Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 7 J'aime
  • 2 Commentaires

Une histoire pour la séduire

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Ce texte a été écrit pour une jeune femme, aux formes généreuses, rencontrée sur Tinder. Au cours d’une discussion sur la sexualité, j’évoque une situation qui pourrait lui être fort agréable. Elle était alors en déplacement à Marseille dans une chambre d’hôtel avec « un méga-lit ».Ne préférerais-tu pas un homme plus aventureux, un homme qui ose un peu plus que bien à l’abri dans une chambre d’hôtel. Quelqu’un qui te trouve l’endroit parfait assez discret, mais avec le frisson d’excitation qui va avec la possibilité de se faire surprendre ?Sur le Vieux-Port de Marseille par exemple, au niveau de l’eau. La nuit est tombée il y a une petite demi-heure seulement, quelques nuages orangés par le soleil pourtant passé derrière l’horizon cohabitent avec une Lune complète. Vous êtes dans une petite niche à bateau qui accueille une barque blanche et bleu ciel. Juste au-dessus de vous se trouve le petit muret qui sépare la promenade des badauds des quais. Tu serais mi-allongée contre la coque de la barque retournée. Il poserait ses mains autour de ton cou de manière lascive, mais assez ferme pour te soumettre. Au fur et à mesure que sa bouche se baladerait sur ton cou, ses mains deviendraient plus baladeuses, s’enhardissant du courage dicté par le plaisir. Depuis ton cou il s’attarde langoureusement sur ton oreille. Un savant mélange les suçotements et de petits coups de langue laisse présager du meilleur pour quand il atteindrait ton mont de Vénus. Ses mains ne sont pas en reste, la droite flatte la courbe de ton sein pendant que la gauche vient trouver le pli de ta fesse. À cet endroit précis où l’on peut l’empaumer comme on se fait prendre par le désir. De l’oreille, la bouche redescend à l’épaule. Cette épaule mise à nue. Dans cette câline, mais ferme étreinte. Tu sens son sexe durcir à ton contact. Soudain tout s’arrête un passant venu observer la lune vous surplombe sans vous voir. Alors que tu l’observes, ton amant en profite pour prendre en bouche un de tes tétons te laissant à peine le temps de te mordre les lèvres en réprimant un cri de douleur et de plaisir mêlés. Une de ses mains vient chercher l’intérieur de tes cuisses puis remonte au maudit bouton, celui qui le sépare de ton antre chaud et désormais humide presque liquide. Il fait sauter ce verrou qui lui fait penser à l’encore plus petit bouton qui l’intéresse celui de ton plaisir.
Le passant lassé de cette lune sans action s’en va. Il ne saura jamais qu’une action bien plus intéressante se passe en contrebas... En contre-bas-ventre... Le tien qui bout désormais. N’y tenant plus tu presses ce jeune homme aventureux. D’une main tu lui appuies sur la tête pour lui ordonner de consommer le fruit de ton plaisir. Tu ne sais pas comment te voilà débarrassée de tes atours. Mais le bougre s’obstine à baiser délicatement l’intérieur de tes cuisses. Se rapprochant sans jamais aller trop près. T’es jambes se nouent autour de son cou enfin il dépose un baiser langoureux sur tes douces lèvres. Ta main plonge dans ses cheveux, le pressant d’aller plus loin plus profond. Sa langue se délie et fouille les recoins de ta chatte brûlante. Tantôt douce et large, tantôt raide et précise. Un doigt vagabond vient agacer ta perle d’amour. Il furète le long de ton sillon humide. N’y tenant plus tu lui susurres un « dedans... Mets-le-moi dedans ! ». Il s’exécute, il rentre doucement son index profitant de la douceur moite de ta grotte. Tu commences à ronronner de plaisir d’autant plus que sa bouche n’a jamais quitté ton petit bouton. Il le suçote juste assez pour le faire sortir de son capuchon et lui assène de longs coups de langue. Son index sort finalement, car ce n’était qu’un éclaireur ! Il est immédiatement remplacé par son majeur et son annulaire t’arrachant une bouffée de plaisir. Ces deux doigts ancrés au plus profond de toi il commence un va-et-vient endiablé. La paume de sa main vient alors remplacer sa bouche contre ton clito, lui assurant ainsi la même stimulation exacerbée qu’au reste de ton être. N’y tenant plus tu fermes les yeux et t’abandonne au plaisir. Peu importe ce qui arrivera ne compte que le présent. Il s’est assez redressé pour venir mordiller le téton qui n’avait pas eu le privilège d’être pris en bouche un peu plus tôt. Il le tète langoureusement avant de le mâchouiller. Aux allers-retours de ses doigts s’est ajouté un ballet intérieur. Tu ne sais pas comment mais c’est trop bon, une vague envahit ton bas ventre et s’étend au reste de ton corps. Tu ondules sur le rythme de ta respiration saccadée. Il t’embrasse à pleine bouche. Tu viens... Tu t’es accroché à son cou le temps de reprendre tes esprits.
Tu ne sais pas comment, mais tu sens sa verge dure, nue et brulante contre ta cuisse. Combien de temps as-tu mis à te reprendre ? Peu importe. Il reprend ses baisers, papillonnant dans ton cou, sur tes joues puis sur ta bouche. Ses mains sont dans les tiennes. Il les fait remonter le long de ton corps jusqu’à ce que tes poignets se croisent au-dessus de ta tête tu sens un morceau de métal si froid comparé à la chaleur de ton corps encore tremblant de sa dernière extase. Quelque chose de plus doux, plus chaud aussi se mêle à tes poignets, tu n’y prêtes pas attention, tu es trop concentrée sur son sexe qui se rapproche inexorablement du tien à une lenteur insoutenable. Tu le veux entier en toi. Tu es sur le point de le supplier quand il s’enfonce en toi, d’un coup sec bien qu’il ne soit pas rentré complètement. Il t’arrache un cri d’étonnement. Tu veux saisir son bassin pour l’amener plus profond en toi... Mais tu ne peux pas... Il t’a attaché avec sa ceinture à un anneau d’amarrage. Le temps de réaliser ton cœur s’est arrêté, il te regarde d’un air satisfait et coquin, presque vicieux. Désormais il s’enfonce millimètre par millimètre dans ta chatte brulante. « Tu aimes ça hein cochonne ! » Déclare-t-il.... Pas la peine de nier, tu trembles de plaisir. Un « oui » t’échappe alors dans un souffle alors qu’il pose une main conquérante sur ta gorge. Il commence alors de longs va-et-vient. Son bassin décrit une trajectoire légèrement circulaire. Ce qui lui permet de venir tourmenter ton clito à chaque fois qu’il s’enfonce en toi. Il adopte de rythme des vagues qui claquent contre le mur du port. Ta respiration est rapide. Puis il accélère, tu gémis de plus en plus fort. Les passants ne sont pas loin, juste au-dessus. « Il faut que je te prenne encore plus fort, plus vite, plus profond ».Alors que tu te demandes encore ce qu’il va t’arriver, tes mains sont de chaque côté du maudit anneau d’amarrage. Tu es en levrette. Il te prend sans ménagement. Lorsqu’une sirène retentit à quelques mètres de vous tu n’arrives pas à savoir d’où elle vient. Sont-ce des policiers qui ont perçu vos ébats ? Non seulement un zodiac des pompiers qui traversent à vive allure le port. Les vagues créées par ces derniers viennent claquer sur la rive faisant grand bruit. Mais moins que lui claquant tes fesses avec de violents coups de reins. Il t’attrape la queue de cheval et te tire la tête en arrière. Te cabrant ainsi il a tout le loisir de prendre profondément. Tu n’en peux plus, une fois de plus, tu jouis... Lui aussi semble au bord de l’explosion. Il te détache... Son sexe luisant de ton jus tressaille. Tu vas pour le prendre en bouche à genoux. Mais cette fois c’est toi qui as tous pouvoirs sur son plaisir. Tu déposes un baisé sur son gland, il tressaute à nouveau. Cette fois ta bouche l’accueille tout entier. Tu regardes ses yeux mi-clos en lui massant les bourses. C’en est trop... Il est prêt à exploser, tu le sais. Tu décides de le remercier en le masturbant la bouche grande ouverte. Il est à toi, tu le sais. Tu enfonces ton majeur gauche mouillé de ton jus dans son fondement. Surpris et dans un râle grave, son premier jet finira sur ta langue, les suivants seront pour ta poitrine ferme. Tu regardes ce liquide brillant quasi opalescent. Puis tu y plonges ton index droit et le porte à ta bouche. Tu avales cette semence encore chaude en le regardant dans les yeux. Il n’en revient pas. Tu te rhabilles en vitesse et le quittes. Tu ne le reverras plus jamais.En remontant sur la promenade un homme te dit « bravo qu’est-ce que c’était beau », étonné et rougissante tu lui réponds « merci » avant de t’enfoncer dans le métro. Tu te souviendras longtemps de la protubérance formée au niveau de sa braguette. Depuis combien de temps vous observait-il ?
Diffuse en direct !
Regarder son live