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Une jeune étudiante se dévergonde

Chapitre 1

Etudiante, Florence trouve une colocation

Lesbienne
Bac en poche à dix huit ans, j’ai postulé pour une fac sur Paris.  Avec ma mention, j’ai été admise sans problème.Pas eu trop le choix, même si après l’excitation, c’est l’inquiétude de me retrouver dans une grande ville que je ne connais pas. Dans ma petite ville de province, il n’y a pas de possibilité pour continuer mes études. Pour essayer de calmer l’inquiétude de mes parents de me voir partir seule à Paris, j’ai réussi à trouver par annonce sur un site étudiant une colocation avec une fille qui est un peu plus âgée que moi. Après plusieurs échanges de mails, je lui ai proposé de monter à Paris pour la rencontrer.Le petit appartement est conforme à l’annonce, et même si le loyer est un peu élevé pour ma bourse d’études, je décide de confirmer ma candidature.Chacune sa chambre, salle de bain et cuisine partagées, avec une pièce de séjour agréable dans une rue calme, au dernier étage d’un immeuble sans ascenseur. Aucune importance, je suis jeune et sportive.Je m’aperçois que je ne me suis pas présentée. Florence, dix huit ans donc, blonde aux cheveux courts 1m65, très peu de poitrine, mais avec deux tétons très développés qui m’obligent à mettre malgré tout un soutien gorge pour les cacher, et de jolies fesses bombées que les garçons n’hésitent pas à regarder, ce qui me fait rougir car je suis d’un naturel réservé.Tout le contraire de ma future colocataire. Un peu plus grande que moi, Pauline, brune aux cheveux longs en queue de cheval, avec un 90C et beaucoup plus extravertie que moi. Le jour où je suis allé visiter l’appartement, elle était en mini short, genre legging de sport, ultra court et collant, avec un simple teeshirt, visiblement sans soutien gorge.Je ne savais plus où mettre les yeux. Elle s’est sûrement aperçue de ma gêne, mais après tout elle était chez elle. Nous étions entre filles et cela ne m’a pas empêché de trouver l’appartement à mon goût. J’espère seulement que quand nous serons toutes les deux, elle sera un peu plus habillée.C’est seulement une fois dans le train, pour rentrer le soir en province, que je m’aperçois que ma petite culotte est mouillée. Je ne suis pas une oie blanche et j’ai eu un petit copain mais rien de très poussé. Je suis encore vierge, même si il m’arrive de me caresser seule dans mon lit, le soir.  En repensant  à cette visite et à ma future coloc, je sens une nouvelle fois cette sensation d’excitation dans mon ventre. C’et la première fois qu’une fille me fait cet effet là.Quand j’emménage, Pauline n’est pas là. Elle m’avait prévenue et laissé les clés chez son épicier pour éviter d’attendre. Quand elle rentre, j’ai déjà rangé ma valise et commencé à m’installer. Elle m’embrasse sur les deux joues et me souhaite la bienvenue. Elle me propose de boire un apéritif pour fêter mon arrivée. Nous discutons de nos vies respectives pour faire réellement connaissance.Assise en face de moi, je la retrouve aussi décontractée que lors de la visite. Cette fois ci, elle porte une jupe courte à plis et un chemisier. Les deux boutons de l’encolure sont ouverts et laissent voir la moitié de son soutien gorge en dentelle.  Je me dis qu’elle a de la chance de pouvoir s’offrir de la lingerie en dentelle, comparée à moi avec mes culottes en coton et mes soutiens gorge très sages. Petit à petit, la conversation devient plus intime et Pauline, en toute décontraction, pose un pied sur le rebord de son fauteuil. J’ai une vue totale sur son entrejambes et sa petite culotte en dentelle qui ne cache pas grand chose. Pas un poil ne dépasse, je ne suis pas étonnée. Elle doit avoir aussi les moyens d’aller se faire épiler chez une esthéticienne. Mais ce qui me surprend, c’est qu’aucune ombre n’apparaît sous la dentelle alors qu’elle est brune. Elle serait épilée intégralement comme j’ai pu voir sur une photo porno qui circulait au lycée ? Seule une tâche semble grandir  au niveau de sa fente, après quelques minutes. Moi aussi, je sens mon minou s’humidifier. J’espère que ma culotte ne va pas me trahir et qu’elle ne va pas croire que je suis lesbienne.Le lendemain, je pars m’inscrire à la fac  et quand je rentre elle est déjà là.Pauline est en petite tenue, un micro tanga dont l’arrière lui rentre dans la raie des fesses, me faisant dire qu’elle a de belles fesses et un crop-top qui cache à peine ses seins.Elle m’embrasse sur les deux joues et je sens que ses deux seins s’appuient plusieurs secondes contre les miens. Je rougis.
-      Tu rougis, dis moi ? Hier soir tu ne rougissais pas quand tu me matais entre les cuisses. C’est ma chatte qui t’intéressait ? Tu es lesbienne ? Tu sais que tu m’as excitée. Tu as bien vu que ma culotte avait une belle tache de mouille.  Toi aussi, tu mouillais ?-      Non, non, je ne suis pas lesbienne, lui répond Florence. Tu te trompes.-      Tu n’as pas répondu à ma question. Tu mouillais aussi ? Répond moi franchement.-      Non, non je t’assure, lui répond une nouvelle fois Florence-      Et en plus, t’es une menteuse. J’ai horreur que l’on me mente. Ce matin, après ton départ, je suis allé fouiller dans ton sac de linge sale. Tiens, regarde ta culotte, elle est remplie de ta mouille et elle pue encore ta chatte. Si tu veux pas finir dehors, tu vas te mettre à poil immédiatement. Tu as cinq secondes pour obéir, sinon  c’est moi qui te déshabille et je te jette sur le palier. Compris ?

Florence a les deux mains qui tremblent quand il lui faut déboutonner son chemisier, dégrafer son soutien gorge et enlever sa jupe.
-      Il faut que ce soit moi qui t’enlève ta culotte de petite fille ou te décides à le faire avant d’être punie ? lui demande Pauline
Florence baisse sa culotte et met immédiatement sa main devant sa touffe, par réflexe.

-      Enlève moi cette main, petite vicieuse. Donne moi ta culotte et mets tes mains derrière ton dos. Tu sens bon ! Elle est encore mouillée cette culotte de gamine en coton. Tu es vraiment une petite vicieuse. On va bien s’amuser ensemble. J’adore les filles qui font les timides pour cacher qu’elles sont des petites salopes.  Tu as une  belle touffe de gamine, tu vas exciter les mecs avec ça. C’est rare maintenant.

Florence est écarlate, mais elle sent ses lèvres intimes se gorger de sang et sa fente de plus en plus mouillée.
-      Je ne vais pas être méchante avec toi. Pour m’avoir menti, je te laisse le choix. Tu viens m’enlever tout doucement mon tanga, comme ça tu pourras voir ma chatte de près, ou tu reçois une fessée. Ou les deux.  Pourquoi pas ?
Florence est incapable de parler, mais elle ne veut pas être punie comme une gamine. Elle aurait trop honte. Alors elle s’accroupit devant Pauline et commence à lui enlever son tanga.
-      Stop ! lui dit Pauline. On t’a jamais appris à retirer un tanga  avec érotisme ? Mets un doigt sous mon tanga de chaque côté et descend le, tout doucement. Embrasse  chaque centimètre de peau que tu découvres.
Florence, excitée, ne réfléchit plus. Elle embrasse en continu le pubis sans s’arrêter quand elle atteint la fente, surtout que Pauline lui plaque le visage sur sa chatte.
-      Lèche moi ! Et si c’est la première fois, applique toi. Je t’apprendrai à me faire jouir avec ta langue.
Pauline est maladroite et cette maladresse excite Florence qui apprécie mais se retient de jouir.
-      C’est bien, mais comme tu n’as pas réussi à me faire jouir, je suis obligée de te fesser
Pauline allonge Florence en travers de ses cuisses et la fesse sans ménagement. Florence se met à geindre mais l’excitation est à son comble et sa chatte coule.
-      Tu es trahie par ta chatte qui coule, ma petite vicieuse, tu es trempée. Je ne vais pas risquer de te faire jouir avec une fessée, ce sera pour la prochaine fois. Si tu es sage, demain soir tu seras récompensée.
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