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Une invitation sans équivoque

Chapitre 5

Je me rends chez mes agresseurs

SM / Fétichisme
Une invitation sans équivoque.
Je me rends chez mes agresseurs.
Une quinzaine de jours s’est écoulée lorsque je téléphone au salon d’esthétique de la femme que j’ai rencontrée dans le motorisé.
— Salon d’esthétique La beauté !— Je pourrais parler à Sylvie ?— C’est moi !— C’est Richard !— Oui, Richard, qu’est-ce que je peux faire pour toi ?— Vous vous rappelez de moi ?— Bien sûr, comment ne pas me souvenir de toi.— Vous m’aviez proposé une épilation intégrale de tous les poils de mon corps ?— Bien sûr que je m’en rappelle.— Vous seriez disponible aujourd’hui, mon épouse est en voyage avec une de mes filles et je pourrais me rendre à votre clinique.— Pour le visage seulement ou pour le corps au complet ?— Vous auriez le temps pour le corps au complet ?— Bien sûr, Richard ! Vous envisagez de passer bientôt par la clinique de mon mari ?— Pour l’opération dont vous m’avez parlé ?— Oui, pour ta féminisation.— Je ne suis pas encore convaincu de subir une telle opération.— Richard, tu as un si beau corps : ce serait un vrai gaspillage de ne pas le mettre en valeur avec tout ce que ça implique.— Sylvie, je peux vous appeler par votre prénom ?— J’aime autant que tu continues à me vouvoyer.
— Je ne vous manquerai jamais de respect.— Richard, amène-toi à ma clinique : tu en as pour une bonne partie de la journée.— Je peux vous payer par carte de crédit ?— Tu acceptes l’entente dont nous t’avions parlé lors de notre première rencontre ?— Bien sûr que je l’accepte.— Alors, tu n’as rien à payer : l’épilation au laser fait partie du contrat comme tout ce qui va suivre. Tu n’auras absolument rien à nous payer.— Je peux être à votre clinique dans environ une demi-heure.— Je t’attends, tu ne le regretteras pas.
J’arrive à la clinique et j’y entre. Une magnifique jeune femme toute vêtue de blanc vient à ma rencontre.
— Bonjour, monsieur : je suis Anita, vous êtes Richard ?— Oui.— Veuillez me suivre.
La jeune femme me fait passer par un couloir puis entrer dans une chambrette au milieu de laquelle il y a un fauteuil d’examen gynécologique électrique au-dessus duquel un système d’éclairage très complexe dont les faisceaux lumineux sont réglés à distance. Dans la chambrette, une porte donnant sur une cabine dans laquelle se trouve une case pour y déposer du linge, une toilette dissimulée derrière un rideau et une douche.
— Monsieur, vous allez passer dans cette cabine : vous allez vous déshabiller au complet, allez aux toilettes si nécessaire, prendre une douche et revêtir la jaquette blanche qui est accrochée au dos de la porte de la cabine. Vous devrez être nu sous la jaquette. Vous chausserez les pantoufles de papier qui sont déposées sur la case. Vous reviendrez ensuite dans la chambrette pour prendre place dans le fauteuil alors que Madame Sylvie, ma patronne et moi-même serons là pour commencer votre épilation intégrale au laser.
Ayant dissimulé un Fleet dans une poche de mon pantalon, j’entre dans la cabine et j’en referme la porte. Je me déshabille au complet, me donne un Fleet et dégage mon intestin dans la toilette avant de prendre une douche et de ressortir de la cabine, nu sous la jaquette et portant les pantoufles de papier,
— Richard, j’ai étendu une grande serviette sur le fauteuil : viens-y prendre place.
Je détache l’arrière de ma jaquette et j’en écarte les côtés et je m’assois de sorte que mon dos soit directement en contact avec la serviette.
— Adosse-toi pour être confortable.
Je m’appuie le dos contre le dossier du fauteuil ; ce dernier s’encante vers l’arrière.
— Place tes jambes sur les supports.
Je m’exécute.
— Anita va retirer tes pantoufles : place tes pieds dans les étriers.
Je sens que l’on retire mes pantoufles : je pose mes pieds dans les étriers. Je ne vois plus mes pieds, mais je sens qu’une bande de matériel passe sur chacun de mes pieds et m’empêche de les bouger.
— Anita doit être en toute sécurité avant de procéder et ainsi éviter des mouvements brusques de ta part.— Je ne ferai aucun geste qui puisse être à l’encontre de vos désirs.
Je sens qu’Anita roule le bas de ma jaquette jusqu’à ce que mes genoux soient dégagés.
— Je vais commencer par épiler tes jambes puis les quelques poils que tu as sur le dessus des pieds et des orteils. Tes pieds et tes orteils sont magnifiques : tu me permets de les baiser ?— Madame, je ne peux rien vous refuser que Sylvie accepte que vous me fassiez.— Même quand j’en serai rendu à tes cuisses et que je devrai relever ta jaquette pour dégager ton bassin.— Je serai plus qu’heureux de savoir que ce qui se dissimule sous ma jaquette puisse vous exciter.— Paul a procédé à ton identification ?— Oui.— La plaie s’est cicatrisée et la douleur s’est estompée ?— À vous de la vérifier.— Oui, je vais le faire et bien plus.
Anita commence à épiler les poils de mes jambes. Je ferme les yeux pour mieux me concentrer sur le bien-être que j’éprouve. L’épilation atteint le bas de mes jambes, mes chevilles, et le dessus de mes pieds.
— Il n’y aura plus jamais de poils qui vont pousser aux endroits que je viens d’épiler.
Je sens ses lèvres se poser sur le dessus de mon pied droit puis sa langue le lécher tout en y laissant couler des filets de salive.
— Ouuiiiii, c’est bon !
Ses deux mains entourent mon pied et je sens sa langue glisser contre le dessus de chacun de mes orteils, contre le bout et contre le dessous.
— Aaaaaaaa, je n’ai jamais senti une telle sensation. Ouuuffffff, bébé!
Je sens maintenant mes orteils un à un entrer dans sa bouche et se faire sucer et mordiller. Ma jouissance est telle que je ne réalise même pas que Sylvie a commencé à épiler mes sourcils, à tailler mes cils et à épiler les poils du dessus de ma lèvre supérieure. Je prends de grandes respirations par le nez et par la bouche m’obligeant à passer ma langue sur mes lèvres pour les humidifier. Sylvie passe un doigt sur mes lèvres et l’introduit dans ma bouche. Je le suce comme un enfant suce le mamelon de sa maman. Je suis dans les vapeurs me laissant aller aux jouissances que me procurent ces deux divines personnes. J’entends Anita murmurer :
— Richard, je veux tailler tes ongles d’orteils et je veux les manucurer ?— Ouuiiiii, faites !— Pourquoi tes pieds sont-ils si excitants : je mouille à les regarder et à les caresser.
Je sens Anita s’affairer à me tailler les ongles un à un tout en caressant mes orteils du bout de ses doigts. J’ai des frissons de bien-être et ma queue commence à atteindre des proportions dignes des jouissances que je ressens. Sylvie poursuit l’épilation de mon visage :« Bébé, la peau de ton visage est rendue aussi lisse que celle d’une jeune femme qui est passée chez une esthéticienne avant d’aller rencontrer un amant d’un soir pour se faire dépuceler. Je vais maintenant m’occuper de tes pectoraux alors que ma comparse va te faire le haut des cuisses et ton entrejambe. Tu ne lui en voudras pas si elle s’occupe de ce qui se cache sous le bas de ta jaquette et qui la fait déformer.
— Non, Madame !— Anita, tu en as terminé avec ses pieds ?— Oui, Madame.— Tu les verrais chaussés de souliers à talons aiguille ?— Absolument, Madame.— Bien, très bien ! Maintenant, soulève sa jaquette et retire-la : tu vas découvrir un trésor qui seulement à y penser, me fait mouiller.— Tu me connais, Sylvie, je ne serai pas déçu ?— Au contraire, ma belle, tu vas pouvoir réaliser tous tes fantasmes et même les plus sadiques.— Comme lui faire écarter les jambes pour lui frapper les testicules avec une tige de métallique ?— Sa féminisation inclut l’ablation de ses testicules : aussi bien t’en occuper alors qu’ils sont encore disponibles.— Même lui serrer les testicules entre mes doigts ?— Pourquoi pas ?— Même les transpercer avec des aiguilles ?— Bien sûr, ma belle !
Anita soulève ma jaquette et elle la retire du devant de mon corps.
— Oh, mon bébé, comme tu vas devoir souffrir pour posséder un si bel appareil : il est encore plus excitant que je m’y attendais, bandé comme une barre de fer et surtout avec un anneau qui transperce ton gland. C’est un cadeau de Paul ?— C’est un cadeau de Paul et moi.— Il porte aussi la marque du club ?— Tu vas la voir quand tu vas lui épiler son entrejambe et le sexe.— Sylvie, je n’en peux plus, bandé comme il est, je veux commencer par m’attaquer à ses couilles.— Tu termineras son épilation après ?
Anita libère mes pieds de ses entraves et s’approche de mon bassin : elle me murmure :
— Plie tes jambes, mon bébé tout en laissant glisser tes pieds sur les supports de jambes.
Je m’exécute.
— Écarte tes genoux que je puisse bien voir ton scrotum.
J’écarte mes genoux : ma queue est à la verticale...
— Bébé, je mouille !
J’écarte mes genoux au maximum.
— Sylvie, fixe un écarteur entre ses genoux pour qu’il ne puisse pas les ramener.
Sylvie s’exécute.
— Fais descendre le crochet du palan qui est au plafond et passe-le dans l’écarteur.
Elle passe le bout du crochet dans une des ouvertures de l’écarteur et elle actionne le palan de sorte que mes pieds se soulèvent de la table.
— Encore un peu plus : je veux que son scrotum et son cul soient à ma disposition.
Je suis maintenant dans la position recherchée par Anita. Elle prend une cordelette et elle entoure mon scrotum. Elle serre et attache la cordelette solidement de sorte que mes couilles soient visibles et accessibles.
— Bébé, ça va être la première fois que tu vas te faire torturer les couilles ?— Ouuiii : j’ai peur de ce que vous allez me faire !
Je sens deux doigts serrer une de mes couilles. J’empoigne les bras du fauteuil.
— Ça m’excite de serrer les couilles d’un homme : ça s’endure ?— Ouuiiiii.— Là, mon bébé?— Ouiiiiiiiiiii.— On dirait que tu aimes ça ?— Ouuuiiiiiiii.— Pas autant que moi : la totale, mon bébé.
Je sens mes deux couilles saisies entre les doigts d’Anita :
— Hurle, mon bébé !— Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh !— Je mouille à te faire souffrir.
L’étau se desserre un peu et puis se resserre avec encore plus de force.Mon bassin se soulève du fauteuil.
— Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh !— Tu es beau quand tu souffres, mon bébé.
La douleur s’estompe.
— Avec ça, maintenant !
Elle me montre un tube métallique d’environ trente centimètres de long par un centimètre de diamètre.
— Voyons voir comment tu vas réagir à des coups de baguette bien appliqués.
Un premier coup atteint un testicule. Mon bassin sursaute.Un second coup donné avec plus de force atteint le même testicule.
— Aaaaaaa !
Mon bassin sursaute à nouveau.Un troisième coup est appliqué avec encore plus de force, mais sur mon autre testicule.
— Aaaaaaaaaa !— Tu aimes ça, que je te fasse mal, hein, mon cochon !
Je lui fais un signe « OUI » de la tête.
— Tu vas te régaler.
Anita m’assène cette fois, un violent coup de baguette qui atteint mes deux testicules.
— Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh, chérie !— Comment, tu m’a appelée ?— Chérie !— Je ne suis pas ta chérie, mais ta tortionnaire : tu vas payer pour cette erreur !
Cette fois, elle m’assène de toutes ses forces un autre violent coup de baguette qui atteint à nouveau mes deux testicules.
— Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh !— Penses-tu pouvoir éjaculer si je te masturbe ?
Je lui fais un signe « OUI » de la tête.
— Tu aimerais trop ça, espèce de cochon : Non, je ne te ferai pas éjaculer, au contraire, je vais injecter dans tes testicules de l’acide chlorhydrique qui va brûler tout tes spermatozoïdes et t’empêcher de procréer pour le reste de tes jours. Avant d’en arriver là, je vais t’insérer ma baguette dans le cul.
Anita écarte mes fesses :
— Je vois que ce n’est pas la première fois que tu vas te faire enculer, hein, mon cochon ?
Je sens la tige métallique pénétrer profondément dans mon intestin.
— Maintenant, Sylvie, tu lui maintiens les bras.
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