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Une histoire impossible, deux histoires impossibles...

Chapitre 1

Que sont-ils en train de faire ?

Avec plusieurs hommes
— Ah, ça y est, tu es réveillé !
J’émerge péniblement de mon demi-sommeil. Au fur et à mesure que mon cerveau reprend contact avec la réalité, je réalise plusieurs choses successives.Le réveil indique une heure et dix-sept minutes. Je ne dormais pas depuis longtemps.Je me sens délicieusement bien. La couette est douce et chaude sur mon corps nu.La couette ? Non, c’est autre chose… C’est plus doux que ça, plus tendre que ça. On dirait… de la peau. Serait-ce Elie, ma petite amie, qui serait venue me réveiller pour un câlin ?
Mais il y a autre chose... Une voix m’a parlé à l’instant... Une voix de femme. Mais ce n’était pas la voix d’Elie !— Lisa ?!
La révélation agit comme un électrochoc, et je me réveille cette fois immédiatement et instantanément.Mes yeux déjà accommodés à la pénombre confirment mon intuition : cette longue chevelure ondulée flamboyante, ces beaux yeux verts décorés d’un grain de beauté sous l’oeil gauche, ces formes si parfaitement harmonieuses… C’est bien Lisa, ma colloc’, qui s’est glissée dans ma chambre et sous mes draps pendant que je dormais. Il ne me faut que quelques secondes de plus, une sensation sous mes mains et un ravissement de l’œil pour constater… qu’elle est aussi nue que moi.— Lisa, tu t’es trompée de chambre ! m’exclamé-je, affolé.— Pas du tout ! me répond-elle avec un petit rire mutin. Je suis exactement là où je veux être…
Sur ces mots, elle se met à déposer de sensuels et humides baisers dans mon cou, à me mordiller et me suçoter le lobe de l’oreille, à se rapprocher dangereusement de mes lèvres… Je peine quelques secondes à comprendre ce qui se passe, le cerveau encore embrumé par la fatigue et encombré par toutes les informations inattendues qu’il reçoit.Elle doit se rendre compte de ma réaction - ou plutôt son absence - car elle s’interrompt.— Chuut, ça va, t’en fais pas ! tente-t-elle de me rassurer. Elle ne viendra pas se coucher avant longtemps, on est tranquilles pour un moment !
Malgré la situation, sa voix et son ton apaisants me calment suffisamment pour que je reprenne peu à peu mes esprits. La soirée me revient progressivement en tête.

Après quelques semaines de relation, j’ai fini par convaincre ma timide Elie de venir passer une soirée à la maison. La jeune femme, une frêle petite brune aux longs cheveux lisses, est très pudique : elle insistait systématiquement pour que nos nuits ensemble se passent dans son petit appartement d’étudiante isolée, plutôt qu’encadrées par les chambres aux murs fins d’Aymeric, Lisa et Clément, mes trois colocataires. Pour la convaincre de venir rencontrer ces derniers le temps d’un week-end, j’ai dû lui promettre que la soirée serait calme : seulement nous cinq autour de quelques jeux de société et surtout, pas de folies une fois couchés, potentiellement audibles depuis les chambres voisines.
Malgré ses réticences, la rencontre s’est très bien déroulée, et elle s’est assez vite bien entendue avec tout le monde. Lisa nous a fait profiter d’une partie de sa vaste collection de jeux de société, que nous avons accompagnés d’un certain nombre de bouteilles de breuvages divers et variés; un mélange qui facilite généralement bien la naissance de nouvelles amitiés.

Après quelques heures d’un jeu aux règles bien trop nombreuses et compliquées, Clem a proposé de continuer de manière plus tranquille avec un poker. Moi-même n’étant pas fan de ce jeu car incapable de bluffer correctement, et éreinté par ma semaine, j’ai profité de l’occasion pour aller me coucher.Je pensais qu’Elie me suivrait, mais échaudée par sa défaite au jeu précédent ainsi que par quelques verres, elle m’affirma qu’elle me rejoindrait plus tard, une fois sa revanche prise. Pas de problème pour moi : j’étais plus qu’heureux de la voir s’acclimater, et trop fatigué pour lutter de toute façon, même si je l’avais voulu. Les escaliers gravis jusqu’à l’étage de la maison, je disparus dans ma chambre, jetai mes vêtements à côté du lit, me glissai sous les draps et m’endormis instantanément.
Du moins, jusqu’à ce que Lisa vienne s’allonger sur moi, dans ma chambre, dans le plus simple appareil…

— C’est une sacrée mauvaise joueuse ta copine, tu sais ? Elle perd en boucle, mais elle ne lâche pas l’affaire, elle n’a pas l’air de vouloir arrêter tant qu’elle n’aura pas rattrapé toutes ses défaites. Et les mecs ne veulent vraiment pas la laisser gagner, surtout depuis le changement de règles...
Quoi ? De quoi elle parle ?— Quel changement de règles ? marmonné-je de ma voix encore mal réveillée qu’un soupçon de panique vient teinter.— Ben, tu sais… Elle est vraiment nulle au poker. Elle a perdu tous ses jetons en, genre, vingt minutes. Ça nous a fait marrer, mais elle ne voulait pas en rester là. Tout le monde était un peu alcoolisé en plus, alors, ils ont décidé de continuer… en strip poker.
Ces derniers mots me font l’effet d’une décharge. Ma si pudique Elie, prête à risquer de se dénuder complètement devant des hommes qu’elle ne connaissait pas six heures plus tôt, pour un jeu ? J’ai du mal à le croire.— Moi j’en ai profité pour arrêter là. Ce n’était pas pour eux que je voulais me déshabiller ! poursuit-elle avec un sourire aguicheur. Mais elle… elle avait vraiment l’air motivée pour continuer ! Une si fragile jeune femme qui joue à ce genre de jeu, seule avec deux hommes… Je suis curieuse de savoir comment ça va finir pour elle, pas toi ?
Les images s’imposent à mon esprit sans que je puisse les maîtriser. Je vois comme si j’y étais ma copine, si timide, si innocente, retirer ses vêtements un à un devant eux. Libérer ses petits seins devant leurs yeux, lentement mais inévitablement. Faire glisser sa petite culotte le long de ses hanches jusqu’à ce qu’elle tombe à ses pieds, après avoir été un instant retenue par les lèvres humides de sa vulve qui attirerait fatalement à elle tous les regards…
La jalousie me fait bouillir le crâne, mais également…— Oh mes dieux, mais ça t’excite, petit pervers ! se moque-t-elle. Tu ne peux pas me mentir là-dessus, là, tu sais… Je te sens bander comme un fou contre mon ventre !
Je constate avec désarroi qu’elle a raison. Mon sexe est droit comme un i entre mes jambes - et si près du sien… Et si j’essaie de me rassurer en mettant cette réaction sur le compte de la présence de ma colloc’ nue sur moi, je sais au fond de moi que cette situation imaginée n’y est pas pour rien non plus…— Qu’est-ce que ça fait de l’imaginer se déshabiller comme ça, devant deux hommes ? Il pourrait se passer n’importe quoi…
Elle ponctue chaque phrase d’une série de baisers humides, ici sur ma poitrine, là dans mon cou… Et moi, je suis figé.Je n’ai aucune raison de croire que ce qu’elle me raconte est bel et bien en train de se passer, mais les images continuent de s’imposer dans mon esprit, encore et encore... Mon cerveau est en ébullition, la jalousie me dévore, mais je ne bouge pas d’un pouce.
— Bien sûr, poursuit-elle, tu pourrais te lever pour aller les interrompre ! Mais je ne suis pas sûre que ce soit ce que tu veux vraiment…— Pourquoi je voudrais pas ? articulé-je maladroitement.
Elle rit franchement; et en voyant son visage, son sourire, et son corps dans la pénombre, je réalise que je connais la réponse avant qu’elle me la dise :
— Ne fais pas l’innocent ! Je t’ai vu me mater toute la soirée. Tu ne me regardais pas souvent dans les yeux… Je remarque toujours quand tu me regardes, tu sais ! J’adore sentir ton regard sur moi. A vrai dire, je me débrouille souvent pour que ça se produise. Mais ce soir, je suis pas la seule à avoir remarqué…
Le premier réflexe qui me vient à l’esprit est le déni, mais cette réaction est balayée avant même de sortir de ma bouche.Je ne suis pas un infidèle habituellement. C’est vrai que j’ai louché plus d’une fois sur les formes généreuses de Lisa, quand elle sortait de la salle de bain en peignoir, ou de sa chambre en petite tenue… Oui, j’ai souvent fantasmé, je l’avoue, mais sans jamais envisager aller plus loin que le simple fantasme, justement.
Ce soir en revanche… Je l’ai regardée plus que de raison. Il faut dire qu’elle était particulièrement sexy aujourd’hui. Ai-je vraiment été aussi peu discret que ça ? Et… Merde, Elie aurait remarqué ?
— Bien sûr qu’elle a remarqué. Tout le monde a vu ! Je crois que ça ne lui a pas trop plu d’ailleurs… Je me demande si elle perd ses parties exprès, pour te faire payer ton comportement ? Elle est peut-être déjà à poil en ce moment-même…
Et elle continue, et continue à m’asticoter. Et moi je reste toujours aussi inutilement immobile, déchiré par deux sentiments contradictoires.
— Alors, que vas-tu choisir ? reprend la belle rousse au creux de mon oreille. Me repousser, sortir en courant de cette chambre, et sauver la petite Elie des griffes de deux mâles en rut ? Ou bien… les laisser faire ? Les laisser s’approcher, l’embrasser à tour de rôle. Caresser tous les endroits les plus intimes de son corps… Sortir leurs queues devant sa petite bouche… Tu peux les laisser faire tout ça, et plus encore… et profiter de mon corps. Tromper ta petite amie et réaliser tous les fantasmes que tu as pu avoir avec moi. Tout ce que tu as à faire, c’est me dire ce que tu veux vraiment…
Je deviens fou. Mon cerveau surchauffe, mon cœur bat à tout rompre.Elle formule à haute voix les pensées qui s’imposaient déjà à moi, et chaque mot les rend plus réelles dans mon esprit. La vision de ma chère Elie, soumise volontaire aux assauts lubriques de mes deux colocs, s’impose si fort à moi que je crois la voir devant mes yeux. Je sens presque la chaleur de son corps nu brûlant d’excitation alors qu’ils s’insèrent en elle.Mais la réalité est devant mes yeux et s’impose plus fort encore. La belle Lisa, dont j’ai tant et tant rêvé, est là devant moi, sur moi, m’enveloppant de la chaleur et de la tendresse de son corps, et tous mes fantasmes la concernant refont surface, se superposent aux images terribles qu’elle tente de m’imposer.
Je la regarde et pendant un bref instant le torrent d’émotions semble s’apaiser. Derrière le visage moqueur, il me semble déceler un désir brûlant, presque… suppliant.Je l’envoie brusquement rouler sur le dos à côté de moi, et pendant une brève seconde, elle semble encore plus torturée que moi. Puis je fonds sur elle et l’embrasse à pleine bouche.
Elle gémit longuement de satisfaction alors que nos langues s’apprivoisent, se caressent, s’emmêlent. Je réalise à peine le choix que je viens de faire, mais je continue malgré tout à l’embrasser avec fougue.
— Je savais que c’était moi que tu voulais... me semble-t–il l’entendre lâcher dans un souffle avec satisfaction alors que nos lèvres se séparent.
Je m’abandonne alors complètement à elle, lui dis tout ce qu’elle veut entendre, toutes les pensées lubriques que j’ai pu avoir en la regardant. Comment toute la soirée j’ai imaginé la déshabiller, admirer son corps magnifique sous tous les angles, comment j’ai fantasmé de la prendre dans toutes les pièces de la maison. Je ponctue chacune de mes phrases de baisers sur chaque parcelle de sa peau. Elle soupire, étouffe au mieux ses gémissements pour ne pas être entendue, et me chuchote de continuer mes mots et mes caresses. 
Ma tête entre ses cuisses, je m’enivre de sa chaleur, de sa douceur, de son odeur. Mes lèvres fondent sur les siennes, les écartent doucement, s’humidifient de sa mouille, forment un cocon autour de son clitoris. Son bassin s’agite, elle peine à retenir sa voix. Je la vois se pincer les lèvres pour étouffer ses gémissements, alors qu’elle me regarde m’affairer sur sa vulve. Bon sang, elle est si belle ainsi. Quels regrets pourrais-je avoir à cet instant avec une vision pareille ?
Elle renverse la tête en arrière alors qu’un de mes doigts s’insinue en elle, rapidement suivi par un autre. Sa respiration se fait plus sonore, plus haletante ; je sais que nous devons être discrets, mais j’insiste malgré tout. Je me délecte de son plaisir. Ma langue s’affaire, mes doigts frottent, s’agitent, accélèrent, ses mains m’agrippent les cheveux pour m’intimer à continuer, jusqu’à ce qu’enfin elle s’immobilise, tous les muscles tendus, le visage figé en un cri silencieux.
Je retire doucement mes doigts et les porte à ma bouche pour goûter une dernière fois sa cyprine. Elle reprend peu à peu ses esprits, tandis que je remonte lentement vers son visage, déposant de doux baisers partout sur sa peau. Nos lèvres s’unissent à nouveau pour un baiser profond.
Je l’admire un moment alors qu’elle reprend son souffle. J’ai rêvé la voir ainsi, affaissée sur le dos, en sueur, les cheveux ébouriffés, terrassée par le plaisir, et aujourd’hui cela s’est produit. Mon cœur se serre alors et je repense à Elie. Je viens de la tromper. Voilà quelque chose que je n’aurais jamais pensé faire.En même temps, je ne peux m’empêcher de repenser au récit de Lisa…
Et elle aussi y pense apparemment.— Alors… Qu’est ce qu’ils font à ton avis ? me demande-t-elle.
Je détourne le regard, honteux de ce que je viens de faire, et tentant en vain de refluer les images qu’elle tente de m’infliger.— Oh, allez ! insiste-t-elle. J’adore comme ça t’excite de l’imaginer !
— Je pense, poursuit-elle, qu’elle a continué à perdre, encore et encore. Je pense qu’elle l’a fait exprès. Qu’elle s’est dit que s’offrir à tes deux colocs, c’était finalement une manière très agréable de te punir. Je pense qu’elle a enlevé tous ses vêtements, un par un, jusqu’à ce qu’elle n’ait plus que sa culotte trempée de mouille à leur donner. Et quand elle n’a plus rien eu pour payer… Je parie que c’est elle qui a proposé de leur faire du bien pour les récompenser de leurs victoires.
Elle me torture et elle le sait. Le scénario est si improbable, et pourtant, je ne peux m’empêcher d’y croire à moitié. Au-delà de cette chambre plongée dans la pénombre, et de cette porte fermée, tout semble possible en ce moment. L’improbable s’est bel et bien produit à l’intérieur, alors pourquoi pas dans le salon, un étage en-dessous…
Elle poursuit son récit pervers, je sens l’excitation que ça lui provoque... et à moi aussi. Pourquoi ça me fait bander aussi fort d’imaginer ma copine me tromper ainsi ?
Je relève la tête, son expression déborde de malice. Et elle continue :— Je pense qu’en ce moment, elle est à genoux, avec une belle queue épaisse qui glisse entre ses lèvres… et la deuxième, la longue bite d’Aymeric bien enfoncée dans sa chatte. Et qu’elle a l’intention de les laisser jouir à l’intérieu-hhhhhooo !
Fou de désir et de jalousie mêlées, je la pénètre avec force, à la fois pour la faire taire et assouvir mes pulsions. Je comprends un peu tard à quel point j’ai joué son jeu.
Elle continue à me gémir ses obscénités. Elle me raconte comment ma sage petite amie se fait baiser en ce moment-même par deux hommes qu’elle ne connaissait pas il y a seulement quelques heures, et comment sa chatte déborde tellement de leur foutre qu’elle en finira forcément enceinte au petit matin. Comment ses seins sont plaqués contre le plan de travail de la cuisine que j’utilise tous les jours, alors qu’ils la prennent en levrette dessus à tour de rôle. Comment ils répandent le mélange de leurs jus sur le canapé de notre salon, à l’endroit exact où je m’installe habituellement. Comment la bouche qui m’embrassera demain matin aura sucé avec avidité leurs queues et avalé leur sperme.
Et plus je l’entends, plus je la pénètre avec acharnement, et plus ses phrases deviennent décousues et saccadées, interrompues par la force de mes coups de boutoir et ses exclamations de plaisir non contrôlées. La situation m’excite plus que je ne l’ai jamais été, et je ne peux me retenir longtemps. Avec une dernière insertion de toute la longueur de mon sexe dressé au fond de ses chairs, l’orgasme le plus intense de ma vie me foudroie et je me décharge en elle. Le plaisir m’envahit, inonde complètement ma tête et mon corps, et je m’effondre sur Lisa.Je la sens me caresser les cheveux, le visage, m’embrasser. Je sens son souffle chaud sur mon visage, alors que je tente à mon tour de reprendre mes esprits. 
Quand je rouvre les yeux, je vois qu’elle me fixe, cette fois avec une infinie tendresse. Émue, elle murmure à mon oreille, comme un secret :— J’en avais tellement envie… depuis si longtemps. Tu m’as choisie cette nuit. Je suis si heureuse...
Je m’affale à côté d’elle sans la perdre des yeux. Je ne songe même pas à lui donner tort. Malgré la situation, malgré la jalousie qu’elle m’a provoqué, je n’ai pas fait un mouvement en direction d’Elie. Je l’ai choisie elle. Je peine encore à déterminer comment je me sens vis-à-vis de ce choix…Je laisse tomber pour le moment, je ne suis pas en état d’interpréter tout ça maintenant.
Elle m’embrasse une nouvelle fois et je ne songe même pas à la repousser. Puis elle s’extrait des draps et récupère ses vêtements qu’elle a laissés en tas à côté du lit.— Je devrais retourner dans ma chambre maintenant… juste au cas où ! déclare-t-elle en se rhabillant rapidement. Je profite de la vision de ses seins nus une dernière fois avant qu’elle les cache sous le fin tissu de son haut. J’ai le temps d’apercevoir mon sperme couler le long de sa cuisse avant que sa culotte ne vienne le cueillir en remontant.Je grave cette vision en mémoire, souhaitant ne jamais l’oublier.
Elle entrouvre doucement la porte, jette un œil discret pour s’assurer que personne ne soit derrière. Puis, alors qu’elle se glisse dans l’ouverture, elle m’adresse, avec à nouveau ce sourire malicieux :— Mais, tu sais… Si elle met trop de temps à venir se coucher… Ou si elle va se coucher dans un autre lit… Tu pourras toujours venir me rejoindre si tu veux !
La porte se referme alors sur son doux visage, me laissant perdu dans mes pensées.
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