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Une île presque déserte

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Trois culs brillants, face au soleil, posés sur des transats. Voilà ce que Jules regardait depuis deux bonnes heures. La croisière qu’il faisait dans les Caraïbes n’était pas très intéressante, mais cette vue n’était pas si mal. Un cul, cela faisait bien longtemps qu’il n’en avait pas eu entre ses mains. Au moins dix ans, peut-être même quinze, il ne comptait plus.
Jules n’était ni vieux ni jeune, ni moche ni beau, ni gros ni sportif, il n’avait aucun trait distinctif, faisant de lui un humain incroyablement banal. Enfin si, il avait bien un petit quelque chose de particulier : une très grosse queue. Mais encore fallait-il séduire une femme avant de pouvoir s’en servir, ce qui n’était pas gagné.
Cela faisait déjà une bonne semaine qu’il était sur ce bateau, et s’ennuyait un peu. Tout le monde était en couple, tout le monde était heureux, pendant que lui faisait ses mots croisés en matant des culs. Le soir, il se branlait dans sa cabine, en espérant un jour jouir autrement qu’avec sa main.
Jules n’avait pas vu un nuage depuis son départ, mais ce huitième jour s’annonça différent. Le soleil avait disparu, laissant place à des nuages de plus en plus gris et menaçants. Le matin, un vent doux gênait les habitués de la piscine. L’après-midi, un vent plus fort força les occupants du navire à rester à l’intérieur. Le soir, une tempête débuta.
D’immenses vagues se formèrent et le bateau cogna dans un imposant rocher. Cocasse, quand on s’appelle ”L’Anti-tanic”. Des canots de sauvetage furent déployés dans une panique générale. Mais de toute cette catastrophe, Jules n’en vit presque rien. Quelques minutes après le début de la tempête, sa valise, qu’il avait posée en haut de l’armoire de sa cabine, lui tomba sur la tête, l’assommant sur le coup. Un destin des plus tragiques l’attendait.
Mais il n’en fut rien.
Notre célibataire se réveilla le lendemain, frappé par un soleil de plomb, sur une plage paradisiaque. Trois jeunes et magnifiques femmes étaient autour de lui, en train de le secourir. Après avoir fait semblant d’être inconscient, il ouvrit les yeux au quatrième bouche-à-bouche. Ravies de le voir en vie, elles lui parlèrent avec enthousiasme. En anglais.
Aillow misteur youge dique ! Hauw hare you ?
Il ne comprit pas un mot. Il n’avait pas fait d’anglais depuis le lycée, époque où il était déjà très loin d’être bilingue. Il regretta très vite de ne pas avoir insisté dans les langues étrangères, mais tant pis. Interloquées, les trois femmes réalisèrent qu’il était inutile d’essayer de dialoguer, l’aidèrent à le relever et lui indiquèrent de les suivre.
Elles partirent dans la jungle en file indienne, Jules les suivit, les yeux fixés sur le derrière de la dernière. Étaient-elles sur le bateau avec lui ? Peu probable, il ne les avait jamais vues en sept jours. Il eut rapidement une réponse à sa question, lorsqu’ils arrivèrent au centre de l’île : elles avaient construit une fantastique maison en bambou, reliée directement à la cascade et aux arbres fruitiers. Elles étaient ici depuis des mois, peut-être même des années.
Les premiers jours sur l’île ne furent pas des plus évidents. Difficile pour un vendeur d’imprimantes de se mettre à des activités de survie, comme la cueillette de noix de coco. Il était certes avec des canons, mais pas ceux de son magasin. Une ambiance assez particulière commençait à s’instaurer entre les trois femmes et Jules. Quelque chose de très sensuel. Un soir, alors que la nuit était tombée et qu’il s’était couché, il entendit des gémissements. Il alla voir, et trouva les rescapées les unes sur les autres, en pleine orgie. Il retourna vite se coucher, la bite plus vigoureuse que jamais.
Quelques semaines passèrent. Jules ne comprenait toujours pas grand-chose, mais s’entendait parfaitement bien avec ses colocataires de fortune.
Un jour sur deux, il allait récupérer des coquillages avec la première, Mindy. Une grande blonde, assez mince, aux seins et cul petits mais fermes. Un matin, alors qu’ils étaient tous les deux à genoux sur la plage en pleine recherche de bernard-l’hermite, Mindy glissa sur lui, se retrouvant nez à nez avec son énorme queue. Elle était très adroite et très mauvaise actrice, la probabilité que ce fût un accident était quasi nulle. En essayant de se relever, elle prit appui sur le short de Jules, le faisant tomber et révélant ainsi sa bite en pleine érection. Ils se regardèrent dans les yeux, et elle comprit qu’elle n’avait plus besoin de faire semblant. Elle se pencha et se mit à le sucer. Lui qui n’avait pas eu de rapport depuis des années, cette fellation fut comme un choc. À la manière dont elle prenait cette longue queue dans la bouche, presque entièrement, il comprit qu’elle était tout autant en manque que lui.
Elle le poussa par terre et s’assit sur son visage pendant qu’elle continuait de le sucer. Ce fût le meilleur soixante-neuf de sa vie. Il mit sa langue dans sa chatte, puis dans son cul, elle gémit de plaisir, la bouche toujours pleine. Elle lui massait les testicules en même temps, jusqu’au moment fatidique. Il éjacula dans sa bouche et déversa une quantité de sperme qu’elle n’attendait pas, elle faillit s’étouffer. Mais contre toute attente, elle avala le tout, et n’en perdit pas une goutte. Elle resta sur lui, jusqu’à ce qu’elle vienne à son tour, et inonde son visage de sa mouille. Une seconde noyade pour Jules.
De retour au camp, il ne savait pas si Mindy avait raconté aux autres filles ce qui s’était passé. À leurs regards, c’était fort possible.
Chaque soir, il accompagnait la seconde, Emily, sur la falaise d’où l’on voyait la mer jusqu’à l’horizon. Si un bateau passait un jour par là, elle le verrait grâce à ses lumières, et pourrait attirer son attention avec un grand bûcher construit pour l’occasion. Emily était plus petite que Mindy, elle avait plus de formes, mais était tout aussi ravissante. Son cul imposant avait envoûté Jules depuis qu’il l’avait vue pour la première fois, le jour où il s’était échoué. Après sa première aventure coquine sur la plage, il réalisa qu’Emily se rapprochait de plus en plus de lui. Elle aussi semblait attirée par son énorme queue. Le soir où ils passèrent à l’acte fut beaucoup plus direct qu’avec Mindy. Elle l’embrassa avec fougue, et agrippa sa bite à travers son short. Elle la sortit et la branla. Au bout de quelques minutes, alors que Jules avait commencé à la doigter, elle se mit à quatre pattes et lui présenta son magnifique fessier. Il se mit à genoux et la prit en levrette.
Elle n’était clairement pas habituée à se prendre quelque chose d’aussi massif, et les débuts semblèrent plutôt douloureux. Mais très vite, ce furent des cris de plaisir qui troublèrent le silence de la nuit. Emily remuait son cul sur la bite de Jules, il n’avait presque rien à faire. Elle jouit une première fois. Puis une seconde. Puis une troisième. Cinq fois en tout, en trente minutes à peine. Lorsque ce fut à son tour d’avoir un orgasme, il remplit sa chatte de la même façon qu’il avait rempli la bouche de Mindy. Au loin, une petite lumière transperçait l’obscurité. Sûrement un bateau. Mais ils étaient tellement fatigués qu’ils n’eurent même pas la force d’allumer le bûcher. “Tant pis, hein !” se dit-il.
Les jours passèrent, et Jules, qui ne servait toujours pas à grand-chose sur l’île depuis son arrivée, avait enfin trouvé quelque chose qu’il savait faire : baiser.
Il n’y avait que Kim avec qui il n’avait pas couché. Un carré brun, un corps ferme et athlétique, un visage sévère : elle était aussi belle qu’intimidante. Des trois, c’était elle qui s’apparentait le plus à un leader. Il ne savait pas ce qu’elle faisait avant le naufrage, son anglais ne s’étant pas amélioré, mais il la voyait bien scientifique, ou un métier comme ça. En effet, c’était elle qui était chargée de concevoir le radeau qui leur permettrait un jour de s’échapper de cette prison tropicale. Et si vous avez vu “Seul au Monde” avec Tom Hanks, vous savez que l’on ne s’échappe pas d’une île comme ça. Son radeau devait répondre à tout un tas de contraintes, et cela faisait bien longtemps qu’elle travaillait dessus. Régulièrement, Jules venait l’aider, soit à couper du bois, soit à fabriquer des cordes. Depuis qu’il baisait Mindy et Emily, il avait remarqué que Kim s’intéressait plus à lui, se montrait à son tour de plus en plus sensuelle.
Un jour, alors qu’il était en train de travailler sur le bateau, elle lui dit le suivre d’un signe de la main, l’autre étant cachée dans son dos. Elle l’emmena dans un petit coin au milieu de la jungle, et lui dévoila sa surprise : un gode ceinture en bois. Elle l’avait sûrement conçu pour satisfaire ses camarades, mais maintenant que Jules était là, il fallait bien qu’elle trouve une nouvelle utilité à sa création artisanale. Il ne s’était jamais fait sodomiser, mais l’air dominateur de cette troisième partenaire l’excita subitement, et il se plia à ses volontés. Elle le mit contre un palmier, s’agenouilla et lui fit un anulingus. Première fois pour lui, et la sensation était loin d’être désagréable. Une fois son cul bien lubrifié, elle enfila le gode et le pénétra d’un coup sec. À l’instar d’Emily lors de leur première nuit ensemble, la douleur qu’il ressentait fit vite place à un plaisir intense. Kim avait une main sur la fesse de Jules, l’autre contre son cou.
Elle l’étranglait gentiment, en lui susurrant des phrases aussi sensuelles qu’incompréhensibles pour lui. Il finit par jouir contre le palmier. Elle se retira, enleva son gode, puis lui demanda de se mettre à genoux. Elle prit sa tête et la colla contre sa chatte. Il la lécha jusqu’à l’orgasme.
Plus le temps passait, moins les trois femmes cachaient aux autres leurs rapports avec Jules. Il lui arrivait de devoir baiser l’une d’entre elles alors que les autres se trouvaient à quelques mètres, sans qu’elles ne réagissent.
Le jour où le radeau fut enfin terminé arriva. La veille, les habitants de l’île avaient préparé un fabuleux, et supposément dernier, festin pour fêter leur départ. Ils avaient tous bien mangé, et alors que Jules se reposait près du feu, elles vinrent toutes les trois le voir. Mindy baissa son short, pendant qu’Emily se mit à quatre pattes et que Kim alla chercher son gode. L’orgie qu’il attendait tant était là. Il prit la plus ronde par les hanches, pendant que la plus blonde se glissa sous elle. Alors que les va-et-vient commencèrent, elle lui léchait les testicules et l’anus. Kim finit par revenir, et sodomisa Jules en même temps. Ce soir-là, ils jouirent tous en harmonie, mais ne s’arrêtèrent de baiser qu’à l’aube.
Allaient-ils réussir à quitter l’île ? Jules espérait bien que non...
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