Une invitation sans équivoque. Vers une transformation de mon corps. Je reviens lentement à moi. Mes jambes et mes bras sont écartelés et fixés à une croix St-André. Je suis nu de la tête aux pieds, mes sandales m’ayant été retirées des pieds. Je suis en position horizontale alors que mes pieds, fixés dans des étriers situés sur les bras inférieurs de la croix, sont dans le vide. Ma queue est toujours bandée à l’extrême et à la verticale par rapport à la croix.La croix est maintenue par l’arrière de son centre par un énorme cylindre qui permet de la manipuler selon les bons désirs de mes bourreaux : elle peut être inclinée vers le haut comme vers le bas, ramenée à la verticale et pouvant être élevée ou baissée selon les besoins. Ma tête repose contre une planche fixée entre les bras supérieurs de la croix. Sylvie s’approche de moi : Richard, nous sommes rendus à l’étape de ta transformation. Que voulez-vous dire ? Tu es marié ? Oui. Tu vis avec ta femme ? Oui. Tu as déjà trompé ta femme avant aujourd’hui ? Oui, quelques fois. Avec d’autres femmes ? Oui. Avec d’autres hommes ? Oui, dans un cinéma porno de Montréal. Le cinéma L’Amour ? Exactement : vous connaissez ? Qui ne connaît pas ce cinéma, même des gens que l’on ne douterait absolument pas qu’ils puissent avoir des activités comme celles qui se passent dans cet établissement ? Madame, vous êtes déjà montée à la mezzanine ? Oui, quelquefois. Avec des hommes ?
Avec des hommes et avec des femmes. Vous êtes lesbienne ? J’aime les hommes, mais j’adore les femmes. Toi, tu préfères les hommes aux femmes ? Le contraire de vous : moi j’aime les femmes, mais j’adore les hommes. Tu es un homme actif ou passif ? Passif, même soumis. Tu veux dire masochiste ? Oui, je suis masochiste depuis mon enfance. Richard, j’ai constaté que tu l’étais : Paul et moi allons veiller à ce que le moindre de tes fantasmes soit satisfait. Tu es encore actif sexuellement ? Oui, mais pas avec ma femme. Tu couches encore avec elle ? Oui, dans la même chambre, mais dans des lits séparés. Tu aimes plaire aux hommes ? Quand ceux-ci me plaisent. Des hommes qui sont portés sur des hommes efféminés ? Je dirais sur des hommes qui ont des goûts spéciaux. Tu as déjà pensé à une féminisation de ton corps ? Oui, mais je ne connais personne qui pourrait procéder à ma féminisation. Si je t’avouais que Paul et moi en sommes des spécialistes ; tu es presque imberbe et ton visage ressemble plus à un visage féminin que masculin. Tes mains sont étroites, tes doigts sont longs et délicats, tes pieds très excitants pour ceux d’un homme. Que dire de tes pectoraux, de ton ventre à peine bombé, de tes cuisses et de tes jambes bien galbées. Ton corps au complet ne peut qu’exciter toutes les femmes et certains hommes. Tes pieds peuvent même être comparés à de très beaux pieds de femme. L’atout supplémentaire que tu possèdes et que tu continueras à posséder est une queue que moi, je ne possède pas. Tu accepterais d’être féminisé lors d’une prochaine rencontre à l’hôpital privé de Paul ? Il est chirurgien esthétique et il te proposera des traitements d’hormonothérapie pour faciliter ta transformation. Je vais devoir faire quoi : me manucurer les ongles des doigts et des pieds, mettre du rouge à lèvres, porter des dessous féminins sexés, des robes moulantes et des souliers à talons hauts ? Tu possèdes un corps magnifique : tu pourrais devenir transsexuel et satisfaire autant les hommes que les femmes, mais avant tout, tu vas devoir passer par ma clinique pour y subir un rasage intégral au laser pour éliminer définitivement la pousse de ta barbe et tous les poils de ton corps. Ensuite ? Devoir passer par l’hôpital privé de mon acolyte pour commencer par y recevoir des injections d’acide hyaluronique dans tes pectoraux et les rendent comme des seins de femme. Puis ? D’accepter de te faire ouvrir le scrotum au complet pour procéder à l’ablation de tes testicules et se servir d’une partie de ton scrotum pour te faire des lèvres vaginales entre lesquelles une incision va être pratiquée pour te créer un vagin et permettre l’introduction de queues d’hommes ou encore de certains appareils que doit accepter le vagin d’une femme. Ce que vous me dites m’excite au plus haut point. La féminisation d’un corps beau comme le tien n’est pas donnée et nécessite plusieurs interventions de notre part, mais ça en vaut la peine. Je vais devoir poser nu ? Non, mais très légèrement vêtu pour que tes photos soient très excitantes. Nous nous chargerons de tout : les coûts de l’opération, l’épilation au laser, le choix d’une perruque, le maquillage, le manucure des ongles de tes doigts et de tes pieds, le choix et achat de vêtements érotiques et administration de ton dossier. Je suis d’accord avec votre proposition. Je vais être endormi pour l’opération ? Pour nous, ce serait l’idéal de pouvoir te voir souffrir et de t’entendre gémir alors que tu seras attaché à la table d’opération et incapable de faire le moindre geste pour échapper à ta féminisation. Tu serais capable d’en supporter la douleur sous médications ? Peut-être si vous puissiez m’injecter un calmant pour que je sois capable de supporter la douleur sans m’évanouir. Oui Paul va t’injecter de la nalbuphine : ce produit beaucoup plus puissant que la morphine va te permettre de supporter la douleur et t’empêcher de t’évanouir. Madame, vous accepteriez de vous occuper un peu de moi pendant l’opération ? Oui, tu vas être couché sur le dos et je vais me placer de sorte que mes jambes soient de chaque côté de ta tête et ma chatte au-dessus de ta bouche : tu vas pouvoir lécher mes lèvres, sucer mon clito, manger ma chatte et même la mordre, mais tu vas aussi devoir déguster ma cyprine et boire mon urine. Ma queue après l’opération ? Elle va continuer à bander autant qu’avant ton opération, mais sans que tu puisses éjaculer, mais si pour une raison particulière, comme pour me pénétrer ou encore enculer mon acolyte, et que tu souhaites une performance exceptionnelle pour l’occasion, Paul va te montrer comment te faire une injection intra caverneuse de prostaglandine dont l’effet peut durer de quatre à six heures. Je vais pouvoir prendre rendez-vous avec vous ? Bien sûr : tu vas avoir tous nos coordonnés pour nous rejoindre selon tes possibilités. Pour le moment, je vais pouvoir retourner chez moi ? Non, parce qu’avant que tu puisses retourner chez toi, tu dois porter notre marque distinctive. C’est quoi, cette marque ? Un anneau à travers ton gland et les initiales PS pour Paul et Sylvie incrustées au fer rouge sur l’intérieur de ta cuisse droite pour t’identifier comme notre propriété auprès de tes clients. Décontracte-toi ! Paul s’approche de moi : il tient dans sa main droite une pince trouée dans le centre de ses mâchoires. De sa main gauche, il entoure le corps de ma queue laissant mon gland découvert. Il approche la pince de mon gland et il referme les mâchoires de la pince contre mon gland alors que Sylvie tient une longue aiguille dans sa main droite. Elle dirige la pointe de l’aiguille dans le trou d’une mâchoire de la pince et elle fait traverser l’aiguille de part en part de mon gland. Elle la fait ensuite aller et venir pour en élargir un peu le diamètre. Elle retire l’aiguille alors que Paul retire la pince. Un peu de sang sort de l’orifice. Il prend un anneau dont l’un des côtés est fait en pointe et il l’insère dans le trou fait par l’aiguille. Il fait traverser la partie mâle de l’anneau à travers mon gland et l’insère dans la partie femelle. J’entends un petit clic : l’anneau a traversé mon gland et les deux côtés de l’anneau s’emboîtent l’un dans l’autre.Le visage de Sylvie s’approche du mien : nos lèvres sont à quelques millimètres les unes des autres. Elle me murmure : La finale, mon bébé !Elle passe sa langue sur mes lèvres alors que j’entrouvre ma bouche. Un filet de salive coule dans ma bouche : je la déguste.Sylvie se dirige maintenant vers mon pied droit : elle le retire de l’étrier qui le maintien en place. Elle pose le dessous de sa main droite sous le talon de mon pied et elle l’approche mon pied de sa bouche. Je sens ses lèvres effleurer le dessus de mon pied et sa langue le lécher.Un frisson de bien-être traverse mon corps et la chair de poule le couvre en entier. Elle prend mon pied et le soulève jusqu’à ce que ma jambe soit à la verticale. Elle colle le devant de son corps contre l’arrière de ma jambe et passe une main autour de ma cheville alors que son autre main plaque l’arrière de mon genou contre son ventre et le maintien solidement en place.Paul s’approche : il passe une large bande de matériel contre mon bassin au niveau de mon nombril et il la fixe très solidement à un anneau situé sur le côté de la table. Il passe ensuite une autre large ceinture au-dessus de mon genou gauche et la serre aussi solidement à un anneau fixé à table. Je ne peux plus faire le moindre geste de mon bassin ainsi que de ma jambe gauche. Paul s’écarte de la table et en revient avec un instrument qu’il dissimule pour que je ne puisse le voir. Je devine de quoi il s’agit : je ferme les yeux et je prends une profonde respiration.Paul dit à Sylvie : Tu lui maintiens fermement la jambe droite ? Oui, Paul, tu peux procéder.Je sens de la chaleur s’approcher de ma cuisse et une brûlure extrême contre le haut intérieur de ma cuisse qui va me marquer à tout jamais de lettres P et S. Je hurle de douleur alors que tous les muscles de mon corps se raidissent. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !Je ne peux supporter cette brûlure sans m’évanouir.
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