Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 61 J'aime
  • 3 Commentaires

Une irrésistible envie de rencontrer un étranger

Chapitre 2

Erotique
Intro: Ma copine et collègue Toon me fait découvrir certains endroits de Bangkok. Nous avons terminé la soirée chez Frank et Jack. Toon et moi leur avons fait un spectacle dans la baignoire.
Les deux hommes nous ont rejoint et nous les avons lavé méticuleusement sous la douche et dans la baignoire. Ceux-ci se laissant faire, profitant de nos caresses. Nous sommes ensuite passés au salon entourées de nos serviettes nous trinquions avec du whisky. J’ai eu tôt fait d’être un peu saoule. Collée à Toon, les deux hommes nous faisant face sur l’autre sofa, nous nous câlinions et nos lèvres s’effleuraient par moment. C’est Toon qui a prit l’initiative en tirant ma serviette vers le bas elle a débuté par m’embrasser le mamelons pour ensuite y déposer une certaine quantité de salive qu’elle s’est mise à lécher. Cela m’a fait frissonner et pendant une dizaine de minutes elle léchait et aspirait la salive qu’elle me répandait sur la poitrine. Mes yeux révulsaient, j’aimais ce qu’elle me faisait, mon plaisir montait. Je ne voulait pas que cela s’arrête tellement c’était agréable.
Les deux hommes se sont levés et se sont approchés leurs bites en main. Frank m’a présenté son membre et a forcé l’entrée de ma bouche. Il y allait pas avec tendresse et Toon de son côté suçait avec avidité la bite de Jack. Frank a ralenti la cadence lorsque je l’ai repoussé pour reprendre mon souffle. Il m’a ensuite laissé faire comme je l’entendais, j’aspirais et le faisais gémir. Je me demandais s’il allait pas jouir immédiatement.
Après quelques minutes, toutes deux sur nos genoux accoudées sur le sofa on s’est fait prendre en levrette pendant plusieurs minutes, nos mâles nous malmenaient toutes deux mais c’était bon, j’avais pas baisé depuis quelques temps. À un moment ils ont changé et Frank baisait Toon qui ne semblait pas trop apprécier ce changement de partenaire. Elle semblait vouloir que ça cesse et Frank m’a pénétré et me doigtait le petit trou. Toon s’est ensuite bougée et a poussé Jack. Elle s’est levé, a fait asseoir Frank sur le sofa et l’a chevauché. Elle sautait en jouissant bruyamment avant de ralentir. Jack s’est déplacé pour l’enculer mais elle n’a pas voulu. Il a appuyé fermement sur le bas de son dos pour la maintenir et a forcé pour violer son cul sans son consentement sans même l’avoir préparé. Elle criait de douleur et lui demandait d’arrêter. Je me suis levée, je devais intervenir et j’ai poussé Jack le faisant tomber par terre.
Toon s’est levée et nous nous sommes rendues ensemble à la salle de bain. Elle pleurait et était furieuse d’avoir subi cela. Elle a commencé à s’habiller, j’allais pas la laisser partir seule et moi je ne voulais plus être avec ces deux brutes. Nous sommes sorties, Toon insultant en thaï les deux hommes toujours sur le sofa.
 Nous avons pris un taxi et sommes retournées à Sukhumvit. Nous nous sommes installées dans un bar de rue pour commander une bière avec les passants qui allaient et venaient sans cesse mais nous n’étions plus en mode fêtardes comme à notre arrivée. Toon dans ses pensées était silencieuse, ne s’amusait plus, toujours furieuse. Après cinq minutes elle a dit vouloir entrer chez elle. Elle s’est juste levée, a fait signe de la main et s’est engouffrée dans un taxi. Laissant sa bière pleine sur la table, je suis restée un moment à cette table.
Après un moment, ma bière terminée, j’ai pris celle de Toon et j’ai marché jusqu’à Asoke. Tout au long du trajet de presque un kilomètre, j’observais la faune nocturne, les passants, les prostituées alignées attendant le client. Je ne savais pas où aller et je repensais aux évènements de la soirée gâchée. J’ai décidé de retourner au bar où nous étions allées, voir ce qu’il s’y passe à cette heure tardive. Je marchais lentement jusqu’à soi sept, des hommes sortaient du bar en me dévisageant, l’un d’eux me salua d’un bonsoir ma jolie.
Je suis entrée dans le bar et j’ai pris place. Encore bondé de clients, j’ai commandé une bouteille d’eau et une femme s’est approchée, a saisi mes épaules et a pris place à mes côtés. Elle a entamé la discussion m’interrogeant. Me parlant en thaï elle a vite réalisé que je ne la comprenais pas et elle a continuer à me parler dans un anglais approximatif. Disant ne m’avoir jamais vu auparavant elle me posa différentes questions puis elle m’a dit de venir la rejoindre à la table située près de l’entrée avec ses copines et trois mecs qui les accompagnaient.
Je n’y suis pas allée les rejoindre, j’ai plutôt préférée sortir et marcher sans but dans le quartier. J’ai donc repris ma marche sur Sukhumvit. Les trottoirs occupés par les petits bars de nuit. Je déambulais lentement croisant des passants, certains me souriaient. Un homme sortant d’un restaurant Mcdonald m’a accosté me demandant où j’allais. J’ai presque éclaté de rire en répondant que je ne savais pas. Il m’a pris par le bras et m’a demandé de l’accompagner. J’ai refusé et j’ai décidé de prendre place sur la petite terrasse du Mcdo où se trouve des tables.
L’homme m’a suivi et m’a demandé si je voulais boire ou manger, j’ai demandé un café glacé. Il est entré et a ressorti du restaurant avec deux café. Il m’a dit directement, combien tu veux, le prix importe peu en fait, cinq cent, mille bahts? Lui aussi fut étonné, comme Frank, lorsque je lui ai dit que je ne suis pas une de ces filles du quartier, que je suis enseignante et philippine. L’homme me souriait, il était pas mal, cinquante ans, une petite barbichette, il était habillé d’une chemise blanche, de pantalons noirs et des souliers, il avait tout du  type homme d’affaires. Cet homme, de toute évidence, était ce soir dans le quartier avec l’envie de se vider les couilles, et c’est sur moi qu’il tentait sa chance.
Je l’observais tout en buvant le café. Il m’a dit avoir sa voiture garée plus bas dans la rue. J’étais fatiguée, il se faisait tard, je lui ai dit que j’allais rentrer chez moi. Il m’a demandé où j’habitais et il m’a dit qu’il allait de ce côté et qu’il pourrait me déposer. En rigolant il ajouta qu’un petite pipe lui conviendrait pour le taxi! Pour rigoler aussi je lui ai directement demandé s’il avait une grosse bite ajoutant que j’aime que les grosses! Cela l’a fait rire et il a répondu qu’il pourrait bien me surprendre. La conversation a continué ainsi de façon un peu grivoise. J’étais encore un peu saoule et surtout fatiguée, je me suis levée pour partir et il a insisté pour me raccompagner.
Je ne savais pas si je devais me payer un taxi ou tenter l’aventure avec cet homme. Il m’a pris par la main m’entrainant vers sa voiture, une Mercedes. Il a mis la voiture en marche, a mis sa main sur ma cuisse me regardant d’un regard prédateur. Il a ouvert sa braguette a sorti sa bite et m’a demandé mon avis. Il avait déjà une belle érection, ma main l’a saisi pour instinctivement le palper de quelques mouvements de va et vient. Il a poussé ma tête doucement pour me la faire prendre en bouche.
De sa main gauche il a relevé ma jupe et il me doigtait au travers du tissus de ma culotte. Il a alors inséré un doigt dans mon cul mais gentiment en y allant de mouvements circulaires visant à détendre mon petit trou. Je sentais son doigt entrer contre ma douce paroi pendant que je gobais sa bite et le pompais. Son érection était complète et il est vrai qu’il avait une bite de bonne dimension. Il produisait du liquide pré-éjaculatoire et je me régalais de le goûter comme une gourmande.
Je ressentais une telle excitation, je regardais sa bite bien dure, mes deux mains le branlant rapidement avec mes doigts réunis en cercle autour de son membre. Je sentais le foutre monter et il a eu une contraction en déplaçant son bassin, ma langue attendant l’offrande. Il a giclé une petite quantité que je léchais avidement, et le sperme sortait goutte à goutte et je continuais à le branler plus doucement pour le traire et lui avait de violentes contractions. Je regardais sa bite, fascinée, heureuse et fière de l’avoir fait jouir. Il a poussé ma tête à nouveau me forçant à nettoyer le liquide visqueux qui avait coulé sur sa queue.
Il m’a demandé d’aller chez lui mais je voulais être chez moi et dormir après cette nuit agitée. Il m’a raccompagné à la porte de mon immeuble et nous nous sommes échangés nos numéros. Il m’a tendu un billet que j’ai refusé. 
Diffuse en direct !
Regarder son live