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Une insolente trompettiste

Chapitre 1

You're mine you

Erotique
Ça devait être lors d’un mois décembre.
La météo ressemblait bien plus à un mois de novembre pluvieux qu’à un début de période de fêtes de fin d’année. Je travaillais de toute façon bien plus à mes examens qu’à préparer une quelconque soirée de Noël.
J’ai oublié de me présenter ; je m’appelle Alex, j’ai 22 ans et je suis étudiant en littérature, tout fraîchement célibataire. Bien que le spleen soit une source d’inspiration incroyable, elle l’est beaucoup moins quand tu dois te taper des sessions d’études de huit heures d’affilée. Pour ne pas complètement me laisser abattre par cette ambiance des plus grisantes, je me rendais souvent dans un bar à jazz dans le centre-ville pas trop loin de chez moi.
Comme depuis une semaine, il pleuvait ce jour-là. J’avais passé une journée exécrable remplie de stress. Par chance, je suis arrivé un peu plus tôt que d’habitude au bar à jazz et j’ai pu voir les musiciens s’installer. Et mon regard s’est attardé sur la trompettiste. À première vue, elle était d’apparence plutôt banale. Mais c’est le type de femme que je préfère. Les cheveux mi-longs, les yeux vert-brun. Elle portait une robe noire qui exposait parfaitement ses formes, et mes yeux ne pouvaient s’empêcher d’être absorbés par cette généreuse poitrine.
J’avais à peine eu le temps de pouvoir la reluquer que le petit groupe avait fini de s’installer et que le bar commençait à se remplir doucement. L’affiche annonçait des reprises de Chet Baker, qui est clairement un de mes jazzmen préférés. Du coup j’avais hâte, bien que je ne m’attendisse à rien venant d’amateurs.
— Bonsoir à tous ; je m’appelle Élise, j’ai 28 ans, et aujourd’hui avec mes amis nous allons vous interpréter quelques classiques de Chet Baker. J’espère que ça vous plaira.
Après les applaudissements d’introduction, elle commença par un de ses titres les plus connus : I fall in love too easily.
Au son que sa voix dégageait, mon cœur n’a fait qu’un bond. Mes mains sont devenues moites et je ne savais plus où me mettre. C’était magique. Bien que difficilement soutenable, j’avais l’impression qu’elle regardait dans ma direction. Bien que ça m’eût fait plaisir, j’avais du mal à y croire.
Le concert fini, je m’apprêtais à rentrer chez moi les jambes encore flageolantes de ce que je venais de ressentir, mais la voix que je venais d’entendre chanter m’interpella :
— J’ai vraiment cru que tu allais m’avaler toute crue ; on m’a rarement regardée avec autant d’intensité sur scène.— Qui ça ? Moi ?— Je parle à qui d’autre ? Pour la peine, tu vas m’offrir un verre.
J’ai à peine eu le temps de répliquer qu’elle avait déjà commandé deux bières. Installé en face d’elle, je la trouvais encore plus belle. Elle portait un maquillage léger qui mettait ses yeux en valeur, et son sourire était rayonnant. Elle démarra toute suite la discussion.
— Alors, qu’est-ce qui t’amène par ici ?
— L’usage ne demanderait pas que je me présente d’abord ?— Hahahhah, désolée ; je suis du genre à brûler les étapes ! Comment t’appelles-tu, jeune damoiseau ?— Le jeune damoiseau, comme tu dis, a 22 ans et il s’appelle Alexandre. — Tu restes plus jeune que moi, Alex.— Ça n’a aucune importance.— Je suis d’accord avec toi ; c’est rare de voir des jeunes de ton âge apprécier le jazz.— Je me sens un peu seul dans mon cercle d’amis à aimer ça, mais c’est tout aussi gratifiant car je suis persuadé d’avoir des goûts de qualité.— Mais c’est qu’il a l’air hautain !— Plutôt sûr de lui.
La discussion suivait son bon train ; rires et taquineries étaient de la partie. Bien évidemment, les verres s’enchaînaient. Son regard était perçant mais accompagné d’une douceur difficile à expliquer. Elle me plaisait beaucoup. La fermeture du bar approchait ; elle fit un saut aux toilettes. Elle me proposa de l’aider à ramener sa trompette car elle aurait du mal seule. Avant de partir, elle y attacha un tissu noir que j’imaginai être un mouchoir, vu le mauvais temps. Par chance, la pluie s’était arrêtée.
En chemin, on continua de discuter de tout et de rien. On approchait de son appartement quand tout d’un coup elle m’interpella :
— Dis, Alex, tu pourrais détacher ce que j’ai attaché à la poignée de mon étui ? Je commence à avoir froid.
Je m’exécutai, convaincu que c’était un mouchoir, mais mon sang ne fit qu’un tour à la vue de sa culotte. Tout à coup son regard s’était transformé en quelque chose de lubrique. Je m’approchais de ses lèvres quand, juste avant de l’embrasser, elle me susurra oreilles : You’re mine, you. Après ça, nos lèvres se sont rencontrées fougueusement. Mes mains se baladaient sur son corps. En lui pelotant les seins je me suis rendu compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui eut encore plus le don de m’exciter.
— Dis donc, tu es sacrement audacieuse...— Je te l’ai dit : je suis du genre à brûler les étapes.
Elle sortit ma queue de ma braguette et commença à me branler.
— Mais c’est que monsieur est sacrément bien monté !
On fit les derniers les mètres qui nous séparaient de chez elle moi la queue à l’air, et elle avec sa robe qui était remontée au-dessus des fesses. Arrivés dans son ascenseur, j’ai commencé à la doigter. Elle mouillait tellement qu’elle en a souillé l’ascenseur. Arrivés à son étage, on entendit un des voisins sortir pour promener son chien. Il avait bien compris ce qu’il se passait en voyant Élise et moi débraillés et transpirants, et des gouttes d’un liquide étrange dans l’ascenseur. Il se ravisa et prit l’escalier. On s’est regardés et on a eu un fou rire.
Le seuil de sa porte passé, les choses sérieuses ont pu reprendre. Elle enleva sa veste-robe et sa robe d’un coup ; je fis de même pour mon manteau et la soulevai dans son lit. Au-dessus d’elle, je l’embrassai de plus belle et elle m’aida à me déshabiller. J’en profitai pour lui embrasser les seins tout en descendant pour m’occuper de son entrejambe. Elle avait de belles lèvres, et son clitoris n’attendait que ma langue.
Au fur et à mesure des léchouilles, ses gémissements se faisait de plus en plus forts ; un torrent de cyprine envahit mon visage. Proche de l’orgasme, elle m’arrêta et commença à me sucer. C’était une déesse de la fellation : chaque aller-retour était millimétré, et elle savait parfaitement quand gober entièrement ma queue ou quand il fallait juste s’occuper de mon gland. Et pendant ce temps elle malaxait mes testicules ; un vrai bonheur !
Je ne pouvais pas terminer sur ça ; je l’ai donc soulevée, mise sur le dos, et j’ai commencé à la pénétrer. Elle était serrée juste ce qu’il fallait ; les va-et-vient étaient magiques. Elle aussi ne pouvait contenir ses cris de plaisir. Je l’embrassai à nouveau afin de limiter le bruit, mais très vite elle glissa afin que j’embrasse son cou.
Je me retirai pour la prendre en levrette. Je mettais toute mon énergie dans mes coups de reins. Elle me réclama des fessées que je m’empressai de lui donner. Elle se leva pour s’asseoir sur moi et reprendre le contrôle de la situation. Elle s’activait parfaitement sur ma queue de haut en bas. Victime de ses mouvements, je jouis peu de temps après, et elle aussi.Épuisés de nos journées respectives, nous nous sommes endormis l’un dans l’autre.
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