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Une histoire de famille

Chapitre 6

Avec plusieurs femmes
Que dire de la journée du lendemain ? Je la passais dans un état de stress permanent. Je savais que ce qui allait se passer le soir allait tout changer. Dans quel sens ? Est-ce que ma vie et mon couple allaient voler en éclats ? Est-ce que tout allait se passer pour le mieux ? Je m’imaginais des tonnes de scénarios, tous les plus improbables les uns que les autres. J’éxécutai machinalement mon travail en pensant à autre chose, et il me tardait d’arriver à la soirée. Dès que je pus quitter le boulot, je rentrai chez moi en attendant Stéphanie, pour qu’on puisse partir ensemble. Je faisais tout pour ne pas paraître stressé, mais je doute d’y être arrivé. Quoiqu’il en soit, ma femme ne me le fit pas remarquer.
Nous arrivâmes dans notre future maison vers 18h45, et Sylvie vient nous ouvrir avant même que nous ayons sonné.
— J’ai entendu la voiture, expliqua-t-elle. Entrez, je nous ai préparé un apéritif.
La table basse était en effet couverte de divers amuse-bouches, de trois verres, et d’un saladier de ce qui ressemblait fort à punch planteur fait maison
— Eh bien, dit Stéphanie, tu as mis les petits plats dans les grands !— Entrez et mettez vous à l’aise, je vous en prie.
Elle nous servit à chacun un verre de punch. Il était très sucré et très frais, le genre de boissons qu’on dirait préparée pour cacher un certain degré d’alcool. D’ailleurs il ne fallut que quelques minutes pour que le rouge monte aux joues de Stéphanie. Nous étions en train de parler de tout et de rien quand Sylvie se tourna vers moi et me dit
— Julien, mon chou, il y a des petits fours à la cuisine, tu veux bien aller les chercher ?— Bien sûr.
Stéphanie pouffa légèrement au "mon chou", signe que la boisson faisait son effet.
Je me rendis dans la cuisine, me demandant comment on allait enfin aborder le sujet qui nous tenait à cœur. quand je vis une enveloppe à mon nom posée contre le four. Surpris, je la pris et je l’ouvris. Dedans il y avait un petit mot manuscrit
Attends dix minutes avant de revenir au séjour, je vais lui parler
Elle avait donc tout prévu, et cela me rassura. Ce n’était plus à moi de commencer une conversation qui pouvait devenir difficile. Je n’avais pas pris mon téléphone, alors je me mis à faire les cent pas en regardant l’heure régulièrement. J’essayais d’écouter ce qui se disait de l’autre côté de la porte, mais je n’entendais qu’un vague brouhaha indéchiffrable. Ce que je distinguais le mieux était la musique d’ambiance.
Ces dix minutes ma parurent une éternité. Mon destin était en train de se jouer à trois mètres de moi.

Lorsque le temps se fut enfin écoulé, je revins au séjour, me demandant si la discussion était terminée. Je faillis laisser tomber le plateau de petits fours en entrant dans la pièce. Stéphanie était assise sur un fauteuil, la tête en arrière, la robe relevée jusqu’au cou. Sa jambe droite était relevée sur un des dossiers, et à son pied pendait sa culotte. Aalial était à genoux en face d’elle, et sa langue caressait le clito de ma femme. Pendant que sa main gauche pétrissait les seins de Stéphanie, elle lui introduisait deux doigts dans la chatte et un dans son cul. Je restai bouche bée, et je bandai immédiatement. J’eus l’impression qu’il y avait un ressort dans ma bite, et je passai du repos à l’érection en un quart de seconde. Je posai le plateau sur un meuble, ce qui fit un petit bruit. Stéphanie, surprise, releva brusquement la tête. Elle me regarda, les yeux écarquillés, comme si elle sortait d’un rêve. Elle fit mine de se lever, mais la main d’Aalia la recolla sans ménagement sur le fauteuil. Elle me regarda encore une ou deux secondes, puis l’impression de surprise disparut et elle se laissa de nouveau aller à son plaisir. 
Je me désapai prestement, et je vins mettre mon sexe devant la bouche de ma femme. Elle le goba immédiatement. Elle me suça de façon goulue, frénétique, sans essayer de me faire du bien. Elle ne faisait aucun effort pour utiliser ses mains, car elle ne le pouvait pas. Elle était ailleurs, et sur le point d’avoir un orgasme explosif. Quand il arriva, elle prit tout ce qu’elle put en bouche et ne bougea plus. Ma bite était un étouffoir pour ses cris de plaisir, et le bonheur qu’elle me procurait était immense. Jamais avant ce moment je n’aurais imaginé Stéphanie dans une telle position. 
Aalia s’éloigna un peu, et s’assit sur le canapé, jambes écartées. J’en profitais pour la regarder. Elle avait pris l’apparence d’une femme de notre âge, rousse, aux ventre plat et aux tout petit seins. Son sexe était totalement épilé. Elle écarta ses lèvres, regarda ma femme et lui dit :
— à toi maintenant…
Ma femme ne se fit pas prier et se jeta à quatre pattes pour s’occuper d’elle. Elle la lécha avec la même frénésie que pour ma bite quelques instants plus tôt. Et d’une main, elle s’écarta les fesses pour m’inviter. Invitation que je ne pus refuser. Je glissai mon sexe dans sa fente humide d’un seul coup, puis je ressortis et me positionnai sur son petit trou. J’appuyais doucement pour faire rentrer d’abord le gland, lentement. Stéphanie me manifesta son approbation en poussant de petits gémissements. Puis je fis quelques allers retours, gagnant quelques millimètres à chaque fois, jusqu’à ce que je puisse coller mes hanches à ses fesses. Hanches que j’agrippai pour me pousser le plus profondément possible en elle. Elle pousse un petit gémissement de surprise/douleur quand je fus au plus profond d’elle, mais elle remua doucement ses fesses pour m’inciter à bouger. Comme toujours, je ne sais rien refuser aux femmes, alors j’obéis.
C’était magique, je me croyais dans un autre monde. J’étais en train de sodomiser ma femme pendant qu’elle en léchait une autre. Aalia me souriait en se mordant les lèvres, la bouche encore luisante de la cyprine de Stéphanie. C’était ma première fois à trois. Il y a encore quelques mois, je n’imaginais pas qu’une telle chose puisse m’arriver, et j’en profitais à fond.
Aalia jouit en premier. A ce moment, elle prit la tête de ma femme et la colla contre sa fente pendant quelques secondes pendant qu’elle s’abandonnait à son plaisir. Stéphanie porta sa main vers son sexe, se masturba rapidement pendant que je la ramonais, et eut un orgasme quelques instants après, et sentir les contractions de son cul sur ma bite vint à bout de ma résistance. Je sortis juste à temps pour lancer de longs jets de sperme sur ses fesses et sur son dos.
Nous nous écroulâmes tous dans les bras les uns des autres sur le canapé. On peut dire que la glace était brisée.
Il ne nous suffit que de quelques minutes pour de nouveau nous caresser, et rapidement nos corps se mélangèrent de nouveau. Je me souviens de mes deux compagnes en train de se partager mon sexe, me suçant goulûment. Je me souviens de caresses, de corps fusionnant. Je n’avais jamais connu une telle frénésie de sexe, et cette soirée restera gravée longtemps dans ma mémoire.
Comment décrire les mois qui ont suivi ? C’est assez simple, on baisait tout le temps. Avant que l’on déménage, Aalial venait nous "aider" à la maison pour faire les cartons. On profitait de chaque moment de calme pour baiser. Puis le déménagement, et la même chose dans ce qui était l’ancienne maison de mon grand père. Dès que Thomas était au lit, on se retrouvait tous les trois, et la luxure prenait le dessus. Pendant la nuit, il nous arrivait de nous réveiller, et inévitablement, on baisait. Le réveil était mis une heure plus tôt pour qu’on ait le temps de forniquer avant d’aller bosser. 
Nos ébats, bien que réguliers, étaient toujours originaux. Le plus souvent, on baisait à trois. Parfois, à deux pendant que le troisième regardait et se reposait. Le plus souvent, c’était Aalial et moi, un peu moins souvent Stéphanie et moi. Ma femme avait acheté un gode ceinture réservé à cet effet, et j’avoue que me délectais quand j’avais l’occasion de les regarder s’en servir. 
Bien sûr, le fait qu’Aalial change d’apparence ajoutait du piment à nos parties fines. Il y a eu des moments où elle prenait l’apparence de Stéphanie, et dans ce cas là, je ne savais plus si je prenais ma femme ou ma succube. Toutes deux semblaient s’amuser beaucoup de cette situation. En dehors de cet exemple précis, elle trouvait toujours une apparence qui nous comblait tous les deux. Parfois plus jeune, parfois plus âgée, parfois experte, et souvent inexpérimentée, ce qui faisait monter notre libido en flèche, surtout quand nous utilisions sur elle divers accessoires pour restreindre ses mouvements. 
Nous dormions peu, mais paradoxalement, nous n’avions jamais été aussi en forme. Nos activités professionnelles n’en pâtissaient pas, bien au contraire. J’avais l’impression de faire des miracles au boulot. Mon activité de manager était au top. Je rayonnais de confiance, et mon équipe le sentait. J’ai même cru remarquer que les femmes dans mon équipe me regardaient souvent avec une pointe d’envie. J’ai même vu que certaines ouvraient un bouton de leur corsage quand elles venaient me parler dans mon bureau.J’avais l’impression d’avoir absorbé une légère partie du pouvoir d’Aalial, et il me semblait comprendre naturellement ce que les gens attendaient de moi. Je savais quand écouter, et je savais exactement quoi dire pour motiver mes commerciaux, et les amener à faire exactement ce que j’attendais d’eux. Quand quelqu’un me parlait, je savais quel était son état d’esprit, s’il me mentait ou non, et je savais ce que je devais dire, quelle attitude adopter, soit pour le conforter, soit pour l’amener dans une posture différente de celle qu’il avait au début de notre entretien. 
Est-ce que j’ai usé de ce nouveau savoir pour coucher avec une collaboratrice ? Vous n’avez aucune preuve. En plus, elle suçait beaucoup moins bien que ma femme, même si le fait que ce soit la première fois pour moi que quelqu’un passe sous le bureau (littéralement) a été un moteur puissant de mon excitation.
Pour sa part, Stéphanie obtint une augmentation substantielle. Je ne sais pas si comme moi elle avait une nouvelle capacité à manipuler les gens, ou si elle a couché. On n’en a jamais parlé. 
Sexuellement, j’étais au sommet. Familialement, j’étais au sommet. Professionnellement, j’étais au sommet.
Le problème avec les sommets, c’est qu’on ne peut que descendre.
Ou tomber.
Pour moi, la chute eut lieu un dimanche, le 13 mais 2018, dans l’après midi.
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