint mon sexe sans passer par le filtre du cerveau. Je bandai immédiatement, et je me retrouvais excité comme un adolescent qui voit son premier porno. Je me jetai sur elle, la plaquai sans ménagement le ventre contre la table, et la pris à la hussarde. Pendant que je faisais des allers retours en elle, je regardai son cul, ses fesses rebondies, et je profitais du spectacle. J’écoutais ses gémissements, et encore une fois, elle eut un orgasme au moment où je me vidais en elle. J’étais tellement excité que j’eus l’impression d’éjaculer des litres de sperme au fond de sa chatte.
Je me suis retiré immédiatement, avant de m’affaler sur une chaise, complètement groggy. Je me sentais tout d’un coup épuisé.
— Oui, dit-elle, ça fait cet effet là. Il ne faut pas abuser de ce pouvoir. Ça consomme pas mal d’énergie, et l’utiliser plusieurs fois peut être dangereux. Deux, trois fois grand max. Au-delà, le cœur peut lâcher.
Elle disait ça en souriant !
Je profitais de ce moment pour la regarder. Elle était magnifique, et ne ressemblait à aucune des femmes que je connaissais, même si certains traits m’étaient familiers. Je réalisais qu’elle était en fait devenue un mélange de tout ce que j’aimais chez certaines femmes. C’était juste un patchwork de tous mes fantasmes, qui pris déjà un par un m’auraient mis dans un état second, mais dont le mélange sublimait le tout. C’était la femme parfaite pour moi, au moins physiquement. Je sentais de nouveau l’envie d’elle arriver, mais elle m’interrompit.
— Ton grand-père ne va pas tarder à revenir. Il vaudrait mieux qu’on ne recommence pas. Pas tout de suite en tout cas.— Mais… je ne comprends pas, je croyais que tu étais aux hommes de la famille ?— Alors… je ne "suis pas" aux hommes, je ne vous appartiens pas. Je suis là pour votre plaisir, et c’est tout. C’est déjà pas mal non ? Et oui, je dois vous apporter du plaisir, mais il faut que vous vous en discutiez avant, pour ne pas déclencher des jalousies. C’est déjà arrivé, je voudrais éviter. Et qui sait, peut-être pourriez-vous vous entendre pour profiter de moi en même temps ?
Malgré son sourire coquin, cette idée ne m’enchantait pas vraiment.
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