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Une histoire ( pornographique) de famille...

Chapitre 1

Une soirée entre mecs.

Inceste
C’est sympa les petites soirées entre potes, surtout quand il y a de l’alcool, et qu’on a un truc bien excitant à raconter...à trois mecs "morts de faim" !Mes trois meilleurs potes du moment : Xavier l’intello de la bande, Greg le sportif et Lucas, le timide.Un point commun à tous les quatre : l’absence pathologique de relations suivies avec les filles.Pour le dire d’une autre façon : 4 mecs “relous” avec les filles (je m’inscris dans la situation), qui n’avaient pas encore bien compris l’insondable mystère de la Nature Féminine. Nos petites réunions, emplies de relents de testostérone, se partageaient entre l’ambiance d’une réunion des "alcooliques anonymes" et d’un cercle littéraire de niveau SEGPA !Évidemment, quoique parlant la langue de Voltaire, nous n’avions point les circonvolutions littéraires et poétiques d’un Du Bellay ou d’un Ronsard !
— Heureux qui comme Kevin s’en est retourné à son bahut, et a réussi à choper la salope, et à la lui mettre dans’l’... !
Nous étions un peu le "Cercle des poètes bien, mais alors vraiment bien disparus", et comme "Les bûcherons de la forêt de Gastine" de Ronsard, nous ne pensions qu’à nous servir de nos engins, pour frayer (au choix verbe transitif ou intransitif) un chemin dans la végétation... blonde, brune, ou rousse, voire carrément rasée, suivant les goûts !
Ah, La Femme ! C’était notre Némésis et notre Athéna Nike (ou avec "QU", au choix...) en même temps ! Notre plus grand malheur, notre plus grande déception et en "même temps", comme le dirait un Grand Président, dont je suivais les vœux du Nouvel An, une bouteille de vodka et une boîte de caviar Béluga à portée de main (la vodka pour oublier l’année désastreuse passée, et le caviar comme un espoir de prospérité pour l’année suivante), notre plus belle victoire espérée, notre objectif vital : mettre dans le mille et décharger, en bouillonnements jaillissants intempestifs, le trop-plein d’énergie (fossile), comme L’Amoco-Cadiz déchargeait ses milliers et ses milliers d’hectolitres de pétrole (Pouic pouic !) dans une nature immaculée (pas de jeux de mots), vierge, et délicatement gazonnée de touffes de lichens aux suaves senteurs marines, dans un ruissellement d’écumes marines et de glaires.
Mais il fallait bien croire que nos projets concernant le Beau Sexe, faisaient le même effet aux délicieuses "farfadètes et korigannes" (désolé, il n’y a pas de féminin, j’ai dû m’adapter) qui hantaient nos couloirs de fac, qu’aux habitants de la douce Bretagne, quand on leur parle de pétroliers... et de déversements liquides impromptus !Elles étaient d’ailleurs aussi difficiles à "attraper" (nous, on aurait dit " pécho") que dans les légendes bretonnes !Alors pour nous, sévissait chaque soir, le désespoir de "l’Ankou" de nos braguettes moribondes, uniquement ramenées à la vie par un vigoureux mouvement du poignet ! Triste nature humaine ! Parce que malheureusement, si l’Ankou embarque avec sa charrette, les cadavres des morts, on ne peut pas dire qu’il nous ramenait des brouettes de gonzesses, mais je m’égare... gare au gorille !
Alors quand on se réunissait de temps en temps, on ne parlait que de cul ! Des histoires courtes, plus ou moins fantasmées avec les filles de notre entourage à la fac. Greg venait de terminer le récit plus ou moins réel, de son soi-disant trio, avec Virginie et Sophie, deux des plus belles bombes du cours de TD. Bon, attention, ce n’était pas non plus le dernier Marc Dorcel...
— Ouais pas mal... si tout est vrai de A a X !? répliquai-je, un peu désabusé.— Quoi ? Tu me traites de menteur ? me rétorqua un Greg, passablement vindicatif.— Cool ! Je ne dis pas ça... mais que tu as peut-être un peu fantasmé, enfin... embelli ta soirée !— Ah bon, parce que toi tu en aurais une histoire de cul, à faire bander un âne ?— Anne, Anne ne vois-tu rien venir ? Et bien, justement oui ! Mais elle est un peu longue, comme la queue dudit ! Xavier, tu as des munitions ?— Ouais, y a encore trois packs de bière ! Bon allez, accouche, sinon on va te faire "la peau", Charles Perrault ! !— Alors voilà, c’était au mois de juin dernier...”


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Un repas de famille... très chiant quand on a 20 ans, et qu’on aurait préféré être avec ses copains pour brancher des filles. Surtout que ladite famille était à environ 8 heures de route de mon domicile. Aussi, pas moyen de se retrouver entre jeunes... je n’étais pas sur mon territoire. Et puis de toute façon, pas moyen de s’échapper du carcan familial. Il y avait les visites aux cousins bidules, la tante machine, le neveu truc... dommage qu’il n’y ait pas eu la belle-sœur salope... des gens que je n’avais connus, et encore, qu’à l’âge de trois ans maximum, avant que mon père ne se fasse muter à l’autre bout de la France.
Ah si, dans ce marécage d’inconfort, un seul petit truc sympa... et encore. Quand on est en manque de filles et de sexe, et qu’on a les hormones qui bouillonnent, et la testostérone qui jaillit du bout de son nez, on s’excite au moindre truc... jugez plutôt...
Nous étions logés, mes parents et moi, chez la tante Marlène, la sœur de mon père, dans une jolie maison, avec un joli jardin, un joli gazon (béni celui-ci), un joli intérieur, une jolie vaisselle, des jolis tableaux... et une très jolie maîtresse d’intérieur. Certes, ce n’était pas "l’Ange bleu" et blond de Berlin, mais j’aurais aussi bien vu un porte-jarretelles et des bas, sous les dessous de celle-ci aussi ? Ach Gut !Marlène avait des cheveux bouclés blonds ; une silhouette très mince avec une poitrine pigeonnante. Elle savait mettre ses seins en valeur, la salope ! A 47 ans, elle avait encore énormément de charme, une attraction sexuelle considérable sur tous les mâles qui l’approchaient, dont moi... et parfois même sur les femmes. Parfois, j’avais envie de lui dire : Tata, fais-moi Lily Marlene !
" Vor der Kaserne,Vor dem grossen tor,Stand eine laterne, Und steht sie nor davor... "Certes, je ne suis pas un "Landser" et encore moins un "Panzergrenadier" revenant du front de l’Est, mais j’ai été confronté à un ennemi aussi cruel que le "Frontovik" communiste ! La Femme française ! Moi aussi j’ai besoin d’un peu de réconfort ! Et comme le premier, je vais finir la queue entre les jambes ! pensai-je malicieusement.
Femme au foyer, noyée dans un luxueux intérieur, je me demandais parfois à quoi elle pouvait bien passer ses journées ennuyeuses, à part lustrer ses cuivres avec amour. Bien que j’aurais amplement préféré qu’elle me lustra autre chose... du bout de ses petits doigts manucurés !

Je devais bien avouer qu’elle me faisait fantasmer, avec ses jambes toujours gainées de soie, ses jupes foncées, bien ajustées, et ses chemisiers blancs, toujours déformés par sa majestueuse poitrine ! La nuit, ma main s’égarait sur mon bas-ventre, en imaginant la bourgeoise enamourée, venir me rejoindre, portant des nuisettes aux décolletés pigeonnants. Ce que nous faisions ensuite était facile à imaginer. Car enamourée et délaissée, j’avais l’impression qu’elle l’était quelque peu. Son mari, un cadre supérieur de 53 ans, ne pensait qu’à deux choses. Son travail très captivant, puisqu’il le faisait revenir chez lui à des heures indues de la soirée. Et ses parties de pêche, qui occupaient tous ses week-ends. Et la pauvre épouse dans tout cela ? Personnellement, j’aurais bien voulu être un "pécheur" moi aussi... mais avec elle ! Un pêcheur de poissons et crustacés, plus spécifiquement de moules ou de morues par exemple !
Avait-elle un amant caché, des sorties coquines en ville, des distractions échappant à la bonne morale ? Toutes ces questions envahissaient mon esprit, et me provoquaient de bizarres tiraillements de l’entrecuisse...

Et puis une anecdote... un truc qui peut sembler sans intérêt pour un mec qui baise quand il veut. A vingt ans, ce n’était pas vraiment mon cas, j’étais tout le temps en rut. Alors la moindre phrase un peu équivoque, enflammait très vite mon imagination.L’année précédente, j’avais également eu droit à ce putain de repas de famille. Mais lors de notre retour, après le "fabuleux événement", (heureusement, ils ne versaient pas que du "Champomy"), chez tante Marlène et tonton Louis, ma mère, qui décidément n’en ratait pas une pour me mettre le feu, le problème, c’était qu’elle était rarement là pour l’éteindre ! Bref, elle m’avait donc confié :
— Vois-tu Paul, je me demande si ta tante est vraiment la bonne et fidèle épouse qu’elle semble être...— Ah bon, et pourquoi ?— Des fois, je trouve qu’elle me regarde bizarrement, et ce matin, avant de partir chez tes grands-parents...(marrant, je ressens la même chose), me dis-je "in petto".— Oui et bien quoi ?— Je ne sais pas si je devrais te le dire...”
Ah ça, c’était bien ma mère, toujours entre deux volontés contradictoires. L’âne de Buridan en personne ! Je me disais qu’elle m’en avait trop dit ou pas assez. D’autre part, je la sentais troublée, voire gênée par quelque chose. Ça devait valoir son pesant d’or, car plus coincée que ma mère, tu meurs... et pas de la "petite Mort" ! Elle n’avait jamais su s’habiller un peu sexy, fuyait tout rapport, ou fait concernant la sexualité, comme la peste. Alors, si elle se sentait obligée d’évoquer un comportement équivoque, même vaguement érotique, de la part de ma tante, cela devait être intéressant. Visiblement, elle avait besoin de se confier à quelqu’un. Je décidai de lui tirer les vers du nez.
— Bon alors, tante Marlène t’a dit un truc qui te ferait douter de sa fidélité ? Elle a un amant ?— Non, au fond, c’est presque rien...— Ben alors accouche ! ( ça fera que la seconde fois... je suis fils unique !)— Et bien, voilà. Je venais de me changer, et elle était encore en peignoir. C’était environ deux heures avant notre départ au repas. Elle m’a dit un truc un peu dépréciatif sur ma tenue vestimentaire, me faisant comprendre qu’à 41 ans, il était temps que je m’habille un peu plus sexy, si je voulais garder mon mari, son frère.— Ouais... en un sens, elle n’a pas tort. Mais jusque-là, je ne vois pas en quoi cela peut te faire douter de sa moralité. (En tout cas, elle n’est pas myope ma tante ! Déjà un bon point pour elle !) pensai-je désabusé.— Attends ! Elle m’a dit qu’elle allait me montrer comment s’habillait une femme, qui voulait plaire aux hommes, et les rendre fous !— Ah, ça devient intéressant, et alors ?— Eh bien, elle m’a fait entrer dans sa chambre à coucher, et a tourné le verrou. Puis elle m’a dit de m’asseoir sur une chaise, et de bien l’observer.— Et alors ? (Je commençais à m’exciter... elle commençait à me chauffer, son histoire).— Ben... dit-elle, en bafouillant la suite de sa phrase “

Ah là, ça commençait à être sérieux. Ma mère bloquait littéralement, il s’était passé un truc vraiment pas catholique pour que cette femme douce, imperturbable, paraissant insensible au sexe... des fois, je me demandais comment j’étais arrivé au monde, se trouble de cette façon, en ne pouvant pas raconter la suite de son histoire. Elle était tout rouge, et elle" buguait" littéralement. Bon, il allait falloir que je sois un peu abrupte !
— Bon maman, tu es chiante ; tu commences une histoire, et tu t’arrêtes quand ça devient intéressant. A mon avis, elle a enlevé son peignoir, a mis ses fringues au-dessus de ses sous-vêtements, et t’a montré sa jolie nouvelle petite robe. Fin de l’histoire ! Pas de quoi fouetter un chat. Qu’est-ce que tu peux être cruche par moments. Je me demande vraiment comment tu as fait avec papa. — Ben non...— Quoi, ben non ?— Elle a enlevé son peignoir... mais elle n’avait pas de sous-vêtements.— Attends, elle était à poil devant toi ? Nooon...— Ben si.— Et alors ?— Quoi ?— Comment elle est gaulée. Putain, ma tante à poil devant ma mère ! criai-je presque, complètement excité.— Ben elle était nue...— Oui ça, je sais, mais comment elle est foutue ? Sa chatte, ses nibards... elle est rasée ou pas ?— Elle... elle a un pubis blond. Un triangle bien entretenu. Elle a une, un... des organes sexuels très proéminents. — Tu veux dire qu’elle a de grosses lèvres à la chatte ! Oh putain ! Et ses seins ?— Ils sont... magnifiques. Petits tétons, aréoles brunes, seins en forme de poire. Elle avait les tétons...— Qui pointaient ! Putain, mais elle était excitée alors ?— Je... je sais pas...— Attends, mais excitée... par TOI !! Putain, elle s’est foutue à poil devant toi. Tu l’as matée, et elle était excitée par sa belle-sœur ! Oh putain. La salope ! La salope ! La salooope ! La saloppeuuuh ! La saalooppeuuuh ! “ Décidément dans ma famille, la "Vie n’est pas un long fleuve tranquille !"

Je sentais une érection d’enfer dans mon pantalon... une érection de Minotaure ! Je voyais la situation en imagination. Ma tante sublime, à poil devant ma mère, tétanisée comme une biche dans les phares d’une voiture. Je m’amusais vraiment à lui parler de façon crue. Bon, on n’était pas dans un dialogue à la "Œdipe et Jocaste ", mais bon, c’était plutôt jouissif ! Elle ne pipait mots, ne me reprenait pas. Elle était rouge pivoine ! Complètement soumise à mon interrogatoire, et je le sentais bien excitée par son récit et ce qu’elle avait vécu !Une mère normale m’aurait envoyé chier depuis longtemps, au lieu de me décrire le corps de sa belle-sœur, et de répondre à toutes mes questions vicieuses ! Je sentais un trouble très palpable dans sa description. Ma mère attirée par les femmes... Sappho des temps modernes ! Et qui plus est sa belle-sœur ? Ça commençait à me plaire cette histoire ! Il y avait là un super coup à jouer !
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Je fus à ce moment de mon récit, coupé désagréablement par Xavier, tandis que les autres étaient absorbés par mon histoire :
— Bon, tu veux nous faire croire que tu as baisé ta mère ? N’importe quoi ! A côté, l’histoire de Greg est autrement plus crédible, s’écria Xavier. — Une seconde ! Pour le moment, je ne prétends rien... attendez la suite !— Ouais, laisse-le parler...ça commence à m’exciter grave son histoire. C’est encore long ? dit Lucas. — Si vous voulez tous les déroulements dans le détail, on tient la nuit !— Bon allez vas-y ! termina Greg. File-lui une bière Xav !
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Cette conversation avec ma mère se tenait donc l’année dernière, après le repas de famille annuel. Cela me fit énormément réfléchir.De retour chez nous, rien ne changea à la maison. Ma mère semblait avoir oublié cette histoire, qui d’après moi, l’avait sérieusement émoustillée.Alors je me préparai durant de longs mois, pour le "round" suivant, donc le repas de famille de juin dernier. J’avais échafaudé une série de scénarios plus ou moins "abracadabrantesques", comme disait feu le président Chirac. " Buvons à nos épouses et à ceux qui les montent ! " Comme je n’en avais pas encore, j’espérais vivement me placer dans la seconde catégorie !Et puis je décidai d’aller au plus simple. Demander à ma mère, si cette fois-ci encore, ma tante allait la convier à un nouvel essayage de vêtements... et la convaincre de me le dire.J’avais préparé mon plan... d’une limpidité artistique.
Ici, il faut vous avouer que ma mère est une femme plutôt terne, qui s’emmerde dans son mariage, avec un mari qui ne la regarde plus. Et par conséquent, elle reporte un excès d’attention et d’amour sur moi. Et je me suis aperçu qu’elle était assez facilement soumise à ma volonté... bref, il y avait de quoi profiter de la situation, si ma tante se conduisait de la façon que j’attendais, que j’espérais ô combien !Si j’avais pu et cru, j’aurais "allumé le feu" (d’une bougie) à Lourdes, comme, feu Johnny... ne gardant que Lisieux pour pleurer, en cas d’échec, comme aurait dit un humoriste en salopette bleue !
Nous voici donc en juin dernier... tout le monde suit ? Le matin, quelques heures avant le départ pour le repas, tout se passa comme je l’avais prévu avec ma tante... et même au-delà de mes espérances. Eh oui Dieu est grand, parfois même pour les plus grands pécheurs ! J’irai à Lisieux une autre fois !
Et puis le soir même ; alors que ma mère prenait un bain, les autres étant couchés, je me présentai devant la porte coulissante de la salle de bain, hésitai deux minutes, puis prenant mon courage à deux mains, je pénétrai dans la pièce... avant autre chose ! J’étais tellement excité, que je n’aurais pas eu besoin d’utiliser ma main pour frapper à la porte ! Comme on dit, la nature est bien faite !
Ma mère était nue dans la baignoire, abasourdie par ma présence incongrue, elle cacha ses seins et son sexe de ses mains, dans le bain moussant... précaution complètement inutile, jusque-là, je ne voyais pas grand-chose de son anatomie... mais c’est ma mère... et puis, à bien regarder, ce n’était pas son sens des réalités qui m’intéressait :
— Mais Paul, veux-tu bien sortir ! Je suis toute nue !— Justement ! Je voudrais que tu jettes un petit coup d’œil sur ça...
5 minutes de visionnage dans un silence parfait et une concentration religieuse... du genre de celle qui accompagne l’Immolation de l’Agneau sur l’Autel... Quand on va se balader du côté de Gomorrhe... En voyant la chose, ma mère pâlit, et ne sut que rajouter. Je pris l’initiative.
— Alors voilà comment les choses vont se passer ; calmement, tu vas sortir doucement et je vais te sécher. Tu es certainement toute mouillée... après la performance !
Le poisson était ferré, appâté, il ne fallait pas que d’un "grand coup de queue", il réussisse à s’échapper ! Mais je savais que ma mère allait s’écraser comme une moule...

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— Putain, mais qu’est-ce qu’il fait ce con ? s’écria Xavier alors que je me levai de table.— Ta mère ne veut pas qu’on fume chez elle, n’est-ce pas ? Alors je vais me rouler une clope dehors !— Putain et ton récit ! Tu stoppes quand ça devient le plus intéressant ! éclata Greg.— C’est quoi ce visionnage, vitupéra Lucas.— Elle est bonne ta mère à poil ? renchérit Xavier.— Tu l’as tringlée ? termina Greg.— Tiens, je pensais que j’affabulais...15 minutes d’addiction tabagique, une bonne bière bien fraiche sur la table à mon retour, et pas une Tourtel, un Mars... et ça repart !
Des poètes vous dis-je !
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