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Une histoire ( pornographique) de famille...

Chapitre 7

La température monte...

Voyeur / Exhibition
Excité comme une puce à la pensée de ce qui devait se passer sous les jupes de Régine, la grand-mère de Xavier, cernée, ou plutôt "con cernée", (le con cerné…vous avez compris ???) par deux gougnafiers au "démon des culottes" particulièrement bien en forme, et aux mains de pianistes, qui faisaient résonner toutes les cordes sensibles de la chère Régine, j’ai nommé Greg et Lucas, je tentais de me concentrer sur mon histoire.

Car même si le “cas Régine” semblait évoluer dans la direction désirée, le sentier poisseux, gluant et moite de la fornication inter âges, Nadine, elle, restait encore à conquérir. La nymphette, mère de notre cher Xavier, à qui j’avais fait une promesse qu’il ne pouvait pas refuser, était encore à cueillir. Le fruit tant désiré, n’était pas encore assez mûr à point pour choir dans le jardin d’Eden de nos passions juvéniles et impatientes. La gourgandine gardait encore une nuisette, certes légère sur une poitrine que l’on devinait nue, mais aussi hélas une dernière barrière de coton. Ce dernier rempart d’une sexualité maternelle et mature, qui protégeait l’Astre inatteignable, le Soleil de nos illusions encore bancales pour l’instant : sa chatte !!!!

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“ Ma mère était donc nue, cuisses bien écartées avec un baveux déjà bien luisant, de toutes les avanies que lui avaient fait subir la langue et les doigts experts de sa belle-soeur Marlène…ach, Marlène, le soldat d’élite de la luxure, le "sturmtruppen de toutes les perversions sexuelles”, comme allait s’en rendre compte ma pauvre génitrice.

Car les objets dont s’était déchargée Marlène sur le lit, étaient les outils de la réjouissance sublimée de la soumise modèle. Ce qu’était déjà ma mère, même si elle ne le savait pas encore ! J’ai nommé :
-Le chat à neuf queues, et non pas à 7 vies. Aussi mordant que le compagnon à 4 pattes !
-Le martinet, non pas l’alcool que l’on déguste dans un verre triangulaire avec des olives, mais celui qui fait déguster madame !!
-Le collier, non pas de la reine, car celui-ci était en cuir et non pas en diamants...ou alors la reine des putes !
-Les pinces, non pas à épiler, quoique le pubis bien fourni de ma mère en eut bien besoin, mais à seins, non pas ceux qu’on prie, mais ceux qu’ on pétrit !
-La laisse, en bons maillons de chaîne d’acier, non pas pour promener Mirza, par tous les soirs après sa boîte de pâtée, mais celle pour promener Zara la chienne lubrique, dans les boîtes à partouze !
-Les bougies, non pas pour tenir la chandelle, quoiqu’il arriva qu’un mari candauliste s’y plaise, mais pour allumer madame avec leurs gouttelettes…

“ Mais Marlène, c’est quoi tout ça ? Ça va servir à quoi ? S’écria ma mère, avec un trémolo de peur dans la voix
— Ça, ma chérie, c’est pour parfaire ton érudition dans les choses du sexe : Livre I des paraphilies, chapitre 3 des perversions sexuelles, paragraphe 2 sur le sadomasochisme !! Allez ma toute belle, ouvre bien grand tes cuisses, je vais te chauffer le millefeuilles, te faire monter la cyprine en neige, te faire dorer le joufflu ! “
Et avant que ma mère n’ait pu dire quoi que ce fut d’autre, un grand coup de martinet s’écrasa pile sur sa fente bien ouverte ; des lanières s’insinuérent dans son sexe, le cuir mordit les muqueuses, et caressa le joli bouton, qui fiérement fit courageusement face à l’attaque en gonflant de plus belle !!
“ Aaaaaiiiiiiiiiieeeeeeeee !!!! Putain, mais t’es completement folle ! Je ne joue pas à ce jeu, espèce de cinglée ! Je me casse !! Dit ma mère, en se levant du lit.
— Bon, tu ne veux pas jouer avec moi…ok. Tu fais ta valise, tu prends tes affaires et tu te trouves un hôtel, jusqu’à ce que ton mari rentre. Ah, tu me laisses ton fils. A défaut de la génitrice, j’aurai le rejeton. Je suis sûre qu’on pourra faire des trucs intéressants tous les deux. Sa bite doit être hummmm… ça fait longtemps que je ne me suis pas faite enculée ; et puis quand un jeune mec me sodomise, j’adore qu’il me tanne le dos et les seins avec le cuir…MOI !!!
— Mais Marlène…
— Pfff, allez fissa, casse-toi coincée du cul ! Et va rejoindre ton impuissant de mari !! Des fois, je me demande comment vous avez pu concevoir cette merveille de la nature…hummm, ton fils Paul…sa petite tante va venir le réchauffer ce soir, mon chéri. Ma chatte lui sera toute grande ouverte, minauda Marlène, les yeux aux ciel, mimant l’action d’une étreinte douce et sauvage à la fois.
Ma mère demeura debout dans l’encadrement de la porte. Marlène, assise sur le lit et lui tournant le dos, se jouait des scénarios érotiques avec son neveu, poussant de petits cris de gorge et des gémissements discrets ; et puis elle se retourna :
“ Et bien, elle est encore là, la grosse frigide ?? Alleezzz casse-toi…
— Marlène…je …je …
— Quoi connasse, tu me fais perdre mon temps.
— Je ferai tout ce que tu voudras… mais ne m’abandonne pas, c’est trop bon ce que nous faisons ensemble !!
— AAAHHH ! Alors maintenant, c’est madame ou maîtresse, tu me vouvoies et tu fais TOUT ce que je te dis, sinon la porte est là. Pas de seconde chance. Ok salope ???
— Oui madame, sanglota ma mère en se plaçant à genoux.
— Bon pas mal. D’abord tu me fais un petit cuni en rentrant les doigts. Non dans TA chatte ! Et tu te fais jouir !!! “
Et je vis ma mère dans cette position de soumise, lécher goulument le sexe de Marléne, et se masturber frénétiquement le sexe avec sa main droite. Je voyais de ma penderie, la main, dont le tranchant limait de plus en plus vite la fente, les lèvres et le clitoris de ma mère. 3 minutes de ce traitement et elle se mit à gémir !! Comme si cette humiliation et le tragique de la situation l’excitaient au plus haut point ! Par contre, Marlène, elle, n’avait poussé que de petits, tout petits gémissements !!!

" Bon, c’est pas encore top pour le cuni… on y remédiera, alors, comme toi tu as bien joui et que moi pas…je vais te puniiiiiiirrrrrr !! Dit-elle avec une petite voix bien sadique.
-Oui, maîtresse !
— Lève-toi ! Les mains sur la tête."

Ma mère s’exécuta sans la moindre hésitation. Marlène lui mit deux coups de martinet sur chaque sein, qui laissèrent de petites trainées rougeâtres, puis appliqua deux pinces à seins sur ses mamelons, auxquelles elle relia de petits poids en laiton avec des chaînettes.Ma mère avait ainsi les seins tirés vers le bas. Elle grimaçait, mais ne disait rien, surtout quand Marlène, avec sadisme, faisait tourner les poids en laiton !
“ Okaaay…après mets-toi à genoux devant le lit, le buste dessus, allez hop ! Oui comme ça, ouvre ton cul avec tes mains, montre-moi bien ton trou du cul ! Ouuuiii c’est bien. “
Alors, sans menagements, Marlène lui mit deux doigts dans l’anus, trifouilla à l’intérieur, pour enfin appliquer dans le rectum de ma mère un plug anal de belle facture.
— Bon lève-toi à présent…marche, mains sur la tête !! Voila pas mal. Ah encore un truc ! Approche, à genoux devant moi.”
Et elle lui mit un collier de gros cuir noir, auquel elle lia une chaine brillante d’environ 1,5 mètres.
“Prends cette chaîne dans ta bouche, et maintenant sortons, j’ai envie de promener ma nouvelle petite chienne dans le jardin !!”

Les deux femmes sortirent nues de la pièce, ma mère en piteux appareil !Je quittai mon poste d’observation et étirai mes jambes ; j’avais pu tout filmer sur mon portable, c’était de la bombe !!! Je me demandais si Marlène aurait le cran de sortir comme ça en plein jour, fin d’après midi dans son jardin, ouvert d’un côté sur un chemin qui menait à la départementale, certes peu de gens passaient à ce moment là, ma tante vivant vraiment à l’écart de la ville, mais un passage de voiture était toujours possible !!Quoi qu’il en soit, je vis par la fenêtre que ce fut bien le cas ; Marlène, nue en porte-jarretelles, se régalait de promener sa nouvelle petite chienne comme elle appelait ma mère, dans son potager. “

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"Bon, j’ai la gorge sèche moi..alors ???"
Silence total autour de moi ; chacun me regardait avec des yeux vagues, comme si les scènes de cul se succédaient en définition 4k dans leur esprit.
— Hé j’ai fini !! Ça y est !! Alors ?? Ça vous a plu ??
— Putain…putain…putain… s’ecria Greg, qui avait toujours été un poète. Les salooooopppppesss !!!
— Y a un truc que je ne comprends pas Paul ! S‘écria Lucas.
— Oui ???
— Comment t’as fait pour rester sagement dans ton placard. Tu t’es branlé ou quoi ?? Putain, moi j’aurais pété un plomb !!
— Moi je serais sorti, et je les aurais défoncées l’une après l’autre !! Dit Xavier songeur.
— 3 fois…
— 3 fois quoi ? Dit Xavier
— Je me suis branlé 3 fois. Y en avait partout !! J’ai dû mettre le drap sur lequel j’étais assis, au linge sale !!
-Bravo jeune homme, votre récit était trop excitant, s’écria régine. Et toi ma chérie qu’en as tu pensé ? En s’adressant à sa belle-fille.
— Mon dieu…des pinces sur les seins, des coups de martinet sur le sexe, un god dans le cul, la soumission par une femme, avec son fils qui mate la déchéance de sa mère…je crois que je vais devoir changer de culotte !!” Récita machinalement Nadine, les yeux dans le vague…

“Putain, ça y est, pensèrent les 4 garçons en m’incluant dedans…le poisson est ferré. La Nadine va se mettre à table comme dans un film d’Audiard !!”

“ Bon, ben comme ce charmant jeune homme a rempli son contrat, et que je participe au jeu, il est juste que j’apporte ma contribution à cette belle histoire bien excitante. Taisez-vous et savourez le spectacle, jeunes gens !!” Dit Régine avec un timbre rauque.
Elle se leva, monta sur sa chaise et langoureusement se passa les mains sous ses seins, les soupesa, puis elle s’entoura les épaules, se passa la main gauche sur la nuque, pencha sa tête en arrière, tandis que la droite descendait au sein gauche, en prenait le téton et se mit à le pincer.
Puis elle déboutonna concencieusement et lentement son chemisier blanc, qui chut sur la table. Alors elle poussa le vice jusqu’à dégrafer sa jupe pour la baisser de biais jusqu’à la jarretelle de sa cuisse gauche, maintint la jupe ouverte sans laisser apercevoir son sexe, puisqu’elle avait déjà enlevé son string, et se rassit.Chacun avait pu constater que régine portait une guêpière rouge avec ses bas gris !!On aurait pu entendre une mouche voler, les garçons étaient amorphes devant cette vision paradisiaque.

“ Bon, alors à toi ma chérie ! “ Dit-elle à l’adresse de Nadine.
Celle-ci, comme en rêve, se leva, monta elle aussi sur la chaise, et sans les artifices de stripteaseuse de sa belle-mère, défit simplement l’une, puis l’autre des bretelles de sa nuisette légère, qu’elle laissa tomber sur le sol, révélant sa poitrine : deux seins de belle forme, sans être trop gros, un 90B, mais avec de très jolis mamelons petits et roses.
Un tonnerre d’applaudissements retentit de la part des jeunes, ainsi que des sifflets ; seul Xavier était un peu dubitatif…après tout, c’était sa propre mère qui se foutait à poil, sous les hourras de ses potes !!!
“Bon, on attend la suite de l’histoire, jeune homme ! Si vous voulez voir mon sexe et celui de Nadine, deux belles chattes matures, c’est après vous !!! On vous écoute avec attention !! Faites nous bien mouiller !!”

“Putain, faut pas que je merde, pensai-je, en calmant mon rythme cardiaque…la soirée repose sur moi !!!”
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