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Une histoire de famille

Chapitre 5

Hétéro
Tout le monde connaît l’adage "la nuit porte conseil". Je tiens à dire que ce n’est pas toujours vrai. En tout cas pour moi, ça ne l’était pas. Je dormis encore une fois très peu cette nuit-là, repassant en boucle ce que m’avait dit Stéphanie. Et surtout comment elle me l’avait dit. Très calmement, pas un mot plus haut que l’autre. Et en souriant. Le genre de sourire que l’on peut imaginer chez une lionne qui regarde une antilope en se demandant à quelle heure est le dîner. Tous les signaux "danger" étaient allumés. Jusqu’à maintenant, je m’imaginais marcher sur un corde, mais c’était soudainement devenu un fil très fin, pouvant rompre au premier coup de vent.
J’avais rendez-vous chez le notaire ce jour-là, après le boulot, pour prendre connaissance des dispositions qu’avaient prises mon grand-père. Je ne savais pas à quoi m’attendre, aussi j’y allais l’esprit serein. Quoi qu’il en soit, je ne pouvais pas être déçu.
Le notaire était en fait une notaire, une belle femme d’une quarantaine d’années. Elle portait un tailleur gris bien trop strict pour elle. Son visage était magnifique, de grands yeux marron, un petit nez pointu qui portait des grandes lunettes à la monture dorée très fine, et des fossettes craquantes qui se creusaient à chaque fois qu’elle parlait, et qui m’hypnotisaient. Il me fut bien difficile de me concentrer sur ce qu’elle me disait. A sa façon de parler de Papy, je me demandais s’ ils ne s’étaient pas connus autrement que pour des raisons purement professionnelles…
Le testament était assez court. Il me léguait l’ensemble de l’argent qui était sur ses différents comptes en banque. Ce n’était pas suffisant pour arrêter de travailler, mais cela permettait d’envisager un niveau de vie plus élevé qu’aujourd’hui. Ou bien de prévoir en cas de coup dur. Et il me laissait sa maison, tout en laissant l’usufruit du studio à Sylvie.
Je rentrai à la maison, et je trouvai Stéphanie en train de faire manger Thomas. Elle se leva et vint m’embrasser, et en profita pour me mettre une main aux fesses. Elle agissait comme si tout était normal, comme si elle n’était pas au courant que j’avais… que j’avais quoi au fait ? Je repensais à la conversation avec Aalial et je me demandais ce qu’il fallait faire, ce que je pouvais dire, et comment. 
Je pris une bière au frigo, et je fis part du testament à Stéphanie. Quand j’eus terminé, elle me dit : 
— Tu te sens d’aller vivre dans cette maison ?— Moi oui… mais toi ? — Bien sûr. On pourrait quitter cet appartement, et ne plus avoir de loyer à payer. Et puis la maison est plus grande, il y a un jardin, tout est mieux qu’ici. — Mais on vivrait quasiment avec Sylvie— Elle est discrète, cela ne me gêne pas. Et puis si ça se trouve, elle pourrait aussi nous aider avec Thomas, peut être que ça lui ferait plaisir d’aller le chercher à la crèche ?— Peut-être oui… 
Ce n’étaient bien sûr pas les services que j’imaginais, mais après tout, pourquoi pas ? 
Plus tard dans la journée, je m’isolai pour appeler Sylvie, et lui expliquer ce qu’on comptait faire. Et surtout, parler des problèmes que cela pourrait engendrer. Il y eut à peine une sonnerie avant qu’elle décroche, d’une voix enjouée.
— Julien ? comment tu vas ?— Ca va… je t’appelais suite à mon rendez-vous avec le notaire. Je suppose que tu es au courant que Papy t’a laissé l’usufruit du studio ?
— Oui, il m’en avait parlé. Je lui avais dit que ce n’était pas nécessaire. Si tu veux, je peux vous le laisser, il me sera facile de trouver un endroit où habiter— Non justement, si ça te convient, ça nous irait très bien avec Stéphanie. On pourrait venir habiter dans la maison… et être à côté de chez toi. Si ça te va bien sûr.— Oui… sous réserve de mettre quelques petites choses au point, évidemment. Tu lui as parlé ?— Non, pas encore.— Si tu veux faire garder Thomas demain soir, vous pourriez passer pour qu’on discute tous ensemble. Venez dîner à la maison. Peut-être que je pourrais… intervenir ?— Comment ça ?— Comme je l’ai fait avec toi. Ça peut ne pas marcher, mais ça se tente— Explique moi— J’ai la capacité de faire grandir le désir chez les individus. Globalement, aucun souci avec les hommes, à de très rares exceptions. Chez les femmes, c’est plus dur. Si elle ne ressent aucune attirance, je ne pourrais rien faire. Si par contre s’il y en a un peu… je pourrais peut-être lui faire lâcher prise, et ce serait beaucoup plus simple.— Tu l’as déjà fait ? — De nombreuses fois. Je te rappelle que tes ancêtres étaient quasiment tous mariés. Ce n’est pas la première fois que leur femme est complice de notre relation— Et ça marche ? D’habitude, je veux dire ?— Globalement oui. Il y a eu quelques cas où ça n’a pas été possible, et j’ai pris de la distance. Pour tout te dire, il y a eu aussi quelques hommes chez qui ça n’a pas marché. Ils n’étaient pas du tout attirés par le sexe féminin. Là ça a été plus dur, mais on a fait avec.— OK, je te tiens au courant pour demain soir.
Je sortis de la chambre pour demander à Stéphanie si ses parents pouvaient garder notre fils le lendemain soir, pour qu’on puisse aller discuter avec Sylvie. En 15 minutes, c’était organisé. Elle me glissa à l’oreille "tu sais qu’on aura toute la nuit pour nous, tu as intérêt à te préparer, j’ai l’intention d’en profiter…". Si elle savait…
Le reste de la journée se déroula sans surprises. Une fois le petit couché, nous nous installâmes sur le canapé, cherchant vainement un truc à regarder à la télé. J’étais appuyé sur un des accoudoirs, et Stéphanie affalée contre moi, sa main sous mon T-shirt.. Au bout d’une dizaine de minutes de recherche infructueuse d’un programme qui aurait pu nous intéresser, elle se redressa et prit son téléphone et me dit :
— Tiens, vu qu’il n’y a rien à la télé, il y a une vidéo sur internet que j’ai vue aujourd’hui qui m’a plu, je peux la caster ?— Bien sûr.
Je m’attendais à une vidéo d’un humoriste, ou bien un reportage sur je ne sais quel domaine écolo, ce qui était son dada du moment. Au lieu de cela, la vidéo montrait une superbe jeune femme, aux yeux en amande, et aux longs cheveux noirs attachés en queue de cheval. Elle était perchée sur de hauts talons, et portait une jupe très courte qui permettrait de montrer des jambes magnifiques, et bien musclées. Elle se dirigeait vers une porte, qu’elle ouvrait, laissant entrer deux jeunes hommes torses nus. Sans attendre, elle se mit à genoux, et ils descendirent leur pantalon, lui présentant des queues bien dures et bien épaisses.
Stéphanie n’était pas fan de porno, et je fus très surpris. Je me retournai vers elle, bouche bée, quand je vis qu’elle avait déjà la main dans la culotte et qu’elle était en train de se masturber en regardant la vidéo. Sur l’écran, la jeune femme, toujours à genoux, prenait en bouche une des bites, et caressait l’autre, en alternant régulièrement. Excité comme une puce, je me tournai vers ma femme, qui m’interrompit de sa main et me dit :
— Non, attends. Mets toi à poil
Ce que je fis, et elle aussi
— Maintenant, reste de ton côté. Je veux me faire du bien toute seule. Et je veux que tu fasses pareil de ton côté. Bien entendu, tu as le droit de me regarder faire, et tu peux aussi regarder le film. Et je ne me priverais pas pour te regarder faire non plus. Mais interdiction de jouir avant que ces deux garçons n’aient éjaculé eux aussi, sinon, ce sera une punition…
Et c’est ainsi que je me retrouvais en train de me branler, lentement. Je regardais de temps en temps l’écran, où l’actrice se faisait sodomiser pendant qu’elle suçait l’autre gars, et de temps en temps ma femme qui s’astiquait elle aussi. Elle avait une main sur sa chatte, l’autre en train de pétrir ses seins. Par moments, elle s’introduisait un ou deux doigts, puis venait de nouveau caresser son bouton. Par moments, quand elle voyait que je la regardais, ses doigts s’attardaient sur la rondelle, et elle mettait une phalange, voire deux, en me souriant, puis son attention était de nouveau captée par l’écran. L’actrice s’y faisait maintenant prendre en double pénétration, et je me délectais de ce magnifique sandwich qu’elle formait avec ses deux acolytes. Lorsque je retournais les yeux vers Stéphanie, la main qui était sur ses seins était descendue. Son majeur était maintenant enfoncé en entier dans son cul, pendant qu’elle se tripotait le clito avec intensité. Sur notre télé, la scène arrivait à la fin, et la jeune femme s’est mise à genoux pour sucer ses deux appolons. Il ne fallut pas longtemps pour qu’ils lui jouissent sur le visage. Stéphanie n’attendait que ça pour se faire enfin jouir sans retenir son plaisir. J’accélérais moi aussi le mouvement de ma main quand elle me dit : 
— Jouis sans te retenir, je veux voir ton sperme sortir…
Ce que je fis. Elle me regardait avec attention lorsque je me répandis sur mon ventre. Elle ne perdit pas une miette du spectacle, et attendit que les jets se tarissent, avant de venir m’embrasser. Sa langue fouillait ma bouche avec avidité, et elle frottait son torse sur le mien. Ma semence servait de lubrifiant, et sa peau glissait contre la mienne. Cela me remit en forme en quelques instants, et elle vint sur moi. Elle saisit ma bite qu’elle glissa en elle, avant de me murmurer à l’oreille : 
— J’ai regardé cette vidéo ce matin, et ça m’a beaucoup excitée. Je voulais la revoir pour savoir si c’était dû à la nouveauté…— Et alors ?— Non, elle me fait le même effet au second visionnage— Et c’est quoi qui te fait cet effet là ? — Je crois que le summum c’est quand elle se fait prendre le cul et la chatte en même temps— Ça te tente ?— Dans l’absolu oui… mais je ne suis pas certaine que j’autorise un autre mec que toi à me pénétrer.— Et depuis quand tu regardes du porno toi ?— Depuis… ce matin…— Et qu’est-ce qui t’a donné envie de t’y mettre ?— Tu venais de partir au boulot, j’avais un peu de temps, et envie de sexe. Tu n’étais pas là… alors j’ai tenté.
Elle bougeait de plus en plus vite, et son souffle s’accélérait. Je commençai à masser ses seins, et à pincer doucement ses tétons, ce qui provoqua une jolie réaction de sa part. Notre orgasme arriva au même moment, et après ça, nous restâmes dans la même position, moi en elle, le temps de reprendre notre souffle.
Après ça, la nuit fut pleine de réflexion. Depuis que j’avais découvert la nature d’Aalial, trop de choses changeaient. Stéphanie n’était plus la même. Je ne m’en plaignais pas, bien au contraire, nos ébats n’avaient jamais été si fréquents et si intenses, mais je me demandais ce qui pouvait agir sur elle de la sorte. Le sommeil me prit par surprise au milieu de mes réflexions, et je passais une nuit sans rêves. 
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